Le Mené est une commune nouvelle crée le 1er janvier 2016. Elle est située dans le département des côtes d’Armor. Elle est composée des communes de Collinée, Le Gouray, Langourla, Plessala, Saint-Gilles-du-Mené, Saint-Gouéno et de Saint-Jacut-du-Mené. Des informations sur la commune du Mené Département Côtes d’ArmorArrondissement Saint-BrieucCanton Plénée-JugonIntercommunalité Loudéac Communauté – Bretagne CentrePays historique Le Pays de Saint-BrieucPays traditionnel Le MenéPopulation 6 417 hab. 2017Densité 39 hab./km²Superficie 163,23 km²Adresse de la mairie La Croix Jeanne Éven 22330 CollinéeSite internet site de la mairie Communes limitrophes Trédaniel – Trébry – Saint-Glen – Penguily – Plénée-Jugon – Rouillac – Éréac – Mérillac – Saint-Vran – Laurenan – Les Moulins – La Prénessaye – La Motte – Plouguenast-Langast – Plémy Toponymie des communes du Mené Toponymie de Collinée L’origine du nom vient du breton koet, bois, et linek, linière,champ semé de lin. En breton, la commune se nomme Koedlinez. Toponymie de Le Gouray L’origine du nom vient de l’ancien breton gorre, hauteur. En effet, le bourg se trouve au pied d’une colline culminant à 173 mètres, appelée le Pas-ès-Biches. En breton, la commune se nomme Gorre. Toponymie de Langourla L’origine du nom vient de l’ancien breton lann, ermitage, et du saint breton Gourlais, que l’on retrouve dans le Morbihan et en Loire-Atlantique, ou d’un saint gallois méconnu, saint Gourlae. En breton, la commune se nomme Langourlae. Toponymie de Plessala L’origine du nom vient de l’ancien breton ploe, paroisse, et probablement du saint breton Sula. En breton, la commune se nomme Plesala. Toponymie de Saint-Gilles-du-Mené L’origine du nom vient de saint Gilles, fondateur d’un monastère dans le Gard, d’où partaient les croisades en Terre-Sainte. Les premiers croisés, partis de 1095 à 1107, rapportent son culte en Bretagne. Mené vient du breton menez, montagne. En breton, la commune se nomme Sant-Jili-ar-Menez. Toponymie de Saint-Gouéno L’origine du nom vient de saint Gouéno, en ancien breton Woednou, qui aurait fondé un monastère à Gouesnou Finistère. En breton, la commune se nomme Sant-Gouenoù. Toponymie de Saint-Jacut-du-Mené L’origine du nom vient de l’abbaye de Saint-Jacut-de-l’Isle, fondée par le saint du même nom, qui possédait l’église paroissiale. Mené vient du breton menez, montagne. En breton, la commune se nomme Sant-Yagu-ar-Menez. Histoire des communes du Mené Histoire de Collinée La voie romaine, à l’ouest de la commune, traduit une pénétration de cette civilisation dans la région de Collinée. On trouve mentionné le village de Saint-Thia en 1255, sous l’orthographe Saint-Quiac, comme dépendance de l’abbaye de Bosquen. Mais la référence la plus ancienne à Collinée ne remonte qu’au 11 février 1433, lorsque le duc de Bretagne crée un marché en faveur de Jean de Beaumanoir. La commune devient alors un centre d’échanges commerciaux, au milieu d’une région du Méné qualifiée de pauvre. Aux XVIe et XVIIe siècles, l’industrie de la toile assure sa prospérité, que reflètent les constructions de l’époque. Collinée possède sa halle, où l’on vend les étoupes, et sa place de la Cohue, bordée de galeries. Une foire d’origine médiévale permet aux jeunes gens, le 2 mai de chaque année, de se gager chez de nouveaux patrons. Les tisserands fabriquent des toiles vendues au bureau de Moncontour. Sous l’Ancien Régime, la seigneurie de Collinée dépend du domaine royal de Jugon et appartient à la famille Talhouet de Bonamour. En 1802, Collinée devient chef-lieu de canton. Auparavant trève du doyenné du Gouray, elle est érigée en paroisse en 1804. La fin du XIXe et le début du XXe siècle sont marqués par l’arrivée du chemin de fer départemental en 1906. Un nouveau commerce apparaît celui des engrais. Collinée retrouve une vitalité économique dans les années 1950, sous l’impulsion d’André Gilles, fondateur d’une société d’abattoirs en 1952. Histoire de Le Gouray L’occupation du territoire du Gouray remonte à 4 000 ans av. comme en témoignent les nombreux vestiges néolithiques. La civilisation gauloise laisse deux souterrains datant de l’âge du fer, à Boucléron, et à Saint-Roch. Enfin, un site gallo-romain, près du village du Val-Raulet, livre des vestiges d’habitations et d’artisanat. Au Moyen Âge, une enceinte féodale, La Motte-du-Parc, est le fief d’une seigneurie qui y fait construire un manoir. La régions est victime d’épidémies ravageuses à plusieurs reprises. Aussi le culte de Saint-Roch, saint protecteur, y est très vivace. Un établissement destiné au soulagement des personnes atteintes de la lèpre est signalé dès le XIIIe siècle. Sous l’Ancien Régime, les petites seigneuries et les manoirs sont nombreux au Gouray. L’économie est essentiellement agricole, la préparation des toiles assurant des revenus supplémentaires. On extrait des ardoises à Saint-Roch, et du minerai de fer à Carbilan, pour alimenter les hauts-fourneaux de La Hardouinaye et du Vaublanc. À la Révolution, Le Gouray devient chef-lieu de canton, jusqu’à l’an X. Les habitants de la commune adhèrent aux idées nouvelles et maintiennent une garde nationale à l’effectif important. Le XIXe siècle est marqué par l’émergence politique de Pierre Perret, cultivateur, conseiller général, député et représentant à l’Assemblée constituante d’avril 1848 à mai 1849. Pendant plus d’un siècle, la famille Perret fournit des élus au canton et influence son développement. Histoire de Langourla L’occupation humaine de Langourla remonte à l’époque néolithique, comme l’atteste la présence d’un menhir près du village de La Coudre. La voie romaine Vannes-Corseul traverse la commune à l’ouest et sert de limite avec Saint-Jacut-du-Méné et Le Gouray. De cette époque gallo-romaine, il reste les traces d’une édification au sud de La Plançonnaie. Une enceinte avec des douves, formant un camp retranché dans le bois de La Rouvraie, signale l’établissement d’une féodalité ancienne. L’origine de la première église remonte au XIIe siècle, d’après d’anciens titres conservés autrefois aux archives de la paroisse. À cette époque, les paroisses de Langourla et Saint-Vran n’en forment qu’une. Il est fait mention de la seigneurie de Langourla en 1239, à la suite d’une donation du croisé Robert de Langourla à l’abbaye de Bosquen, avant son départ pou Jérusalem. La juridiction de cette seigneurie, avec haute, moyenne et basse justice, tient son auditoire à Saint-Joseph, ancien bourg paroissial. En ce lieu se trouve également une halle, et se déroulent des foires et des marchés. Au XIXe siècle, la vie sociale et politique est dominée par les familles nobles de la commune, Lanascol puis La Guibourgère et Harel de La Perrière. C’est sur un terrain offert par cette dernière qu’est construite l’église. Ces familles en viennent même à s’affronter pour le poste de maire. Histoire de Plessala Plessala est habité dès l’époque néolithique, comme l’atteste la découverte de haches polies. La présence d’un cerf en bronze et de monnaies en or du Bas-Empire témoignent d’une occupation gallo-romaine sur le territoire. En 1255, les chartes de l’abbaye de Bocquen citent la paroisse de Plessala et mentionnent une donation d’Olivier de Plessala, écuyer. Certains toponymes encore en usage en 1830 rappellent une autre donation, celle de Pierre Boulard, conseiller du duc Jean IV à l’abbaye de Beauport en 1364. Durant l’Ancien Régime, Plessala dépend du canton et du doyenné de Plouguenast. On y dénombre alors plusieurs châteaux et manoirs. Au XVIIIe siècle, la paroisse compte deux hautes juridictions les seigneuries de La Ville-Orio et de Crénol. Les premières élections municipales ont lieu en 1790. En 1794, des chouans investissent la maison commune, volent des fusils et coupent l’arbre de la Liberté ; ils brûlent des archives notariales en 1795. Et en 1796, quatre contre-révolutionnaires de Saint-Brieuc sont fusillés dans le bourg. Par un arrêté préfectoral du 3 juin 1809, la lande dite forêt de Moncontour », ancienne propriété des ducs de Penthièvre, est rattachée à la commune. Une ordonnance de 1829 procède à un nouveau découpage et des trèves sont cédées aux communes voisines. Histoire de Saint-Gilles-du-Mené Le territoire de la commune de Saint-Gilles ne recèle aucune trace d’occupation antérieure au XIIe siècle. La période de l’Ancien Régime est marquée par l’importance de la seigneurie de Bosny, dont le château a disparu. Au XVIIIe siècle, l’industrie de la toile constitue la principale activité économique. Les paysans-tisserands cultivent le lin et le chanvre. Des moulins à fouler malaxent les toiles obtenues, pour leur donner plus de souplesse et un aspect feutré. Elles sont ensuite commercialisées sur les places importantes, telles que Moncontour. Les chouans s’affrontent vivement aux colonnes républicaines plongeant la commune dans l’insécurité pendant plusieurs années. Ancienne trève de Saint-Jacut-du-Mené, Saint-Gilles est annexé à Saint-Gouéno en 1807, et ne devient paroisse qu’en 1839. Jusqu’au XIXe siècle, la commune est recouverte de landes, vendues pour financer la construction d’une nouvelle église. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le maquis du Seilla est attaqué et anéanti par les Allemands en 1944. Au sortir de cette période, on exploite une dizaine d’hectares de tourbières, près de Bellevue pour fabriquer des mottes à brûler. Histoire de Saint-Gouéno Une allée couverte aujourd’hui détruite, au-dessus du village des Hautières, ainsi que des haches de pierre polie découvertes sur le plateau voisin attestent une occupation humaine à l’époque néolithique. Près de la voie antique Nantes-Le-Yaudet, dans la lande de La Hautaie, on découvre en 1854 trois cents monnaies de type coriosolite et osismen. Un éperon barré, fortification défensive pendant le haut Moyen Âge, s’élève près du village de La Ville-ès-Geais, ainsi que La Motte-Dolo, du XIe ou XIIe siècle, fief d’une petite seigneurie. La paroisse de Saint-Gouéno est signalée en 1279, dans un acte de l’abbaye de Bosquen. Elle est issue de démembrement de celle de Plessala. La Révolution marque profondément la population de la commune, qui adhère activement aux mouvements de la chouannerie, conduits par Legris-Duval de Bosny. En 1795, un prêtre, Joseph Le Veneur de La Ville-Chapron, est fusillé par les colonnes mobiles. Le territoire de la commune subit des modifications importantes au début du XIXe siècle, notamment en 1828 et 1856. Il se développe aux dépens de Plessala tout en perdant une section au profit de Collinée et de Saint-Gilles-du-Mené. À partir de 1840, la commune met en vente ses landes communales, situées principalement entre Kerrouet, Bellevue et La Hautaie. Le bénéfice de ces transactions sert à l’édification de la nouvelle église. Histoire de Saint-Jacut-du-Mené De nombreuses découvertes archéologiques, ainsi que plusieurs mégalithes, révèlent une occupation humaine remontant au Néolithique. De l’époque gallo-romaine subsistent les vestiges d’une villa au Gué-Haria. La voie romaine Corseul-Vannes, dite chemin de l’Étrat, traverse alors la commune à l’ouest. Il reste du Moyen Âge les traces d’une enceinte quadrangulaire avec douves, au village du Vieux-Parc, ainsi qu’une enceinte avec motte près du bourg, appelée château de la Couaille. Deux seigneuries exercent leur juridiction et leurs droits féodaux La Goulière, mais surtout Le Parc Locmaria, dont l’importance et le rayonnement demeurent visibles à travers l’architecture de son château. Le territoire de Saint-Jacut-du-Mené est longtemps abandonné aux landes. À partir de 1840, l’abbé Boinet et le maire, Hippolyte Lemoine, entament un programme de défrichement en faveur des pauvres. Saint-Jacut s’agrandit au dépens du Gouray, en 1823 et en 849, s’appropriant les terres de Bransac, La Thiollaye et La Goulière. L’allée couverte du Rocher dans la commune de Saint-Jacut-du-Mené au début des années 1900. Situation géographiqueLeGouray [lə guʁɛ] (Gorre en breton) est une ancienne commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne, devenue, le premier janvier 2016, une commune déléguée de la commune nouvelle du Mené.
Cette liste des familles subsistantes de la noblesse française rassemble les familles subsistantes de nos jours qui étaient membres de la noblesse française de l'Ancien Régime avant le 19 juin 1790, qui ont été anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du XIXe siècle, et les familles nobles des provinces réunies à la France après 1789 du comtat Venaissin, du duché de Savoie et du comté de Nice après 1860. Cet article recense les familles comptant au moins un membre vivant homme ou femme qui, selon les règles de transmission de la noblesse en vigueur en France en 1789, descendent en ligne masculine, naturelle [sans adoption], et légitime [dans le cadre du mariage] d’un auteur en possession de la noblesse française transmissible ou d’un titre d’Empire/Restauration, NDLR, par acte émanant du pouvoir souverain d'un territoire aujourd'hui français[1]. Les familles éteintes en France, mais subsistantes à l'étranger ou devenues étrangères sont incluses dans cette liste. A contrario, les familles françaises subsistantes qui tirent leur principe de noblesse d'un souverain étranger noblesse étrangère, et qui n'ont pas été maintenues ou reconnues nobles en France n'y sont pas incluses. Par ailleurs, signalons que des auteurs[2] expriment toutefois des désaccords sur certaines preuves de noblesse, sur l'expression noblesse d'Empire et sur la notion de la noblesse au XIXe siècle. De même cette liste ne tient pas compte du droit français actuel de la filiation. Des familles qui sont mentionnés comme nobles par différents auteurs comme Régis Valette, le baron de Woelmont, André Borel d'Hauterive, Ambroise Louis d'Hozier, mais considérées de noblesse inachevée par d'autres sources, sont reportées dans cette liste. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z L Laage de Bellefaye de, secrétaire du roi Paris 1718-1738, Saintonge, Île-de-France[LM 1], ANF-1993. Laage de Meux de même famille que la précédente, trois secrétaires du roi 1759-1784, Saintonge, Orléanais, ANF-1984. La Barre de Nanteuil de, ancienne extraction 1458[a 1] ou 1537 selon Chaix d'Est-Ange[d 1], Normandie Eure, ANF-1945. La Barrière de, extraction 1560 non confirmé par Chaix d'Est-Ange[d 2], maintenue 1718 et 1778, Agenais[d 2], ANF-1986. Labat de Lapeyrière de, ancienne extraction 1487, Agenais, ANF-1977[réf. nécessaire]. Labbey de La Besnardière de, extraction 1549, maintenue 1667, Normandie, ANF-1972[réf. nécessaire]. Label de Lambel, Empire, baron en 1810, comte en 1830, Barrois, ANF-1983[réf. nécessaire]. La Béraudière de, extraction 1527, Poitou, Touraine[d 3], ANF-1953. La Berrurière de Saint-Laon de, Poitou, ANF 2018 désistement de noblesse en 1667 mais vote noble en en 1789, principe de noblesse à confirmer[réf. nécessaire] La Biche de et La Biche de Reignefort de, Empire, chevalier en 1813, baron en 1826, Limousin[d 4], ANF-1997. La Bigne de, ancienne extraction 1480, Normandie, Bretagne[d 5],[LM 2], ANF-1961. Laborde de, secrétaire du roi 1756, marquis de Méréville en 1785, Béarn[a 1]. famille éteinte en ligne masculine Laborde-Lassale de, anobli par décharge de franc-fief en 1696, Gascogne, ANF-1933. Laborde-Noguez de, secrétaire du roi en 1750, Béarn Bayonne[a 2] principe de noblesse à vérifier. La Borie de La Batut de, parlement de Bordeaux en 1505, Périgord, ANF-1938. La Bourdonnaye de et La Bourdonnaye-Blossac de[d 6], ancienne extraction 1427, honneurs de la Cour, marquis de Couettion 1717 titre éteint, Bretagne Rennes, ANF-1948[3]. Labriffe de[d 7], trésorier à Montpellier en 1638, comte en 1810, honneurs de la Cour refusés par Louis XV mais admis par Louis XVI en 1789 malgré l'avis défavorable de Chérin, Armagnac, ANF-1951. La Broise de, ancienne extraction 1433, Avranchin, Bessin, Normandie, ANF-1963[réf. nécessaire]. La Brosse de, secrétaire du roi en 1770, Auvergne, ANF-1998[réf. nécessaire]. La Brouë de Vareilles-Sommières de, ancienne extraction 1406, Poitou, ANF-1951[réf. nécessaire]. Lac du, secrétaire du roi 1761-1784, Languedoc, ANF-1936[b 1]. Lac de Fugères du[d 8], anobli maintenue en 1700, Velay, ANF-2016. La Celle de Châteaubourg de, ancienne extraction 1430, Bretagne[d 9],[LM 3], ANF-1952. La Celle de Châteauclos de et La Celle de, extraction chevaleresque 1399, Marche Dun, Saintonge, Périgord[d 10], ANF-1955. Lacger de Camplong de, extraction, maintenue 1671, baron en 1813, Languedoc, ANF-1954[réf. nécessaire]. La Chaise de, Empire, chevalier 1809, baron en 1810 confirmé en 1816, Bourgogne[d 11]. La Chapelle de Biarnès de, anobli en 1683 1703 pour G. Chaix d'Est-Ange, Périgord[d 12], ANF-1967. La Chapelle d'Uxelles de et La Chapelle de, Olim Siot, Restauration, vicomte en 1817, baron en 1820, Lyonnais, Bourgogne[d 13], ANF-1948. La Chevardière de La Grandville de, extraction 1520, maintenue en 1669, Champagne, ANF-1935[réf. nécessaire]. Lachèze-Murel de, anobli en 1815, Quercy[d 14]. La Choue de La Mettrie de, ancienne extraction 1440[b 1], maintenue en 1668 à Rennes, Bretagne, ANF-1950. La Coussaye de, maire de Poitiers en 1633, Poitou[réf. nécessaire]. Lacretelle de, anobli en 1822, Lorraine[a 3]. La Croix de Castries de, cour des aides de Montpellier en 1487, comte en 1821, Languedoc[d 15], ANF-1936 La Croix de Chevrières de Sayve de, Parlement de Grenoble 1543, marquis d'Ornacieu en 1645, Dauphiné, ANF-1954[4]. La Croix de Ravignan de, secrétaire du roi 1731-1751[a 3], Bayonne en Gascogne[d 16], ANF-1970. La Croix de Saint-Cyprien de, ancienne extraction 1491, maintenue 1670, Périgord, Angoumois, ANF-1996[réf. nécessaire]. La Crompe de La Boissière de, maintenue de noblesse 1787, Agenais[d 17],[a 3]. La Cropte de Chantérac de, extraction chevaleresque 1395, honneurs de la cour en 1765, Périgord[d 18], ANF-1947. La Devèze de Charrin de, extraction 1560 acte original et non expédition comme 1549, Armagnac[d 19],[a 3]. Ladoucette de, Empire, baron en 1809, Lorraine[a 3]. Ladreit de Lacharrière, maintenue 1786[a 3], Vivarais Privas, ANF-1952. La Fage de, Pailhès, capitoul de Toulouse 1672, Languedoc[d 20], ANF-1947. La Faire de, ancienne extraction 1478, Bourbonnais, Berry, Poitou[d 21], ANF-1948. La Faverge de Bévy de, olim de Fabrica filiation 1552, docteurs en droit d'Avignon au XVI° siècle sous le patronyme de Fabrique, Savoie[Foras 1]. Lafaye de Micheaux de, extraction 1589, Vivarais, ANF-1980 Famille éteinte en ligne masculine. La Fayolle de Mars de et - de Latourne de[d 22], extraction 1527, Vivarais, Dauphiné, ANF-1967. La Fléchère de Beauregard de, extraction chevaleresque 1370, comte en 1781, Savoie[Foras 2], ANF-1990 La Follye de Joux de, anoblie par charge de secrétaire du roi le 7 juin 1719, Bourgogne Dijon[d 23],[5],[a 4]. Lafon-Boutary de, anobli en 1822, Quercy, ANF-1950[réf. nécessaire]. La Fontaine de Follin de Vezins de, extraction 1588, Le Lude en Anjou[réf. nécessaire]. La Fontaine de Fontenay de, ancienne extraction 1464, Maine, Normandie, ANF-1984[réf. nécessaire]. La Forcade de, capitoul de Toulouse en 1704, Armagnac, Languedoc, ANF-1959[6]. La Forest d'Armaillé de[d 24], ancienne extraction 1444, maintenue 1670, Bretagne[LM 4], ANF-1962. La Forest de La Ville au Sénéchal de, ancienne extraction 1436, Bretagne[LM 5]. La Forest Divonne de, extraction chevaleresque 1398, comte en 1749, honneurs de la Cour, pair de France 1827, baron-pair de France 1829, Savoie[Foras 3],[d 25], ANF-1935. La Foye de, anobli en 1610, Normandie, Bretagne[LM 6]. La Gabbe de, anobli en 1721, Lorraine, ANF-1964[réf. nécessaire]. La Garde de Saignes de, extraction chevaleresque 1397, maintenue 1668, honneurs de la cour, Quercy, ANF-1947[réf. nécessaire]. Lagausie de, extraction 1555, Gimont en Armagnac[réf. nécessaire]. Lagaye de Lanteuil de, certificat de noblesse délivré par Louis Pierre d'Hozier le 1er avril 1740, Limousin, ANF-1991[réf. nécessaire]. La Goublaye de Nantois de et - de Ménorval de, extraction 1557, maintenue 1770, Bretagne[LM 7], ANF-1933. Lagoutte du Vivier de, secrétaire du roi 1731, Bourgogne, ANF-1980[réf. nécessaire]. La Grandière de, extraction chevaleresque 1300, honneurs de la cour, Anjou, Bretagne, ANF-1934[réf. nécessaire]. La Guerrande de, ancienne extraction 1490, maintenue de 1668, Bretagne[LM 8], ANF-2015. La Guiche de, extraction chevaleresque 1300, honneurs de la cour, Bourgogne, ANF-1952[réf. nécessaire]. La Hamayde de, La Hamayde de Lussignies de et La Hamaide de, parlement de Flandres établi à Tournai puis à Douai 1673-1688, Flandre, Hainaut, Belgique, ANF-2000[réf. nécessaire]. La Haye de, secrétaire-payeur du roi 1755-1761, Argentan en Normandie, ANF-7/1964[7]. La Haye Saint-Hilaire de, extraction chevaleresque 1393, Bretagne, ANF-1947[réf. nécessaire]. La Huppe de Larturière de[d 26], Restauration, chevalier héréditaire en 1819[8], Normandie Avranches sources non consensuelles. Laigre de Grainville, anobli en 1823, Maine, ANF-1954[réf. nécessaire]. Laitre de[d 27], charge inachevée au XVIIIe siècle, Empire, baron en 1810, confirmé en 1817, Île-de-France, ANF-1962. La Jaille de, extraction chevaleresque 1389, Anjou, Bretagne, ANF-1963[réf. nécessaire]. Lajoumard de Bellabre, trésorier de France au bureau des finances de Limoges, par du 27 juillet 1745[9], Saint-Léonard-de-Noblat en Limousin, ANF-2004[réf. nécessaire][10]. Lalance de Morainville de, extraction 1500, Lorraine, ANF-1987[réf. nécessaire]. La Lande de Calan de, ancienne extraction 1427, Bretagne, ANF-1946[réf. nécessaire]. La Lande d'Olce de, extraction 1515, Béarn, ANF-1950[11]. La Laurencie de, extraction chevaleresque 1367[LM 9], honneurs de la cour, Poitou, Saintonge, ANF 2012[12]. Lallemand de Mont de, anobli en 1730, Lorraine. famille subsistante au XXIe siècle[réf. nécessaire]. Lallemant de Liocourt de, anobli en 1682, Lorraine, ANF-1935[réf. nécessaire]. Lamamie de Clairac ou La Mamie de Clairac, Toulouse, ANF-1997[réf. nécessaire]. La Mare de, extraction, maintenue en 1670, Pont-Audemer en Normandie[a 5]. Lamarzelle de, maintenue 1752, Liège, Bretagne[LM 10]. Lambert de Beaulieu, anobli en 1757, Normandie, ANF-1957[réf. nécessaire]. Lambert de Boisjan de, ancienne extraction 1444, Bretagne[LM 11], ANF-1992. Lambert de Cambray, secrétaire du roi 1581-1587, Beauce, Orléanais, ANF-1947. Lambert des Champs de Morel, extraction[13] ou anoblie par charge en 1632[14],[15], maintenue noble en 1666[13], baron en 1817, Ile-de-France, Normandie. Lambert de Frondeville, ancienne extraction 1483, Normandie, ANF-1945[réf. nécessaire]. Lamberterie de, - du Cros de et - de La Chapelle Montmoreau de, extraction 1545, Périgord, ANF-1937[réf. nécessaire]. Lambertye de, ancienne extraction 1405, marquis en 1719, honneurs de la cour, Lorraine, ANF-1936[réf. nécessaire]. Lambilly de, extraction chevaleresque 1361, honneurs de la cour, Bretagne[LM 12], ANF-1945. Lamée de Soulages de, capitoul de Toulouse en 1706, Languedoc[réf. nécessaire]. Lameth de, extraction chevaleresque 1302, honneurs de la cour, Picardie, ANF-1970[réf. nécessaire]. Lamezan de, extraction 1514, Comminges[réf. nécessaire]. La Monneraye de et La Monneraye de La Bourdonnaye-Montluc de, anobli en 1666, maintenue 1669, Dol en Bretagne[LM 13], ANF-1978. La Motte-Ango de Flers de[d 28], secrétaire du roi 1639-1659, marquis de La Motte-Lézeau en 1693, comte de Flers en 1737 branche de Villebadin, marquis de Flers en 1862, éteinte en 1899, Normandie Orne[16]. La Motte de Broons de Vauvert de, ancienne extraction 1500, Bretagne, ANF-1958[réf. nécessaire]. La Motte de la Motte-Rouge de, ancienne extraction 1427, maintenue par la Chambre de Réformation de Bretagne le 18 janvier 1668, Hénansal en Bretagne[LM 14], ANF-1951. Lamour de Caslou, extraction 1513, maintenue en 1669, Saint-Malo en Bretagne[LM 15], ANF-1997. La Moussaye de, ancienne extraction 1412, marquis 1818, honneurs de la cour, Bretagne[LM 16], ANF-1938. Lamy de, extraction 1541, Languedoc[réf. nécessaire]. Lamy de La Chapelle[17], conseiller secrétaire du roi, Maison et Couronne de France, par du 17 novembre 1772[18], Limoges en Limousin, ANF-2002[19]. La Myre-Mory de, extraction chevaleresque 1048, honneurs de la cour, Guyenne, Picardie, ANF-1961[réf. nécessaire]. Lancesseur de, ancienne extraction 1430, Normandie[LM 17], ANF-1994. Lancrau de Bréon de, extraction chevaleresque 1386, Anjou[LM 18], ANF-1936. Landes d'Aussac de Saint-Palais de, anobli maintenue en 1670[a 6], Languedoc, ANF-1958. Lanete David de Floris de, anobli en 1616, Orange[b 2], La Réunion. Langlade de Montgros de olim Langlade du Chayla de Montgros, extraction maintenue en 1700, Langogne en Gévaudan, ANF-1994[réf. nécessaire]. Langlais de, extraction, maintenue en 1663 et 1672, Bretagne[LM 19], ANF-1998. Langle de, ancienne extraction 1402, marquis en 1827 pour la branche cadette, Bretagne Morbihan[LM 20], ANF-1943. Langlois d'Estaintot, ancienne extraction 1471, Normandie, ANF-1946[réf. nécessaire]. Langlois de Rubercy, anobli en 1815, Normandie[LM 21], ANF-1983. Langlois de Septenville, ancienne extraction 1444, Picardie, ANF-1978[réf. nécessaire]. Lannes de Montebello, Empire, duc en 1808, Gascogne, ANF-1991[réf. nécessaire]. Lanoë de La Bastille de alias La Noë de La Bastille, extraction 1593, Les Pas en Normandie[réf. nécessaire]. La Noüe de, ancienne extraction 1451, Anetz en Bretagne[20]. Lantivy de Trédion de, extraction chevaleresque 1396, honneurs de la cour, Bretagne[LM 22], ANF-1962. La Panouse de, extraction chevaleresque 1257, comte 1829, honneurs de la cour, Lapanouse en Rouergue, ANF-1948[réf. nécessaire]. Laparre de Saint-Sernin de, Restauration, anobli en 1815, Languedoc Verdun-sur-Garonne, ANF-1934[réf. nécessaire]. Lapasse de, extraction 1528, Comté de Foix, Gascogne, ANF-1946[réf. nécessaire]. Lapersonne de ou de La Personne, extraction 1530, Picardie[21] Lapisse de Lamothe de ou de Lapisse de La Mothe, extraction, maintenue 1666, Mézières en Champagne, Limousin[réf. nécessaire]. La Poëze de et La Poëze d'Harambure de, extraction chevaleresque 1340, Anjou, ANF-1957[réf. nécessaire]. La Pomélie de, extraction 1539, maintenue 1667, Limousin, ANF-2000[réf. nécessaire]. La Porte de, Chambre des comptes de Paris, 1764-1770, Béarn, Île-de-France, ANF-1952[réf. nécessaire]. La Porte des Vaux de et La Porte du Theil de, ancienne extraction 1489[22], Marche, Poitou, ANF-1949. La Rivoire de La Tourette de, ancienne extraction 1447, honneurs de la cour, Vivarais[réf. nécessaire]. Larminat de, Second Empire, baron en 1860 confirmation d'un titre de 1828, Lorraine, ANF-1964[réf. nécessaire]. La Roche-Aymon de, extraction chevaleresque 1179, comte en 1817, honneurs de la cour, Bourbonnais, ANF-1934[réf. nécessaire]. La Roche-Kerandraon de, extraction 1550, Bretagne[LM 23], ANF-1951. La Roche-Saint-André de, extraction chevaleresque 1380, honneurs de la cour[b 3], Vendée, Bretagne, ANF-1951. La Rochefoucauld de, - d'Estissac, - Liancourt et - de Montbel, extraction chevaleresque 1147, duc en 1758, honneurs de la cour, Angoumois, ANF-1934[réf. nécessaire]. La Rochelambert de et La Rochelambert-Montfort de, extraction chevaleresque 1274, honneurs de la cour, Auvergne, ANF-1973[réf. nécessaire]. La Rochette de Rochegonde de, extraction chevaleresque 1360, Auvergne, Forez, Velay, ANF-1945[réf. nécessaire]. La Rocque-Latour de, ancienne extraction 1445, Guyenne, Poitou, ANF-1987[réf. nécessaire]. La Rocque de Séverac de, ancienne extraction 1500, Auvergne, ANF-1944[réf. nécessaire]. La Roque de, capitoul de Toulouse XVIe siècle, Languedoc, ANF-1936. Larquier Rochefort de ou de Larquier-Rochefort, conseiller du roi, bailli et juge royal de Rouffignac, maintenues de noblesse par Pellot en 1666[23], Malaussanne en Gascogne[24] Le statut nobiliaire et/ou la subsistance de cette famille ne fait pas l'objet d'un consensus. Lartigue de et Lartigue de Gouyettes de, extraction, maintenue 1690, Gascogne, ANF-1973[réf. nécessaire]. La Ruë du Can de, anobli en 1741, baron de Champchevrier par investiture de fief titré en 1741, Maslacq en Aquitaine, Mansigné, Cléré-les-Pins en Touraine, ANF-1955[réf. nécessaire]. La Ruée de, extraction 1570, Bretagne[LM 24]. Lary de Latour de, extraction 1543, Armagnac, Guyenne, ANF-1987[réf. nécessaire]. Lasalle, capitoul de Toulouse 1700[25]. La Salle de, secrétaire du roi en 1781, Marche, ANF-1972[réf. nécessaire]. La Sayette de olim Mareschal, extraction chevaleresque 1382, Poitou, ANF-1959[réf. nécessaire]. Las Cases de, ancienne extraction 1453, maintenue en 1668, honneurs de la cour en 1774[26], marquis en 1830, Languedoc, Bretagne[b 4]. La Selle de d'Echuilly, extraction maintenue en 1771[a 7], ancienne extraction 1430[LM 25], Anjou, ANF-1966. Lassus de, bourgeois honoré de Perpignan 1633[27], Roussillon. Lassus Saint-Geniès de, capitoul de Toulouse 1742, Montréjeau en Languedoc, ANF-1947. Lasteyrie de et Lasteyrie du Saillant de, extraction chevaleresque 1371, honneurs de la cour en 1751[26], comte en 1810, Limousin, ANF-1937. Lastic de et Lastic Saint-Jal de, extraction chevaleresque 1298, maintenue 1666 et 1670, Auvergne, ANF-1951. La Taille de, - des Essarts, - Lolainville et - Trétinville, ancienne extraction 1437, Orléanais, ANF-1957[28],[29],[30]. Lataulade de, ancienne extraction 1484, Béarn, Gascogne, ANF-1956 La Teyssonnière de, ancienne extraction 1429, honneurs de la Cour 1773[26], Bresse, ANF-1954. Latour de, extraction[réf. nécessaire], Comminges, ANF-1977. La Tour d'Auvergne de La Placette, de Laborie de olim de La Tour[31], extraction chevaleresque 1335, maintenue en Quercy par François de Rabastens le 29 juillet 1666[32], La Tour de Maurs en Auvergne, Quercy, ANF-1956[33]. La Tour d'Auvergne-Lauraguais de olim de La Tour de Saint-Paulet[31], extraction chevaleresque 1367, baron de l'Empire 1808 et 1814, honneurs de la cour en 1744[26], Languedoc[Jougla 1], ANF-1967. La Tour de Geay de, ancienne extraction 1471, Anjou, ANF-1953[réf. nécessaire]. La Tour-Landorthe de, extraction 1526, Comminges, ANF-1985[réf. nécessaire]. La Tour du Pin de La Charce de, - Gouvernet de, et - Verclause de, ancienne extraction 1437, honneurs de la cour, marquis de La Charce 1619, marquis de La Tour-du-Pin Chambly de La Charce de Gouvernet en 1867, Dauphiné, ANF-1933[réf. nécessaire]. La Tousche de, extraction, maintenue 1668, Bretagne, ANF-1993[réf. nécessaire]. La Tousche d'Avrigny de, extraction chevaleresque 1382, Poitou, Aunis, Berry, ANF-1949. Famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. La Tribouille de olim Rocquet, extraction chevaleresque 1229, maintenue de 1667, Bretagne[LM 26], ANF-1984. La Tullaye de, ancienne extraction 1407, Bretagne, ANF-1975[34] Lau d'Allemans du, ancienne extraction 1418, honneurs de la cour en 1757[26], Périgord, ANF-1935. Laubrie de, extraction, maintenue en 1666, Carentan en Normandie, ANF-1974[réf. nécessaire]. Laugier de Beaurecueil de, trésorier à Aix 1720, Conseiller au Parlement de Provence reçu le 5 avril 1727[35], Vachères en Provence. Laulanié de Sainte-Croix de, capitoul de Toulouse 1750, Pérogord, ANF-1973[réf. nécessaire]. Launay de, ancienne extraction 1476, Bretagne[LM 27], ANF-1984. Launay de, Restauration, baron héréditaire par du 24 mars 1847[36], Létra en Lyonnais. Launay de Couëdic de Kergoualer de, maintenue en 1666 par Barrin de La Galissonière, intendant de Rouen, Normandie, ANF-2017[réf. nécessaire]. Launay de La Mothaye de, extraction, député aux États Généraux de Blois en 1545, maintenue en 1667, Brion en Anjou, Touraine[réf. nécessaire]. Laurens-Castelet de, ancienne extraction 1487, Languedoc Castelnaudary[réf. nécessaire]. Laurens d'Oiselay du, extraction, maintenue 1697, Orange, Comtat Venaissin, ANF-1935[réf. nécessaire]. Laurens de Saint-Martin de, ancienne extraction 1493[b 5], ou maintenue en 1668[37],[38], Provence Castellane. Laurent de La Barre du, anoblie en 1654, maintenue en 1728 et 1768[39],[LM 28], Normandie, Bretagne Finistère, ANF-2004. Lauzanne de, ancienne extraction 1409, Marche, Bretagne[LM 29], ANF-1967. La Vaissière de Lavergne de, anobli en 1655, Auvergne, ANF-1947[réf. nécessaire]. La Vaissière de Verduzan de, Trésorier à Bordeaux en 1719, Guyenne, ANF-1951[réf. nécessaire]. Lavaulx de, ancienne extraction 1495, honneurs de la cour, Lorraine[Jougla 2], ANF-1935. Lavaur de Sainte-Fortunade de, ancienne extraction 1462, Limousin, ANF-1955[réf. nécessaire]. Lavenne de La Montoise de et Lavenne de Choulot de, anobli relief en 1654[a 8], maintenue le 18 mars 1669[40], comte en 1824, Nivernais, ANF-1988 branche de Lavenne de La Montoise[41]. Lavergne de Cerval de, secrétaire du roi en 1698, Périgord, ANF-1978[réf. nécessaire]. La Vergne de Tressan de, anobli en 1350, Languedoc, ANF-1989[réf. nécessaire]. La Verrie de Vivans de, secrétaire du roi en 1713, confirmé en 1789[42], Périgord, ANF-1984. La Ville-Baugé de alias La Ville de Baugé de, anobli en 1654, maintenue de noblesse par de mars 1789[43][réf. à confirmer], Férolles en Orléanais, Poitou, ANF-2004[44][réf. nécessaire]. La Ville de Férolles des Dorides de, même famille que la précédente, branche cadette, anoblissement par lettres de 1593 confirmé 1609[Jougla 3],[45],[LM 30], Férolles en Orléanais, Poitou, Bretagne, ANF-1976. La Villéon de La Villegourio de, extraction chevaleresque 1381, Bretagne, ANF-1949[réf. nécessaire]. La Villéon de La Villevalio de, même famille que la précédente, ancienne extraction 1444, Bretagne, ANF-1934[46][réf. nécessaire]. Law de Lauriston, maréchal de camp 1780, comte de Lauriston et de l'Empire 1808, marquis et pair de France en 1817, Écosse, Île-de-France, ANF-1993[Jougla 4] Léaumont de, ancienne extraction[a 8], seigneurs de Puygaillard et de Castille, Guyenne. Le Bailly de La Falaise et - de La Coudraye, extraction 1526, Normandie, ANF-1954[réf. nécessaire]. Le Barrois d'Orgeval, anobli en 1819, baron en 1820, Normandie, ANF-1965. Le Bas de Bouclans, secrétaire de la chambre du roi en 1639, marquis de Bouclans en 1749, Franche-Comté[d 29], ANF-1981[47]. Le Bastart de Villeneuve ou Le Bastard de Villeneuve, ancienne extraction 1426, Bretagne[LM 31], ANF-1955. Le Bault de La Morinière et - de La Rochecantin, extraction 1559, Poitou[b 6],[48]. Le Bègue de Germiny, anobli en 1596, comte du Saint Empire en 1714, Lorraine[LM 32], ANF-1938. Le Bel de Penguilly, extraction 1560, Bretagne[LM 33], ANF-1948. Lebel de Sarnez alias Lebel-Sarnez et de Sarnez-Lebel, Empire, baron le 15 août 1809 confirmé en 1817, Vavincourt-Sarney en Lorraine. Leblanc ou Le Blanc, olim Blanc de Molines, extraction, maintenue de noblesse par Claude Bazin le 5 juillet 1669, Vivarais, ANF-2011[49]. Le Blanc de Cernex, extraction 1572, Savoie[Foras 4], ANF-1971. Le Blond du Plouy, ancienne extraction 1459, Picardie, ANF-1951. Le Blonsart du Bois de La Roche, extraction, maintenue 1670, Bretagne[LM 34]. Le Borgne de Boigne, Boigne de anciennement Le Borgne, comte en 1816, Savoie[Foras 5], ANF-1998. Le Borgne de Boisriou et Le Borgne de La Tour, ancienne extraction 1497, Bretagne Finistère[LM 35], ANF-1986. Le Boucher d'Hérouville, extraction, maintenue en 1667, Normandie, ANF-1944[réf. nécessaire]. Le Boucq de Beaudignies, anobli en 1640 Branche de Ternas éteinte, Valenciennes dans le Hainaut[réf. nécessaire]. Le Boulleur de Courlon, anobli en 1471, Courlon en Bourgogne, Normandie[réf. nécessaire]. Le Bouteiller et - des Haries, ancienne extraction 1478, maintenue 1669, Bretagne, ANF-1940[50]. Le Bret, anobli par lettres patentes d'Henri III en 1578[51], maintenue noble le 24 avril 1594 et le 5 décembre 1667. Comte de Selles par LP de 1727, pour une branche éteinte[52]. Ile-de-France, Normandie Gisors, ANF-2016. Le Breton de Vannoise et - de La Perrière, ancienne extraction 1459, honneurs de la cour en 1786[26], Normandie, ANF-1956. Le Canu de La Jonquière de Bray, anobli en 1644, Normandie, ANF-1969[réf. nécessaire]. Le Carbonnier de La Morsanglière, extraction, maintenue 1668, Normandie, ANF-2006[réf. nécessaire]. Le Cardinal de Kernier, maintenue de noblesse d'ancienne extraction par la chambre de Réformation de Bretagne les 21 novembre 1667 et 21 août 1669[53], Neulliac en Bretagne[LM 36], ANF-1933. Le Caron de Beaumesnil, Cour des monnaies de Paris 1769, Picardie, ANF-1967[réf. nécessaire]. Le Caron de Chocqueuse, extraction 1504, maintenue de noblesse par la Cour des Aydes le 4 mars 1664 pour les branches de la Mothe et de Chocqueuse, puis par Bignon à l'intendance d'Amiens en 1704, Picardie, ANF-1939. Le Carpentier de Sainte-Opportune, Parlement de Rouen XVIIIe siècle, Normandie, ANF-1955. Le Caruyer de Beauvais, anobli en 1594, Normandie, ANF-1981[réf. nécessaire]. Le Chanoine du Manoir de Juaye, secrétaire du roi, mort en charge en 1758, Normandie, ANF-2017[réf. nécessaire]. Le Chartier de Sédouy, anobli en 1636, marquis en 1784, Normandie Avranchin, ANF-1937[réf. nécessaire]. Le Chauff de Kerguenec, ancienne extraction, maintenue 1668, Bretagne[LM 37]. Le Clerc de Bussy, extraction 1505, Picardie, ANF-1977[réf. nécessaire]. Le Clerc de La Verpillière, anobli en 1674 avec confirmation, lyonnais[b 7], ANF-2019. Le Clère, Empire 1813, baron en 1816, Limousin Brive, ANF-1952[réf. nécessaire]. Le Compasseur de Créqui-Montfort de Courtivron, Parlement de Dijon 1620, honneurs de la Cour Chaix d'Est-Ange écrit que cette famille a été refusée à ces honneurs[d 30], marquis en 1698, Provins puis Auxonne en Bourgogne, ANF-1968. Le Conte, secrétaire du roi en 1747, Forez, ANF-1935[réf. nécessaire]. Le Conte d'Ymouville, anobli en 1576, Orval en Normandie[réf. nécessaire]. Le Cordier de Bigars de Lalonde, extraction, maintenue 1666, Lisieux en Normandie[réf. nécessaire]. Lecourbe, Second Empire, comte en 1864[54], Franche-Comté, ANF-1998[réf. nécessaire]. Le Court de Béru, anobli par lettres de relief de dérogeance en 1687[b 8],[55] ou 1686[Jougla 5], Normandie. Le Courtois du Manoir, secrétaire du roi à Paris 1768-1789, Normandie Caen, ANF-1984[réf. nécessaire]. Le Cousturier de Courcy, extraction 1577, Normandie[réf. nécessaire]. Le Couteulx de Caumont, - du Molay, et - de Verclives, anobli en 1764 et 1756, secrétaire du roi en 1753[56], Yvetot en Normandie. Ledesvé d'Heudières, anobli en 1815, Normandie, ANF-1961[réf. nécessaire]. Le Dieu de Ville, extraction 1504, Champagne, ANF-1954[réf. nécessaire]. Le Duc de Lillers, secrétaire du roi en 1741, comte en 1810, Normandie, ANF-1981[réf. nécessaire]. Le Duchat d’Aubigny, anobli par de 1721, admission aux Écoles Royales Militaires le 9 octobre 1774[57], Champagne, ANF-1936 Famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire] Lefébure du Bus, anobli en 1711, Abbeville en Picardie[réf. nécessaire]. Le Febvre, Empire 1813, baron en 1867, Romorantin en Orléanais[réf. nécessaire]. Lefebvre de Gouy de Milly, extraction, maintenue en 1698[b 9][réf. non conforme] en faveur d'une branche éteinte au XIXe ; Conseillers au Conseil d'Artois, de vétérance du 16 janvier 1748[58] ; Saint-Omer en Artois[réf. nécessaire], ANF-2003[59]. Lefebvre de Laboulaye, anobli par charge de conseiller secrétaire du roi 1785-1790[b 10] ou noblesse inachevée[60],[61] sources non consensuelles sur l'anoblissement par charge de cette famille, Ile-de-France. Lefebvre de Ladonchamps, secrétaire du roi en 1633, Lorraine, ANF-1950[réf. nécessaire]. Lefebvre de Maurepas, ancienne extraction 1450, maintenue 1667, Champagne[Jougla 6] Lefebvre de Plinval et - de Plinval-Salgues, secrétaire du roi 1718-1733, Picardie, ANF-1936[62]. Le Febvre de Saint-Germain, extraction 1543, Lorraine, ANF-1951[réf. nécessaire]. Le Féron de Longcamp, secrétaire du roi 1602, maintenue 1668, confirmation de noblesse 1785, Normandie, ANF-2017[Jougla 7]. Lefèvre d'Ormesson, anoblissement par de 1553, marquis d'Ormesson par de mai 1758[63], Épinay-sur-Seine en Île-de-France, ANF-1947[réf. nécessaire]. Leffe de, extraction 1504, Berry, ANF-1963[réf. nécessaire]. Le Filleul des Guerrots, extraction 1522, Normandie, ANF-1981. Le Forestier du Buisson Sante-Marguerite, extraction 1538, admission dans la Maison royale de Saint Louis à Saint Cyr le 24 octobre 1736, Foucrainville en Normandie[réf. nécessaire], ANF-2001[64]. Le Forestier de Quillien, ancienne extraction 1481, Bretagne Finistère[LM 38], ANF-1962. Le Forestier de Vendeuvre, extraction chevaleresque 1371, comte en 1811, Normandie[réf. nécessaire]. Lefranc de Pompignan, extraction 1544, Quercy[réf. nécessaire]. Le François des Courtis de La Groye, ancienne extraction 1420, Poitou, ANF-1935[réf. nécessaire]. Le Gac de Lansalut, anobli en 1438, Bretagne[LM 39], ANF-1982. Le Gardeur de Tilly, anobli en 1510, Thury-Harcourt en Normandie[réf. nécessaire]. Le Gentil de Rosmorduc, ancienne extraction 1480, honneurs de la cour en 1787[26], Bretagne Cornouaille[LM 40], ANF-1946. Legge de Kerléan de, 1740, Angleterre, Bretagne, ANF-1937[réf. nécessaire]. Le Gonidec de Traissan, - de Kerhalic, et - de Penlan, ancienne extraction 1410, comte en 1819[LM 41], ANF-1944. Le Gouz de Saint-Seine, Chambre des comptes de Dijon 1554, Bourgogne, ANF-1949[réf. nécessaire]. Legrand de Mercey, Empire, baron en 1808, Bourgogne[réf. nécessaire]. Le Gras du Luart, grand conseil 1589[a 9], marquis en 1726, Maine. Le Grix de La Salle, Trésorier à bordeaux 1747, Guyenne, ANF-1974[réf. nécessaire]. Le Gualès de Mézaubran, extraction chevaleresque 1400, Bretagne[LM 42]. Le Guay, Empire, baron en 1810, Normandie, Anjou[réf. nécessaire]. Le Harivel de Gonneville, ancienne extraction, maintenue 1666, Normandie, ANF-1981[réf. nécessaire]. Lejeune, Empire, baron en 1810, Strasbourg en Alsace, ANF-2016[réf. nécessaire]. Le Jolis de Villiers et - de Saintignon, anoblissement par de 1595, Normandie, ANF-1973. Le Jumeau de Kergaradec, extraction 1547, Bretagne[LM 43], ANF-1991. Lelarge d'Ervau, anobli en 1633, Touraine, ANF-1972[réf. nécessaire]. Le Levreur et Le Levreur Barton, anobli en 1815, Normandie, Bretagne, ANF-1983[LM 44] Le Lou de La Biliais, Chambre des comptes de Bretagne, Bretagne, ANF-1971[65]. Le Maignan de Kerangat, ancienne extraction 1477, Bretagne, ANF-1938[réf. nécessaire]. Le Maire de Sars-Le-Comte, anobli en 1678, Artois[b 11]. Le Maistre d'Anstaing, anobli en 1724, Flandre[66][réf. à confirmer], ANF-1986 Le Marant de Kerdaniel, ancienne extraction 1481, Bretagne[LM 45], ANF-1979. Le Marchand de Guignard de Saint-Priest, Restauration, anobli en 1815, Le Havre en Normandie[réf. nécessaire][67], ANF-1965. Le Marois, Empire, comte en 1808 confirmé, Normandie, ANF-1951[réf. nécessaire]. Le Masson, Restauration, anobli en 1815, Normandie, Champagne, ANF-1965[réf. nécessaire]. Le Masson de Rancé, anobli en 1660, Lorraine, ANF-1940[réf. nécessaire]. Lemau de Talancé et - de Talancé de Sirvinges, secrétaire du roi en 1750, Lyonnais, ANF-1946[68]. Le Menuet de La Jugannière, Empire, baron en 1810, Saint-Lô, Normandie, ANF-2014[réf. nécessaire]. Le Mercier de Maisoncelle et - Vertille de Richemont, anobli en 1734, Bretagne, Guadeloupe[LM 46], ANF-1960. Le Mesre de Pas, secrétaire du roi 1781-1783, Flandre, Artois, ANF-1987[réf. nécessaire]. Le Mintier de La Motte-Basse et - de Léhélec, ancienne extraction 1440, Bretagne[LM 47], ANF-1937. Le Moyne de Sérigny, anobli en 1668, Dieppe en Normandie, Saintonge, Canada, ANF-1939[réf. nécessaire]. Lempereur de Guerny et - de Saint-Pierre, anobli en 1654, Normandie, ANF-1993[réf. nécessaire]. Lemps de, ancienne extraction, Dauphiné Vienne[b 12],[69], ANF-1968. Le Muet, ancienne extraction 1438, maintenue de noblesse le 20 juillet 1699, Nivernais, Gurgy en Bourgogne, ANF-2003[réf. nécessaire][70],[71]. Le Myre de Vilers, cour des comptes de Rouen 1768, Normandie et Île Bourbon, ANF-1963[réf. nécessaire]. Lencquesaing de, anobli en 1660, Artois, ANF-1949[réf. nécessaire]. Le Nepvou de Carfort, ancienne extraction 1469, Bretagne[LM 48], ANF-1961. Le Noir de Tournemine et - de Carlan, ancienne extraction, maintenue 1669, Bretagne, La Guadeloup[LM 49], ANF-2013[72]. Le Normand de Bretteville, ancienne extraction 1488, Normandie, ANF-1961[réf. nécessaire]. Le Normand de Flaghac, secrétaire du roi en 1745, baron en 1811, Paris, Riom en Auvergne[réf. nécessaire]. Le Normant de Lourmel du Hourmelin et - de La Villehelleuc, anobli en 1606, Bretagne[LM 50], ANF-1971. Lentaigne de Logivière de, secrétaire du roi en la chancellerie près le Parlement de Normandie 1781, mort en charge ; Normandie, ANF-1990[réf. nécessaire]. Léon des Ormeaux, ancienne extraction, maintenue 1669, Bretagne[LM 51]. Famille éteinte en ligne masculine. Léon de Tréverret, secrétaire du roi en 1702 et 1727, Bretagne Finistère[réf. nécessaire] ANF-1994 Léonard de Juvigny, extraction 1582, Normandie, ANF-1950[réf. nécessaire]. Le Paige de Dommartin, extraction 1585, ANF-1959[réf. nécessaire]. Le Pays du Teilleul, extraction, maintenue 1701, Bretagne, ANF-1947[réf. nécessaire]. Le Peletier de Rosanbo et - d'Aunay, conseil d'État 1624, comte d'Aunay en 1810, marquis de Rosanbo en 1822, honneurs de la cour en 1790[26], Maine, Paris, Bretagne, ANF-1952[73]. Le Pelletier de Glatigny et - de Woillemont, anobli en 1703, baron de Glatigny en 1817, Île-de-France, ANF-1954. Le Pelley du Manoir, comte en 1816, Normandie, ANF-1949[réf. nécessaire]. Le Pesant de Boisguilbert, Chambre des comptes de Rouen 1586, Rouen en Normandie[réf. nécessaire]. Lepic, Empire, baron en 1807 puis comte en 1818, confirmé en 1863 par Napoléon III, Languedoc Montpellier, ANF-1943[réf. nécessaire]. Lépinau de, Empire, chevalier en 1810, baron en 1817, Lorraine Toul, ANF-1968 titre sans anoblissement[réf. nécessaire]. L'Epine de, Empire 1813, baron en 1825, Prouzel en Picardie, Aix-la-Chapelle en Flandre[réf. nécessaire]. Le Prévost de La Moissonnière et Le Prévost de La Moissonnière-Cauvin, ancienne extraction, maintenue en 1667, Normandie[réf. nécessaire]. Le Provost de La Voltais, ancienne extraction 1453, Bretagne[LM 52]. Le Provost de Saint-Jean, ancienne extraction 1463, Normandie, ANF-1975[réf. nécessaire]. Le Rouge de Guerdavid, ancienne extraction 1568[74], Bretagne Finistère[réf. nécessaire], ANF-1948. Le Roux de Bretagne, anobli en 1775, Flandre, ANF-1962[réf. nécessaire]. Le Roy de La Tournelle, Restauration, anobli confirmé en 1821, baron en 1867, Bresse[b 13]. Le Saige de La Villèsbrunne, extraction 1519, maintenue 1669, Bretagne[LM 53], ANF-1946. L'Escale de, anobli en 1608, Bretagne[LM 54], ANF-1983. L'Escalopier de, échevin de Paris 1553, Paris[réf. nécessaire]. Lescure de, extraction, maintenue 1773, Gévaudan, ANF-1934[réf. nécessaire]. Le Sellier de Chézelles, Parlement de Metz 1729-1762, Picardie, ANF-1952[réf. nécessaire]. Le Sens de Morsan, anobli en 1445 par le Roi d'Angleterre, confirmé en 1470 aux francs-fiefs, Normandie Caen[75] famille éteinte. Le Sergeant d'Hendecourt-Gontreuil, anobli en 1614, Artois, ANF-1948[réf. nécessaire]. Lesguern de, ancienne extraction 1447, Bretagne[LM 55]. Lesparda de, secrétaire du roi en 1775, baron en 1810, Départ-Orthez en Béarn[réf. nécessaire]. L'Espée de, anobli 1595, Lorraine, Anjou[d 31], ANF-1951. Lespinay de Pancy de, ancienne extraction 1420, Beauvaisis, Bretagne[LM 56], ANF-1992. Lespinay de et L'Espinay de, ancienne extraction 1429, Poitou, Bretagne, ANF-1946[réf. nécessaire]. Lesquen du Plessis-Casso de, extraction chevaleresque 1346, honneurs de la cour en 1766[26], Bretagne[LM 57], ANF-1934. Lestang de, extraction, Angoumois[réf. nécessaire], ANF-1968[76]. Lestang Laisné de, maintenue en 1716, Rouergue, ANF-1993[réf. nécessaire]. Lestang de Ringère de, extraction chevaleresque 1396, maintenue 1715, Poitou[réf. nécessaire], ANF-1973[77]. Lestang-Parade de olim Parade, anobli par inféodation le 3 juillet 1389, maintenue noble 1667, Provence, ANF-1987[réf. nécessaire]. L'Estang du Rusquec de, ancienne extraction 1420, Bretagne, ANF-1951[réf. nécessaire]. L'Estoile de, extraction 1575, Anjou[LM 58], ANF-1985. L'Estourbeillon de, extraction chevaleresque 1381, Bretagne[LM 59], ANF-1978. Lestrade de Conty de alias - de Conti, extraction 1543, Périgord, ANF-1957[réf. nécessaire]. Lestrange de, extraction chevaleresque 1351, baron de l'Empire par décret du 2 janvier 1814, Magnat-l'Étrange en Marche, ANF-1938[réf. nécessaire]. Le Sueur de Givry, anobli en 1721, Champagne, ANF-1949[réf. nécessaire]. Le Thoillier de Guillebon et de Guillebon, extraction 1528, maintenue en 1666[78], Picardie, ANF-1955. Le Tonnelier de Breteuil, secrétaire du roi en 1572, baron en 1810, honneurs de la cour en 1753[26], Beauvaisis, Île-de-France, ANF-1969. Le Tourneux de La Perraudière, anobli en 1769, Anjou[a 10], ANF-2019. Le Touzé de Longuemar, anoblissement par de 1410, maintenue par Monfault en 1464 et par Guy Chamillart en 1666[79], Normandie, ANF-1934[réf. nécessaire]. Leusse de, extraction chevaleresque 1349, Dauphiné, ANF-1938[réf. nécessaire]. Le Vaillant de Chaudenay, extraction 1505, Berry, Touraine, ANF-1949[réf. nécessaire]. Le Vaillant du Douët de Graville, extraction 1516, Normandie[réf. nécessaire]. Le Vert, secrétaire du roi 1738-1739, baron en 1817 pour un maire de Vesoul sans postérité mâle, Franche-Comté, ANF-1992[réf. nécessaire]. Lévezou de Vézins de, extraction chevaleresque 1264, Vézins-de-Lévézou en Rouergue, ANF-1935[réf. nécessaire]. Le Viconte de Blangy, extraction chevaleresque 1367, marquis en 1864, Normandie, ANF-1987[réf. nécessaire]. Lévis de, de Lévis-Mirepoix, et - de Robech, extraction chevaleresque 1180, honneurs de la cour, baron en 1828, Île-de-France, Languedoc, ANF-1934[réf. nécessaire]. L'Hermite de , ancienne extraction, maintenue noble en 1697 sur titres de 1442, Marche, ANF-1950[réf. nécessaire]. L'Hermuzière de, extraction 1520, Lafarre et Villeneuve-de-Berg en Vivarais[réf. nécessaire]. Libault de La Chevasnerie, échevin de Nantes en 1655, Bretagne[LM 60], ANF-1947. Lichy de Lichy de, ancienne extraction 1457, Nivernais, ANF-1989[réf. nécessaire][80]. Ligier de Laprade, anobli en 1817, Auvergne, ANF-1966[réf. nécessaire]. Lignaud de Lussac de, extraction chevaleresque 1397, maintenue de noblesse par Tubeuf le 17 septembre 1669[81], honneurs de la cour 1788[82], Lussac-les-Églises en Marche, ANF-1968[réf. nécessaire]. Ligneris des, ancienne extraction 1430, marquis en 1776, Vendômois, ANF-1970[réf. nécessaire]. Lignières de, extraction 1506, Picardie[LM 61], ANF-1952. Ligniville de, extraction chevaleresque 1172, honneurs de la cour en 1780[26], Lorraine, ANF-1977. Ligondès de, extraction chevaleresque 1374, Auvergne, ANF-1936[83]. Limairac de, capitoul de Toulouse en 1724, Toulouse[b 14]. Lingua de Saint Blanquat de, extraction 1604, Comté de Foix, Couserans, ANF-1967[84]. Liniers de, extraction chevaleresque 1392, marquis en 1862, honneurs de la cour, Saint-Pompain en Poitou[réf. nécessaire]. Liot de Nortbécourt, anobli confirmé en 1695, Saint-Omer en Artois[réf. nécessaire]. Lisle du Dréneuc de, ancienne extraction, maintenue 1668, Bretagne[LM 62]. Lisleferme de olim Nicolas de Lisleferme, maire de La Rochelle 1518, Aunis, Saintonge, Bordeaux[Jougla 8]. Livron de, extraction chevaleresque 1393, Angoumois, ANF-1944[réf. nécessaire]. Llamby de alias Llambi, bourgeois honoré de Perpignan en 1699[85], Roussillon. Cette famille semble éteinte ? Loisson de Guinaumont, Trésorier à Châlons en 1627, Mairy en Champagne[réf. nécessaire]. Lombard de Buffières de Rambuteau de, Restauration, baron en 1830, comte en 1863, Rambuteau par adoption de 1911 pour une branche, Lyon[LM 63], ANF-1969. Lombard de Montchalin de, maintenue en 1669, Bresse, ANF-1983[réf. nécessaire]. Longeaux de et - Brunet du Guillier, anobli en 1698, Barrois, Lorraine, ANF-1948[86]. Longueau Saint-Michel de, ancienne extraction 1480, maintenu le 26 janvier 1702[87], Gâtinais, Orléanais, ANF-2010[88]. Loppin de Montmort, Chambre des comptes de Dijon en 1585, comte en 1826, Bourgogne, ANF-1944[réf. nécessaire]. Lorenchet de Montjamont, secrétaire du roi en 1724, Bourgogne, ANF-1957[réf. nécessaire]. Lorgeril de, extraction 1530, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne Côtes-d'Armor[b 15], ANF-1933. L'Orne d'Alincourt alias Lorne d'Alincourt, secrétaire du roi en 1728, Béthune en Artois[réf. nécessaire]. Loth de, secrétaire du roi en 1707, Manosque, Provence[réf. nécessaire]. Loubens de Verdalle et - Le Groïng de La Romagère, extraction chevaleresque 1287, honneurs de la cour en 1773[26], Languedoc, ANF-1938. Louvel-Lupel de, olim de Louvel[89], extraction[90] 1546, reconnue noble par arrêt du parlement du 9 mars 1555[91], maintenue noble en 1699 sur preuves de 1546[Jougla 9], Picardie. Louvencourt de, anobli maintenue en 1666, marquis en 1825, Picardie, ANF-1975[réf. nécessaire]. Louvigny de, ancienne extraction 1429, Normandie, ANF-1985[réf. nécessaire]. Loynes d'Autroche de, Loynes d'Estrée de, et Loynes de Fumichon de, deux trésoriers de France successifs à Orléans en 1670, Orléans[b 15], ANF-1958. Loyré d'Arbouville, anobli en 1817, Orléanais, ANF-1933.Famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Loze de Plaisance de, extraction 1554, Agenais, ANF-1973[réf. nécessaire]. Lubersac de, extraction chevaleresque 1267, honneurs de la cour 1751 1766 et 1785[92], Lubersac en Limousin, ANF-1937. Lucas de Couville, extraction, Couville en Normandie, ANF-1951[réf. nécessaire]. Lucy de Fossarieu de, confirmé relief en 1757[a 11], Normandie, Martinique, ANF-1987. Luppé de, extraction chevalereque 1380, honneurs de la cour en 1758[26], Armagnac, ANF-1933. Lurion de L'Egouthail de, maintenue en 1781, Sainte-Honorine-du-Fay en Normandie, Buffard en Franche-Comté[réf. nécessaire]. Lur-Saluces de, ancienne extraction 1472, comte en 1810, honneurs de la cour en 1760[26], Guyenne, ANF-1937. Lustrac de, anobli légitimation en 1514, baron en 1811, Gascogne, ANF-1936[réf. nécessaire]. Luzy de Pélissac de, extraction chevaleresque 1340, Forez, ANF-1962[réf. nécessaire]. Lyée de Belleau de, ancienne extraction 1426, Argentan en Normandie famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Lyons des et - de Feuchin, anobli en 1634, Artois[93][réf. à confirmer]. Lyrot de, extraction 1543, Anjou, Bretagne[LM 64]. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z M Mabille du Chêne, - du Chesne, et - de La Paumelière, extraction 1500, Anjou, ANF-1957[Jougla 10]. Macé de Gastines et - de Dommaigné[94], secrétaire du roi en 1578, maintenue 1774, Touraine, ANF-1944[Jougla 11]. Macé de La Rochemacé, maire de Nantes 1662[95], maintenue en 1669, Bretagne[Jougla 12] Mac Mahon de, extraction 1564 Irlande, naturalisation 1750, duc de Magenta en 1859, Bourgogne[Jougla 13],[LM 65]. Machard de Chillaz de, ancienne extraction 1491, Savoie[Foras 6], ANF-1959. Madaillan de Montataire de, lettres de relief 1659, maintenue en 1667[Jougla 14] contesté par G. du Mas des Bourboux, réanoblie par la charge de conseiller secrétaire du roi avant 1683[96], Guyenne, Périgord[b 16], ANF-1976. Madre de, anobli en 1778, comte en 1860, Flandre[réf. nécessaire].. Magnien de Magnienville de, anobli en 1567, Lorraine, ANF-1937[réf. nécessaire]. Magon de La Giclais de, anobli en 1695, Bretagne[Jougla 15],[LM 66], ANF-1964. Magon de Saint-Elier de, - de La Villehuchet, et - de La Vieuville, secrétaire du roi vers 1670, Bretagne[LM 67], ANF-1964. Mahé de Berdouaré, extraction 1557, maintenue en 1669, Bretagne Finistère[Jougla 16],[LM 68] Mahuet de, extraction 1599, baron du Saint-Empire 1676, Lorraine[Jougla 17]. Maigre de La Motte, Chambre des comptes de Grenoble 1759-1789, Dauphiné[Jougla 18], ANF-1990. Maigret de, Second Empire, comte en 1861, Lorraine[b 17], ANF-1952. Maillard de, - de La Combe, et - Taillefer, ancienne extraction 1486, maintenue en 1668, Périgord[Jougla 19], ANF-1993. Maillé de La Tour-Landry de, extraction chevaleresque 1069, honneurs de la cour, duc en 1784, Touraine, Anjou[Jougla 20], ANF-1936. Mailly-Nesle de, extraction chevaleresque 1050, honneurs de la cour, Picardie, ANF-1951[réf. nécessaire]. Maintenant de, ancienne extraction 1441, Picardie Plainval, puis Gondreville Oise. Maistre de, sénateur de Savoie 1740, comte en 1778, Savoie[Jougla 21],[Foras 7], ANF-1942. Maistre de, baron de Vaujours 1763, Languedoc, Ile-de-France[Jougla 22],[b 17],[97], ANF-1940. Majou de La Débutrie, anobli en 1817, Poitou, ANF-1966[réf. nécessaire]. Malafosse de, anobli en 1818, Languedoc[réf. nécessaire]. Maleprade de, anobli en 1817, Agenais[réf. nécessaire]. Malestroit de Bruc de Montplaisir de, extraction 1538, maintenue en 1671, Bretagne[LM 69], ANF-1954. Malet de, charge inachevée au XVIIIe siècle, Empire, baron en 1809 confirmé en 1816, Périgord, ANF-1963[réf. nécessaire]. Malet de Coupigny de, extraction chevaleresque 1342, comte en 1765, honneurs de la cour, Flandre[réf. nécessaire]. Malet de La Jorie et Roquefort, extraction chevaleresque 1375, honneurs de la cour, Périgord, ANF-1977 rattachement non prouvé à l'ancienne maison normande Malet de Graville dont ils portent les armes[b 17]. Maleville de, Empire, baron en 1808, comte en 1810, Périgord, ANF-1981[réf. nécessaire]. Malglaive de, Restauration, anobli en 1815, Lorraine, ANF-2016[réf. nécessaire]. Malherbe de de Poillé, ancienne extraction 1469, maintenue en 1666 à Caen et Orléans[98], Normandie, Maine, ANF-2000. Malherbe de, ancienne extraction 1435, maintenue en 1666 à Caen, Alençon, et Rouen[98], Normandie, Bretagne. Mallard de La Varende, extraction 1504, baron Agis en 1851 sur réversion d'un titre de 1810, Normandie Verneuil, ANF-1944[réf. nécessaire]. Mallet, Empire, baron 1810 confirmé baron de Chalmassy en 1815, Normandie[réf. nécessaire]. Mallet de Chauny, anobli en 1815, Artois[99]. Mallevoüe de, extraction 1545, Normandie, ANF-1996 famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Malzamet de Saint-Andéol de, anobli maintenue en 1788, Comtat Venaissin, Vivarais[réf. nécessaire]. Mandat-Grancey de, secrétaire du roi 1572, comte en 1861, Bourgogne, ANF-1958[réf. nécessaire]. Mangin d'Ouince, ancienne extraction 1440, Berry, Poitou, ANF-1959[réf. nécessaire]. Manheulle de, maintenue en 1667, Lorraine, ANF-1984[réf. nécessaire]. Manneville de, secrétaire du roi 1738, Boulonnais, Anjou[réf. nécessaire]. Manoël-Saumane du, extraction 1558, Lasalle en Languedoc, Marseille en Provence. Marcassus de Puymaurin, capitoul de Toulouse 1721, baron de Puymaurin en 1754[100], Moissac en Quercy. Marcé des Louppes de, ancienne extraction 1460, maintenue en 1669[101], Anjou, Touraine, ANF-1956. Marcelier de Caujac de, parlement de Toulouse 1709, baron en 1868, Languedoc[réf. nécessaire]. Mares de Trebons des, ancienne extraction 1415, honneurs de la cour, Normandie, ANF-1985[réf. nécessaire]. Mareschal de, ancienne extraction, Bourbonnais, ANF-1948[réf. nécessaire]. Mareschal de Bièvre, anobli en 1707, Ile-de-France, ANF-1993[réf. nécessaire]. Mareschal de Charentenay de, anobli relief en 1642, Franche-Comté, ANF-1937[réf. nécessaire]. Mareschal de Longeville de La Rodde, extraction 1525, Dole en Franche-Comté[réf. nécessaire]. Mareschal de Luciane de, ancienne extraction 1457, Savoie[Foras 8], ANF-1954 famille éteinte en ligne masculine. Marguerye de, extraction 1533, Normandie, ANF-1953[réf. nécessaire]. Marin de Carranrais de, ancienne extraction 1496[b 18], ou agrégation 1534 se reporter à la source, pages 410 à 411[102],[38], Provence La Valette-du-Var. Marin-Dubuard, Empire, baron en 1811, ANF-1959[réf. nécessaire]. Marin de Montmarin de, secrétaire du roi 1632-1652, Bourgogne, Vendômois, ANF-1938[réf. nécessaire]. Marion, Empire, baron en 1810, Charmes en Lorraine[réf. nécessaire]. Marion-Brézillac de, extraction 1578, Languedoc, ANF-1938[réf. nécessaire]. Marion de Glatigny de, anobli en 1713, Lorraine, ANF-1994[réf. nécessaire]. Marliave de, extraction 1542, Languedoc, ANF-1958[réf. nécessaire]. Marmiesse de Lussan de, capitoul de Toulouse 1614, Languedoc[b 18], ANF-1983. Marqué de, Restauration, anobli en 1818, Languedoc, ANF-1994[réf. nécessaire]. Marraud des Grottes, anobli en 1788, Martinique, ANF-1972[réf. nécessaire]. Marrier d'Unienville, cour des monnaies de Paris 1703, Paris, Ile Maurice. Martel de, extraction 1504, Normandie, Poitou[LM 70], ANF-1937. Martène de, anobli en 1782, Bourgogne, ANF-1986. Martimprey de, anobli en 1614, reconnu noble en 1685, comte héréditaire le 1er août 1870, régularisé le 21 mai 1874, Lorraine[Jougla 23],[103], ANF-1937. Martin d'Ayguesvives, capitoul de Toulouse 1717, Albigeois Gaillac[b 19]. Martin de Baudinière, anobli en 1819, Bretagne[LM 71], ANF-1993. Martin de Boudard, docteur en droit d'Avignon 1760, Comtat Venaissin Barbentane[Jougla 24]. Martin de Compreignac, certificat de noblesse de B. Chérin pour l'obtention d'une sous-lieutenance 1784[104], Limousin Nantiat, ANF-1981. Martin de La Bastide d'Hust, trésorier de Limoges 1689, baron en 1810, Limousin, ANF-1945[réf. nécessaire]. Martin de Lagarde, Empire, baron en 1808, confirmé en 1816, Bas-Languedoc Lodève, ANF-1994[réf. nécessaire]. Martin de Marolles, extraction 1560, Les Grands-Chézeaux en Limousin, Berry[réf. nécessaire]. Martin de Montaudry, extraction 1585, maintenue en 1669, Bretagne, ANF-1976[réf. nécessaire]. Martin du Nord, Monarchie de Juillet, comte en 1847, Flandre, ANF-1961[réf. nécessaire]. Martin du Tyrac de Marcellus de, trésorier à Bordeaux 1591, baron en 1824, Bordeaux en Guyenne, ANF-1975[réf. nécessaire]. Martin de Vauxmoret, chambre des comptes de Paris 1758, Paris, ANF-1993[réf. nécessaire]. Martin de Viviès de, extraction 1568, maintenue en 1668, Castres en Languedoc, ANF-1968[Jougla 25]. Martinet, secrétaire du roi 1749-1760, Boulonnais, ANF-1989[réf. nécessaire]. Martrin-Donos de, ancienne extraction 1480, maintenue en 1668[105], Martrin en Camarès en Rouergue, ANF-1940. Mas des Bourboux du et du Mas de Paysac[106], ancienne extraction[107], lettres de relief de dérogeance en 1597[108], maintenue en 1647 par la Cour des Aides de Bordeaux[b 19], Périgord[109], ANF-2004. Mascureau de, extraction 1511, Poitou, ANF-1957[réf. nécessaire]. Masin de, capitoul de Toulouse 1705, Languedoc, Nivernais, ANF-1945[réf. nécessaire]. Massacré de, extraction 1539, Périgord[réf. nécessaire]. Massary de, anobli en 1705, Italie, Picardie, ANF-1933[réf. nécessaire]. Masséna, Empire, duc de Rivoli en 1808, prince d'Essling en 1810, Nice[réf. nécessaire]. Massia de, bourgeois honoré de Perpignan, Roussillon[réf. nécessaire]. Massia de Ranchin de, capitoul de Toulouse 1709, Languedoc [b 20],ANF-2019. Massias et - Jurien de La Gravière, Empire, baron en 1814, Agenais[réf. nécessaire]. Massol de Rebetz de, chambre des comptes de Bourgogne Dijon 1706, Bourgogne, ANF-1948[réf. nécessaire]. Masson d'Autume de, extraction 1540, marquis en 1751, Franche-Comté, ANF-1989[réf. nécessaire]. Mathan de, extraction chevaleresque 1341, marquis en 1736, Normandie, ANF-1952[réf. nécessaire]. Matharel de, secrétaire du roi 1621-1653[110], Auvergne, ANF-1984. Mathieu de Vienne, charge inachevée au XVIIIe siècle, Restauration, anobli en 1815, Champagne Sainte-Menehould, ANF-1948[réf. nécessaire]. Matis, Restauration, chevalier en 1826[111], Lorraine Thionville sources non consensuelles. Maublanc de Boisboucher de, secrétaire du roi 1770-1780 mort en charge, Poitou Noirmoutier, Nantes[réf. nécessaire]. Maublanc de Chiseuil, secrétaire du roi 1719-1739, baron en 1813, Bourgogne Digoin[réf. nécessaire]. Maudet de Penhouët, ancienne extraction 1480, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne Caden[b 20], ANF-2001. Maud'huy de, anobli confirmé en 1755, Lorraine[réf. nécessaire]. Mauduit de Carentonne de, anobli en 1622, maintenue en 1697, Basse-Normandie[Jougla 26]. Mauduit du Plessix de et Mauduit de, secrétaire du roi 1726-1729[b 20], Bretagne Hennebont, ANF-1977[LM 72]. Mauléon de Bruyères de et Mauléon Narbonne de Nébias de, extraction chevaleresque 1343, Languedoc, ANF-1938[réf. nécessaire]. Maulmont de, extraction chevaleresque 1308, Limousin Saint-Vitte-sur-Briance[réf. nécessaire]. Maumigny de, ancienne extraction 1473, Nivernais, ANF-1954[réf. nécessaire]. Maupeou d'Ableiges de, anobli en 1586, comte en 1691, honneurs de la cour[112], Paris, ANF-1942[réf. nécessaire]. Maupoint de Vandeul, Empire, baron en 1809, Lille[réf. nécessaire]. Maurès de Malartic de, dispense du marc d'or 1775, Armagnac, Aunis[b 21]. Maurin de Brignac, chambre des comptes de Languedoc Montpellier 1747, Nézignan-l'Évêque en Languedoc principe de noblesse à vérifier[réf. nécessaire]. Mauroy de, secrétaire du roi 1776-1790, confirmé en 1825, Troyes[b 21], ANF-1966. Maury de Lapeyrouse-Vaucresson, extraction 1539, maintenue en 1671, Languedoc, ANF-1978[réf. nécessaire]. Maussion de Candé de, secrétaire du roi 1704-1724, Maine, ANF-1948[réf. nécessaire]. Maximy de, anobli relief en 1654, Barraux en Dauphiné[b 21]. May de Termont de, extraction 1536, Bourbonnais[b 21]. Maynard et - de La Claye de, ancienne extraction 1401, honneurs de la cour, Poitou, ANF-1964[réf. nécessaire]. Mazenod de, échevin de Lyon 1659[113], Saint-Chamond en Forez, Brie, Provence, ANF-1945. Mazis des, ancienne extraction 1445, maintenue en 1701 à Dreux[114], Pays de Liège, Orléanais, Ile-de-Frace, ANF-1935[réf. nécessaire]. Meaudre, - des Gouttes, et - de Sugny, secrétaire du roi 1764-1788, Forez, ANF-1934[réf. nécessaire]. Meaulne de, ancienne extraction 1477, Anjou, Touraine[b 21]. Meaux de, échevin de Paris 1663, Paris[réf. nécessaire]. Meaux de, secrétaire du roi 1704-1709, Forez, ANF-1935[réf. nécessaire]. Mecquenem et Meckenheim d'Artaise de, extraction 1530, Cologne, Champagne, ANF-1938[réf. nécessaire]. Médrano de, extraction 1550, maintenue en 1697, Navarre, Armagnac[Jougla 27]. Mégret de Serilly d'Étigny, secrétaire du roi 1713, Picardie, ANF-1986[réf. nécessaire]. Méhérenc de Saint-Pierre de, extraction chevaleresque 1372, honneurs de la cour, Normandie, Bretagne[LM 73], ANF-1942. Mellis de, capitoul de Toulouse 1773, Toulouse, ANF-1978[réf. nécessaire]. Mellon de, ancienne extraction 1480, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne[b 22], ANF-1964. Ménard de Couvrigny, chambre des comptes de Normandie à Rouen 1731, Normandie, ANF-1979[réf. nécessaire]. Menche de Loisne, anobli en 1697, Artois[b 22], ANF-1938 anoblissement révoqué en 1715, principe de noblesse à démontrer. Méneval de, Empire, baron en 1810, Ile-de-France, ANF-1957[réf. nécessaire]. Mengin Fondragon de, anobli en 1540, reconnu noble en 1658, Lorraine[Jougla 28], ANF-1938. Menou de, extraction chevaleresque 1272, honneurs de la cour, Perche, Berry[b 22], ANF-1939. Mensdorff-Pouilly de, extraction chevaleresque 1397, Lorraine, ANF-1968[réf. nécessaire]. Menthon et - d'Aviernoz de, extraction chevaleresque 1219, Savoie[Foras 9], ANF-1979. Menu de Ménil, Empire, baron en 1813, Flandre[réf. nécessaire]. Mercier, Empire, baron en 1811, Normandie, ANF-1977[réf. nécessaire]. Mercier du Paty de Clam, anobli en 1526, Aunis, Saintonge[b 22],[115], ANF-1970. Mercoyrol de Beaulieu, maréchal de camp 1784, Vivarais, ANF-1989[réf. nécessaire]. Méric de Bellefon de, extraction 1531, maintenue en 1671, Guyenne, Lyonnais, ANF-1983[réf. nécessaire]. Méritens de, extraction 1539, maintenue en 1666, Béarn Navarrenx[réf. nécessaire]. Merle du, extraction chevaleresque 1302, honneurs de la cour, Normandie Orne[Jougla 29],[b 22], ANF-1938. Merle du Bourg, secrétaire du roi 1783-1790, Forez[b 23], ANF-1981. Merlin d'Estreux de Beaugrenier, conseiller au parlement de Flandres à Douai 1750, Hainaut Valenciennes, ANF-1944[réf. nécessaire]. Merode de, extraction chevaleresque 1295, prince du Saint-Empire en Belgique, comte de l'Empire en 1809, Allemagne, Belgique, France, ANF-1975[réf. nécessaire]. Mérot du Barré, secrétaire du roi 1736-1749, Bretagne Nantes[b 23]. Mesnaud de Saint-Paul, échevin d'Angoulême 1659-1661, Angoumois[b 23], ANF-1974. Mesnil du, extraction 1537, Normandie[réf. nécessaire]. Mesnil-Adelée du, ancienne extraction 1463, maintenue en 1666, Normandie Coutances, ANF-1995[réf. nécessaire]. Mesnildot du, ancienne extraction 1487, Normandie, ANF-1942[réf. nécessaire]. Messey de, noblesse 1574, maintenue en 1669, marquis en 1705, honneurs de la cour, Bourgogne[LM 74], ANF-1951. Metz et Metz-Noblat de, maintenue par la chambre des comptes de Lorraine en 1788[116],[117], baron en 1810, confirmé en 1816[b 23], Lorraine, ANF-1983. Mézamat de L'Isle de, maintenue en 1784[b 23][réf. à confirmer], Languedoc[b 23],[118],[Jougla 30], ANF-1980. Michaud, baron en 1846, Savoie[Foras 10], ANF-1959. Michel d'Annoville, ancienne extraction 1350[b 23], maintenue en 1598 et 1667, Normandie Cotentin, ANF-1939[119]. Michel de Grilleau, maintenue en 1786, Bretagne famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Michel du Roc de Brion de, cour des aides de Montauban 1654, marquis en 1756, Gévaudan, ANF-1943[réf. nécessaire]. Michel de Roissy, secrétaire du roi 1728, Ile-de-France, ANF-1956[réf. nécessaire]. Michel de Trétaigne, Restauration, baron en 1828, Bourbonnais, ANF-1998[réf. nécessaire]. Michet de Varine-Bohan, conseiller maitre des requêtes au parlement de Dombes 1740-1760, Bohan par décrets de 1913 et 1914, Lyonnais, ANF-1991[réf. nécessaire]. Michon-Coster, Restauration, anobli en 1827, baron en 1870 sur réversion d'un titre de 1827, Champagne Ardennes, ANF-1956. Michon du Marais, Second Empire, baron en 1869, Forez Roanne[réf. nécessaire]. Micolon de Guérines, secrétaire du roi 1736-1742, Auvergne Ambert, ANF-1987[réf. nécessaire]. Mieulet de Ricaumont de, capitoul de Toulouse 1684[Jougla 31],[120], Toulouse, ANF-1953. Mieulle et - d'Estornez d'Angosse de, Restauration, anobli en 1816, Provence Sisteron, Anjou, ANF-1943[réf. nécessaire]. Milhé de Saint-Victor de, secrétaire du roi en la CCAF de Montpellier 1753-1761, Languedoc Béziers, ANF-1989[réf. nécessaire]. Milliet de Faverges, anobli en 1581, marquis en 1644, Savoie[Foras 11], ANF-1948. Miniac de, anobli en 1699, Bretagne Dol-de-Bretagne[b 24] Miollis de, anobli en 1770, baron en 1820, Provence Villecroze[b 24], ANF-1948. Miorcec de Kerdanet, Restauration, anobli en 1814, Bretagne Finistère[b 24]. Mirieu de Labarre, secrétaire du roi 1788-1790, Guyenne Bordeaux, ANF-1977[réf. nécessaire]. Mirman de, ancienne extraction 1491, Languedoc[b 24]. Miscault de, anobli en 1669, Lorraine, ANF-1978[réf. nécessaire]. Mitry de, ancienne extraction 1426, Lorraine, ANF-1962[réf. nécessaire]. Moisson de Vaux, secrétaire du roi 1737, baron en 1811, Normandie, ANF-2015[réf. nécessaire]. Molette de Morangiès de, ancienne extraction 1481, maintenue en 1666, honneurs de la cour, Gévaudan, Auvergne Brioude[b 25], ANF-2005 famille éteinte en ligne masculine. Monceau de Bergendal du, Empire, comte en 1810, confirmé en 1820, Bruxelles, ANF-1975[réf. nécessaire]. Monchy de, Empire, chevalier en 1808, confirmé en 1814, Ile-de-France Compiègne, ANF-1942[réf. nécessaire]. Moncuit de Boiscuillé de, Empire, baron en 1813, confirmé en 1820, Normandie Saint-Lô, ANF-1947[LM 75]. Mondenard de Monié de, extraction, maintenue en 1668, Guyenne, ANF-1979[réf. nécessaire]. Monicault de, Restauration, anobli en 1816, Lyonnais, Berry, ANF-1946[réf. nécessaire]. Monléon de, anobli en 1643, Italie, Provence, ANF-1995[réf. nécessaire]. Mons et - de Carantilly de, extraction chevaleresque 1375, Normandie, ANF-1944[réf. nécessaire]. Monseignat de, anobli par charge de conseiller secrétaire du roi en la grande chancellerie 1782-1790[b 25] ou noblesse inachevée[121] sources non consensuelles sur l'anoblissement par charge de cette famille, Rouergue. Monspey de, extraction chevaleresque 1383, marquis de Vallières en 1689, Bresse, Beaujolais[b 25], ANF-1940. Monstiers de Mérinville des, extraction chevaleresque 1379, honneurs de la cour, Poitou, ANF-1955[réf. nécessaire]. Montagnac de, Second Empire, baron en 1869, Dauphiné, Lorraine[réf. nécessaire]. Montagu de, conseiller-maitre en la Cour des comptes de Dôle 1698, Bourgogne, ANF-2009[122][réf. nécessaire]. Montaignac de Chauvance de, extraction chevaleresque 1398, honneurs de la cour, Limousin, ANF-1984[réf. nécessaire]. Montaigne de Poncins de, parlement de Dombes 1696-1721, Forez, ANF-1975[réf. nécessaire]. Montaigu de, ancienne extraction 1438, honneurs de la cour, Bretagne[réf. nécessaire]. Montalembert et - de Cers de, extraction chevaleresque 1317, honneurs de la cour, Poitou, ANF-1945[réf. nécessaire]. Montangon de, extraction 1503, Champagne[réf. nécessaire]. Montanier de Belmont, secrétaitre du roi au XVIe siècle, Bugey, ANF-1938[réf. nécessaire]. Montarby de, ancienne extraction 1460, Champagne, ANF-1934[réf. nécessaire]. Montard de, reconnaissance de noblesse 1777 par la Cour des Aydes et Finances de Bordeaux, Guyenne Marmande, ANF-2007[123][réf. nécessaire]. Montardy de La Palurie de, anobli en 1777, Périgord, ANF-1984[réf. nécessaire]. Montaudoüin de, secrétaire du roi 1750, Nantes, ANF-1955[réf. nécessaire]. Montault de, extraction chevaleresque 1352, honneurs de la cour, Armagnac, ANF-1988[réf. nécessaire]. Montbrun de, Empire, comte en 1809, Languedoc Aude, ANF-1972[réf. nécessaire]. Montcornet de Caumont de, extraction 1559, Picardie, Lorraine[réf. nécessaire]. Montecler de, extraction chevaleresque 1380, marquis en 1616, honneurs de la cour, Maine, ANF-1940. Monteil de, anobli en 1656, Périgord, ANF-1970[réf. nécessaire]. Montesquiou-Fezensac de, extraction chevaleresque, honneurs de la cour, Armagnac, ANF-1959[réf. nécessaire]. Montesson de, ancienne extraction 1415, Maine, ANF-1952[réf. nécessaire]. Monteynard de, ancienne extraction 1415, marquis de Montfrin en 1652, honneurs de la cour, Dauphiné, ANF-1934[réf. nécessaire]. Montfort de, extraction, maintenue au Conseil d'État en 1672, Bretagne Côtes-d'Armor, ANF-1962[réf. nécessaire]. Montfort de, ancienne extraction 1459, vicomte en 1860, Normandie[réf. nécessaire]. Montgolfier de, anobli en 1783, Vivarais, ANF-1956[réf. nécessaire]. Montgrand de, secrétaire du roi 1706, Vivarais, Provence, ANF-1946[réf. nécessaire]. Montheil de Septfons, extraction 1554, Rouergue, ANF-1980[réf. nécessaire]. Monti de Rezé de, 1569 anobli, maintenue en 1669 à Rennes, Toscane, Bretagne Nantes[b 26], ANF-1944. Montillet de Grenaud de, ancienne extraction 1479, maintenue en 1700, Bugey[b 26], ANF-1967. Montmorillon de, extraction 1508, Bourgogne, ANF-1953[réf. nécessaire]. Montozon de de Léguilhac, extraction 1558, Périgord[réf. nécessaire]. Montrichard de, extraction chevaleresque 1285, honneurs de la cour, Franche-Comté, ANF-1937[réf. nécessaire]. Montrognon de Salvert de, ancienne extraction 1496, honneurs de la cour, Auvergne, ANF-1959v. Montrond de, ancienne extraction 1459, Vivarais, Dauphiné, ANF-1946[réf. nécessaire]. Monts de Savasse de, ancienne extraction 1471, Dauphiné, Bigorre, ANF-1987[réf. nécessaire]. Morand, Empire, comte en 1808, Franche-Comté, ANF-1938[Jougla 32]. Morand de Confignon de, anobli en 1785, Savoie, ANF-1967[Jougla 33],[Foras 12]. Morant de, anobli en 1590, maintenue en 1666, honneurs de la cour, Haute-Normandie, Bretagne, ANF-1996[Jougla 34]. Moras de, ancienne extraction, 1565, Naples, Limousin, ANF-1981[réf. nécessaire]. Mordant de Massiac de, chambre des comptes de Normandie à Rouen 1736, Haute-Normandie[réf. nécessaire]. Moréal de Brévans, extraction 1599, Franche-Comté, ANF-1962[réf. nécessaire]. Moreau de La Rochette, anobli en 1768, Ile-de-France[réf. nécessaire]. Moreau de Lizoreux, Restauration, anobli en 1819, Bretagne, ANF-1960[réf. nécessaire]. Moreau de Montcheuil et - de Saint-Martin, trésorier à Poitiers 1743, Poitou, ANF-1938[réf. nécessaire]. Morel de, anobli en 1643, Normandie, ANF-1983[réf. nécessaire]. Morel de Foucaucourt et - de Boncourt, extraction 1521, Picardie, ANF-1991. Morel de Lacolombe et - de Lachapelle d'Apcher, extraction chevaleresque 1390, maintenue en 1669, Auvergne, Languedoc, ANF-1993[124][réf. à confirmer]. Morel de Villiers, deux trésoriers à Dijon 1743 et 1755, Champagne, Bourgogne, ANF-1958[réf. nécessaire]. Morell d'Aubigny d'Assy de, ancienne extraction 1480, Normandie, ANF-1946[réf. nécessaire]. Morgan de Rivery de, secrétaire du roi 1709, Picardie, ANF-1977[réf. nécessaire]. Morgues de Saint-Germain de et de Mourgues, extraction 1583, Velay l'ancêtre était notaire royal à Solignac en 1547 mais Jougla de Morenas mentionne une maintenue en 1668, principe de noblesse à vérifier[réf. nécessaire]. Morisson de La Bassetière, ancienne extraction 1469, maintenue en 1667 à Potiers, Poitou[LM 76], ANF-1977. Mortillet de, Restauration, anobli en 1825, Dauphiné[réf. nécessaire]. Mossion de La Gontrie, secrétaire du roi 1735, Saintonge, ANF-1988[réf. nécessaire]. Mostuéjouls de, extraction chevaleresque 1225, Rouergue, ANF-1973[125][réf. nécessaire]. Moucheron de, ancienne extraction 1447, maintenue en 1667[126], Normandie, Bretagne, ANF-1933[réf. nécessaire]. Mouchet de Battefort de Laubespin de, extraction 1525, comte en 1649, Franche-Comté[LM 77], ANF-1945. Mougins-Roquefort de, Restauration, anobli en 1822, Provence, ANF-1972[réf. nécessaire]. Moulin de Labarthète du, extraction 1510, Gascogne, ANF-1992[réf. nécessaire]. Moulin de La Bretèche du, anobli en 1697, Normandie[d 32], ANF-1938. Moulins de Rochefort de, ancienne extraction 1464, honneurs de la cour, Poitou, ANF-1954[réf. nécessaire]. Moullart de Torcy et - de Villemarest, ancienne extraction 1479, Picardie, ANF-1964[réf. nécessaire]. Mourins d'Arfeuille, ancienne extraction 1400, Marche, ANF-1962[réf. nécessaire]. Mourre, Empire, baron en 1810, Provence, ANF-1939[réf. nécessaire]. Moustier de, ancienne extraction 1496, marquis en 1741, honneurs de la cour, Franche-Comté, Paris, ANF-1994[réf. nécessaire]. Moustier de, lettres de surranation et de confirmation de noblesse 1632, maintenue en 1667[38],[127], Provence, ANF-2000. Moustier de Canchy du, anobli en 1691, Normandie Caen[b 27],[d 33], ANF-1955. Moutis des, ancienne extraction, maintenue en 1666 à Alençon, Normandie Argentan, ANF-1967[128]. Mouxy de, extraction 1507, comte en 1683, Savoie[Foras 13]. Moÿ de Sons de, extraction chevaleresque 1327, honneurs de la cour, Champagne, ANF-1988[réf. nécessaire]. Mulatier de La Trollière, ancienne extraction 1443, Bourbonnais, ANF-1945[réf. nécessaire]. Mullenheim et - de Rechberg de, extraction chevaleresque 1337, baron en 1773, Alsace, ANF-1965[réf. nécessaire]. Mullot de Villenaut de, extraction 1538, maintenue en 1702 à Orléans, Nivernais[b 28], Orléanais, ANF-2012. Mun de, ancienne extraction 1425, honneurs de la cour, marquis en 1817, Bigorre[b 28], ANF-1961. Murard de Saint-Romain de, échevin de Lyon 1574, Lyonnais, ANF-1940[réf. nécessaire]. Murat, Empire, prince en 1805, roi de Naples en 1808, Quercy, ANF-1991[réf. nécessaire]. Murat de Lestang de, ancienne extraction 1451, honneurs de la cour, Dauphiné[b 28], ANF-1938. Musnier de Pleignes, chambre des comptes de Paris 1673, Paris, ANF-1965[réf. nécessaire]. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z N Naguet de Saint-Vulfran, anobli en 1522, maintenue 1668, Normandie[129],[Jougla 35]. Napoléon, ancienne famille Bonaparte, extraction 1596, Empereur des Français[réf. nécessaire]. Narp de, anobli en 1774, Béarn, Saint-Domingue[Jougla 36]. Nas de Tourris de, ancienne extraction 1495, Provence, Île Bourbon[Jougla 37]. Nattes de, anoblissement 1369, maintenue 1669, Rouergue, Languedoc[Jougla 38], ANF-1968. Navailles Labatut de, extraction chevaleresque 1399, maintenue 1671, honneurs de la Cour 1784[Jougla 39], baron d'Angaïs, 1656, br. cadette éteinte[130], Béarn, Gascogne, ANF-1993. Nays de, extraction 1551 br. de Nays-Candau, baron 1652, marquis 1718, éteinte 1913[131], Béarn[Jougla 40], ANF-1968. Nervo de, secrétaire du roi le 28 mars 1752-1756[132], baron de l'Empire sur institution de majorat par du 6 janvier 1810 confirmé par du 29 juillet 1818, Lyonnais[Jougla 40], ANF-1947. Nettancourt de, - de Vaubécourt, extraction chevaleresque 1386, Champagne, ANF-1997[133],[LM 78],[Jougla 41]. Neverlée de, noblesse belge, reconnue noble en France avec le titre de baron le 14 janvier 1863[134], Namur, Picardie. Neyron de Saint-Julien, secrétaire du roi 1768, br. cadette baron 1849, éteinte Forez[Jougla 42], ANF-1993. Nicol de La Belleissue, extraction 1518, maintenue 1669, Bretagne[Jougla 43], ANF-1948. Nicolaï de Lacoste de Laval de, extraction, maintenue 1738, Limousin[135] Nicolay de , anoblissement par charge conseiller au Parlement de Toulouse 1465[Jougla 44], branche aînée honneurs de la Cour en 1776 et 1781, marquis de Goussainville 1645 aîné aussi comte de l'Empire 1811, pair 1815 et 1832, éteint 1918, cadet marquis-pair 1817[136] ; branche cadette de Sabran non titrée, ANF-1935. Nicollon des Abbayes, Restauration, anobli en 1819, Poitou[Jougla 45] Nielly, Restauration, baron 1815, Bretagne Finistère[Jougla 46],[LM 79]. Noailles de, extraction chevaleresque 1225, comte d'Ayen 1592, duc de Noailles et pair 1663 duc d'Ayen 1737, titre d'attente des ducs de Noailles, marquis de Maintenon 1698, 1719, honneurs de la cour, comte de Noailles et de l'Empire 1811, branche cadette comte de l'Empire 1810, duc de Mouchy 1814, duc de Poix 1815 et pair 1817, Limousin, Ile-de-France[Jougla 47], ANF-1933. Noblet d'Anglure de, ancienne extraction 1482, maintenue 1669, 1698, marquis d'Anglure en 1715, comte de la Clayette en 1730, Bourgogne[Jougla 48],[137], ANF-1970. Nogaret de, anoblissement par lettres baron de l'Empire 1810, Quercy, Rouergue[Jougla 49], ANF-1935. Nompère de Champagny de, extraction 1588[138], baron-pair héréditaire par du 24 avril 1820, Forez, ANF-1933. Famille éteinte en ligne masculine. Nonancourt de, extraction 1557, Lorraine, ANF-1994[réf. nécessaire]. Normant de la Villehelleuc, ancienne extraction 1464, Bretagne Côtes-d'Armor[LM 80], ANF-1971. Noüe de, extraction chevaleresque 1308, Picardie, ANF-1933[réf. nécessaire]. Nouel de Noüel, extraction 1535, protestation de la noblesse de Bretagne de janvier 1789[LM 81], Bretagne, ANF-2010[139]. Nouël de Buzonnières, - de Tourville de Buzonnière, trésorier d'Orléans 1735, Orléanais[Jougla 50] Noury, Restauration, Baron en 1822, Bretagne.[a 12][réf. non conforme] ANF-1938 Novion de, extraction 1556, Champagne[LM 82]. Nucé de Lamothe de, capitoul de Toulouse 1773, Martel en Languedoc, Quercy, ANF-2007[réf. nécessaire][140]. Nuchèze de, alias de Neuchèze, extraction chevaleresque 1320, maintenue 1667, Poitou[Jougla 51], ANF-1948. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z O Oberkampf, cité 1584 noblesse du Saint Empire, Suisse, lettres de naturalité en 1770, anoblissement par lettres 1787, baron 1820, Île-de-France, ANF-1961[réf. nécessaire][141] Famille éteinte en ligne masculine. O'Byrne, 1770, Irlande, Bordeaux[142]. Odart de Rilly d'Oysonville, extraction maintenue en 1715[a 13], marquis 1851, Poitou, Touraine, ANF-1975. Ogier de Baulny, extraction 1693, Champagne[Jougla 52] La famille Ogier de Baulny, contrairement à la Branche Ogier d'Ivry, n'a pas été anoblie bien qu'elle se soit fort approchée du second ordre convocation à l'arrière ban de 1693, comparution dans la noblesse à Meaux en 1789[143] principe de noblesse à vérifier. Ogier d'Ivry, extraction 1693, baron Ogier et de l'Empire 1814, Champagne, Île-de-France[Jougla 53] Oilliamson d' olim Williamson, cité 1385 Écosse, ancienne extraction 1495 garde écossaise, marquis d'Olliamson 1739, Écosse, Normandie, ANF-1947[réf. nécessaire]. Oiron d', extraction, maintenue en 1666, Berry[Jougla 54] O'Kelly-Farell, cité 1204 Irlande reconnu noble en France 1756, honneurs de la Cour 1776, Irlande, Languedoc, ANF-1974[réf. nécessaire]. Ollone d' olim Dolon, extraction 1516, maintenue 1670, Languedoc, Lorraine ANF-1976[réf. nécessaire]. O'Mahony, ancienne extraction, honneurs de la cour 1788[144], Irlande, Franche-Comté[145] Oncieu de La Bâtie d', et de Chaffardon, olim Vignier, extraction chevaleresque 1316, marquis de La Bâtie 1669, marquis de Chaffardon 1682, Savoie[Foras 14],[b 29], ANF-1950. Onffroy de Verez, anoblissement par lettres 1543, Normandie, Saint-Domingue, Bretagne[LM 83], ANF-1953. Orglandes d', extraction chevaleresque 1396[a 13] ou ancienne extraction 1454[réf. nécessaire], baron 1824, Normandie Manche, Orne, ANF-1943. Oriola d' olim Oriola, bourgeois honoré de Perpignan 1673[146], , Roussillon, ANF-1935[réf. nécessaire]. Orival de Miserey d', Parlement de Besançon 1684, Franche-Comté[réf. nécessaire]. Orléans d', extraction chevaleresque 1366, honneurs de la cour 1787, Berry, Orléannais, ANF-1955[réf. nécessaire]. Ornano d', ancienne extraction 1470, comte de l'Empire 1808, Corse[Jougla 55], ANF-1937. Orsanne d', extraction 1539, Marche, Berry, ANF-1947[réf. nécessaire]. Ortholi d' olim Ortoli, cité 1454, noblesse génoise 1656, reconnu noble 1772, Corse, ANF-1993[réf. nécessaire]. Ortoli, Famille de Sartène. Issue du Comte Giulio Ortoli d'Ancône, venu en Corse en l'an 773. Reconnue noble par arrêt du Conseil Supérieur de la Corse du 21 mai 1772, établissant la filiation depuis Ghjucante, Ottaviu et Ghjuvanninellu Ortoli, vivants au XVIe siècle[b 30]. Osmont d'Amilly, trésorier à Paris 1759-1790, baron 1825, Normandie, ANF-1966[réf. nécessaire]. Oudet, Empire, baron en 1811, Franche-Comté, Saintonge[Jougla 56] Ozouville d', extraction 1550, Normandie, Bretagne[LM 84], ANF-1987. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z P Pacoret de Saint-Bon, anoblissement par lettres 1781, Savoie[Foras 15],[Jougla 57], ANF-1993 Pagès de Beaufort de, extraction, baron de Pourcarès par du 5 décembre 1647, Gévaudan[147], ANF-2009. Paillard de Chenay, président trésorier de France 1677, Alençon, Normandie, Maine[Jougla 58]. Paillot de Montabert, extraction, dérogeance, secrétaire du roi 1766, Champagne, Picardie[Jougla 59], ANF-1951. Paix de Cœur de, conseiller au Parlement de Rouen 1543, maintenu 1668, Normandie[Jougla 60]. Palluat de Besset, secrétaire du roi par provisions du 16 octobre 1741[148] ou 1742-1750, Saint-Chamond en Forez, ANF-1934[Jougla 61]. Panisse-Passis de olim Panisse, anobli en 1510, conseiller au Parlement de Provence le 15 novembre 1543, Comtat-Venaissin, Provence[Jougla 62], ANF-1951. Panon Desbassayns de Richemont, baron en 1815, comte en 1827, Provence, Toulon, La Réunion île Bourbon[Jougla 63], ANF-1938. Panou de Faymoreau, chambre des comptes de Bretagne 1744-1765 et 1770-1791, certificat de noblesse d'Antoine Marie d'Hozier de Sérigny le 8 mars 1781[LM 85], Faymoreau en Poitou, ANF-1965. Panthou de, maintenue de noblesse par Montfaut en 1463, Normandie, Calvados, ANF-1942[réf. nécessaire]. Parc du de Barville, ancienne extraction 1403, honneurs de la cour, Normandie[LM 86], ANF-1934. Parc-Locmaria du, extraction chevaleresque 1340, Bretagne, ANF-1990[réf. nécessaire]. Parcevaux de, et- de Tronjoly, extraction 1557, Bretagne Finistère[LM 87], ANF-1942. Pardieu de , ancienne extraction 1458, honneurs de la cour, Normandie, ANF-1949[réf. nécessaire]. Parent, anobli en 1818, Champagne[Jougla 64] Parent du Châtelet, et- Labille, chambre des comptes de Paris, Île-de-France, ANF-1947[réf. nécessaire]. Parent de Lannoy, extraction, maintenue 1697, Paris, Normandie[Jougla 65] Parisot de Bernécourt, extraction 1598[149], baron en 1707, Lorraine, ANF-2012[150]. Parscau du Plessix de, extraction 1524, Bretagne Finistère[LM 88], ANF-1957. Parseval de, secrétaire du roi 1751-1766, Perche, ANF-1939[réf. nécessaire]. Pascal de, anobli en 1750, Languedoc, Bretagne, ANF-1978[réf. nécessaire]. Pasquet du Bousquet de Laurière, anobli en 1702, Angoumois[réf. nécessaire]. Pasquier de Franclieu, extraction 1561, maintenue à Melun en 1665, marquis par de 1767 pour un rameau éteint le 18 juillet 1839, Ile-de-France, Bigorre, ANF-1966[réf. nécessaire]. Passage du, ancienne extraction 1490, maintenue par Cauchon le 11 mars 1599[151], preuves pour Malte 1646, Picardie, ANF-1972. Passemar de Saint-André d'Alban de, extraction 1545, Languedoc, ANF-1959[réf. nécessaire]. Passerat de La Chapelle, maréchal de camp en 1788, Bugey[réf. nécessaire], ANF-1958[152]. Passerat de Silans, noblesse 1567, Bugey[Jougla 66] Pastoureau de La Braudière, extraction 1528, Orléanais, ANF-1952 Famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Patas d'Illiers, trésorier à Orléans 1701, Orléanais[a 14]. Patronnier de Gandillac, extraction, maintenue en 1667, Périgord[a 14]. Paulmier, anobli en 1825, Normandie, ANF-1986. Paulze d'Ivoy de La Poype a relevé le nom de La Poype par décret de 1864, anobli par charge de conseiller secrétaire du roi 1775-1790[a 14] ou noblesse inachevée[153],[154] sources non consensuelles sur l'anoblissement par charge de cette famille, Forez. Paultre de Lamotte, Empire, baron de l'Empire par du 15 octobre 1809[155], vicomte en 1845 sur réversion d'un titre de 1823 sous la Monarchie de Juillet, Gien en Orléanais, ANF-1961. Pavin de Lafarge, secrétaire du roi 1732, Poitou, Vivarais[réf. nécessaire]. Pavret de La Rochefordière, secrétaire du roi 1788-1789, Bretagne Nantes[LM 89], ANF-1945. Payen de La Garanderie, extraction 1540, Normandie, ANF-1976[réf. nécessaire]. Péan de Ponfilly, ancienne extraction 1479, Bretagne[LM 90], ANF-1948. Pechpeyrou-Comminges de Guitaut de, extraction chevaleresque 1346, maintenue en 1697, honneurs de la Cour 1753, Quercy, Bourgogne, ANF-1939[156]. Peguilhan de Larboust de Thermes de, ancienne extraction 1484, maintenues de noblesse d'extraction en 1668 et 1700[Jougla 67], honneurs de la cour en 1751[157], Betbèze en Comminges, ANF-1955. Pelet de, extraction 1528, Artois, Bretagne, ANF-1972[réf. nécessaire]. Pelgrain de Lestang, cour des monnaies de Paris 1678, Touraine, ANF-1981[réf. nécessaire]. Pellegars-Malhorthie de, ancienne extraction 1472, maintenues 1661 et 1668, Martinique[Jougla 68] Pelleport-Burète de, Empire, baron en 1811, vicomte en 1823, Languedoc, Bordelais[réf. nécessaire]. Pelleterat de Borde, secrétaire du roi 1727, Franche-Comté, ANF-1994[réf. nécessaire]. Pellissier de Féligonde, et - Léotoing d'Anjony de Foix de, secrétaire du roi 1666 d'Anjony par décret de 1869, Auvergne, ANF-1946[réf. nécessaire]. Peloux de Praron du, et Peloux de Saint-Romaindu, ancienne extraction 1456, Vivarais, ANF-1947[réf. nécessaire]. Penet de Monterno, secrétaire du roi 1710[a 14], comte en 1754, Dombes, ANF-1951. Penfentenyo de Cheffontaines de, et - de Kervéréguin, extraction chevaleresque 1393, honneurs de la cour, baron de Cheffontaines en 1680, Bretagne[LM 91], ANF-1968. Penguern de, ancienne extraction 1427[LM 92], maintenue en 1669 à Rennes, baron en 1813, Bretagne Finistère, ANF-2003[158]. Pennart de, ancienne extraction 1441, Touraine[a 14]. Percin de, secrétaire du roi au Parlement de Toulouse 1553-1582, maintenue en 1698, Gascogne Gers, Toulouse, Artois, Martinique[b 31],[159], ANF-2001. Percy de, extraction chevaleresque 1391, Normandie, ANF-1986[réf. nécessaire]. Peretti Della Rocca, extraction 1550 maintenue en 1773 par le conseil supérieur, Corse[a 15]. Périer de Larsan du, secrétaire du roi 1531, Languedoc, Guyenne, ANF-1958[réf. nécessaire]. Pérignon de, capitoul de Toulouse 1706, comte en 1808, marquis en 1817, Languedoc, ANF-1973[réf. nécessaire]. Pernot du Breuil, anobli en 1819, Franche-Comté[réf. nécessaire]. Perrault de Jotemps, admis dans la noblesse du pays de Gex en 1775, Bugey[Jougla 69]. Perrier de La Bâthie, Savoie[160], ANF-2014. Perron de Revel du, Chambre des comptes de Grenoble 1604, Dauphiné, ANF-1981[réf. nécessaire]. Perrochel de, secrétaire du roi 1597, Île-de-France, Maine, ANF-1956[réf. nécessaire]. Perrot du Vernay, secrétaire du roi 1676-1678, comte 1816 branche de Chazelles, Paris, ANF-1960[réf. nécessaire]. Perruchot de La Bussière, secrétaire du roi 1729, Bourgogne, ANF-1979[réf. nécessaire]. Person de, anobli en 1820, Orléanais, ANF-1981[réf. nécessaire]. Perthuis de et - de Laillevault, extraction 1546, Beauvaisis, ANF-1955. Perthuis de La Salle de, secrétaire du roi 1653, Poitou[a 15]. Pérusse des Cars de, extraction chevaleresque 1281, honneurs de la cour, comte en 1817, duc en 1825 sans lettres patentes, Limousin[réf. nécessaire]. Peschart d'Ambly, anobli en 1605, Barrois, ANF-1969[réf. nécessaire]. Petiet, Empire, du 12 novembre 1811 conférant le titre héréditaire de Baron de l'Empire[161], Saulles en Champagne, Châtillon-sur-Seine en Bourgogne[réf. nécessaire], ANF-2005[162]. Peting de Vaulgrenant, conseiller secrétaire du roi 1702, président en la Chambre des Comptes de Dole en 1730, Metz en Lorraine[réf. nécessaire]. Petit de Beauverger, Empire, baron par du 6 août 1811[163], Aignay-le-Duc en Bourgogne. Famille éteinte en ligne masculine. Petit de Chemellier, extraction 1518, Anjou, ANF-1968[réf. nécessaire]. Petit de Leudeville, secrétaire du roi 1637, Bourgogne, ANF-1973[réf. nécessaire]. Petriconi de, maintenue 1774, Corse, ANF-1980[réf. nécessaire]. Petyst de Morcourt, secrétaire du roi 1733-1753, Picardie, ANF-1957[réf. nécessaire]. Peydière, de Vèze, secrétaire du roi 1780-1786, Auvergne, ANF-1992[réf. nécessaire]. Peyrecave de Lamarque de et de Pomès, noblesse 1575, maintenue 1711, Gascogne[Jougla 70], ANF-2018. Peyronnet de, secrétaire du roi 1722-1728, comte en 1822, Guyenne, ANF-1950[réf. nécessaire]. Peyroux du, extraction 1519, Marche, ANF-1954[réf. nécessaire]. Philip de, secrétaire du roi 1768-1773, Provence Aix, ANF-1981[réf. nécessaire]. Philpin de Piépape, anobli en 1749, Champagne[164], ANF-1961. Phily de, Parlement de Dombes 1634[165], maintenue 1669[166], Lyonnais[Jougla 71] Pichard du Page et- de La Caillière, Chambres des comptes de Nantes, XVIIIe siècle, Poitou[réf. nécessaire]. Picot de Moras d'Aligny, ancienne extraction 1480, baron en 1820, ANF-1946[réf. nécessaire]. Picot de Peccaduc, extraction 1516, maintenue en 1715 et 1716, Bretagne, Mayenne, Autriche[Jougla 72]. Piédoüe d'Héritôt de, extraction 1543, Normandie, Paris, ANF-1996[réf. nécessaire]. Pierre de Bernis de, -et de Bernis de Marsac, -et de Bernis-Calvière, extraction chevaleresque 1378, honneurs de la cour, Vivarais, ANF-1962[réf. nécessaire]. Piet de Beaurepaire, anobli en 1689, Anjou[réf. nécessaire]. Pieyre et Pieyre de Mandiargues, Empire, baron en 1810, confirmé en 1815, Languedoc, ANF-1968[réf. nécessaire]. Pillot-Chantrans de et -de Pillot-Coligny, anobli confirmé 1494[a 16], marquis de Pillot-Chantrans 1780 pour une branche, comte du Saint-Empire 1761 pour la branche Pillot-Coligny, Franche-Comté, ANF-1938. Pin de La Guérivière du alias Dupin de La Guérivière, même famille que Dupin de Saint-Cyr ancienne extraction 1433, maintenu 1667, vicomte 1828 à titre personnel éteint, Poitou, Bretagne, ANF-1954[réf. nécessaire]. Pin de Saint André du, cour des aides de Bordeaux 1643, Rouergue, ANF-1951[réf. nécessaire]. Pinczon du Sel, anobli en 1476[a 16], Bretagne Rennes, ANF-1957[LM 93]. Pindray d'Ambelle de[167],[168], extraction maintenue 1667 sur preuve de 1388[169], Périgord, Ile Bourbon. Pineau de Viennay, anobli en 1638, Maine[réf. nécessaire]. Pinel de Golleville, conseiller secrétaire du roi Maison et Couronne de France par du 12 septembre 1731[170], Bricquebec en Normandie[réf. nécessaire], ANF-2003[171]. Pinel de La Taule de, écoles militaires 1786, Aude[b 32]. Pinet des Ecots, chambre des comptes de Dole 1758, Nivernais[réf. nécessaire]. Pineton de Chambrun, ancienne extraction 1491, Gévaudan, ANF-1977[réf. nécessaire]. Pinon et - Pinon de Quincy[172], conseiller secrétaire du roi, Maison et Couronne de France le 7 février 1547, conseiller au Parlement de Paris le 28 juin 1585, Berry, Orléanais et Île-de-France[réf. nécessaire], ANF-1964[173]. Pinoteau, Second Empire, baron en 1815 sans lettres patentes, titre confirmé par lettres patentes en 1869, Angoumois, ANF-1945[réf. nécessaire]. Pins de - et de Pins de Caucalières, extraction chevaleresque 1362, maintenue de 1668, honneurs de la cour, Guyenne, Languedoc, ANF-1948[réf. nécessaire]. Pins-Montbrun de, ancienne extraction 1427, honneurs de la cour, Guyenne[Jougla 73] Pinsun de, noblesse 1562, Béarn, Gascogne, ANF-1975[réf. nécessaire]. Piochard de La Bruslerie, anobli en 1743, Bourgogne[réf. nécessaire][174], ANF-1940. Pioger de, ancienne extraction 1477, Bretagne[LM 94], ANF-1939. Piolenc de, ancienne extraction 1484, Provence, Languedoc, ANF-1940[réf. nécessaire]. Piton du Gault, extraction, maintenue de noblesse en 1666 par Messire de Chamillart, Normandie[175], ANF-2011. Plan de Sieyes de Veynes de, extraction 1649, marquis de Sieyes en 1760, Dauphiné, Provence[Jougla 74] Planchard de Cussac de, secrétaire du roi 1752, Limousin, ANF-1975[réf. nécessaire]. Planet de, capitoul de Toulouse 1700, Languedoc, ANF-1981[réf. nécessaire]. Planta de Wildenberg de, 1721, Suisse, Dauphiné[Jougla 75] Plas des, extraction 1500, Quercy, ANF-1942[réf. nécessaire]. Plessis d'Argentré du, ancienne extraction 1425, maintenue en 1668 à Rennes, honneurs de la cour, marquis en 1819, Bretagne Ille-et-Vilaine[b 33], ANF-1936. Plessis de Grenédan du, ancienne extraction 1420, marquis en 1747, honneurs de la cour, Bretagne Saint-Malo[LM 95], ANF-1969. Plessis de Pouzilhac du alias Duplessis de Pouzilhac [d 34], charge inachevée au XVIIIe siècle[a 17], Restauration, baron par de Louis XVIII en date du 14 août 1818, Vallabrègues en Languedoc, ANF-2002[176]. Plument de Bailhac de, Écoles militaires 1788, Angoumois, ANF-1981[réf. nécessaire]. Pluvié de, extraction chevaleresque 1386, honneurs de la cour, Bretagne Vannes[LM 96], ANF-1949. Pocquet de La Mardelle, Restauration, anoblie en 1823, Berry Famille éteinte en ligne masculine[a 18]. Pocquet de Livonnière, Chambre des Comptes de Blois en 1767 conseiller du roi mort en fonction 1766-1767 et 1767-1775, Anjou[réf. nécessaire][177], ANF-1938. Poërier de Portbail du, extractions 1550, Normandie, ANF-1957[réf. nécessaire]. Poignand du Fontenioux et- de La Salinière, maire de Poitiers 1718, Poitou, ANF-1943[réf. nécessaire]. Poilloüe de Saint-Périer de et - de Saint-Mars, ancienne extraction 1407, Beauce[réf. nécessaire]. Poitevin de Fontguyon, anobli en 1783, Angoumois Rouillac, ANF-1980[réf. nécessaire]. Polignac de, olim de Chalencon, extraction chevaleresque 1205, duc en 1780, honneurs de la cour, une branche puinée est souveraine de la principauté de Monaco depuis 1949, Velay[b 34], ANF-1936. Pomereu d'Aligre de, ancienne extraction 1485, marquis en 1717, Picardie, Île-de-France, ANF-1956. Pommare des, anobli en 1585, Normandie Montivilliers, ANF-1968[réf. nécessaire]. Pommereau de, secrétaire du roi 1763-1768, Berry Bourges, ANF-1966[réf. nécessaire]. Pompéry de, extraction 1545, Picardie, Champagne[LM 97], ANF-1936. Poncelin de Raucourt, chambre des Comptes de Dôle 1724-1750, Franche-Comté, ANF-1953[réf. nécessaire]. Ponnat de, ancienne extraction 1491, Dauphiné Gap, ANF-1947[réf. nécessaire]. Pont de Compiègne du, maintenue de noblesse 1667, preuves de noblesse délivrées le 6 septembre 1788 par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans les Écoles Militaires, Béarn, Champagne, ANF-2013[178]. Pont de Ligonnès du, extraction 1507, Vivarais, ANF-1970[réf. nécessaire]. Pont de Romémont du, secrétaire du roi 1779-1783, Lorraine Nancy[Jougla 76], ANF-1992. Pontac de, anobli par du 16 mai 1513[179], Béarn, Guyenne, ANF-1934. Pontavice du et - Vaugarny, Heussey, Renardières, extraction chevaleresque 1400, honneurs de la cour, Bretagne, Normandie[LM 98],[180], ANF-1933. Pontevès d'Amirat de, extraction chevaleresque 1213, honneurs de la cour, duc de Sabran 1829 sur réversion, Provence, ANF-1948[réf. nécessaire]. Pontual de, extraction chevaleresque 1400, Bretagne[LM 99]. Pontville de, arrêt du Conseil 1668 sur preuves de 1514, preuves pour Saint-Cyr 1686 sources non consensuelles absente du Valette »[réf. nécessaire] Porcaro de, ancienne extraction 1426, Bretagne Saint-Malo[LM 100], ANF-1964. Porée du Breil et - de la Touche, secrétaire du roi en 1730, Bretagne Saint-Malo[LM 101]. Poret de, ancienne extraction 1423, honneurs de la cour, Normandie Falaise, ANF-1951[réf. nécessaire]. Poret de Blosseville de Civille, Secrétaire du roi près la chancellerie du Parlement de Rouen le 20 novembre 1722[181], Conseiller au Parlement de Rouen le 16 janvier 1734, lettres d'honneurs 1753, Normandie[réf. nécessaire]. Port de Loriol du, anobli relief en 1655, comte de Loriol en 1743, Bresse Nantua, ANF-1992[réf. nécessaire]. Port de Pontcharra du, anobli en 1612, Savoie, Dauphiné[182], ANF-1945. Portalis, noblesse d'Empire 1808, comte en 1809, Provence, ANF-1939[réf. nécessaire]. Portes de, extraction 1547, marquis en 1747, Hérault, Toulouse[Jougla 77] éteinte en ligne masculine. Portier de Villeneuve de, anobli en 1651, Champagne, Lorraine[b 35] Postel de, ancienne extraction 1478, Normandie, ANF-1945[réf. nécessaire]. Postis du Houlbec de, anobli franc fief en 1470, Maintenue de noblesse en 1669, Normandie[réf. nécessaire], ANF-2010[183]. Potet de Cruzilles du, extraction, maintenue en 1702, Bourgogne, Champagne[Jougla 78] Potier de, extraction, maintenue 1702, comte en 1816, Bourgogne, Champagne, ANF-1979[réf. nécessaire]. Potier de Courcy, ancienne extraction 1486, Normandie[LM 102], ANF-1937 et 1943. Potier de La Houssaye, mêmes armes que la famille Potier de Courcy[a 19], maintenue en 1788[a 19], Bretagne Saint-Malo, ANF-1943. Potier de La Varde, extraction 1586, Normandie[Jougla 79] Pougeard du Limbert, Empire, baron en 1810, confirmé en 1817, Angoumois, ANF-1969. Pouget du, extraction 1555, Périgord, ANF-1936[réf. nécessaire]. Pouget de Nadaillac du, ancienne extraction 1416, marquis en 1860, Quercy, Périgord, ANF-1947[réf. nécessaire]. Pouilly de et - Mensdorff Pouilly de, extraction chevaleresque 1397, Lorraine, ANF-1968[réf. nécessaire]. Poujol de Molliens, secrétaire du roi 1765-1777, Picardie, ANF-1967[réf. nécessaire]. Poulain de La Fosse-David, extraction, maintenue 1669, Bretagne[LM 103], ANF-1957. Poulpiquet du Halgouët et de Brescanvel de, extraction chevaleresque 1395, honneurs de la cour 1788, Bretagne[LM 104], ANF-1938. Pourailly, Second Empire, baron en 1865, Béarn[réf. nécessaire]. Pourroy de Lauberivière de Quinsonas de et- de Quinsonas Oudinot, anobli en 1609, une branche a relevé Oudinot en 1956, Dauphiné, ANF-1949[réf. nécessaire]. Pous de, capitoul de Toulouse 1756, Toulouse[Jougla 80]. Poute de Puybaudet, ancienne extraction 1427, Poitou, ANF-1971[réf. nécessaire]. Poutier de Sone de, Parlement de Dole 1595, Franche-Comté, ANF-1998[réf. nécessaire]. Poyen Bellisle de, anobli en 1770, Guyenne, Guadeloupe, ANF-1985[réf. nécessaire]. Poyferré de Cère de, extraction 1568, baron en 1815, Bigorre, Armagnac, ANF-1975[réf. nécessaire]. Pozzo di Borgo, noblesse 1629, maintenue en 1774 par le conseil supérieur, Corse[a 20]. Pracomtal de, ancienne extraction 1443, honneurs de la cour, Nivernais, ANF-1948[réf. nécessaire]. Pracontal de, lettres de relief 1681[a 20], confirmation de noblesse d'ancienne extraction le 27 novembre 1730, Dauphiné, Normandie, ANF-2004[184]. Pradel de Lamaze de alias Lamase, anobli confirmé en 1700[a 20], Limousin Uzerche, ANF-1934. Pradier d'Agrain de, anobli 1652, marquis en 1828, Velay, Bourgogne, ANF-1945[réf. nécessaire]. Prat de, admission aux états de Béarn en 1774, ANF-1979[réf. nécessaire]. Pré de Saint-Maur du, Chambre des Comptes de Paris 1513, Brie, ANF-1955[réf. nécessaire]. Préaulx de, ancienne extraction 1451, maintenue 1669, Touraine[Jougla 81] Préval de, Empire, baron en 1808, vicomte en 1818, Franche-Comté. Préveraud de Laubepierre de Vaumas, secrétaire du roi 1728-1749, la branche de La Boutresse est de noblesse inachevée, Bourbonnais[Jougla 82],[a 20], ANF-1938. Préveraud de Sonneville, échevin d'Angoulême 1656, Angoumois[b 36]. Prévost de La Boutetière, extraction 1556, Poitou, ANF-1968[réf. nécessaire]. Prévost de Sansac de Traversay, extraction chevaleresque 1375, honneurs de la cour, Poitou[LM 105], ANF-1938. Provenchères de, secrétaire du roi 1762, Auvergne, ANF-1958[réf. nécessaire]. Prudhomme de La Boussinière de, secrétaire du roi 1782-1790[b 37] ou noblesse inachevée[185],[186], Maine Le Mans sources non consensuelles. Prunelé de, extraction chevaleresque, honneurs de la cour, Beauce, ANF-1934[réf. nécessaire]. Puget de Cabassole du Réal de Barbentane de, ancienne extraction 1443, marquis en 1862, honneurs de la cour, Provence[a 21], ANF-1940. Pujo de La Fitole de, déchargé du droit de franc-fief à l'intendance de Montauban le 7 mai 1694, marquis de Lafitole par de mars 1741[187], Lafitole en Béarn, Bigorre Vie, ANF-1977. Puniet de Parry de, extraction, maintenue 1675, Quercy[Jougla 83] Putecotte de Renéville, noblesse prouvée 1615, Normandie, Dauphiné, ANF-1967[réf. nécessaire]. Puton, anobli en 1786, Baron en 1813 pour une branche éteinte, Lorraine Remiremont[a 22]. Puy de Clinchamps du[d 35], ancienne extraction 1400 selon Régis Valette[a 21], 1486 Chaix d'Est-Ange[d 35], Barrois, ANF-1947. Puy de Goyne du, maintenue 1766[d 36], Lyonnais, ANF-1977. Puy-Montbrun du olim del Puech, extraction, maintenue 1668[a 23], Languedoc Albi, ANF-1969. Puybusque de, capitoul de Toulouse 1482, Languedoc, ANF-1987[a 21]. Puyou de Pouvourville, capitoul de Toulouse 1695, Languedoc, Alsace, ANF-1975[réf. nécessaire]. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Q Quarré de Boiry, anoblissement par lettres roi d'Espagne 1627, lettres de chevalerie 1723, Artois[Jougla 84], ANF-1975. Quarré de Château-Regnault d'Aligny, anobli relief 1615, Bourgogne[Jougla 85], ANF-1970. Quarré de Verneuil, Chambre des Comptes de Dole 1769-1771, Bourgogne[réf. nécessaire]. Quatrebarbes de, extraction chevaleresque 1218, honneurs de la cour, Anjou, Maine, ANF-1938[réf. nécessaire]. Quelen de, extraction chevaleresque 1379, honneurs de la cour 1777, Baron 1810, Bretagne Cornouaille[LM 106], ANF-1972. Quemper de Lanascol, ancienne extraction 1413, Bretagne Tréguier[LM 107], ANF-1961. Quengo de Tonquédec de, extraction chevaleresque 1390[b 38], maintenue en 1669 à Rennes, honneurs de la Cour de 1765 à 1790, Bretagne[16], ANF-1949. Quentin de Coupigny, extraction, maintenue en 1605, Normandie Cotentin[b 39]. Quesnel, secrétaire du roi 1781-1787, Normandie Rouen, ANF-1956[réf. nécessaire]. Quétier de Saint-Éloy, extraction, maintenue 1670, Bretagne[LM 108], ANF-1995. Queylar de, ancienne extraction, maintenue 1668, Languedoc, Provence, ANF-2018[réf. nécessaire]. Quintin de Kercadio, anobli en 1490, Bretagne Tréguier[réf. nécessaire]. Quirot de Poligny, Chambre des comptes de Dole 1722-1732, Bourgogne, ANF-1992[réf. nécessaire]. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z R Rabaudy-Montsoussin de, Parlement de Toulouse 1567, capitoul 1659, Languedoc[Jougla 86]. Rabusson Corvisart, baron de l'Empire 1813, Bourbonnais, ANF-1936[réf. nécessaire]. Rafélis de Broves de, maintenue de noblesse par Belleguise le 12 janvier 1669, Provence, ANF-2014[188]. Rafélis de Saint-Sauveur - et - Raphélis-Soissan de, Conseiller en la chambre des comptes de Montpellier en 1553, honneurs de la cour en 1766, baron de l'Empire par du 25 mars 1810, Milanais, Provence[189], ANF-2014. Raffin de La Raffinie, extraction 1504, Auvergne, ANF-1962[réf. nécessaire]. Raguenel de Montmorel de, Restauration, anobli maintenue en 1819[a 24], Bretagne, ANF-1994. Raguet de Brancion de Liman de, extraction 1567, comte 1861, Lorraine, ANF-1962[réf. nécessaire]. Raigniac de, extraction 1517, Guyenne, Agenais, ANF-1980[réf. nécessaire]. Raincourt de, extraction chevaleresque 1331, marquis en 1719, honneurs de la cour, Franche-Comté, Champagne, ANF-1950[réf. nécessaire]. Raison du Cleuziou, extraction 1531, Bretagne[LM 109], ANF-1998. Ramel de, anobli en 1819, Languedoc, ANF-1935[réf. nécessaire]. Ramey de Sugny de, extraction, maintenue 1617, Forez, ANF-1933[réf. nécessaire]. Ramolino de Coll'Alto, Second Empire, comte 1870, Corse[Jougla 87] Rancourt de Mimérand de, anobli en 1826, Berry, ANF-1974[réf. nécessaire]. Rarécourt de La Vallée de Pimodan de, extraction chevaleresque 1363 non consensuel, honneurs de la Cour 1766, duc romain 1860, Lorraine[LM 110], ANF-1950. Rasilly de, extraction chevaleresque 1223, Touraine, ANF-1938[réf. nécessaire]. Rasque de Laval de, extraction 1559, maintenue 1704, Provence Castellane[190], ANF-1987. Ravel d'Esclapon de, secrétaire du roi 1675, Provence, ANF-1944[réf. nécessaire]. Ravinel de, anobli en 1664, baron du Saint-Empire 1755, Anjou, Lorraine[Jougla 88], ANF-1988. Raviot de Saint-Anthost, secrétaire du roi 1672-1693, Bourgogne Dijon, ANF-1945[réf. nécessaire]. Raymond de, confirmé en 1757 décharge de franc-fief, Rouergue, ANF-1963[réf. nécessaire]. Raymond-Cahuzac de, anobli confirmé en 1769, Languedoc Castelnaudary[Jougla 89]. Réau de La Gaignonnière du, anoblissement 1725[a 21] anobli par lettres patentes du 26 août 1670 enregistrées le 29 mai 1725[191], Berry, Anjou, Touraine, ANF-1979. Reboul de, extraction 1548, maintenue 1669, Languedoc, Saintonge[192], ANF-1965. Regnard de Lagny, Empire, baron en 1814 confirmé en 1816, Île-de-France La-Ferté-sous-Jouarre[a 21]. Regnauld de Bellescize de, Parlement de Dombes 1597, maintenue 1667, Lyonnais, ANF-1980[réf. nécessaire]. Regnauld de La Soudière, extraction chevaleresque 1213, Angoumois, ANF-1981[réf. nécessaire]. Regnault de Bouttemont, extraction 1575, maintenue 1701, Normandie[Jougla 90] Regnouf de Vains, anobli en 1816, Normandie, ANF-1974[réf. nécessaire]. Reich de Reichenstein, ancienne extraction 1258, maintenue 1504, baron 1773, Alsace, ANF-1975[réf. nécessaire]. Reille, comte de l'Empire 1808, pair de France 1815, baron-pair 1820, Reille-Soult de Dalmatie pour une branche, Provence, ANF-1947[réf. nécessaire]. Reinach Foussemagne de -, Wert, - et, Hirtzbach, extraction chevaleresque 1210, baron de Reinach Foussemagne et du Saint-Empire 1635, comte de Granvelle Foussemagne et du Saint-Empire 1718, Alsace, ANF-1937[réf. nécessaire]. Rémond du Chelas de, Chambre des Comptes de Grenoble 1675, Dauphiné, Bretagne[LM 111]. Remÿ de Campeau, secrétaire du roi 1747-1767, Flandre, ANF-1936. Remy de Courcelles de, ancienne extraction 1495, Normandie, ANF-1995[réf. nécessaire]. Renaud d'Avène des Méloizes, marquis de Fresnoy en 1767, maintenue en 1785, Nivernais, Québec, Oise, ANF-1946[193] éteinte en ligne masculine. Renepont de Vicq de, secrétaire du roi par provision du 12 août 1708[194] 1708-1710, déchargé du droit de franc fief le 25 juillet 1765, Barrois, ANF-1950. Renouard de Bussière, secrétaire du roi 1760, baron en 1828, vicomte en 1827, Berry[Jougla 91] Renty de, baron en 1828, Flandre, ANF-1970[réf. nécessaire]. Renusson d'Hauteville de, anobli en 1703, révoqué en 1715, conseiller secrétaire du roi en 1777 près la chancellerie de la Cour des Aides de Clermont-Ferrand, mort en charge, Maine[Jougla 92]. Rességuier de, anoblissement graduel au XVIIe siècle par la charge de conseiller au parlement de Toulouse[195], comte et marquis 10 décembre 1652, maintenue noble 29 avril 1667 et 23 janvier 1698[196], Rouergue[Jougla 93], Toulouse, ANF-2016 Retz de Servies de, extraction 1525, Gévaudan, ANF-1984[réf. nécessaire]. Revel du Perron de, cour des comptes de Grenoble, 1644, Dauphiné[197],[a 25]. Reviers de Mauny de, ancienne extraction 1469, maintenue 1634, Normandie, Orléanais[198][réf. nécessaire], ANF-1948. Reydet de Vulpillières de, extraction 1560, Savoie[Foras 16], ANF-1987. Reynal de Saint-Michel sans particule pour une branche, Reynal de Saint-Michel de olim Raynal capitoul de Toulouse 1682, Languedoc, Martinique, Bordeaux[réf. nécessaire]. Reynold de Seresin, Parlement de Dombes 1732-1752, Dauphiné, ANF-1981[réf. nécessaire]. Riberolles de, secrétaire du roi 1736-1762, Auvergne Thiers, ANF-1998[réf. nécessaire]. Ribes de, secrétaire du roi 1764, comte en 1816, Languedoc, Paris, ANF-1952[réf. nécessaire]. Ribier de, ancienne extraction 1428, Auvergne[Jougla 94], ANF-1939. Richard de La Tour, extraction 1517, Poitou[LM 112], ANF-1948. Richard de Soultrait, Chambre des Comptes de Dole 1745-1748, Valréas en Provence, Nivernais[a 26], ANF-1944. Richard de Vesvrotte, anobli en 1561, Bourgogne, ANF-1955[199][réf. à confirmer]. Richer de Forges, anobli en février 1472 et maintenue noble en 1666[Jougla 95],[200],[LM 113], Normandie, Bretagne anobli en 1742 selon Régis Valette[b 40], ANF-1995. Richoufftz de Manin de, ancienne extraction en Allemagne, 1599, Artois, ANF-1934[réf. nécessaire]. Riencourt de, extraction chevaleresque 1206, honneurs de la cour, marquis en 1860, Picardie, ANF-1953[réf. nécessaire]. Rieu de Séverac, et - de Maynardier du, extraction, maintenues 1699 sgrs de Séverac et 1784 sgrs de Maynardier, Rouergue, Périgord[Jougla 96] Rieux de la Villoubert des, secrétaire du roi 1747 confirmé en 1816, Bretagne Nantes, ANF-1974[réf. nécessaire]. Rigal de, de Peuchemartin, extraction, Agenais, Auvergne, ANF-2000[réf. nécessaire]. Rimonteil de Lombares de, ancienne extraction, Agenais, ANF-1937[réf. nécessaire]. Riols de Fonclare de, maintenue en 1753, Languedoc, Auvergne, ANF-1981[réf. nécessaire]. Rioult de Neuville, ancienne extraction 1453, marquis en 1825, Normandie[LM 114], ANF-1983. Rioust des Villes-Audrains de Largentaye, Restauration, anobli en 1816, Bretagne[LM 115], ANF-1935. Ripert d'Alauzier de, ancienne extraction 1443, Dauphiné, Comtat Venaissin[201], ANF-1975. Riquet de Caraman de et- de Caraman-Chimay, anobli en 1666, honneurs de la cour, duc en 1830, Languedoc Béziers, Toulousain, Ile-de-France, Belgique[Jougla 97], ANF-1938. Riston, secrétaire du roi 1775-1785, Lorraine, ANF-1949[réf. nécessaire]. Rivals de Boussac et - de Mazères de, ancienne extraction 1403, Languedoc, ANF-1956[réf. nécessaire]. Rivérieulx de Varax de et Rivérieulx de Chambost de Lépin de, anoblissement par charge de secrétaire du roi le 12 avril 1719, Bourbonnais puis Lyonnais, Beaujolais, Bresse et Savoie[Jougla 98], ANF-1935. Rivière de, anobli en 1822, baron, Vivarais, ANF-1949[réf. nécessaire]. Rivoire de La Batie de, extraction chevaleresque 1288, Dauphiné[202],[b 41]. Robert des, extraction 1542, Languedoc, lorraine, ANF-1933[réf. nécessaire]. Robert de Boisfossé, extraction, maintenue de noblesse à l'intendance du Poitou par Barentin le 24 septembre 1667[203], Poitou, ANF-1975. Robert Hautequère de, extraction, maintenue 1698, Comté de Foix, ANF-1991[réf. nécessaire]. Robert de Lézardière, ancienne extraction 1465, Poitou[LM 116], ANF-1970. Robert de Saint Victor, Parlement de Rouen 1670 et 1758, Normandie[Jougla 99] Robert de Saint-Vincent, chambre des comptes de Paris 1701, vicomte en 1817 et en 1818, Île-de-France, ANF-1996[réf. nécessaire]. Robien de olim Gautron, extraction chevaleresque 1389, honneurs de la cour, Bretagne[LM 117], ANF-1975. Robillard de Beaurepaire de, secrétaire du roi 1727 ; Normandie, ANF-1975[réf. nécessaire]. Robillard de Magnanville, Empire, baron sur institution de majorat par du 22 octobre 1810[204], confirmé par du 14 décembre 1822, Flandre, ANF-1948[réf. nécessaire]. Robin de Barbentane de, ancienne extraction 1479, marquis en 1862, Provence, ANF-1946[réf. nécessaire]. Robineau de Rochequairie, ancienne extraction 1432, Bretagne, Poitou[LM 118], ANF-1967. Robinet de Cléry, anobli en 1823, Lorraine, ANF-1977[réf. nécessaire]. Robinet de Plas, extraction 1500, maintenue 1667-1697, preuves pour École militaire 1778 et 1781, Angoumois, Périgord, ANF-1964[réf. nécessaire]. Robuste de Laubarière, Maison royale de Saint-Louis 1751, Angoumois, ANF-1997[réf. nécessaire]. Rocca-Serra de, extraction 1556, maintenue 1772, Corse[Jougla 100] Rochechouart de, extraction chevaleresque 980 nom apparu 1037, duc de Mortemart en 1650 branche cadette, honneurs de la cour, Limousin[a 27],[LM 119], ANF-1939. Rochefort de, extraction 1510, Forez, ANF-1939. Rocher de La Baume Dupuy-Montbrun, Second Empire, comte en 1868, Dupuy-Montbrun par décret de 1866, Vivarais, ANF-1981[a 28]. Roches de Chassay des, anobli et confirmé dans sa noblesse en 1663, Poitou[réf. nécessaire]. Rochette de Lempdes, secrétaire du roi 1650-1671, Auvergne, ANF-1955[réf. nécessaire]. Rocoffort de Vinnière, échevin de Lyon 1766, Lyonnais, ANF-1954[réf. nécessaire]. Rocquigny du Fayel de, extraction 1540, Normandie, Picardie[LM 120], ANF-1938. Rodellec du Porzic de, ancienne extraction 1486, Bretagne Finistère[LM 121], ANF-1981. Rodez Bénavent de anciennement de Bénavent, extraction chevaleresque 1307, honneurs de la cour, Rouergue[a 29], ANF-1938. Rodorel de Seilhac de, ancienne extraction 1478, Quercy, Limousin, ANF-1935[réf. nécessaire]. Roederer, Conseiller au Parlement de Metz 1780, comte de l'Empire par du 21 décembre 1808[205], Lorraine. Roffignac de Sannat de, extraction chevaleresque 1385, Limousin, ANF-1953[réf. nécessaire]. Roger de Villers, secrétaire du roi 1742-1765, Île-de-France, ANF-1972[réf. nécessaire]. Rogon de Carcaradec, extraction 1551, Bretagne[LM 122], ANF-1993. Rohan de, extraction chevaleresque 1008, duc de Rohan-Rochefort, Bretagne, Autriche[206], États-Unis. Rohan-Chabot de olim Chabot, extraction chevaleresque 1269, duc de Rohan en 1648, honneurs de la cour, Poitou, Paris[b 42], ANF-1936. Roll-Montpellier de, admis aux États de Navarre 1720, Navarre, ANF-1973[réf. nécessaire]. Rolland de et Dalon, ancienne extraction 1459, marquis Dalon en 1867, Guyenne, ANF-1952[réf. nécessaire]. Rolland de Blomac et du Roquan, anobli en 1777, baron de Blomac et de l'Empire en 1814, baron héréditaire 1818, Languedoc[Jougla 101] Rolland de Chambaudoin d'Erceville, secrétaire du roi 1691-1718, comte en 1770, même famille que la précédente, Languedoc, ANF-1949[réf. nécessaire]. Rolland du Noday, ancienne extraction 1464, Bretagne[LM 123], ANF-1950. Rolland de Rengervé, extraction chevaleresque 1373, Bretagne[LM 124], ANF-1949. Rolland du Roscoät, extraction chevaleresque 1373, Bretagne[LM 125], ANF-1937. Rolland de Villard-Sallet de, extraction 1563, Savoie[Foras 17], ANF-1954. Romain de, maire d'Angers en 1743, comte à titre personnel 1825, Anjou[Jougla 102] Romance de, 1639, Liège, Champagne[LM 126], ANF-1954. Romand de, secrétaire du roi 1707, Dauphiné, ANF-1966[réf. nécessaire]. Romanet de Beaune de, anobli en 1644, Limousin, ANF-1935[réf. nécessaire]. Romanet du Caillaud, secrétaire du roi XVIIIe siècle à Aix confirmé en 1771, Limousin, ANF-1990[réf. nécessaire]. Romans de, extraction 1530, Touraine, Anjou, ANF-1975[réf. nécessaire]. Ronseray de, baron en 1818, Bretagne, Saint-Domingue[LM 127]. Roquefeuil de, - du Bousquet, - Montpeyroux, et - Cahuzac, olim de Blanquefort, extraction chevaleresque 1393, honneurs de la cour, Rouergue, Bretagne[Jougla 103], ANF-1938. Roquemaurel de, ancienne extraction 1420, Auvergne, ANF-1940[réf. nécessaire]. Roquemaurel de, extraction 1552, Languedoc, ANF-1940[réf. nécessaire]. Roquette-Buisson de, capitoul de Toulouse 1466, Languedoc, Guyenne, ANF-1992. Languedoc[réf. nécessaire]. Rorthais de, ancienne extraction 1497, Poitou, ANF-1936[réf. nécessaire]. Rosel de Saint-Germain du, ancienne extraction 1463, Normandie, ANF-1985[réf. nécessaire]. Rossard de Mianville, Restauration, anobli en 1819, Orléanais[réf. nécessaire]. Rotalier de, Chambre des comptes de Dole 1680, Franche-Comté, ANF-1938[réf. nécessaire]. Roton de, anobli en 1724, Lorraine, ANF-1933[réf. nécessaire]. Rotours des, ancienne extraction 1448, Normandie, ANF-1947[réf. nécessaire]. Roüalle de, secrétaire du roi 1699, Paris, ANF-1939[réf. nécessaire]. Roubin de, lettres patentes Toulouse, 1677, baron 1819[réf. nécessaire]. Rougé de, olim des Rues, extraction chevaleresque, filiation 1375, marquis en 1825, honneurs de la cour, Bretagne, Anjou[LM 128], ANF-1938. Rouget de Gourcez, maire de Niort 1728, Poitou[b 43]. Rouilhan de, secrétaire du roi 1729-1731, Armagnac, ANF-1980[réf. nécessaire]. Rouillé d'Orfeuil, secrétaire du roi 1679-1694, honneurs de la cour, baron en 1810 confirmé en 1815, Île-de-France[réf. nécessaire], ANF-1954[207]. Roulhac de Rochebrune, capitoul de Toulouse 1747, Limousin, ANF-1954[réf. nécessaire]. Roullet de La Bouillerie, branche ainée Empire, baron en 1810 ; branche cadette Restauration, anobli en 1816; Maine, ANF-1936[réf. nécessaire]. Roure de Beaujeu du, anobli confirmé en 1758, Vivarais, Languedoc Nîmes, ANF-1954[réf. nécessaire]. Rousiers de, maintenue en 1599, admission au collège militaire de Pontlevoy le 7 mars 1788[208], Saint-Brice-sur-Vienne en Limousin, ANF-1989[réf. nécessaire]. Roussel de Courcy, anobli en 1745, marquis en 1749, Orléanais Chartres, ANF-1943[réf. nécessaire]. Roussel de Préville de, extraction 1516, Picardie, ANF-1943[réf. nécessaire]. Roussy de Sales de, secrétaire du roi 1704, marquis 1821, relève le nom de l'ancienne famille de Sales, Savoie[Foras 18]. Rouvroy de, trésorier à Lille 1693-1721 et 1721-1754, Lille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Rouvroy de Saint-Simon de, extraction chevaleresque 1334, duc de Saint-Simon en 1635 pour une branche éteinte, honneurs de la cour, Picardie, Ile-de-France[LM 129], ANF-1953. Roux de - de Navacelles, extraction 1546, maintenue le 13 janvier 1671, Languedoc, Avignon et Provence, ANF-1963[réf. nécessaire]. Roux de, anobli en 1772, Provence, ANF-1967[réf. nécessaire]. Roux de Bézieux, échevin de Lyon 1769, Lyonnais, ANF-1989[réf. nécessaire]. Roux de Chevrier de Varennes de Bueil du, ancienne extraction 1404, honneurs de la cour, comte en 1827, Brie, ANF-1963[réf. nécessaire]. Roux de Reilhac, ancienne extraction 1454, Angoumois, Périgord, ANF-1951[réf. nécessaire]. Rovira de, bourgeois honoré de Perpignan 1689[209], Roussillon, ANF-1936 Roy de Lachaise, anobli confirmé en 1698, Bourbonnais, ANF-1991[réf. nécessaire]. Royer Dupré de, du 31 mai 1817 du roi Louis XVIII accordant la noblesse héréditaire avec règlement d'armoiries à Joseph Étienne Royer Dupré[210], Grenoble en Dauphiné[réf. nécessaire], ANF-2008[211]. Royère de, extraction chevaleresque 1384, maintenue de noblesse à l'intendance de Limoges par l'Aguesseau en 1666, Royere en Limousin, Périgord[réf. nécessaire], ANF-1938[212]. Roys d'Eschandelys des, extraction chevaleresque 1253[213], maintenue de noblesse à l'intendance d'Auvergne le 3 août 1667 par Bernard de Fortia[214], honneurs de la cour en 1785[215], Le Puy-en-Velay, Auvergne[réf. nécessaire], ANF-1934. Famille éteinte en ligne masculine. Roys de Lédignan Saint-Michel de, extraction 1530, Bas-Languedoc. ANF-1991[réf. nécessaire]. Rozières de, anobli confirmé en 1711[a 30] comme descendant d'un "gentilhomme de Laveline", village dont tous les habitants furent anoblis collectivement en 1476[a 30], Lorraine, ANF-1948. Ruault des Courchamps, extraction 1568, Normandie, ANF-1961[réf. nécessaire]. Rudelle de, Conseiller secrétaire du roi par lettres patentes du 10 juillet 1751[216], Cassagnes-Bégonhès en Rouergue, ANF-2005[217]. Ruffo de Bonneval de La Fare, olim Roux de Bonneval, anobli en 1732, marquis de la Fare en 1768[b 44], autorisé en 1814 et 1815 à substituer le nom "Ruffo" à celui de "Roux"[Jougla 104], Marseille, Belgique famille éteinte en France mais subsistante en Belgique. Ruinart de Brimont, Conseiller Secrétaire du roi 1777[218], anobli par le 21 juin 1817, vicomte héréditaire par du 17 mars 1827[219], Champagne[LM 130], ANF-1985. Russon de, extraction, maintenue en 1668, Anjou, ANF-1985[réf. nécessaire]. Ruty, Empire, baron en 1808, comte en 1813, Franche-Comté[réf. nécessaire], ANF-1979[220]. Ryard de Parcey, Chambre des comptes de Dole 1745, lettres d'honneur le 26 mars 1766[221], France-Comté[réf. nécessaire], ANF-1947. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z S Sabatier de Lachadenède, anobli en 1780, baron en 1810, Vivarais[b 45], ANF-1934. Sabbathier de Lafontan de, Restauration anobli en 1825, Gascogne[Jougla 105]. Sablon du Corail de, anobli en 1757, Auvergne[b 46], ANF-1933. Saboulin Bollena de olim Sabolin[222] et Saboulin[223], condamné lors de la recherche de noblesse en 1667[224], maintenu noble 19 octobre 1668[b 46],[224], secrétaire du roi en 1704 mort en charge[224], Provence Signes, ANF-1973. Sabran-Pontevès de olim de Pontevès, extraction chevaleresque 1213, duc de Sabran le 18 juillet 1828[225], Provence, ANF-1939[réf. nécessaire]. Sachy de Fourdrinoy de, Trésorier à Amiens 1695, Picardie[b 46], ANF-1952. Sade de, ancienne extraction 1302[226], honneurs de la cour 1763 et 1766[82], Comtat Venaissin, ANF-1974. Saguez de Breuvery, ancienne extraction 1431, maintenue en 1698, Champagne[b 46], ANF-1936. Saint Angel de, Parlement de Bordeaux 1556, Périgord[b 46], ANF-1970. Saint-Exupéry de, - de Castillon, ancienne extraction 1405, Périgord, ANF-1948[réf. nécessaire]. Saint-Germain de, ancienne extraction 1453, Normandie[b 46], ANF-1974. Saint-Gilles de, extraction chevaleresque 1283, Bretagne[LM 131]. Saintignon de, ancienne extraction 1498, Lorraine[réf. nécessaire], ANF-1938[227] Saint-John de Crèvecoeur de, secrétaire du roi 1660, confirmation 1717, Normandie, Canada[Jougla 106] Saint-Julien de, extraction 1550, maintenue de noblesse par Laugeois le 11 novembre 1715, Armagnac[réf. nécessaire], ANF-2010[228]. Saint-Just d'Autingues de, maintenue de noblesse en 1742[a 31],[229], Flandre, ANF-1954[230]. Saint Leger de, ancienne extraction irlandaise, 1783, Normandie, Angleterre, Irlande, Artois[réf. nécessaire], ANF-1951[231]. Saint Légier de La Sausaye de, ancienne extraction 1421, Saintonge, ANF-1951[réf. nécessaire]. Saint Martin de, anobli en 1591, Picardie[b 47], ANF-1976. Saint Meleuc de, ancienne extraction 1480, Bretagne[LM 132], ANF-1985. Saint Méloir de, ancienne extraction, maintenue en 1668, Bretagne[LM 133], ANF-1947. Saint Ours de, extraction, maintenue en 1666, Périgord, ANF-1991[réf. nécessaire]. Saint Pastou de Bonrepeaux de, extraction chevaleresque 1397, maintenue de noblesse par Laugeois à l'intendance de Montauban le 26 décembre 1715, Saint-Pastou en Bigorre, Comminges, ANF-1989[réf. nécessaire]. Saint Pern de, extraction chevaleresque 1330, honneurs de la cour, Bretagne, ANF-1936[LM 134]. Saint-Phalle de, extraction chevaleresque 1230, honneurs de la cour, Bourgogne, Nivernais, ANF-1935[réf. nécessaire]. Saint Pol de, extraction chevaleresque 1340, Normandie, ANF-1946[réf. nécessaire]. Saint Priest d'Urgel de, extraction chevaleresque 1334, Forez, Languedoc, ANF-1934[232]. Saint-Quentin de, ancienne extraction, maintenue noble le 2 mars 1668 sur preuves de 1450, Champagne[Jougla 107]. Saint-Savin de, ancienne extraction, maintenue en 1715, Poitou, ANF-1989[réf. nécessaire]. Saint Vincent de - et de Brassac, Restauration, baron en 1818, Languedoc, ANF-1985[réf. nécessaire]. Sainte-Hermine de, extraction chevaleresque 1383, honneurs de la cour, Angoumois, Aunis[b 46]. Sainte-Marie d'Agneaux de, extraction chevaleresque 1393, honneurs de la cour, Normandie, ANF-1975[réf. nécessaire]. Saisy de Kerampuil de, ancienne extraction 1446, honneurs de la cour, Bretagne Finistère[233],[Jougla 108]. Salaün de Kertanguy, ancienne extraction 1446, Bretagne[Jougla 109],[LM 135] Salignac-Fénelon de, ancienne extraction 1474, maintenue aux tailles à Poitiers le 9 juin 1599 par Charles Huault de Montmagny, preuves pour les Chevau légers le 10 août 1786, Haute Marche[234]. Salivet de Fouchecourt de, extraction 1531, maintenue par arrêt du Conseil d'État à Versailles le 29 avril 1785[235], Franche-Comté, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF 2012[236]. Sallé de Chou, ou Sallé, anoblissement par lettres baron de l'Empire 1810, Berry, ANF-1968[réf. nécessaire]. Salles de Hys de, cité 1675, anoblissement par lettres baron 1862, Bigorre, ANF-1990[réf. nécessaire]. Sallmard de Ressis de, extraction chevaleresque 1333, Forez, ANF-1940[réf. nécessaire]. Salmon de Loiray de, extraction 1525, maintenues de noblesse à l'intendance d'Orléans par Machault le 6 juin 1667, page de la Petite Écurie le 17 mars 1742[237], Savigny-sur-Braye en Vendômois[réf. nécessaire]. Saltet de Sablets d'Estières, Restauration, anoblie en 1817, Gévaudan[b 48]. Salteur de La Serraz, extraction 1507, marquis de Samoëns 1698, marquis de La Serraz 1784, Savoie[Foras 19], ANF-1992. Salvaing de Boissieu de, olim Perrin de Boissieux, secrétaire du roi 1720, baron en 1821, Dauphiné, ANF-1947[réf. nécessaire]. Salve-Villedieu de[238], extraction, maintenue en 1668, Valensole en Provence. Salviac de Vielcastel de, ancienne extraction 1466[239],[Jougla 110] maintenue en 1666, baron de l'Empire le 6 octobre 1810[240], Périgord et Quercy, ANF-1991. Sambucy de Sorgue de, capitoul de Toulouse 1745, baron en 1861, Rouergue, ANF-1953[a 27]. Sanderet de Valonne, Chambre des comptes de Dole 1768, Franche-Comté, ANF-1977[réf. nécessaire]. Sanglier de La Bastie de, ancienne extraction, maintenue en 1635, Poitou, Touraine, ANF-1980[réf. nécessaire]. Sanhard de La Fressange de, anoblissement par lettres 1439, Velay, Vivarais, ANF-1947[réf. nécessaire]. Sansonetti de, Maintenue par le Conseil Supérieur de Corse en 1771, Corse, ANF-1991[réf. nécessaire]. Saporta de, extraction 1595 à confirmer, condamné comme faux noble 26/11/1667 se reporter à la source, pages 574 à 575[38], maintenue en 1668 à confirmer, marquis en 1870, Provence, ANF-1938. Saqui de Sannes de, extraction 1535, Provence, ANF-1946[réf. nécessaire]. Sarcus de, ancienne extraction 1410, Picardie, ANF-1994[réf. nécessaire]. Sarrau de, secrétaire du roi 1604-1626, Guyenne, ANF-1981[réf. nécessaire]. Sarrieu de, extraction 1502, Béarn, Comminges[b 49]. Sarrut, Empire, baron en 1814, Foix[b 49]. Sars de, extraction 1561 lettres de chevalerie 1671, 1777 école militaire, Hainaut, ANF-1933[réf. nécessaire]. Sartiges de, extraction chevaleresque 1362, honneurs de la cour, Auvergne, ANF-1953[réf. nécessaire]. Sartre de, secrétaire du roi 1691, maitenue 1717, Languedoc, Saintonge[Jougla 111] Saulieu de La Chomonerie de, extraction, maintenue en 1653, Nivernais, ANF-1940[réf. nécessaire]. Saulnier d'Anchald, anobli en 1816, vicomte en 1828, Auvergne[Jougla 112], ANF-2018. Sault du, secrétaire du roi 1592, Guyenne, ANF-1988[réf. nécessaire]. Saunhac de et de Soniat du Fossat[réf. nécessaire], ancienne extraction 1418, Rouergue, Quercy, Agenais, Louisiane[b 49] éteinte en France. Sautereau du Part, Empire, baron en 1813, confirmé en 1818, Nivernais, ANF-1979[réf. nécessaire]. Sauvage de Saint-Marc et - des Marches, Chambre des comptes de Dole 1758-1771, Bourgogne, Bugey. ANF 1998[réf. nécessaire]. Sauvan d'Aramon de, secrétaire du roi 1634-1655, baron en 1814, Comtat Venaissin, ANF-1946[réf. nécessaire]. Savenelle de Grandmaison de alias Desavenelle[241], maintenue dans ses privilèges de noblesse par du 4 décembre 1771, baron héréditaire par du 15 juin 1824, Péronne en Picardie[242] Savignac de, extraction 1516, Limousin[b 50], ANF-1975. Scey-Montbéliard de, extraction chevaleresque[Jougla 113], ou ancienne extraction 1449[b 50], comte en 1649, honneurs de la Cour 1750, 1762 et 1786, Franche-Comté[243], ANF-1936. Schauenburg de, extraction chevaleresque 1332, Alsace, ANF-1946[réf. nécessaire]. Schmitz, Empire, baron en 1815 confirmé en 1868, Lorraine, ANF-1995[réf. nécessaire]. Schonen de, ancienne extraction 1443, Suisse, Bretagne[Jougla 114] Scitivaux de Greische de, anobli par du 29 juin 1819 avec règlement d'armoiries[244], Lorraine. Scorbiac de, Parlement de Toulouse au XVIIe siècle, baron en 1811, Quercy, ANF-1951[réf. nécessaire]. Scorraille de, extraction chevaleresque 1168, Auvergne, Guyenne, ANF-1981[réf. nécessaire]. Scott de Martinville, extraction maintenue de 1671, Écosse, Bretagne, ANF-1980[réf. nécessaire]. Sécillon de, ancienne extraction 1464, Bretagne[LM 136]. Secondat de Montesquieu de, trésoriers à Bordeaux 1544, Guyenne[LM 137]. Une branche Secondat de Montesquieu sans particule, ANF-1952. Sède de Lieoux de, capitoul de Toulouse 1657, Languedoc, ANF-1956[réf. nécessaire] Ségogne de, anobli par charge de conseiller secrétaire du roi 1777-1790[b 46] ou noblesse inachevée[245],[246] sources non consensuelles sur l'anoblissement par charge de cette famille, Normandie. Séguier, Chambre des comptes de Paris 1550, baron en 1809, Paris[b 50]. Séguier de, Parlement de Toulouse 1485, Toulouse, ANF-1984[réf. nécessaire]. Seguin de, capitoul de Toulouse 1762, Guyenne, ANF-1965[réf. nécessaire]. Seguin de Broin, secrétaire du roi 1735-1755, Bourgogne, ANF-1975[réf. nécessaire]. Seguin des Hons de, Écoles Militaires 1787, baron en 1825, Languedoc, ANF-1989[réf. nécessaire]. Seguin de Reyniès de, extraction 1550, Gévaudan, ANF-1962[réf. nécessaire]. Seguins Pazzis d'Aubignan de, Seguins Cohorn de Vassieux de, ancienne extraction 1409, marquis d'Aubignan en 1667, honneurs de la cour, Provence, Comtat venaissin, ANF-1949[réf. nécessaire]. Ségur de, ancienne extraction 1435, honneurs de la cour relève Lamoignon par décret de 1860, Guyenne, Autriche[réf. nécessaire]. Seissan de Marignan de, secrétaire du roi 1753, Armagnac, ANF-1981[réf. nécessaire]. Selle de Beauchamp de, secrétaire du roi 1734, Provence, ANF-1973[réf. nécessaire]. Selve de Sarran de, secrétaire du roi 1749, Limousin, ANF-1939[réf. nécessaire]. Senigon de Rousset de Roumefort du Cluzeau de, anobli en 1720, Périgord, Agenais[Jougla 115] absent du Valette et principe de noblesse à confirmer. Sercey de, ancienne extraction 1464, Bourgogne, ANF-1947[réf. nécessaire]. Séré de, anobli en 1815, Comté de Foix, ANF-1986[réf. nécessaire]. Séré de Rivières, capitoul de Toulouse 1723, Languedoc Albi[b 51]. Serech d'Aurimont de Saint Avit du, extraction, maintenue 1669, Quercy[réf. nécessaire], ANF-1972[247]. Seroux de, anobli en 1717, Beauvaisis, ANF-1994[réf. nécessaire]. Serre de Saint Roman de, Chambre des comptes de Paris 1744, comte en 1830, Languedoc, ANF-1954[réf. nécessaire]. Serres de Mesplès de, cour des comptes de Montpellier 1609, Vivarais, Languedoc, ANF-1937[réf. nécessaire]. Sers, Empire, comte en 1808, Languedoc Albigeois[b 51]. Servan, échevin de Lyon 1763-1765, Lyonnais[a 32]. Sesmaisons de, extraction chevaleresque 1375, honneurs de la cour, Bretagne[LM 138], ANF-1982. Seurrat de La Boulaye, échevin de Bourges au XVIe siècle, secrétaire du roi 1761-1780[a 32], Berry, Orlé. Séverac de, extraction 1518, Rouergue, ANF-1936[réf. nécessaire]. Sevin, Sevin de Bandeville et- de Quincy de, anobli par charges à la Chambre des Comptes de Paris de 1587 à 1647[248]; agrégé à la noblesse au XVIIe siècle et preuves pour les écoles royales militaires en 1783 pour la branche de Segougnac[249], Orléanais, Agenais, Ile-de-France, ANF-1963. Seyssel-Cressieu de, extraction 1522, Savoie[Foras 20], ANF-1947. Sèze de, Restauration, comte en 1817, Guyenne, ANF-1937; seule la branche issue de Raymond de Sèze a un principe de noblesse[réf. nécessaire]. Sicard, cour des comptes de Montpellier 1746-1766 et 1759-1790, Languedoc, ANF-1990[réf. nécessaire]. Silvestre de, anobli en 1741, baron en 1826, Lorraine, Paris, ANF-1962[réf. nécessaire]. Silvestre de Sacy, charge inachevée au XVIIIe siècle, noblesse d'Empire, chevalier en 1809, baron en 1813, Île-de-France[réf. nécessaire]. Simard de Pitray[250], Conseiller Secrétaire du roi en la Chancellerie près le Parlement de Guyenne le 24 novembre 1699 mort en charge, Simard en Bresse, puis Guyenne. Siméon, noblesse d'Empire 1808, comte en 1818, Provence, ANF-1970[réf. nécessaire]. Simon de La Mortière, noblesse d'Empire 1808, confirmé en 1821, Île-de-France, ANF-1938[réf. nécessaire]. Simony de, anobli en 1571, Italie, Lorraine, Haute-Marne[b 52] éteinte en 1999 en ligne masculine. Sinéty de, agrégé deuxième moitié du XVIe siècle se reporter à la source, pages 589 à 590[38], condamné ou désistement de noblesse le 9 juillet 1667[251], maintenue de noblesse d'extraction par Le Bret le 6 février 1708[252], marquis de Lurcy Lévis par d'août 1770, honneurs de la cour en 1760, Apt en Provence, ANF-1958. Sioc'han de Kersabiec, ancienne extraction 1426, Bretagne Finistère, ANF-1973[LM 139]. Siriez de Longeville, anobli en 1816, Boulonnais, ANF-1962[réf. nécessaire]. Solages de, olim d'Arjac, extraction chevaleresque 1382, Rouergue, ANF-1939[réf. nécessaire]. Solan-Bethmale de, extraction 1558, maintenue 1699[Jougla 116]. Solminihac de, ancienne extraction 1417, maintenues 1699 et 1715, Périgord, Guyenne[Jougla 117] Sommyèvre de, ancienne extraction 1401, maintenue 1669, Champagne[Jougla 118] Sonier de Lubac, Restauration, anoblie en 1829, Vivarais[a 33] Famille éteinte en ligne masculine. Sorbiers de La Tourrasse de, ancienne extraction 1434, maintenues 1634 et 1716, Touraine[Jougla 119] Soualhat de Fontalard de, extraction 1529, Auvergne, ANF-1993[réf. nécessaire]. Souhy de, olim de Gouzian de Saint-Martin de Souhy anobli en 1663, confirmé en 1748 et 1773 Lettres patentes de relief de surannation du 30 décembre 1773 enregistrées au Parlement de Bordeaux le 27 mars 1774, Béarn, ANF-1980. Famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Sourdeau de Beauregard, Grand-Conseil 1711-1741, Orléanais, Saumurois[b 53]. Souris de, extraction 1562, Corrèze[Jougla 120]. Soyres de, Une branche ajoute le nom de la famille éteinte Desmé de Chavigny, extraction, maintenue en 1660, Guyenne, ANF-1939[réf. nécessaire]. Sparre de, extraction chevaleresque 1170, comte en 1675 en Suède, baron de l'Empire en 1811, Suède, France, ANF-1938[réf. nécessaire]. Spens d'Estignols de, Parlement de Bordeaux au XVIe siècle, Écosse, Guyenne[réf. nécessaire], ANF-1979[253]. Stabenrath de, Empire, baron en 1808, confirmé en 1816, Silésie, Normandie, ANF-1936[réf. nécessaire]. Stadieu de, Restauration, anobli en 1816, Audev[réf. nécessaire]. Stellaye de Baigneux de Courcival, ancienne extraction 1469, Maine, ANF-1979[réf. nécessaire]. Suarès d'Almeyda de, maintenue 1814, Portugal, Languedoc[Jougla 121] Sublet d'Heudicourt de Lenoncourt, preuves 1574, maintenue en 1669, Blésois, Lorraine[réf. nécessaire]. Suchet d'Albuféra, Empire, comte en 1808, duc d'Albuféra en 1813, Lyonnais, ANF-1954[réf. nécessaire]. Suisse de Sainte Claire, Empire, chevalier en 1810, baron en 1814, Lorraine, ANF-1949[réf. nécessaire]. Supervielle de, admission aux états de Béarn en 1778, Béarn, ANF-1979. Famille éteinte en ligne masculine[réf. nécessaire]. Suremain de, secrétaire du roi 1701-1724, Bourgogne. Conseiller au Parlement de Bourgogne[b 54]. Surirey de Saint Rémy de, secrétaire du roi 1710-1716, Normandie, Paris, ANF-1946[réf. nécessaire]. Surrel de Saint-Julien de, certificat de noblesse en 1776 cadet-gentilhomme, 1778[254], ANF-1989. non consensus[255] Surville de, Restauration, anobli en 1816, Languedoc[b 55]. Susanne d'Epinay, extraction 1553, Normandie, ANF-1962[réf. nécessaire]. Susbielle de, Restauration, baron en 1822, Île-de-France, Trinidad[Jougla 122] titre sans anoblissement Suyrot de, ancienne extraction 1447, Poitou[LM 140], ANF-1935 . Suzannet de, extraction, maintenue de noblesse à l'intendance de Poitiers le 27 septembre 1667, baron en 1827, Poitou, ANF-1968[réf. nécessaire]. Suzzarelli, 1789 noblesse de Sardaigne 1539, Corse[256] Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z T Taffanel de La Jonquière de, confirmation de noblesse en 1749, Albigeois[Jougla 123], ANF-1935. Taffin de Givenchy, secrétaire du roi 1713-1740[257], Flandre, Artois[Jougla 124], ANF-1978. Taffin de Tilques, certificat de noblesse en date du 26 mai 1783[258] écoles militaires, Saint-Omer en Artois[réf. nécessaire], ANF-2004[259]. Taillandier de, secrétaire du roi 1699-1720, Auvergne[Jougla 125], ANF-1965. Taillepied de Bondy, secrétaire du roi 1736, comte de l'Empire 1810, Ile-de-France Meulan, Paris[Jougla 126], ANF-1991. Talhouët-Roy de, ancienne extraction 1424, Bretagne[LM 141], ANF-1940. Tandeau de Marsac, 2 générations de Présidents Trésorier de France 1743-1745 et 1765-1790, Limousin[Jougla 127]. Tanoüarn de, olim Le Ménager, substitution du nom en 1641 anobli 1581[260],[261], maintenue noble le 6 mai 1669[LM 142], Bretagne, ANF-1972. Tappié de Vinssac de, capitoul de Toulouse 1766, Languedoc, ANF-1977[réf. nécessaire]. Tarade de et -de Corbeilles, anobli par de janvier 1683[262], confirmation de noblesse le 18 décembre 1696[263], Orléanais[réf. nécessaire], ANF-1938. Tarbé de Saint-Hardouin, Empire, chevalier en 1810, confirmé en 1816, Sénonais Sens, ANF-1962[réf. nécessaire]. Tardieu de Maleissye et Tardieu de Maleissye-Melun, anobli en 1576[261], une branche autorisée à ajouter "Melun" à son nom par décret du 29 mars 1902[264],[265], Normandie, ANF-1937. Tardif d'Hamonville, anobli en 1736, Normandie, ANF-1994[réf. nécessaire]. Tardif de Moidrey, ancienne extraction 1498, baron en 1866 sur réversion d'un titre de 1828, Normandie[réf. nécessaire] Avranchin[réf. nécessaire], ANF-1953[266]. Tardif de Petiville, secrétaire du roi 1728, Normandie, ANF-1939[réf. nécessaire]. Tardy de Montravel de, maintenue en 1786, comte en 1815, Auvergne, Vivarais, ANF-1938[a 34]. Tarragon de, ancienne extraction 1485, Orléanais[LM 143], ANF-1933. Tascher de La Pagerie de, ancienne extraction 1466, comte de l'Empire en 1808[a 35], Perche, Martinique, ANF-1954. Tassin de Montaigu, secrétaire du roi 1754[a 35], Orléanais, ANF-1954. Tassin de Villepion et - de Nonneville, secrétaire du roi 1759-1776, vicomte de Nonneville en 1816, Orléanais[a 35], Tassin de Saint-Péreuse, secrétaire du roi 1765[a 35], Orléanais, ANF-1993. Tassin de Charsonville, secrétaire du roi 1754[267],[a 35], Orléanais. Tastes de Labarthe de, extraction, maintenue 1696, Agenais, ANF-1979[réf. nécessaire]. Taupinart de Tilière, Parlement de Paris 1720-1779 et Cour des Aides de Paris 1759, Orléanais, Île-de-France, ANF-1933[réf. nécessaire]. Tauzia de Montbrun de, anobli en 1703, Agenais[Jougla 128] Teillard d'Eyry olim Teillard de Chabrier[268], Teilhard de Chardin[269], et Teillard de Rancilhac de Chazelles[270], Restauration, anobli en 1816[271], Auvergne Cantal[réf. nécessaire], ANF-1974 pour les branches T. d'Eyry et T. de Chazelles, ANF-2005 pour la branche T. de Chardin[Jougla 129], Temple de Rougemont du, Cour des Monnaies de Paris 1769-1771, Chartres, ANF-1976[réf. nécessaire]. Tenant de La Tour, ancienne extraction 1440, Haut-Limousin[272], ANF-1938. Ternisien de Boiville, extraction 1515, maintenue 1697, Picardie[Jougla 130] Terras de, anobli en 1767, Dauphiné, Provence, ANF-1972[réf. nécessaire]. Terrasson de Montleau de, échevin d'Angoulême en 1580, Angoumois, ANF-1986[b 56] Terrasson de Sénevas, échevin de Lyon 1684 et 1685[273], maintenue en 1706, baron de l'Empire en 1813, Lyonnais, ANF-1934. Terray[b 56],[274], secrétaire du roi 1720, Forez, Lyonnais, ANF-2019. Terrien de La Haye, Restauration, anobli en 1820[LM 144], Bretagne Nantes. Tertre du, ancienne extraction 1468, Boulonnais, ANF-1984[réf. nécessaire]. Terves de, ancienne extraction 1468, Poitou, Anjou[LM 145], ANF-1975. Tessières de Blanzac de, de Teyssière, et de Tessières, ancienne extraction 1488[a 36], Périgord, ANF-1961. Testas de Folmont de, noblesse prouvée 1600, Quercy, ANF-1950[réf. nécessaire]. Testot-Ferry, Empire, baron en 1814 lettres patentes de confirmation en 1815, Bourgogne, ANF-1951. noblesse non consensuelle[réf. nécessaire] Testu de Balincourt, secrétaire du roi 1556, marquis en 1719, honneurs de la cour, Ile-de-France Vexin[LM 146], ANF-1974. Thélin de, extraction 1542, maintenue en 1668[275], Auvergne, Champagne, ANF-2011[276]. Thénard, Restauration, baron en 1825, Bourgogne, ANF-1950[réf. nécessaire]. Thévenard de, Empire, comte en 1810, Bretagne[LM 147]. Thibaud de La Rochethulon, anobli en 1627, maintenue en 1667[277], Beaujolais, Poitou[réf. nécessaire], ANF-1935. Thibault de La Carte de La Ferté-Sénectère, ancienne extraction 1440, honneurs de la cour, Poitou, Touraine, ANF-1966[réf. nécessaire]. Thibaut de Menonville, anobli en 1659 par lettres patentes, Lorraine, ANF-1993[réf. nécessaire]. Thierry de Faletans de, anobli en 1606, Lorraine[Jougla 131] Thierry de Ville d'Avray, anobli en 1769 par lettres patentes, baron en 1784, Île-de-France, ANF-1975[réf. nécessaire]. Thillaye du Boullay, secrétaire du roi 1763-1783, Normandie Rouen, ANF-1967[réf. nécessaire]. Thiollaz de, anobli en 1594 par lettres patentes, Savoie[Foras 21] Famille éteinte en ligne masculine. Thirion de Briel, anobli en 1719, Lorraine[Jougla 132] Thiroux de Gervillier, anobli par de juin 1659 [278], Bourgogne Autun[réf. nécessaire]. Thoinnet de La Turmelière, secrétaire du roi 1772, Anjou, Bretagne[réf. nécessaire], ANF-2010[279]. Thoisy de, légitimation en 1599, Bourgogne, ANF-1933[réf. nécessaire]. Tholomese de Prinsac de, maintenue en 1777, Vivarais, Champagne. ANF-1995[réf. nécessaire]. Thomas de Labarthe de, maintenue en 1670 anobli en 1627[280], Albigeois, ANF 1959[réf. nécessaire]. Thomas de Pange, anobli en 1626, marquis en 1766, Lorraine, ANF-1944[réf. nécessaire]. Thomas des Essarts, Restauration, anobli en 1815, Bretagne[Jougla 133] Thomassin de Montbel de, extraction 1666, maintenue en 1756, Barrois, ANF-1934[réf. nécessaire]. Thomasson de, extraction 1545, Périgord, Limousin[Jougla 134] Thomé de Keridec, secrétaire du roi 1680, Bretagne[Jougla 135] Thonel d'Orgeix de, extraction 1555, marquis en 1817, Comté de Foix[b 57]. Thoury de, extraction, maintenue en 1667[Jougla 136], Nivernais, ANF-2011[281]. Thoury de La Corderie de, anobli par lettres en 1764 confirmation de noblesse[Jougla 137], Normandie Orne, ANF-1959. Thy de, extraction chevaleresque 1394, honneurs de la cour, Bourgogne, ANF-1958[réf. nécessaire]. Thy de Milly de, même famille que la précédente, ANF-1954[réf. nécessaire]. Tiersonnier, Restauration, anobli en 1822, Bourbonnais, ANF-1955[réf. nécessaire]. Tillet du, ancienne extraction 1484, Angoumois, Ile-de-France[Jougla 138] Tillette de Mautort et Tillette de Clermont-Tonnerre, anobli par lettres en 1577, baron en 1814. La branche ainée joint Clermont-Tonnerre à son nom à la suite d'une adoption de 1816. Picardie[LM 148], ANF-1938. Tinguy du Pouët de, - de La Giroulière et - de Vexiau, ancienne extraction 1480, Poitou[LM 149], ANF-1936. Tinseau de, extraction 1568, Franche-Comté, ANF-1958[réf. nécessaire]. Tinténiac de, extraction chevaleresque 1385, maintenue en 1669 à Rennes, honneurs de la cour, Bretagne Finistère[LM 150], ANF-1951. Tirant de Bury, secrétaire du roi au XVIIIe siècle, Champagne[b 58]. Tisseuil de, ancienne extraction 1483, Limousin, Marche, ANF-1995[réf. nécessaire]. Tissot de, secrétaire du roi 1746[282], Alsace[réf. nécessaire], ANF-2004[283]. Tonnac de Villeneuve de, ancienne extraction, maintenue en 1669, Albigeois, Suisse[Jougla 139] subsistante en Suisse. Touchebœuf-Beaumond de, extraction chevaleresque 1379, honneurs de la cour, Limousin, Périgord, Quercy, ANF-1983[réf. nécessaire]. Touchet de, extraction chevaleresque 1369, honneurs de la cour, Normandie[b 59]. Toulouse-Lautrec de, extraction chevaleresque 1390, honneurs de la cour, Languedoc[LM 151], ANF-1958. Tournebu de, ancienne extraction, maintenue en 1539 par la Cour des Aides de Normandie, et en 1666 à Caen[284], Normandie Calvados, ANF-1955. Tournemire de, extraction chevaleresque 1259, honneurs de la cour, Auvergne, Limousin, ANF-1948[réf. nécessaire]. Tourtier de, trésorier à Orléans au XVIIe siècle, Orléanais, Picardie, ANF-1958[réf. nécessaire]. Toustain du Manoir de, anobli en 1489, Normandie[réf. nécessaire], ANF-1984[285] Touttée, Restauration, anobli en 1817, Auvergne, ANF-1962[réf. nécessaire]. Touzalin de, anobli en 1660, Poitou[286] Toytot de et - de Rainans, extraction, maintenue en 1769, Franche-Comté Dole[b 60]. Trédern de, ancienne extraction 1475, Bretagne Finistère[LM 152], ANF-1965. Treilhard, Empire, comte en 1808, Brive, Paris[287]. Trémaudan de, extraction 1531, Bretagne[LM 153], ANF-1981. Trémeuge de La Roussière de, ancienne extraction 1475, Auvergne, ANF-1961[réf. nécessaire]. Trémolet de Lacheisserie du, ancienne extraction 1490, Vivarais, ANF-1989[réf. nécessaire]. Tréourret de Kerstrat de, ancienne extraction 1430, Bretagne Finistère, ANF-1978[288][réf. à confirmer]. Tressemanes-Brunet de Simiane de, parlement et chambre des comptes d'Aix 1567[b 60],[289],[38], Provence, ANF-1995. Treton de Vaujuas-Langan, secrétaire du roi 1701, Maine[LM 154], ANF-1979. Tricaud de, échevin de Lyon 1630[b 61]. Tricornot de et de Tricornot de Rose, anobli en 1630, Tricornot de Rose par décret de 1875 pour la branche aînée, Franche-Comté[réf. nécessaire], ANF-2003[290]. Trinquelague-Dions de, baron en 1860, Gard[b 61]. Tripier de Lozé, Chambre des Comptes de Bretagne 1727-1748 et 1751-1775, Maine Mayenne, ANF-1977. Tristan de, extraction chevaleresque 1378, Beauvaisis, Orléanais, ANF-1961[réf. nécessaire]. Trogoff de, - de Coatallio, - du Boisguézennec, et - de Kerlessy, ancienne extraction 1403, Bretagne Côtes-d'Armor, ANF-1938[LM 155]. Trolong du Rumain de, extraction chevaleresque 1388, honneurs de la cour, Bretagne Côtes-d'Armor[LM 156]. Tron de Bouchony, - de Bérard et - de Montalet, maintenue en 1776, Comtat Venaissin, ANF-1967[réf. nécessaire]. Truchis de Varennes de et - de Lays, anobli en 1648, Bourgogne,[réf. nécessaire] ANF-1937[291]. Trudon des Ormes, échevin de Paris 1774, Île-de-France, ANF-1962. Trutié de Varreux, secrétaire du roi 1746-1754, Nivernais, ANF-1971[réf. nécessaire]. Tudert de, ancienne extraction 1370, honneurs de la cour, Poitou, ANF-1976[réf. nécessaire]. Tulle de Villefranche, ancienne extraction 1382, baron en 1824, honneurs de la cour, Comtat Venaissin, ANF-1997[réf. nécessaire]. Turckheim de, anobli confirmé en 1552, Alsace, ANF-1959[réf. nécessaire]. Turenne d'Aynac de et - d'Aubepeyre , extraction chevaleresque 1399, honneurs de la cour, comte d'Aynac en 1813, branche naturelle des Turenne, Limousin, ANF-1935[292]. Turgy de, Restauration, anobli en 1814, Ile-de-France[LM 157]. Tyrel de Poix et de Poix, ancienne extraction 1408, maintenue en 1671[293], Berry, Touraine, ANF-1938. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z U Ursel d', olim Schetz, anobli en 1527 par Charles Quint Pays-Bas espagnols, duc d'Hoboken en 1717 Pays-Bas autrichiens, comte de l'Empire le 16 décembre 1810, Brabant[réf. nécessaire], ANF-2017[294]. Urvoy de Portzamparc et - de Closmadeuc, ancienne extraction 1402, maintenue en 1669 à Rennes, Bretagne Côtes-d'Armor[16] ANF-1948. Ussel d', extraction chevaleresque 1353, baron de l'Empire 1813, Limousin, Marche, ANF-1934[réf. nécessaire]. Uston de Villeréglan d', olim Duston, baron Duston de Villeréglan et de l'Empire 1813, baron héréditaire 1816, Languedoc Limoux[Jougla 140], ANF-2016. Utruy d', olim Dutruy, Empire, baron en 1809, confirmé en 1863, Guyenne[d 37]. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z V Vachon de alias Vachon d'Agier olim Dagier, ancienne extraction 1454, Retournac en Auvergne[295], Dauphiné[296], Velay, ANF-1954 Vaillant de Guélis, parlement de Paris XVIe siècle, Orléanais, Nivernais[a 37]. Vaillant de Meixmoron-Mathieu de Dombasle, chambre des comptes de Dole 1786, relève Mathieu de Dombasle par décret de 1866, Lorraine[réf. nécessaire][297]. Val du, ancienne extraction 1437, marquis de Tercis 1685 pour le rameau aîné, éteint, de la branche de Bordeaux, seule subsistante, Touraine puis Guyenne[réf. nécessaire], ANF-1977 et 2016[298]. Val de Bonneval du, anoblissement par charge 1519, marquis de Bonneval 1677, Normandie, ANF-1951[réf. nécessaire]. Val d'Eprémesnil du, anobli en 1719, Normandie Le Havre, ANF-1962[réf. nécessaire]. Valence de Minardière de, anobli relief en 1678, une branche a relevé Marbot par décret de 1893, Forez, Lyonnais, ANF-1952[réf. nécessaire]. Valicourt de et - de Becourt et - de Séranvillers, anobli en 1668, Flandre Cambrésis, ANF-1937[réf. nécessaire]. Vallet de Villeneuve, secrétaire du roi 1730, comte en 1808, baron en 1815, Angoumois, ANF-1967[réf. nécessaire]. Valleteau de Moulliac, anobli comme échevin d'Angoulême 1733-1740 comparant à Angoulême en 1789[299], Angoumois, ANF-1948. Vallois de, secrétaire du roi 1753-1766, Anjou[LM 158], ANF-1983. Valous de, échevin de Lyon en 1687, Lyonnais, ANF-1933[réf. nécessaire]. Van der Cruisse de Waziers, secrétaire du roi 1741, Flandre[300], ANF-2015. Van Zeller d'Oosthove, secrétaire du roi 1702-1728, Flandre, ANF-1963[réf. nécessaire]. Vandière de Vitrac de, - de Bellussière et -d'Abzac, extraction 1541, d'Abzac par adoption de 1828 pour une branche, relève Grant de Bellusière éteint, Périgord, ANF-1948[301]. Vanel de Lisleroy de, extraction 1552, maintenue 1668, Gévaudan, ANF-1980[réf. nécessaire]. Vanssay de et- de Blavous, extraction chevaleresque 1386, honneurs de la cour, ANF-1938[réf. nécessaire]. Varenne de Fenille de, conseiller secrétaire du roi, Maison et Couronne de France par du 12 novembre 1751, Dijon en Bourgogne, Bourg-en-Bresse[réf. nécessaire], ANF-2005[302]. Varennes Bissuel de Saint-Victor de, secrétaire du roi 1709, Beaujolais Amplepuis, ANF-1935[réf. nécessaire]. Varin d'Ainvelle, anobli confirmé en 1598, Franche-Comté[a 38]. Vassal de Montviel et - de Sineuil de, ancienne extraction 1414, Périgord, Agenais, Bordelais, ANF-1947[réf. nécessaire]. Vassart d'Andernay de, anobli en 1624, d'Hozier par décret de 1858 pour une branche, Barrois[Jougla 141] Vasselot de Régné de, ancienne extraction 1496, honneurs de la cour, Poitou, ANF-1938[réf. nécessaire]. Vathaire et- de Guerchy de, extraction 1527, Bourgogne, ANF-1962[réf. nécessaire]. Vaucelles de, extraction 1553[303], Tresson dans le Maine angevin[réf. nécessaire], ANF-2007[304]. Vauchaussade de Chaumont de, ancienne extraction 1422, Auvergne, ANF-1995[réf. nécessaire]. Vaucleroy de, maintenue de noblesse le 28 janvier 1688 par l'intendant du roi en Champagne en faveur de Pierre-Ernest de Vaucleroi[réf. nécessaire][305] Vaugelet de ou Vaugellet, anobli en 1660, Dauphiné[306],[b 62]. Vaugiraud de, ancienne extraction 1465, déchargée des droits de franc fief le 11 juillet 1582 sur preuves remontant à 1427 par Pierre Brisson, Poitou, Anjou Le Vaugiraut, commune du Mesnil-en-Vallée, ANF-1949[réf. nécessaire]. Vaulchier du Deschaux de, anobli confirmé en 1516, marquis en 1755, Franche-Comté, ANF-1949[réf. nécessaire]. Vaulx de, anobli en 1820, Bourbonnais, ANF-1937[réf. nécessaire]. Védrines de, anobli en 1828, Agenais, ANF-1982[réf. nécessaire]. Veillon de La Garoullaye, ancienne extraction, maintenue en 1657, Anjou, ANF-1968[réf. nécessaire]. Venel de, extraction 1558, vicomte en 1817 non régularisé, Provence Toulon[réf. nécessaire]. Verbigier de Saint-Paul de, extraction, maintenue en 1676, Comté de Foix, ANF-1973. Verchère de branche des Bayons, secrétaire du roi 1714 ?, Bourgogne[LM 159] principe de noblesse à confirmer. Verdelon de, ancienne extraction 1474, maintenue 1669, Auvergne[Jougla 142] Verdier de Genouillac du alias Duverdier [d 38], trésorier à Limoges en 1586, secrétaire du roi 1704-1713, Limousin, Anjou, ANF-1968. Verdilhac de, Restauration, anobli en 1826, Limousin Bellac[b 62]. Verdun de, ancienne extraction 1478, marquis de La Crenne XVIIe siècle, Normandie La Crenne en Avranchin, ANF-1937[réf. nécessaire]. Verger de Saint-Thomas des Essarts du, extraction chevaleresque 1323, baron en 1739, Savoie[Foras 22]. Vergès de, Parlement de Paris 1771-1782, Île-de-France, ANF-1968[réf. nécessaire]. Vergier de Kerhorlay du, ancienne extraction 1400, Bretagne, ANF-1957[LM 160]. Vergnette de Lamotte de, ancienne extraction 1480, Rouergue, Normandie, ANF-1968[réf. nécessaire]. Verne, Cour des aides de Paris, 1760-1780, Lyon, Île-de-France[b 62]. Verne du olim Duverne, ancienne extraction 1440, maintenue 1667, Nivernais[Jougla 143] Vernejoul de, noblesse prouvée 1590, Comté de Foix, Guyenne, ANF-1987[réf. nécessaire]. Vernou-Bonneüil de, anoblissement par de 1482[307], admission aux Écoles Royales Militaire le 23 octobre 1784[308], Poitou, Guadeloupe, ANF-1970. Veron de La Combe de, extraction 1527, Velay, ANF-1973[réf. nécessaire]. Verteuil de, extraction 1565, maintenue 1668, Poitou, Guyenne[Jougla 144] Verthamon de, trésorier à Limoges 1569, Guyenne, ANF-1965[réf. nécessaire]. Vesian de, capitoul de Toulouse 1468, Languedoc Castelnaudary, ANF-1937[réf. nécessaire]. Veye de et- de Livry, trésorier de France à Toulouse 1646, Languedoc[Jougla 145] Veyrac de, noblesse prouvée 1587, Velay, ANF-1960[réf. nécessaire]. Veyre de Soras, Conseiller Secrétaire du roi trésorier en la chancellerie du Parlement de Pau 1745-1766, Forez, Vivarais, ANF-1988[réf. nécessaire]. Veyrines de, extraction, maintenue 1669, Velay, Forez, ANF-1994[réf. nécessaire]. Vezeaux de Lavergne deet - Devezeaux de Lavergne, ancienne extraction 1454, Angoumois, ANF-1975[réf. nécessaire]. Vialet de Montbel, comte par du 18 janvier 1829[Foras 23], Saint-Pierre-de-Soucy en Savoie, ANF-2004[309]. Viard, baron de l'Empire en 1813, Lorraine Pont-à-Mousson[Jougla 146] Viaris de Lesegno de, extraction, 1810 baron d'Empire, Piémont, France, ANF-1951[réf. nécessaire]. Vichet de, trésorier à Montpellier 1713 et 1747, Languedoc[b 63]. Viel de Lunas d'Espeuilles de, secrétaire du roi 1702, Languedoc, Nivernais[b 63]. Viénot de Vaublanc, secrétaire du roi 1697, maréchal de camp 1780, baron de l'Empire 1809, Bourgogne, ANF-1946[réf. nécessaire]. Vigan de, anobli par de décembre 1609[310], maintenue de noblesse à l'intendance d'Alençon par de Marle le 30 mars 1666[311], Normandie Bernay[a 39], ANF-1955. Vigneral de olim Estienne, noblesse prouvée 1588, Normandie, ANF-1969[réf. nécessaire]. Vignes de Puylaroque de, ancienne extraction 1492, Marquis de Puylaroque par LP de septembre 1685, Quercy[b 64] Vignet de Vendeuil de, anobli par charge en 1757, comte en 1818, Clérembault de Vendeuil éteint, relevé par décret de 1869, Savoie[Foras 24], ANF-1980. Vigouroux d'Arvieu de, ancienne extraction 1470, maintenue de 1700, Rouergue[réf. nécessaire], ANF-1935[312]. Viguerie de, capitoul de Toulouse 1537, Languedoc, ANF-1977[réf. nécessaire]. Villaines de, ancienne extraction 1434, Berry, Bourbonnais, ANF-1965[réf. nécessaire]. Villardi de Montlaur de, extraction chevaleresque 1354[a 39], maintenue en 1698, Milan, Comtat Venaissin, ANF-1938[réf. nécessaire]. Villars de, extraction, maintenue en 1667, Périgord[réf. nécessaire]. Ville de Ferrières de, noblesse prouvée 1567, Savoie[Foras 25], ANF-1990. Villedieu de Torcy, Parlement de Dijon 1730, Bourgogne, ANF-1955. Villedon de Naide de, Villedon de, ancienne extraction 1398, maintenue de noblesse le 28 février 1715, Poitou[réf. nécessaire], ANF-2010[313]. Villèle de, secrétaire du roi 1633-1674[a 40], comte 1822[a 40]. Languedoc Castelnaudary, ANF-1944[LM 161]. Villelongue de, extraction 1533, Picardie, ANF-1988[réf. nécessaire]. Villelume de et Villelume de Sombreuil de, extraction chevaleresque 1331[a 40] ou 1334 mariage[314],[Jougla 147], honneurs de la cour, Auvergne, Limousin[LM 162], ANF-1933. Villeneuve de, extraction chevaleresque 1183, honneurs de la cour, Languedoc, ANF-1976[réf. nécessaire]. Villeneuve de, - Bargemon, - Esclapon, - Trans, - et - Flayosc, extraction chevaleresque 1240, marquis de Trans en 1505, marquis de Flayosc en 1678, honneurs de la cour, Provence, ANF-1942[réf. nécessaire]. Villers de, alias Graf und Marquis von Villers[Jougla 148],[315]extraction chevaleresque 1126, Bourgogne, Lorraine et Allemagne, ANF-2001[316]. Villetard de Laguérie, secrétaire du roi 1756[317], comte de l'Empire 1808[318], Ligny-le-Châtel en Bourgogne, ANF-1963[Jougla 149]. Villiers de La Noue de, anobli en 1661, vicomte en 1826, Champagne[Jougla 150] Villoutreys de Brignac de, ancienne extraction 1495, Limousin, Anjou, ANF-1946[LM 163]. Vimal du Monteil, Restauration, anobli en 1815, Auvergne Ambert[réf. nécessaire]. Vimal, Vimal de Saint Pal et Vimal de Murs, même famille que la précédente, secrétaire du roi 1762-1783, Auvergne Ambert, ANF-2000[réf. nécessaire]. Vimont de, extraction, maintenue 1666, Normandie[Jougla 151] Vincens de Causans de, extraction chevaleresque 1378, marquis 1667, honneurs de la cour, Comtat Venaissin, ANF-1946[réf. nécessaire]. Vincent de Vaugelas, secrétaire du roi 1761-1769, branches de Marniolas et de Saint-Bonnet éteintes, Lyonnais, ANF-2017[réf. nécessaire]. Vion de Gaillon de, ancienne extraction 1488, Bourgogne, ANF-1949[réf. nécessaire]. Virieu de, extraction chevaleresque 1394, honneurs de la cour, Dauphiné[319], ANF-1935. Virieu-Beauvoir de, ancienne extraction 1460, baron en 1811, Dauphiné[320], ANF-1947. Viry de olim de Sallenove, extraction chevaleresque 1160, honneurs de la cour, comte en 1598, Savoie[Foras 26]. Vittu de Kerraoul de, secrétaire du roi, reconnu noble en Bretagne en 1743, Artois, Bretagne[LM 164]. Vivier de Fay-Solignac du, chambre des comptes de Grenoble 1666, substituée à la maison de Fay-Solignac en 1748, Dauphiné[321], ANF-1956[réf. nécessaire]. Viville de, anobli 1816, Lorraine, ANF-1996[réf. nécessaire]. Vogüé de olim d'Alès ou d'Alex, extraction chevaleresque 1352 ou 1275, famille issue en ligne féminine de la première maison de Vogüé éteinte en 1326 et dont la filiation prouvée remontait à 1256[322],[Jougla 152], honneurs de la cour, baron 1731, branche cadette baron 1824, autre branche baron 1829, Vivarais, ANF-1937. Voinnesson et Voinnesson de, gentilhomme de Laveline 1476, vote noble à Remiremont en 1789, Lorraine[323]. Voyer de Paulmy d'Argenson de, Touraine, ancienne extraction 1374 citée 1244, marquis d'Argenson 1700, et baron d'Empire 1810, ANF-1937[réf. nécessaire]. Vuillefroy de Silly et Vuillefroy-Cassini de, anobli 1815, Soissonais, Artois, Bretagne[LM 165], ANF-2013[324]. Vuillet, anobli en 1633, Savoie[Jougla 153] Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z W Walckenaer, baron 1823, Paris ANF-1996[réf. nécessaire]. Waldner de Freundstein de, extraction chevaleresque 1235, honneur de la cour 1755[26], comte 1748, confirmé 1907, Alsace, ANF-1935. Wall de, extraction chevaleresque 1171, 1829, honneurs de la cour 1751[26], Irlande, Bourgogne[325]. Walsh de Serrant, extraction chevaleresque 1174, honneur de la cour 1770[26], comte de Serrant 1755, Irlande, Bretagne, ANF-1936[326]. Wangen de Géroldseck de, ancienne extraction[327], 1773, Alsace. Warenghien de Flory de, secrétaire du roi 1733, baron de l'Empire 1813, Flandre, ANF-1934[réf. nécessaire]. Waresquiel de, secrétaire du roi 1681-1715, Flandre[a 41]. Warnier de Wailly, secrétaire du roi 1745-1747, Picardie Montreuil-sur-mer, ANF-1935[réf. nécessaire]. Waroquier de, anobli confirmé en 1647, Puel-Parlan en 1836, Rouergue, ANF-1955[réf. nécessaire]. Warren de, naturalisé lorrain le 25 décembre 1712, reconnaissance de noblesse le 31 juillet 1726[328], Angleterre, Irlande, Lorraine, ANF-1937[réf. nécessaire]. Wartelle d'Herlincourt, conseil d'Artois 1747, baron de l'Empire 1813, Artois, ANF-1959[329], Artois, ANF-1949[réf. nécessaire]. Wavrechin de, cité 1592, anoblissement par charge conseiller au parlement de Flandres à Douai 1725, Flandre, ANF-1948. Wazières de olim de Fourmestraux, anoblissement par lettres 1623, Chevalier 1642, Comte de Roncq 1768, Artois, Flandre[330][réf. à confirmer]. Wendel de, anobli en 1727, Lorraine Hayange, ANF-1936[réf. nécessaire]. Werbier d'Antigneul de, secrétaire du roi 1749-1769, Artois, ANF-1975[réf. nécessaire]. Widerspach-Thor de, ancienne extraction, baron en 1773, Bavière, Ferrette en Alsace[réf. nécessaire]. Willecot de Rincquesen de, extraction 1528, Boulonnais, ANF-1951[réf. nécessaire]. Witasse-Thézy de, extraction 1548, Picardie, Bretagne[LM 166], ANF-1933. Wolbock-Châtillon de, extraction 1573 lettres de naturalisation, Gueldre Pays-Bas, Soissonnais[LM 167], ANF-1992. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Y Yversen d', extraction 1568, barons de l'Empire 1814, barons héréditaires 1817[Jougla 154], ANF-1997. Yzarn de Freissinet de Valady d', extraction chevaleresque 1313, honneurs de la cour 1785[26], Rouergue, ANF-1934. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Z Zylof de Steenbourg, maintenue et anoblissement en tant que besoin en 1670, ANF-2014[réf. nécessaire]. Sommaire Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Suite de cette liste Voir Liste des familles subsistantes de la noblesse française A à K Bibliographie Nobiliaires nationaux Michel Authier, Alain Galbrun et Jacques Dell'Acqua, État de la noblesse française subsistante, 1973-2018, 43 volumes, ISBN 979-10-90452-08-4 Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 10, Évreux, impr. de C. Hérissey, 1903-1929 [lire en ligne]. Arnaud Clément, Compléments au catalogue de la noblesse française de Régis Valette, janvier 2018,, 46 pages [PDF] Présentation en ligne sur le site Grand Armorial de France, vol. 7, Société du Grand armorial de France, 1934-1952. présentation en ligne [PDF] [ [ [ [ [ [ [ Patrice du Puy de Clinchamps, Dictionnaire et armorial de la noblesse, 5 volumes, Patrice du-Puy-Éditeur, 2005-2009 Étienne de Séréville et Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, vol. 1, 1975. Étienne de Séréville et Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, vol. 2, 1977. Catalogue de la noblesse française, Paris, Éditions Robert Laffont, 2007, 414 p. ISBN 978-2-221-10875-8 Jean de Vaulchier, Jacques-Amable de Saulieu et Jean de Bodinat, Armorial de l'Association d'entraide de la noblesse française, éditions du Gui, 2004. Henry de Woelmont de Brumagne, La Noblesse française subsistante, Paris, Champion, 1928 Nobiliaires régionaux Bretagne Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes, Imprimerie Prudhomme, Saint-Brieuc, 1912-1926, 6 tomes Jean de Saint-Houardon, Noblesse de Bretagne, histoire et catalogue de la noblesse bretonne subsistante, Versailles, Mémodoc, 2007 ISBN 978-2-914611-52-7. Dauphiné L'armorial de Dauphiné contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, impr. de L. Perrin, 1867 [lire en ligne] Savoie Amédée de Foras, continué par François-Clément de Mareschal de Luciane, Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie, vol. 5, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 [lire en ligne]. Notes et références Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé Familles subsistantes de la noblesse française » voir la liste des auteurs * Notes Références groupées Pour les références complètes voir ci-dessus section Bibliographie ». Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle 1903-1929 ↑ t. II. Aub-Bar. - 1904, pp. 370-371 présentation en ligne ↑ 2,0 et 2,1 t. II. Aub-Bar. - 1904, pp. 383 présentation en ligne ↑ BAS-BER, p. 371-373, [lire en ligne] ↑ t. IV. Ber-Blo., 1905, pp. 229-230 présentation en ligne ↑ IV. Ber-Blo. - 1905, pp. 251-253présentation en ligne. ↑ Bou-Bré. - 1907, pp. 161-166 présentation en ligne. ↑ Bré-Bur. - 1908, pp. 98-103 présentation en ligne ↑ Duh-Dyé. - 1917, pp. 9-11 présentation en ligne ↑ Cas-Cha. - 1910, pp. 129-131présentation en ligne ↑ Cas-Cha. - 1910, pp. 129-131 présentation en ligne ↑ Cas-Cha. - 1910, pp. 211-212présentation en ligne ↑ IX. Cas-Cha. - 1910 présentation en ligne ↑ Cas-Cha. - 1910, pp. 366-368 présentation en ligne ↑ Pierre-Joseph de Lachèze-Murel 1744-1835, lieutenant-général du Bailliage de Martel en Quercy en 1789, député du Tiers État à la Constituante, exprime des opinions à la Conciergerie et menacé de la guillotine, ne doit son salut qu'à la chute de Robespierre. Nommé en 1815 Maître des Requêtes au Conseil d'État, il reçoit des lettres de patente d'anoblissement de Louis XVIII la même année, avec pour devise Deo et Regi fides impavida. Il est nommé député du Lot sous la Restauration. Selon Chaix Est-Ange, p. xx[réf. non conforme]. ↑ Cos-Cum. - 1913, pp. 320-326présentation en ligne ↑ Cos-Cum. - 1913, pp. 331-332présentation en ligne ↑ XII. Cos-Cum. - 1913, pp. 343-344 présentation en ligne ↑ Cos-Cum. - 1913, pp. 344-349présentation en ligne ↑ Des-Dug. - 1915, pp. 40-42 présentation en ligne ↑ Fab-Fei. - 1921, pp. 36-40 présentation en ligne ↑ Fab-Fei. - 1921, pp. 63-65 présentation en ligne ↑ Fab-Fei. - 1921, pp. 261-263 présentation en ligne ↑ Fel-For. - 1922 présentation en ligne ↑ XVIII Fel-For. - 1922, pp. 328-331 présentation en ligne ↑ Fel-For. - 1922, pp. 324-327 présentation en ligne ↑ CUN-DES, p. 222-223, [lire en ligne ↑ Cun-Des. - 1914, p. 226-227, [lire en ligne ↑ A-Att. - 1903, pp. 229-231 présentation en ligne ↑ AUB-BAR, p. 390-391, [lire en ligne ↑ Cib-Cor. - 1912, pp. 289-293 présentation en ligne ↑ XVI. Eas-Eys. - 1918, pp. 171-173présentation en ligne ↑ t. 15, DUH-DYÉ, p. 56-57, [lire en ligne ↑ Chaix d'Est-Ange, Du Moustier ↑ Duh-Dyé. - 1917, pp. 104-105présentation en ligne ↑ 35,0 et 35,1 Duh-Dyé. - 1917, pp. 156-158présentation en ligne ↑ Chaix d'Est-Ange écrit que cette famille n'a pas fait l'objet d'une maintenue en la noblesse au temps des grandes recherches mais en 1766 par la Cour des aides de Normandie et bénéficia en 1788 d'un arrêt du Conseil d'Etat Duh-Dyé. - 1917, présentation en ligne ↑ Duh-Dyé. - 1917, p. 286. ↑ Duh-Dyé. - 1917, pp. 310-312 présentation en ligne Jougla de Morenas, de Warren, Grand Armorial de France 1934-1952 ↑ Autorisée à reprendre le nom et les armes de la maison de La Tour d'Auvergne par le conseil d'État en 1829, sans lien généalogique ; t. 6, p. 331, no 33222 anciennes armes, d'azur à trois fasces d'or. ↑ tome IV 1939 des Fieux à de Martimprey, p. 432. ↑ p. 464, no 34865. ↑ no 21384. ↑ [PDF] lire en ligne ↑ no 15328. ↑ no 15092 ↑ n° 24958 ↑ t. 2, p. 482. ↑ t. 4, p. 493, no 22266. ↑ t. 4, p. 494, no 22288. ↑ t. 4, p. 494, no 22289. ↑ t. 4, p. 496, no 22304. ↑ t. 4, p. 497, no 22320. ↑ t. 4, p. 500, no 22372. ↑ t. 4, p. 500, no 22382. ↑ t. 4, p. 501, no 22389. ↑ t. 4, p. 502, no 22401. ↑ t. 4, p. 503, no 22420. ↑ t. 4, p. 504, no 22431. ↑ t. 4, p. 598, no 22496. ↑ t. 7, p. 373, no xxxxx. ↑ t. 4, p. 537, no xxxxx. ↑ t. 4, p. xxx, no 23096. ↑ t. 5, p. 4, no 23145. ↑ t. 5, p. 17, no 23328. ↑ t. 5, p. 31-32, no 23500. ↑ t. 5, p. 39, no xxxxx. ↑ t. 5, p. 45, no 23647. ↑ t. 5, p. 55, no 23815. ↑ t. 5, p. 60, no xxxxx. ↑ t. 5, p. 109, no 24422. ↑ t. 5, p. 109, no 24425. ↑ t. 5, p. 109, no 24433. ↑ t. 5, p. 142, no 24791. ↑ no 24817. ↑ no 24818. ↑ no 24820. ↑ t. 5, pp. 147-148, no 24839. ↑ 40,0 et 40,1 no 24855. ↑ no 24895 ↑ no 24937. ↑ no 24943. ↑ no 24961. - Woelmont, Notices généalogiques, 3, 549. ↑ n°24966. ↑ 159, no 24976. ↑ no 24998. ↑ no 25011. ↑ no 25034-25035. ↑ no 25130. ↑ no 24897. ↑ François Ogier, seigneur de Baulny, semble s'être agrégé à la noblesse .... in t. 5, p. 178, no 25208. ↑ t. 5, pp. 178-179, no 25209. ↑ t. 5, p. 180, no 25216. ↑ t. 5, pp. 189-190, no 25346. ↑ t. 5, p. 194, no 25398. ↑ t. 5, p. 198, no 25438. ↑ t. 5, p. 201, no 25496. ↑ t. 5, p. 202, no 25500. ↑ t. 5, p. 203, no 25510. ↑ t. 5, p. 205, no 25543. ↑ t. 5, p. 207, no 25568. ↑ t. 5, pp. 207-208, no 25579. ↑ t. 5, p. 214, no 25639. ↑ t. 5, p. 214, no 25642. ↑ t. 5, pp. 222-223, no 25747. ↑ t. 5, p. xxx, no xxxxx. ↑ t. 5, p. 236, no 25949. ↑ t. 5, p. 252, no 26187. ↑ t. 5, p. 268, no 26409. ↑ t. 5, p. 274, no 26485. ↑ t. 5, p. 278-279, no 26529 ↑ t. 5, p. 294-295, no 26744. ↑ t. 5, p. 300, no 26814. ↑ t. 5, p. 301, no 26835. ↑ t. 5, p. 332, no xxxxx, Gilbert François Félix du Pont de Romémont, secrétaire du roi par LP du 10 novembre 1779, mort en charge le 19 mai 1783 à l'âge de 46 ans ↑ t. 5, p. 351, no 27399. ↑ t. 5, p. 354, no 27435. ↑ t. 5, p. 355-356, no 27446. ↑ t. 5, p. 367, no 27548. ↑ t. 5, p. 374, no 27635. ↑ t. 5, p. 378-379, no 27635. ↑ t. 5, p. 393, no 27877. ↑ t. 5, p. 400, no 27934. ↑ t. 5, p. 400, no 27935. ↑ t. 5, p. 413, no 28073. ↑ t. 5, p. 424, no 28223. ↑ t. 5, p. 435, no xxxxx. ↑ t. 5, p. 437, no 28406. ↑ t. 5, p. 447, no 28559. ↑ t. 5, p. 458, no 28709. ↑ t. 5, p. 459, no 28719. ↑ t. 5, p. 460, no 28735. ↑ t. 5, p. 469, no xxxxx. ↑ t. 6, p. 2, no xxxxx. ↑ t. 3, p. 257, no 13791. ↑ t. 6, p. 11-12, no xxxxx. ↑ t. 6, p. 14, no xxxxx. ↑ t. 6, p. 19, no 29324. ↑ p. 24, no 29395. ↑ t. 6, p. 48, no 29690 bis. ↑ p. 50, no 29712. ↑ t. 6, p. 58, no 29795 ↑ t. 6, p. 103, no xxxxx. ↑ t. 6, p. 109, no 30611. ↑ Anciennement la famille en question se nommait Jean, seigneurs de Crèvecœur. Lorsqu'elle immigra au Canada elle adopta le patronyme de Saint-John de Crèvecoeur, in t. 6, p. 343, no 20068 et p. 130, no 30853. ↑ t. 6, p. 143, no 30016 bis. ↑ t. 6, p. 150, no 31083. ↑ t. 6, p. 151, no 31095. branche cadette baron de l'Empire 1811. ↑ t. 6, p. 162. ↑ t. 6, p. 174, no 31352. ↑ t. 6, p. 176, no 31381. ↑ t. 6, p. 188, n° 31527 ↑ t. 6, p. 190, no 31546. ↑ t. 6, p. 205, no 31722. ↑ Maintenue de noblesse par Le Pelletier de La Houssaye le 6 juin 1699 à l'intendance de Montauban, Soulan en Couserans, in t. 6, p. 281, no 32014. ↑ t. 6, p. 233, no 32028. ↑ t. 6, p. 234, no 32038. ↑ t. 6, p. 235, no 32063. ↑ t. 6, p. 241, no 32162 ↑ t. 6, p. 247, no 32236. ↑ t. 6, p. 251, no 32296. ↑ t. 6, p. 255, no 32312 ↑ t. 6, p. 256, no 32324. ↑ t. 6, p. 256, no 32331. ↑ p. 258, no 32346. Jacques Taillepied, maintenu noble en Île-de-France, en 1666. Robert-Jean-Baptiste T., seigneur de Bondy Île-de-France, créé comte d'Autry, le 9 juillet 1757. Jean-Baptiste Marie-Adéodat T. de B., membre de l'Assemblée de la noblesse de Paris extra muros en 1789. Jules-Louis-Emile-Robert T., comte de Bondy, Ministre plénipotentiaire, commandeur de la Légion d'Honneur en 1855. ↑ t. 6, p. 263, no 32379. ↑ t. 6, p. 272, no 32474. ↑ t. 6, p. 274, no 32492. ↑ t. 6, p. 278, no 32547 bis. ↑ t. 6, p. 298, no 32807. ↑ t. 6, p. 301, no 32841. ↑ t. 6, p. 304, no 32892. ↑ t. 6, p. 306, no 32907. ↑ t. 6, p. 306, no 32911. ↑ t. 6, p. 309, no 32956. ; 32275. ↑ t. 6, p. 310, no 32957. ↑ t. 6, p. 314, no 33013. ↑ p. 323, no 33102 ↑ t. 3, p. 259, no 13823. ↑ t. 6, p. 408, no 34152. ↑ p. 430, no 34418. ↑ t. 3, p. 262, no 13872. ↑ t. 6, p. 440, no 34564. ↑ t. 6, p. 443, no 34589. ↑ t. 6, p. 447, no 34641. ↑ Jougla de Morenas indique que Chérin généalogiste du roi retient 1334 in t. 6, p. 468. ↑ citée XIIe s. issue de la famille de Longeville, extraction chevaleresque 1126, comte de Grignoncourt 1665 et marquis de Villers par Philippe IV d'Espagne, Bourgogne, Lorraine, Franche-Comté, Pays-Bas t. 6, p. 475, no 34950. ↑ t. 6, p. 476, no 34956. ↑ t. 6, p. 478, no 34999. ↑ t. 6, p. 480, no 35015. ↑ t. 6, p. 493. ↑ t. 6, p. 499, no 35242. ↑ 35401. Valette, Catalogue de la noblesse française 2002, 2007 Groupe a Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, Paris, Éditions Robert Laffont, 2002, 410 p. ISBN 2-221-09701-7 ↑ 1,0 et 1,1 2002, p. 108. ↑ Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, Paris, 1989[réf. non conforme]. ↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 et 3,5 2002, p. 110. ↑ 2002, ↑ 2002, ↑ 2002, ↑ 2002, p. 116. ↑ 8,0 et 8,1 2002, p. 118. ↑ 2002, ↑ Valette 2002, p. 127. ↑ 2002, p. 130. ↑ xxxx, p. non conforme]. ↑ 13,0 et 13,1 2002, p. 146. ↑ 14,0 14,1 14,2 14,3 et 14,4 2002, p. 150. ↑ 15,0 et 15,1 Valette 2002, p. 151. ↑ 16,0 et 16,1 Valette 2002, p. 153. ↑ 2002, p. 154. ↑ 2007, p. 155. ↑ 19,0 et 19,1 2002, p. 156. ↑ 20,0 20,1 20,2 et 20,3 2002, ↑ 21,0 21,1 21,2 21,3 et 21,4 2002, ↑ 2002, p. 158. ↑ 2002, ↑ 2002, p. 160. ↑ 2002, pp. 163, 281-282. ↑ 2002, p. 162-163. ↑ 27,0 et 27,1 2002, p. 172. ↑ 2002, p. 165. ↑ Bas-Ber. - 1904, pp. 331-334présentation en ligne ↑ 30,0 et 30,1 2002, p. 168. ↑ 2002, p. 170. ↑ 32,0 et 32,1 2002, p. 175. ↑ 2002, p. 178, 286, 287. ↑ 2007, p. xxx. ↑ 35,0 35,1 35,2 35,3 et 35,4 2002, p. 179. ↑ 2002, p. 180. ↑ 2002, p. 185. ↑ 2002, p. 186. ↑ 39,0 et 39,1 2002, p. 188. ↑ 40,0 40,1 et 40,2 2002, p. 189. ↑ 2002, p. 190. Groupe b Catalogue de la noblesse française, Paris, Éditions Robert Laffont, 2007, 414 p. ISBN 978-2-221-10875-8 ↑ 1,0 et 1,1 2007, p. 110 ↑ Valette 2007, p. 114 ↑ 2007, ↑ 2007, ↑ 2007, p. 118. ↑ 2007, p. . ↑ 2007, ↑ 2007, p. 121 ↑ xxxx, p. xx[réf. non conforme]. ↑ Valette 2007, p. 122 ↑ 2007, et ↑ Valette 2007, p. 124 ↑ Valette 2007, p. 126-256 ↑ Valette 2007, p. 129 ↑ 15,0 et 15,1 2007, p. 130. ↑ Valette 2007, p. 131 ↑ 17,0 17,1 et 17,2 2007, p. 132. ↑ 18,0 et 18,1 Valette 2007, p. 134. ↑ 19,0 et 19,1 2007, p. 135. ↑ 20,0 20,1 et 20,2 Valette 2007, p. 136. ↑ 21,0 21,1 21,2 21,3 et 21,4 Valette 2007, p. 137. ↑ 22,0 22,1 22,2 22,3 et 22,4 2007, p. 138. ↑ 23,0 23,1 23,2 23,3 23,4 23,5 et 23,6 2007, p. 139. ↑ 24,0 24,1 24,2 et 24,3 2007, p. 140. ↑ 25,0 25,1 et 25,2 2007, p. 141. ↑ 26,0 et 26,1 2007, p. 142. ↑ 2007, p. 144. ↑ 28,0 28,1 et 28,2 2007, p. 145. ↑ 2007, p. 147. ↑ 2007, p. 148, 278-279. ↑ p. 151 ↑ Valette 2007, p. 154 ↑ 2007, p. 155 ↑ 2007, p. 156 ↑ Valette 2007, p. 157. ↑ 2007, 3 descendants mâles. ↑ 2007, p. 159. ↑ 2007, p. 160. ↑ 2007, p. 160, 337, 340. ↑ 2007, p. 163. ↑ 2007, p. 167. ↑ 2007, p. 167 ↑ 2007, p. 169. ↑ 2007, p. 170. ↑ Valette 2007, p. 170. ↑ 46,0 46,1 46,2 46,3 46,4 46,5 46,6 et 46,7 2007, p. 171. ↑ 2007, p. 172. ↑ 2007, p. 173, 298. ↑ 49,0 49,1 et 49,2 2007, p. 174. ↑ 50,0 50,1 et 50,2 2007, p. 175. ↑ 51,0 et 51,1 2007, p. 176. ↑ 2007, p. 177. ↑ 2007, p. 178. ↑ 2002, p. 179. ↑ 2007, p. 179. ↑ 56,0 et 56,1 2007, p. 181. ↑ 2007, p. 183. ↑ 2007, p. 274. ↑ 2007, p. 8 et p. 340. ↑ 60,0 et 60,1 2007, p. 184. ↑ 61,0 et 61,1 2007, p. 185. ↑ 62,0 62,1 et 62,2 2007,p. 188. ↑ 63,0 et 63,1 2007, p. 189. ↑ xxxx, non conforme]. Armoriaux provinciaux section Bibliographie » Foras, Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie 1863-1910 ↑ pp. 357-360 présentation en ligne ↑ pp. 388-398 présentation en ligne ↑ pp. 423-441 présentation en ligne ↑ pp. 247-248 présentation en ligne ↑ Foras indique Le Borgne n'est plus le nom patronymique. Il a été changé en de Boigne, nom devenu historique désormais et sous lequel seulement cette famille a droit d'être inscrite dans ce livre », pp. 239-241 présentation en ligne ↑ pp. 302-304 présentation en ligne ↑ pp. 317-319 présentation en ligne ↑ pp. 337-364 présentation en ligne ↑ pp. 411-470 présentation en ligne ↑ p. 10. ↑ p. 14. ↑ p. 181. ↑ p. 200. ↑ p. 287. ↑ p. 322. ↑ p. 146. ↑ p. 236. ↑ p. 327. ↑ p. 388. ↑ p. 459. ↑ p. 522-526. ↑ p. 582. ↑ p. 590. ↑ p. 614. ↑ p. 626. ↑ p. 345. Frotier de La Messelière, Les Filiations bretonnes 1650-1923 1912-1933 ↑ Jacques de Laage, né à Jonsac, Charente Maritime, en 1660, maître d'hôtel du duc de Berry, puis, écuyer, conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France, le 23 novembre 1718. Clément de Laage, seigneur de Bellefaye, conseiller secrétaire du roi près la cour des aides de Paris, en 1752, receveur général des Domaines et bois de la généralité d'Orléans, fermier général en 1762, doyen des fermiers généraux, guillotiné à Paris le 8 mai 1794 t. 3, p. 337. ↑ Marcel de La Bigne, né vers 1665, resta longtemps au service du roi, mort à Louvigné-du-Désert Ille-et Vilaine. Augustin de La Bigne, docteur en droit à Rennes, conseiller à la cour royale en 1816 t. 1, p. 184. ↑ Charles de La Celle, écuyer, sgr. de La Sécardais, en MézièresIlle-et-Vilaine, né vers 1643, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 17 février 1671. Charles-Marie-François de La Celle, comte de Châteaubourg +1770 t. 1, p. 543. ↑ François de La Forest, sgr d'Armaillé Maine-et-loire, conseiller au Parlement de Bretagne en 1633. Augustin-Médard de La Forest d'Armaillé, officier au régiment de Royal-Marine, tué par les bleus à Savenay le 8 décembre 1793. Augustin-Marie de La Forest d'Armaillé, émigré à l'armée de Condé en 1791 t. 2, p. 322. ↑ Louis de La Forest, seigneur des Chapelles, -Ille-et-Vilaine, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 22 janvier 1669 t. 2, p. 326. ↑ Charles Antoine François de La Foye, noble du Bailliage d'Orbec Calvados en 1789, émigré. Eugène Charles François de La Foye, né à Wetzlar Prusse, en 1795, chef d'escadrons en retraite, médaillé de Ste Hélène. Charles Alexandre Marie François de La Foye, né à Paris en 1839, général d'artillerie, commandeur de la Légion d'Honneur t. 2, p. 356. ↑ Rodolphe-Emmanuel de La Goublaye, maintenu noble d'extraction par un arrêt du Parlement de Bretagne du 13 juillet 1770 t. 2, p. 533. ↑ François de La Guerrande, écuyer, sgr de La Villecoleu, en Saint-Germain-de-la-Mer Côtes d'Armor, épouse Marguerite de Planche; Veuve, elle obtient la maintenue de noblesse d'extraction en Bretagne pour ses enfants, le 22 novembre 1668 t. 2, p. 653. ↑ Famille d'ancienne noblesse, maintenue noble dans l'élection d'Angoulême en 1666, et en Poitou, en 1700 et 1715 t. 3, p. 432. ↑ Famille originaire de Bourgogne, établie dans l'État de Liège, puis en Bretagne. Alexandre de La marzelle, venu en France en 1660, employé au service du roi. Julien-Anne de Lamarzelle, écuyer, sgr de Beaumesnil et du Bas-Coudray, reconnu noble en France maintenue en 1752 t. 3, p. 354. ↑ Julien Lambert, seigneur de Boisjean, en Comblessac Ille-et-Vilaine, maintenu noble en Bretagne, le 4 janvier 1669 t. 3, p. 356. ↑ Guillaume de Lambilly, seigneur de Lambilly, en Taupont, Morbihan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 17 novembre 1668. Pierre-Joseph de L. conseiller au Parlement de Bretagne, l'un des chefs de la conspiration bretonne de Cellamare, en 1718, réfugié en Espagne. Pierre-Gabriel-François, marquis de Lambilly, admis aux honneurs de la cour en 1780 t. 3, p. 359. ↑ René de La Monneraye, juge-garde héréditaire de la Monnaie de Rennes, conseiller du roi, anobli par Lettres patentes le 12 décembre 1666, maintenu dans sa noblesse en Bretagne le 12 janvier 1669. Jean de La Monneraye, seigneur du Bourgneuf, né en 1667, grand prévôt de Bretagne. Charles-Ange de La Monneraye, né à Rennes en 1812, président du conseil Général, député puis sénateur du Morbihan. Sévère-Marie de La Monneraye-de La Bourdonnaye-Montluc, né en 1830, adopté par son oncle maternel, Henri-Charles-Marie-Sévère, comte de La Bourdonnaye-Montluc, par acte du 15 juillet 1882, homologué le 9 août suivant par la cour d'appel de Rennes Les deux branches de La Monneraye sont agréées par l'ANF le 30 novembre 1978 t. 4, p. 79. ↑ Antoine de La Motte, chevalier, seigneur de La Motte-Rouge, maintenu noble en Bretagne le 18 janvier 1668 t. 4, p. 125. ↑ Mathurin Lamour, seigneur de Lanjegu, en Médréac, Ille-et-Vilaine, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 10 mai 1669 t. 3, p. 365. ↑ Charles de La Moussaye, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 23 janvier 1669 t. 4, p. 145. ↑ René de Lancesseur, seigneur de La Polinière, maintenu noble en Normandie le 9 septembre 1666. Gabriel-René-André de L., membre de l'assemblée de la noblesse de Normandie pour élire les députés aux États généraux de 1789 t. 3, p. 367. ↑ Jacques de Lancrau, maintenu noble en Bretagne, en 1667. Alexis-Henri de L., maréchal de camp, avant 1849 t. 3, p. 371. ↑ Michel de Langlais, maintenu noble en Bretagne le 9 mai 1663 et au Conseil d'État le 19 août 1672. Olivier-Louis-Joseph de Langlais, commandant du Navire La Loire torpillé le 31 mars 1918, échoua son navire et sauva l'équipage. Il fait l'objet d'une citation, est décoré de la croix de guerre et de la Légion d'Honneur t. 2, p. 382. ↑ Louis de Langle, seigneur de Kermorvan, en Baud, Morbihan, conseiller au Parlement de Bretagne, maintenu noble d'ancienne extraction, le 26 octobre 1668 t. 3, p. 385. ↑ Joseph-Abel-Archambault Langlois, Intendant général du Trésor Public, le 8 août 1809, payeur de la 4e division militaire en 1811 t. 3, p. 394. ↑ Louis de Lantivy, seigneur de Kergo, en Baud Morbihan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 17 novembre 1668 t. 3, p. 399. ↑ Paul de La Roche, seigneur de Kerandraön, en Saint-Thégonnec, Finistère, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 14 juin 1670. François-Yves, marquis de La Roche-Kérandraön, né à Pleyber-Christ Finistère, au manoir de Keroual le 25 février 1758, page du comte d'Artois, puis enseigne de Vaisseau, perdit un bras, en 1778, au mémorable combat de La Belle Poule. Emigré à l'armée des Princes, capitaine au régiment du Dresnay, blessé à Quiberon en 1795, devint contre-amiral et commandeur de Saint-Louis en 1816 t. 4, p. 636. ↑ Nicolas de La Ruée, seigneur de La Ruée, en Tréal, Morbihan, maintenu noble en Bretagne, en 1669 t. 6, p. 46. ↑ Même origine et mêmes armoiries que La Celle de Chateaubourg. Nicolas de la Selleou de La Celle, maintenu noble d'ancienne extraction le 17 février 1771. Jean Joseph de La Selle, membre des Assemblées de la noblesse de Saumurois en 1789 t. 5, p. 898. ↑ Famille originaire de Saint-ColombanLoire-Atlantique. Jean de La Tribouille, seigneur du Clouzi, de Beczons, La Braudière et La Rousselière, paroissien de Moutiers-Les-Maufaits Vendée, commandant d'une compagnie de gens de pied du marquis de Bressé, maintenu noble en Poitou le 9 août 1667. Jean de La Tribouille, capitaine au régiment de Poitou en 1667. Alexis de La Tribouille, né à La Gohardière en Bas-Poitou le 24 mai 1704, commandant d'un détachement de troupes françaises au Canada… t. 5 bis, p. 287. ↑ Yves de Launay, seigneur de La Salle, en Kergrist-Moëlou, Côtes d'Armor, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 28 novembre 1670 t. 3, p. 429. ↑ t. 3, p. 434. ↑ Sébastien de Lauzanne, capitaine au régiment de Mazarin en 1653, écuyer de la Grande Ecurie du roi en 1663, maintenu noble en Bretagne, le 15 novembre 1669. t. 3, p. 438. ↑ t. 5, p. xxx. ↑ Pierre le Bastard de Villeneuve, seigneur des Métairies en Guignen, avocat au Parlement de Bretagne, réintégré dans l'ordre de la noblesse en 1731 t. 1, p. 100. ↑ Joseph Le Bègue, comte de Germiny, premier ministre et garde des sceaux du duc Léopold de Lorraine, créé comte de G. et du St-E. le 30 avril 1714 t. 1, p. 128. ↑ Bonable Le Bel, seigneur de La Gavouyère en St-Aubin d'Aubigné Ille-et-Vilaine, maintenu noble en Bretagne le 26 janvier 1669 t. 1, p. 133. ↑ François Le Blonsart, seigneur du Bois de la Roche en Garlan, maintenu noble en Bretagne en 1670 t. 1, p. 223. ↑ Maurice Le Borgne, seigneur de Kerguien en Perros-Guirec, maintenu noble en Bretagne le 4 avril 1669 t. 1, p. 278. ↑ Amaury Le Cardinal de Kernier, seigneur de Kerglas, maintenu de noblesse d'ancienne extraction en Bretagne le 21 novembre 1669 t. 1, p. 493. ↑ Jean le Chauff, seigneur de La Barrière, maintenu noble en Bretagne le 31 octobre 1668 t. 1, p. 601. ↑ Nicolas Le Forestier, seigneur de Keroumen en Plougastel-Daoulas, maintenu noble d'extraction à Rennes en 1671 t. 2, p. 328. ↑ François Le Gac de Lansalut, seigneur de Kerhervé, maire de Morlaix, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 25 juin 1670 t. 2, p. 416. ↑ Jacques Le Gentil, seigneur de Rosmorduc en Logonna, maintenu noble d'extraction en Bretagne, par arrêt de la Chambre de la Réformation, le 30 août 1669 t. 2, p. 471. ↑ Guillaume Le Gonidec, seigneur de Kregarf en Gourmelin et de Toulborzo en Plesidy, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 28 novembre 1670 t. 2, p. 521. ↑ Pierre Le Gualès, maintenu noble en Bretagne en 1669 t. 2, p. 639. ↑ Charles Le Jumeau, seigneur de Kercaradec, en Plounevez-Lochrist, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 18 avril 1622. Alexandre Camille Le Jumeau de Kercaradec 1841-1894, capitaine de frégate, envoyé extraordinaire près le roi d'Annam en 1883, consul de France et chargé d'affaires au Siam, à Moscou, puis à Berlin. chevalier de la légion d'honneur pour fait de guerre à Mazaltan Mexiquele 25 juillet 1864 t. 3, p. 227. ↑ Joseph Le Levreur, directeur des Contributions indirectes, anobli le 18 novembre 1815 t. 3, p. 504. ↑ Vincent Le Marant, seigneur de Penanvern, en Plourin, maintenu noble en Bretagne le 21 février 1671 t. 3, p. 648. ↑ la famille Le Mercier de Maisoncelle, peut-être d'origine nantaise, fut anoblie en 1734 en la personne de Louis, chevalier de Saint-Louis, commandant de la Grande-Terre, à la Guadeloupe t. 4, p. 11. ↑ Jean Le Mintier, seigneur de La Motte-Basse, en Le Gouray, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 17 novembre 1668 t. 4, p. 51. ↑ Jacques Le Nepvou, seigneur de Carfort, en Saint-Brieuc, Côtes d'Armor, maintenu noble à l'Intendance le 30 mars 1702, membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1730. Autre Jacques, maintenu noble par arrêt du Parlement de Bretagne, le 19 août 1782 t. 4, p. 165. ↑ Mathurin Le Noir, seigneur de Tournemine, en Pordic, Côtes d'Armor, maintenu noble en Bretagne en 1669. Étienne-guillaume Le Noir de Carlan, officier de marine, établi à la Guadeloupe vers 1780 t. 4, p. 181. ↑ Pierre Le Normant, seigneur de Noyal, en Noyal-sous-Lamballe, Côtes d'Armor, maintenu noble en Bretagne, le 11 février 1669. François-Aimé Le N. deL., capitaine au régiment de Beauvoisis le 27 juin 1727, gentilhomme d'honneur de M. le maréchal, duc de Fitz-James aux États de Bretagne de 1772, incarcéré aux Ursulines de Lamballe, le 1er octobre 1793, mort le 4 pluviose an II. François-Jacques-Gabriel Le N. de L., lieutenant de la division de cannoniers gardes-Côtes de Saint-Brieuc, incarcéré au Grand Séminaire de Saint-Brieuc le 11 octobre 1793 .François-Victor-Aimé, désigné d'office pour servir dans les gardes d'honneur de l'Empereur en mai 1813, atteint de trois blessures à la bataille d'Erfürth, le 23 octobre 1813, commandant de la Légion de Lamballe du 1er juin 1815 jusqu'à la fin des cent jours t. 4, p. 186. ↑ ↑ Joseph Le Provost, seigneur de La Garenne-au-Provost en Guer, Ille et Vilaine, maintenu noble en Bretagne, le 26 mars 1669. Joseph-Mathurin Le P., seigneur de La Voltais, en Monteneuf, Morbihan, avocat au Parlement, le 1er août 1721 t. 4, p. 517. ↑ t. 5, 1924, p. 64-65. ↑ Henri de Quenaudon, dit de L'Escale, substitué aux nom et armes de son aïeulle paternelle, Claude de L'Escale, le 30 mai 1608, gendarme de la compagnie d'ordonnance du duc de Lorraine, puis grand Maître des eaux et Forêts du duché de Bar, confirmé dans cette charge par le roi Loui XIV, en 1643 t. 2, p. 220. ↑ Charles de Lesguern, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 15 avril 1669 t. 3, p. 486. ↑ Jacques de Lespinay, maintenu noble d'ancienne noblesse vers 1630. Jacques de Lespinay, maréchal de camp, le 1er février 1719 t. 3, p. 489. ↑ Claude de Lesquen, seigneur du Casso en Pluduno, Côtes d'Armor, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 4 septembre 1669 t. 3, p. 491. ↑ Louis de L'Estoile, seigneur d'Hardencourt, en Saint-Pierre de Butray Maine-et-Loire, maintenu noble en Conseil d'État le 25 avril 1669 t. 2, p. 253. ↑ Pierre de L'Estourbeillon, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 21 novembre 1668 t. 2, p. 254. ↑ François Libault, seigneur de Beaulieu, secrétaire du roi en 1753, maire de Nantes le 14 mai 1766. Autre François Libault, seigneur de La Chevasnerie, capitaine de cavalerie, garde du corps du roi, compagnie de Luxembourg, secrétaire des commandements de Madame la duchesse de Berry, en 1832 t. 3, p. 506. ↑ Isaac de Lignières, seigneur de Marteville-Lignières, Aisne, capitaine d'infanterie, maintenu noble à l'Intendance de Soissons, le 5 septembre 1667. François de L., enseigne au régiment du Plessix-Praslin en 1665. Louis de L., capitaine au régiment de Poitou-Infanterie, blessé à Laufeld, Hollande, le 2 juillet 1747, puis maire de Ham. Marie-Charles-Nicolas de L., lieutenant au régiment du roi, avant 1832. Henri-Marie, de L., lieutenant de grenadiers de la Garde Impériale, en 1813. Henri-Gustave, colonel du 6e Hussard, puis général de brigade en 1878, commandeur de la Légion d'Honneur t. 3, p. 5176 ?. ↑ Martin de Lisle, écuyer, seigneur du Fief et de la Noë-Talbot, près Sautron, Loire-Atlantique, maintenu noble en Bretagne en 1668. Guillaume de Lisle, né le 1er décembre 1661, membre de la noblesse aux États de Bretagne de 1701. Jules de Lisle du Fief établi au Canada. Jean de Lisle, chevalier du Dréneuc, né en 1737, membre de la noblesse aux États de Bretagne de 1764. Pierre de Lisle du Dréneuc, né le 20 Nivôse an IV, volontaire royaliste en 1815 t. 3, p. 142. ↑ Claude, baron Lombard, avocat au Parlement, conseiller général et député de l'Isère, de 1815 à 1824, créé baron et anobli le 7 mars 1830, pair de France, le 3 octobre 1837. Claude-Louis-Marie-Amalric, comte Lombard de Buffières, créé comte héréditaire, le 11 mars 1863 t. 3, p. 522. ↑ Marie-Alexandre, comte de Lyrot de La Jarry, capitaine de frégate, chevalier de Saint-Louis, avant 1848 t. 3, p. 585. ↑ Bryan Mac'Mahon, écuyer, seigneur de Feenish au Comté de Clare, Irlande, issu en juveignerie des princes de Cloindirala. Jean-Baptiste Mac-Mahon, reçu docteur en médecine de la Faculté de Reims, le 4 août 1739, naturalisé français en 1749, maintenu noble au Conseil d'État, le 3 juillet 1750, admis aux États de Bourgogne en 1757. Maurice-François, comte de Mac-Mahon, lieutenant général en 1827. Marie-Edme-Patrice, duc de Magenta, maréchal de France, président de la République Française de 1873 à 1879 t. 3, p. 592. ↑ Nicolas Magon, connétable de Saint-Malo de 1674 à 1695. Alain Magon de La Giclais, établi à Winnipeg, Canada, au début du XXe siècle t. 3, p. 597. ↑ Jean Magon, secrétaire du roi, le 28 juin 1674, maintenu noble en Bretagne, le 14 juin 1701. Jean-Baptiste Magon, fermier général, puis banquier de la cour, guillotiné à Paris le 19 juillet 1794 t. 3, p. 595. ↑ Philippe Mahé, seigneur de Berdouaré, en Plounévez-Loc'hrist, Finistère, maintenu noble d'ancienne extraction, le 20 mai 1669. Jean-Nicolas M., de B., chef de division, commandant de canonniers gardes côtes, en 1760 t. 3, p. 604. ↑ François de Bruc, conseiller du duc de Mercœur en 1569, Sébastien de Bruc, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 19 janvier 1671 t. 1, p. 438. ↑ Famille originaire de Normandie, établie dès 1474 en Poitou. Charles de Martel, maintenu noble en Poitou, dans l'élection de Châtellerault, les 16 mars 1665 et 1er septembre 1667. Antoine de M., affecté au deuxième escadron de la noblesse du Poitou aux bans de 1692 et 1695. Pierre de M., maintenu noble à l'Intendance de Poitiers, le 18 janvier 1716. Roland-Charles de M., chevau-léger de la Garde du roi, émigré à l'armée des princes, colonel de cavalerie, chevalier de Saint-Louis. Joseph-Roch de M., chevalier de Malte en 1775 t. 3, p. 661. ↑ Jean-Baptiste-Marie Martin de La Baudinière, Garde du corps du roi Louis XVI en 1791et 1792, colonel du corps royal des chasseurs de Bonchamp, en Vendée de 1793 à 1800, anobli le 28 mai 1819, chevalier de Saint-Louis t. 3, p. 668. ↑ Antoine-Joseph de Mauduit, seigneur du Plessix, en Caudan Morbihan, affecté à la Ferme des Devoirs de la Province de Bretagne, anobli en 1701, secrétaire du roi en 1724, trésorier receveur et payeur des gages des officiers de la Chancellerie près le Parlement de Bretagne en 1727. Antoine-René-Hyacinthe de M., chef d'escadron au régiment Dauphin-dragons, émigré à Saint-Domingue, passé au service de l'Angleterre, blessé mortellement en juillet 1796. Paul-Thomas de M., engagé aux volontaires de l'Ouest, blessé mortellement à la charge de Loigny, en 1870 t. 3, p. 681. ↑ Gabriel de Méhérenc, seigneur de Saint-Pierre Manche, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, maintenu noble à Paris, au Conseil d'État, le 25 avril 1669. Jean-Michel-Auguste de M., agrégé dans l'ordre de la noblesse, aux États de Bretagne, le 30 juin 1762. Auguste, Bonabes de M., capitaine des vaisseaux du roi, chevalier de Saint-Louis, membre de la Société américaine de Cincinatus, émigré à l'armée des princes en 1792, contre-amiral en 1815 t. 3, p. 704. ↑ Gérard de Messey, seigneur de Sainte-Sabine Saône-et Loire, commandant d'une compagnie de 100 arquebusiers par brevet du 27 octobre 1618, commandant de la compagnie du duc de Mayenne en 1619, capitaine d'une enseigne du roi en 1635. Antoine de M., capitaine de 100 hommes de pied au régiment d'Albret, passé au régiment d'Enghien le 16 avril 1646, maintenu noble par jugement du Bouchu, conseiller du roi, du 19 février 1669. Charles-Gabriel, créé marquis de Messey par lettres Patentes du 31 mars 1705. Louis-François de M., major au régiment Royal-Etranger-cavalerie, émigré à l'Armée de Condé, maréchal de camp en 1815, prévost de Paris sous la Restauration, chevalier de Saint-Louis t. 4, p. 23. ↑ Baron d'Empire le 13 mars 1813, baron héréditaire le 14 novembre 1820 t. 4, p. 67. ↑ t. 4, p. 117. ↑ t. 4, p. 137. ↑ François-Gaston de Nettancourt, seigneur de Nettancourt, Marne, lieutenant-colonel de cavalerie, maintenu noble en Champagne en 1670 t. 4, p. 168. ↑ Joseph-Marie, baron Nielly, contre-amiral, baron héréditaire le 17 février 1815 t. 4, p. 177. ↑ Joseph Normant, seigneur de La Villehelleuc, en Henanbihen, Côtes d'Armor, maintenu noble en Bretagne le 19 février 1679 t. 4, p. 194. ↑ Gilles de Nouel, seigneur de Lesquernec, en Plounez, Côtes d'Armor, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 31 janvier 1669 t. 4, p. 200. ↑ François de Novion, maintenu noble en Champagne, le 16 août 1667, employé sur les côtes du Poitou au ban de 1687, maréchal de camp, secrétaire de l'Assemblée de la noblesse du bailliage de Vermandois pour l'élection des députés aux États-Généraux de 1789 t. 4, p. 218. ↑ François Onffroy, seigneur de Veret, près Bayeux, Calvados, maintenu noble en Normandie en 1666. Pierre-Roland O., colon à Saint-Domingue. Jacques-Roland O., maintenu noble par arrêt du Parlement de Bretagne du 20 juillet 1782, commissaire de la noblesse des États de Bretagne, de 1784 à 1789, pour l'inspection des octrois des villes de la province, retourné à Saint-Domingue en 1790, colonel des milices royalistes et d'émigrés de cette île en 1793 t. 4, p. 225. ↑ Robert d'Ozouville, maintenu noble en 1666 t. 4, p. 234. ↑ t. 6, non conforme]. ↑ Yves du Parc, seigneur de Kerjeffroy, mort en mai 1663. Sa veuve et tutrice de ses enfants, maintenus nobles en Bretagne, le 7 février 1671 t. 4, p. 256. ↑ Louis de Parcevaux, seigneur de Kerameal, en Kernoues, Finistère, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 12 avril 1669. Robert-Guillaume de P., officier de la Marine royale, mort à bord du Magnanime, le 22 janvier 1712. Claude-Marie de P., chef d'Escadre des Armées navales, le 16 septembre 1764. Ambroise-Toussaint-Marie, lieutenant de vaisseau du roi, émigré en 1792 t. 4, p. 264. ↑ Claude de Parscau, seigneur du Menant, en Plouguerneau, Finistère, maintenu noble en Bretagne le 12 avril 1669. Louis-Guillaume-François de P., chef d'escadre des armées navales le 20 août 1784. Hervé-Louis-Joseph, contre-amiral en 1827 t. 4, p. 270. ↑ Pierre Paveret, seigneur de La Rochefordière, en Grand-Champ, Loire-Atlantique, conseiller du roi, scelleur héréditaire de la Grande Chancellerie de France à Versailles et près la cour du Parlement de Paris, le 13 février 1788 t. 4, p. 281. ↑ René Péan, seigneur de Pontfilly, en Pleurtuit, Ille-et-Vilaine, maintenu noble avec sa mère, veuve, le 9 mai 1669. Louis-Joseph P., de P., membre de la noblesse aux États de Bretagne de 1717. Louis-François de P. de P., reçu page en la Grande Ecurie en 1729, volontaire au régiment de Boulonnais, lors de la descente des Anglais, du 9 au 11 septembre 1758, grièvement blessé à la bataille de Saint-Cast, le 11 septembre 1758 et mort des suites de ses blessures. Louis-Hyacinthe-François Péan, comte de Pontfilly, mousquetaire gris de la 1re compagnie de la Garde du roi, lieutenant des Maréchaux de France à Lamballe le 3 juillet 1776, émigré en Angleterre t. 4, p. 288. ↑ François-Hyacinthe de Penfentenyo, seigneur de Cheffontaine en Sibiril, Finistère, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 12 août 1669. Jonathas-Marie-Hyacinthe de P., marquis de Cheffontaines, page de la petite Ecurie du roi en 1765, admis aux honneurs de la Cour, le 18 mars 1788. Louis-Marie-Hyacinthe de P., condamné à mort par contumace, come légitimiste, en 1832 t. 4, p. 304. ↑ Olivier de Penguern, seigneur dudit lieu, en Lopérec, Finistère, maintenu noble en Bretagne, le 26 août 1669 t. 4, p. 310. ↑ François Pinczon, seigneur du Sel, Ille-et-Vilaine, maintenu noble en Bretagne, le 14 novembre 1668. Julien-Joseph P. du S., fondateur en 1742, dans son château des Monts, d'une manufacture d'indiennes, érigée en manufacture royale et transférée à Rennes. t. 4, p. 350. ↑ Antoine de Pioger, seigneur des Vergers, en Ercée-en-la-Mée, Ille-et-Vilaine, maintenu noble en Bretagne, le 1er mars 1669. Jean-Joseph de P., signataire de la protestation de la noblesse de Bretagne en 1789. Pierre-Marie-Joseph de P., volontaire à l'armée de Charette en 1796 et, en Bas-Poitou, en 1799 t. 4, p. 358. ↑ Jean-Baptiste-Nicolas du Plessis, vicomte de Grenédan, en Illifaut, Côtes d'Armor, maintenu noble en Bretagne, le 17 décembre 1668, conseiller au Parlement de Bretagne en 1674. Charles-Marie-René du P., obtint, en 1744, l'érection en Marquisat de ses terres de Grenédan. François-Fortuné du P., officier aux chasseurs des Ardennes, émigré à l'armée des princes, lieutenant-colonel des gardes nationales en 1816, député du Morbihan en 1824 t. 4, p. 369. ↑ Jean de Pluvié, seigneur de Ménéhouarn, en Plouay, Morbihan, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 9 février 1669. Jean-Toussaint de P., capitaine au régiment de Clermont-Tonnerre-cavalerie en 1760 t. 4, p. 385. ↑ Originaire du Soissonnais, où cette famille fut maintenue noble en 1667 t. 4, p. 414. ↑ Toutes les branches de cette nombreuse famille ont pour auteur commun Yves du Pontavice, seigneur de Saint-Laurent de Terregatte, Manche, archer de la compagnie de M. de Langey du Bellay en 1558, tué par les huguenots, devant la porte de l'église de La Dorée, Mayenne. César du P., maintenu noble en Normandie en 1599 et 1624. Jean du P., maintenu noble en 1635, connétable de Fougères t. 4, p. 416. ↑ René de Pontual, seigneur dudit lieu, en Saint-lunaire, ILLE ET Vilaine, président de la Chambre des comptes de Bretagne, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 27 octobre 1668. Nicolas-Hyacinthe de P., lieutenant des maréchaux de France à Dinan par brevet du 3 avril 1776, autorisé par le roi à se rendre à Aix-la-Chapelle le 2 août 1781, et, par le duc de Richelieu, premier maréchal de France, à passer aux îles d'Amérique Antilles, le 29 août 1782. Hyacinthe de P., incarcéré comme suspect à la Tour de Bat, à Rennes, le 28 frimaire an VI, colonel de la 7e région d'Ille-et-Vilaine, le 5 juin 1815 t. 4, p. 434. ↑ Famille originaire de Porcaro en Morbihan. Jean de Porcaro, seigneur de Maupas, Morbihan, maintenu noble en Bretagne, le 17 janvier 1669 t. 4, p. 434. ↑ Jean-Baptiste Porée du Breil, écuyer, conseiller-secrétaire du roi en 1730 t. 4, p. 439. ↑ Pierre Potier, seigneur de Courcy, Manche, maintenu noble en Normandie le 19 décembre 1634, sur preuves remontant à 1486 . Charles P. de C., lieutenant des vaisseaux du roi en 1725, mort le 27 août dans le naufrage du vaisseau Le Chameau. Alexandre de P. de C., commandant de la frégate Améthiste, aux Antilles, en 1759, vice-gouverneur de l'île de la Martinique en 1774, créé baron par lettres patentes du 27 mai 1774. Armand-Charles-Alexandre P. de C., élève à l'école royale militaire en 1783, officier de Marine en 1787, embarqué sur La Dryade, sous M. de Kersaint, dans les mers de Chine, lieutenant de vaisseau de la marine royale espagnole en 1794, blessé et prisonnier à Cadix en 1797, major de la Marine Française en 1816 t. 4, p. 447. ↑ Mathurin Poulain, seigneur de l'Isle, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 28 janvier 1669 t. 4, p. 469. ↑ Hervé de Poulpiquet, chevalier, seigneur du Halgouët, en Plouasné-Locmaria, Finistère, maintenu noble en 1638. Bernard de Poulpiquet du Halgouët, chevalier, président au Présidial de Nantes en 1649, président de la Chambre des Comptes en Bretagne en 1654, maintenu noble d'extraction chevaleresque en Bretagne le 23 octobre de Poulpiquet, 1728-1793, comte du Halgouët, capitaine au régiment de La Tour du Pin, chevalier de Malte et de Saint-Louis t. 4, p. 477. ↑ François Prévost de Sansac, seigneur du Puybottier, en Saint-Coutant, Charente, maintenu noble en Poitou, les 2 mars 1665 et 22 septembre 1667. Jean P. de S., seigneur de Traversay, officier de cavalerie, combattit à Oudenarde Flandre, le 7 juillet 1708, et à Malplaquet Hainaut, le 11 septembre 1709, où il fut blessé. Jean-François P. de S., lieutenant général à Saint-Domingue en 1769 t. 4, p. 499. ↑ Tanguy de Quelen, seigneur de Kerohant, en Hanvec, Finistère, conseiller du roi, président du Présidial de Quimper, le 17 novembre 1617. Hervé de Quelen, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 10 juin 1670. Urbain-Guillaume de Quelen, page de la grande écurie du roi en janvier 1745, cornette, puis capitaine au régiment Royal-étranger, garde corps du roi le 17 juin 1753, maréchal de camp le 5 décembre 1787, émigré à Jersey. Jacques-Louis-Joseph, page du roi Louis XVI le 1er avril 1787, sous-lieutenant de cavalerie, le 1er avril 1790, émigré à l'armée des princes, puis en Angleterre, échappé au massacre de Quiberon en 1795, incarcéré pendant les Cent Jours au château de Brest t. 4, p. 521. Pas de lien établi avec la maison de Quelen souche des Quelen Stuer de Caussade. ↑ Joseph-François Quemper, seigneur de Lanascol, en Plouzélambre, Côtes d'Armor, maintenu noble en Bretagne en 1668. Jacques-Yves-Joseph Q. de L., page de la Grande Ecurie du roi, le 30 mars 1715 t. 4, p. 528. ↑ Louis Quetier, seigneur de La Roulais Côtes d'Armor, maintenu noble à l'Intendance de Bretagne, le 16 juin 1701 t. 4, p. 544. ↑ Pierre Raison seigneur du Cleuziou, en Louargat, Côtes d'Armor, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 6 août 1669, chevau-léger de la garde du roi, en 1675. Pierre-Jean-Marie R., comte du Cleuziou, mousquetaire de la 2e compagnie du roi, capitaine, garde-côtes le 20 mai 1722. Joseph-Paul-Marie R du C., émigré en 1792 à l'armée des princes t. 4, t. 557. ↑ Christophe III de Rarécourt de La Vallée, seigneur de Pimodan, capitaine d'une compagnie de 100 arquebusiers à cheval, major des villes et gouvernements de Toul et de Verdun, grand bailli d'épée de Toul, avant 1656. Suivent encore trois générations de grands baillis d'épée de Toul t. 4, t. 564. ↑ Jacques Rémond, correcteur en la Chambre des Comptes de Grenoble le 30 juin 1675, gentilhomme servant du roi, premier consul de la ville de Romans en 1684. Jacques Rémond, écuyer, seigneur du Chélas, né le 17 décembre 1675, capitaine au régiment de Condé-cavalerie, chevalier de Saint-Louis. Jacques-Bruno de Rémond du Chélas, né le 21 février 1729, capitaine au régiment de Lyonnais. Pierre Jacques de Rémond du Chélas, né le 5 juin 1759, capitaine au régiment de Navarre, major général de l'armée royaliste de Cadoudal sous le surnom de La Couronne, chevalier de Saint-Louis t. 4, t. 571. ↑ René Richard, seigneur de La Tour-aux-Paulmes, en Verneuil-Moustier, Haute-Vienne, maintenu noble par ordonnance de M. Tubœuf, intendant de la Généralité de Bourges. François R., de La T., capitaine de cavalerie, garde du corps du roi, émigré t. 4, p. 584. ↑ t. 4, p. 593. ↑ Jacques Rioult, seigneur d'Ouilly, calvados, receveur des Gabelles à Mers, à Ault et à Lisieux, receveur général des Finances à Poitiers en 1673, maintenu noble d'extraction le 6 juillet 1758. Louis-Philippe R., marquis de Neuville, pair de France t. 4, p. 599. ↑ Jacques-Pierre Rioust, né le 3 février 1725, avocat au Parlement, prit une part active à la défense du Gué du Guildo, où, pendant deux jours, les 7 et 8 septembre 1758, une centaine de volontaires arrêta 12 000 soldats anglais venant de Saint-Jacut, ce qui permit au duc d'Aiguillon de réunir les troupes qui écrasérent l'ennemi à Saint-Cast le 11 septembre 1758. Frédéric-Auguste Rioust des Villes-Audrains et de Largentaye, né à Quintin le 17 juin 1766 est anobli par lettres patentes du 22 juin 1816, en récompense de la belle conduite de son père en 1758 t. 4, p. 602. ↑ Gilbert Robert, seigneur de la Lézardières, maintenu noble en Poitou, le 24 septembre 1667. Joseph-Alexis R., baron de Lézardière, émigré à l'armée des prince en 1792 t. 4, p. 609. ↑ Sébastien de Robien, baron de Lanvaux, en grandchamp, Morbihan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 26 octobre 1668. Paul de R., président à mortier au Parlement de bretagne avant 1706 t. 4, p. 613. ↑ Daniel-Alexandre Robineau, seigneur de La Renollière, capitaine au régiment du poitou, le 13 février 1646, maintenu noble en Poitou, le 9 août 1667. Philippe R., seigneur de La Rochequairie, en Saint-Étienne-du-Bois, Vendée, capitaine au régiment de Touraine-infanterie t. 4, p. 623. ↑ Louis de Rochechouart, seigneur de La Brosse, près Isy, Loiret, député de la noblesse de la chastellenie de Neufville en 1649. Louis-Pierre-Jules-César de R., Maréchal de Camp et gouverneur de Paris en 1814 t. 4, p. 643. ↑ Robert de Rocquigny seigneur de Palcheul, Pas-de-Calais, cornette de chevau-légers au régiment d'Hocqincourt, maintenu noble le 17 janvier 1637. Marie-Catherine de Montlezun, veuve d'antoine de Rocquigny, obtient avec ses enfants une maintenue de noblesse en Boulonnais le 9 juin 1708. Florent de R., page de la Petite ecurie du roi en 1682, mousquetaire gris de la garde de sa Majesté. Marie-Jean-Baptiste de R., garde du corps du roi en 1732. Jeanne-Françoise de Croissy, veuve d'Antoine-François-Hubert de Rocquigny, morte dans les prisons révolutionnaires d'Arras en 1794 t. 4, p. 651. ↑ François Le Rodellec, seigneur du Porzic, en Saint-Pierre-Quilbignon Finistère, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 9 janvier 1669 t. 4, p. 653. ↑ Louis Rogon, seigneur de Carcadec, en Ploulec'h, Côtes d'Armor, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 19 janvier 1669. Louis R. de C., gouverneur de Lannion en 1676 t. 4, p. 660. ↑ Jean Rolland, seigneur du Noday, en Trémeur, côtes d'Armor, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 2 mai 1669 t. 4, p. 670. ↑ Julien Rolland, seigneur des Aulnays, en Guipry, Ille-et-Vilaine, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 10 novembre 1668 t. 4, p. 666. ↑ Vincent Rolland, seigneur du Roscoät, en Pléhédel, Côtes d'Armor, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 22 décembre 1668 t. 4, p. 673. ↑ Godefroy de Romance, seigneur de Mesmon, Ardennes, originaire de Liège, reconnu noble en France en 1639, maréchal de camp, commandant de la cavalerie légère du duc d'Enghien, tué à Rocroy le 19 mai 1643. Hugues de Romance, capitaine au régiment de la reine, maintenu noble au Conseil d'État, le 22 novembre 1668 et en 1697 t. 4, p. 678. ↑ Louis de Ronseray, né en 1636, échevin de Nantes en 1676. Joseph de Ronseray, écuyer, né le 9 décembre 1681, capitaine d'armes à Nantes en 1710, établi à Saint-Domingue Antilles, en 1541. Pierre Denis de Ronseray, né à Saint-Domingue, réfugié à Kington Jamaïque lors de la révolte de 1800. Rapatrié en France en 1832 t. 4, p. 683. ↑ Pierre de Rougé, seigneur des Rues, en Chenillé, Maine-et-Loire, maintenu noble en Anjou en 1667. Pierre, marquis de Rougé, aide de camp du maréchal de Créqui avant 1707. Pierre-François de R., maréchal de camp en 1718. Bonabes-Jean-Baptiste de R., colonel du régiment d'Auvergne en 1777. Bonabes-Louis-Victurnien de R., maréchal de camp, pair de France en 1815 t. 5, p. 1. ↑ Famille de Picardie. Louis-François de Rouvroy de Saint-Simon, seigneur de Sandricourt, près Méru Val-d'Oise, lieutenant général le 7 mars 1734. Balthazar-Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon-Sandricourt, brigadier des armées du roi, gouverneur et grand bailli de Senlis, grand maître des cérémonies et chef d'une brigade des gardes du corps du roi de Pologne, avant 1783 t. 5, p. 25. ↑ Claude Ruinart, seigneur de Brimont, avocat au Parlement, échevin de Reims, contrôleur des guerres, pourvu, le 1er juin 1777, de la charge anoblissante de conseiller-secrétaire du roi. François-Jean-irénée R., vicomte de Brimont, Maire de Reims, conseiller général et député de la Marne, gentilhomme de la chambre du roi, anobli le 21 juin 1817, vicomte le 19 juillet 1825, confirmé vicomte héréditaire le 17 mars 1827 t. 5, p. 58. ↑ Gilles de Saint-Gilles, seigneur de Perronay, en Romillé, Ille-et-Vilaine, lieutenant de 100 hommes d'armes, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, en 1607. Jean-Baptiste de St-G., commandant de neuf compagnies des gentilshommes des évêchés de Dol et de Saint-Malo, avant 1709. Jean-Baptiste-Louis, commandant de bataillon au régiment Royal-Vaisseaux en 1743. Marie-Joseph-Auguste, marquis de Saint-Gilles, fondateur d'une plantation à l'Île-de-France Île Maurice en 1790 t. 5, p. 73. ↑ Eustache de Saint-Meleuc, seigneur dudit lieu, Côtes-d'Armor, maintenu noble par la Chambre de Réformation de Bretagne le 30 juin 1669. Henri-Alain-Jean-Joseph de Saint-Meleuc, conseiller au Parlement de Bretagne de 1783 à 1789, incarcéré à Saint-Malo, le 3 octobre 1793, condamné à mort par le tribunal révolutionnaire et guillotiné à Paris le 21 juin 1794 t. 5, p. 79. ↑ René de Saint-Méloir, seigneur de La Ville-Robert, en Saint-Lormel, Côtes d'Armor, maintenu noble en Bretagne en 1669 t. 5, p. 81. ↑ Gabriel de Saint-Pern, seigneur de Ligouyer, Ille-et-Vilaine, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 13 décembre 1668. René-Célestin-Bertrand de Saint-Pern, capitaine de la noblesse de l'évêché de Saint-Malo, arrêté, ainsi que la marquise de Sain-Pern, à Saint-Malo, le 12 octobre 1793., transféré à Paris en juin 1794, enfermé à Sainte-Pélagie, puis à la prison-hospice de Montprin où il mourut le 4 octobre 1794. Marie-Philippe de l'Ollivier de Saint-Maur, demoiselle d'Aunac, son épouse, arrêtée en même temps que son mari, transférée à la conciergerie, condamnée à mort par le tribunal révolutionnaire de Paris et guillotinée le 20 juin 1794 t. 5, p. 85. ↑ Nicolas Salaün, seigneur de Kerramoal, en Carantec, Finistère, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 24 juillet 1670 t. 5, p. 100. ↑ Louis de Sécillon, seigneur de Kerfur, en Guérande, Loire Atlantique, maintenu noble en Bretagne, le 7 février 1669 t. 5, p. 127. ↑ Jean, baron de Secondat, maintenu noble à l'intendance de Montauban, le 22 mai 1670. Godefroy, baron de Secondat et de Montesquieu avant 1774 t. 5, p. 132. ↑ Claude, baron de Sesmaisons, en Saint-Sébastien de Nantes, Loire Atlantique, président de la noblesse aux États, chevalier de Saint-Michel en 1659. René de S., capitaine d'une compagnie de la noblesse du comtais nantais, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, en 1669. Claude-François, lieutenant-général des armées du roi en 1767. Claude-François-Jean, marquis de Sesmaisons, maréchal de camp le 10 février 1797. Claude-Louis, Gabriel, maréchal de camp, pair de France en 1823 p. 141, t. 5. ↑ Joseph-Marie Sioc'han, seigneur de Kersabiec, en Plounévez-Loc'hrist Finistère, maintenu dans sa noblesse en 1717. Jean-Louis-Joseph S. de K., officier des vaisseaux du roi, embarqué en 1745 sur la frégate l'Argonaute, dans l'escadre de M. de Salverte pour secourir Louisbourg assiégé par les Anglais, capitaine de corsaire en 1746, prisonnier à Kinsal en Irlande, libéré, arma de nouvelles courses en 1747 et 1748 et participa aux combats de la côte du Morbihan en 1759 sur le vaisseau le Magnifique, dans l'escadre du maréchal de Conflans. Jean-Augustin S. de K., capitaine des vaiseaux du roi, servit sur de nombreux vaisseaux et sur toutes les mers, commanda la corvette La Warwich, prise en Amérique en 1795, et la corvette La Lise aux Antilles en 1786. Membre de la société américaine de Cincinatus. Emigré à l'armée des princes, puis au régiment d'Hector en 1794, membre du Conseil militaire de l'armée catholique et royale de 1792 à 1706. Dunstan-Louis S. de K., compromis dans le soulèvement légitimiste de l'Ouest en 1832 t. 5, p. 152. ↑ François de Suyrot, seigneur du Mazeau, Vendée, brigadier-commandant de la brigade de Maillezais, maintenu noble à l'Intendance de Poitiers, le 4 juin 1715 t. 5, t. 172. ↑ François de Talhouët, seigneur de Talhouët, en Pluherlin, Morbihan, maréchal de camp, capitaine de 50 hommes d'armes des ordonnances du roi, gouverneur de Redon, partisan du duc de Mercœur, pendant la ligue, puis passé au service du roi en 1594, après l'abjuration d'Henri IV, qui le confirma dans le gouvernement. Louis-Redon de T., maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 12 février 1669 t. 5, p. 179. ↑ t. 5, p. 190. ↑ originaire du Dunois. Loup de Tarragon, seigneur du Rozay, en Beauce, confirmé dans sa noblesse dans l'élection de Châteaudun, les 15 février 1618 et 17 mai 1634. Claude de Harcodeaux, sa veuve, maintenue noble à Orléans, le 22 janvier 1667. Michel de Tarragon, maintenu noble à l'Intendance de Paris le 17 mai 1705. Alexandre de Tarragon, confirmé dans sa noblesse dans l'élection de châteaudun, le 22 septembre 1739, sous-brigadier à la 2e compagnie des mousquetaires de la garde du roi, blessé le 11 mai 1745, à la bataille de Fontenoy. Jean-Rémy de T., se distingua en Amérique, aux Antilles, sous le marquis de Bouillé, et à Savannah en 1779, sous le comte d'Estaing, blessé à de nombreuses reprises, après onze campagnes de guerre, dont cinq en Allemagne. Armand-Jean-Louis-Henri, auteur de tous les rameaux subsistants de cette nombreuse famille, chef de bataillon des volontaires royaux en 1815 t. 5, p. 196. ↑ t. 5, p. xx[réf. non conforme]. ↑ Charles de Terves seigneur de Glaude, en Bouillé-Loretz, Deux-Sèvres, maintenu noble en Poitou, le 12 septembre 1642. Pierre-Joseph-Louis de Terves, lieutenant au régiment de Foix-infanterie, émigré à l'armée de Condé en 1792, grièvement blessé à Belhem le 19 juillet 1793 t. 5, p. 202. ↑ Louis Testu, seigneur de Balincourt, Vexin français, chevalier de Saint-Michel, gentilhomme de la chambre du roi, député de la noblesse de Pontoise aux États Généraux tenus à Tours en 1651, maintenu noble le 3 janvier 1668. François T., marquis de Balincourt, lieutenant général des armées du roi en 1748, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis en 1755. Charles-Louis T., de B., colonel des grenadiers de France en 1749, maréchal de camp en 1770, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis t. 5, p. 211. ↑ Antoine, Jean-Marie, comte de Thévenard, chef d'escadre en 1784, brigadier des armées navales en 1786, ministre de la marine en 1791, comte de l'Empire le 9 janvier 1810, sénateur le 5 février 1810, pair de France le 2 juin 1814, membre de l'Académie des sciences, Grand-Officier de la Légiond'Honneur, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis t. 5, p. 216. ↑ Pierre-Jacques-Philippe Tillette, seigneur de Mautort Somme, lieutenant au régiment du roi-Infanterie. Jean-Baptiste Tillette de Mautort, capitaine d'artillerie, chevalier de Saint-Louis, maire d'Abbeville en 1790, conseiller général de la Somme de 1800 à 1830, président du collège électoral d'Abbeville, fut créé baron de l'Empire le 2 janvier 1814, puis baron héréditaire le 10 janvier 1821. Prosper-Abbeville T. de M. fut adopté le 6 août 1816 par Louis-François-Marie de Clermont-Tonnerre, comte de Thoury, frère de sa mère t. 5, p. 238. ↑ La branche de Tinguy de Nesmi présente deux retenues de noblesse en Poitou La première date de 1667. La deuxième du 25 juin 1718 t. 5, p. 240. ↑ René, marquis de Tinténiac, seigneur de Quimerc'h, en Bannalec Finistère, maintenu noble en Bretagne, le 26 juillet 1669. François-Hyacinthe de T., mousquetaire de la garde du roi en 1722. Hyacinthe-Joseph-François de T., lieutenant général, grand'croix de Saint-Louis en 1819 t. 5, p. 243. ↑ Alexandre de Lautrec, dit de Toulouse-Lautrec, maintenu noble en Languedoc le 24 octobre 1669 t. 5, p. 255. ↑ Paul de Tredern, seigneur dudit lieu, en Plougoulm, Finistère, maintenu noble en Bretagne, le 4 juin 1669. Louis-Marie-Joseph, capitaine au régiment de Picardie, en 1766. Autre Louis-Marie-Joseph de T., lieutenant au régiment de Poitou, a servi à la Martinique, émigré à l'armée des princes, en 1792, blessé au combat de Bois-le-Duc t. 5, p. 264. ↑ François de Trémaudan, seigneur du Tertre, en Plénée, Morbihan, chevau-léger de la garde du roi, maintenu noble en Bretagne, le 3 septembre 1670 t. 5, p. 267. ↑ Jacques Treton, avocat au Parlement, secrétaire du roi, le 17 juillet 1701. Autre Jacques T., lieutenant des maréchaux de France, maintenu noble à l'Intendance, le 30 octobre 1715. Jacques-François-René T., seigneur de Vaujuas, major d'infanterie, chevalier de Saint-Louis. Marie-Louis-François T. de V., autorisé par ordonnance du 31 mars 1843 à prendre le titre de Marquis de Vaujuas-Langan, député, le 23 mai 1849 t. 5, p. 281. ↑ Les branches de cette famille ont eu pour auteur commun, Jean de Trogoff, seigneur du Pellinec, archer en Brigandine de la paroisse de Pommerit-Jaudy Côtes d'Armor. Louis T., seigneur de Coatallio Côtes d'Armor, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 23 août 1669. Pierre-Marie-René de T. de C., admis au collège de la Marine de Vannes sur preuves de noblesse du 31 janvier 1787. Pour la branche de Boisguézennec, Pierre de Trogoff de B., maintenu noble d'ancienne extraction, le 29 août 1669. Yves deT de B., conseiller au Parlement Maupeou à Rennes de 1771 à 1774 t. 5, p. 293. ↑ Pierre de Trolong, seigneur de Rumain, en Hengoat Côtes d'Armor, maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 18 mai 1669 t. 5, p. 300. ↑ Louis-François de Turgy, né à Paris, le 18 juillet 1763, chef de cabinet de la duchesse d'Angoulême, officier de la Légion d'Honneur, anobli le 2 décembre 1814. Jean-Baptiste, baron de Turgy, le 22 janvier 1825, garde du corps du roi, mort à Sillegny Lorraine t. 5 bis, p. 318. ↑ René-Jean-Antoine de Vallois, secrétaire du roi en 1753 t. 5, p. 336. ↑ Jean François Verchère, secrétaire du roi en 1714, épouse le 11 juin 1679 Geneviève Pelu. Jean Claude Verchère, né le 19 novembre 1700, conseiller et médecin ordinaire du Roi, surintendant des eaux de Bourbon-Lancy t. 5, p. 356. ↑ Gilles du Vergier, seigneur de Kerholay, en Guidel, Morbihan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 15 avril 1669 t. 5, p. 363. ↑ Jean de Villèle, seigneur de Campoliac, en Mourvilles-basses, Haute-Garonne, secrétaire du roi en la chancellerie de Toulouse, le 30 avril 1633. Jean-Baptiste-Guillaume de V. mousquetaire de la 2e compagnie de la garde du roi jusqu'en 1741. Louis-François-Joseph de V., emprisonné sous la Terreur. Jean-Baptiste-Guillaume-Marie-Anne-Séraphin-Joseph, comte de Villèle, aide-major de la marine royale, démissionnaire en 1793, conseiller général et député de Haute-Garonne, maire de Toulouse, ministre de 1820 à 1828, pair de France t. 5, p. 372. ↑ Jean, comte de Villelume, seigneur de Chamboret, Haute-Vienne, maintenu noble en Basse-Marche, généralité de Limoges, en 1666. Louis-François de V., de S., mousquetaire gris, puis commandant de l'arrière-ban de la noblesse Basse-Marche. Charles-Louis de V. de S., officier au régiment de Condé-infanterie, émigré en 1789, officier à l'armée de Condé, puis gouverneur des Invalides d'Avignon sous le roi Louis XVIII, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis, officier de la Légion d'Honneur. Il épouse à Anspach Franconie, une jeune fille célèbre par son acte de dévouement vis-à-vis de son père sous la Terreur, Marie-Maurille de Sombreuil t. 5, p. 376. ↑ Jacques de Villoutreys, seigneur de La Judie, maréchal des logis des chevau-légers de la Garde du roi, capitaine de cavalerie, maintenu noble, le 26 avril 1695. Marc-Antoine, porte-étendard des chevau-légers de la Garde du roi, en 1714. Jean-François de V., page du roi, écuyer cavalcadour du roi Louis XV, puis de Mesdames. Autre Jean-François, page de la Petite Ecurie du roi. écuyer de Madame Victoire de France en 1776 t. 5, p. 387. ↑ Jean-Louis Vittu, seigneur de Gueslain, secrétaire du roi en la Chancellerie près le Parlement de Bretagne, prévost de la connétablie de France, reconnu noble le 11 avril 1743. Jean-Louis-Prosper, émigré en Autriche en 1791, décoré du Lys t. 5, p. 394. ↑ François-Jacques de Vuillefroy, anobli à Soissons le 4 novembre 1815, chevalier d'honneur au bureau des finances de cette ville t. 5, p. 397. ↑ Jacques de Witasse, seigneur de Vermandovillers, Somme, capitaine au régiment du vidame d'Amiens. Claude de W., cornette au régiment de la reine. Jean-Jacques de W., gendarme de la garde du roi, maintenu noble le 4 décembre 1700. Claude-Joseph-Barnabé de W., chevau-léger de la Garde du roi, tué en duel le 25 octobre 1757. Marie-Gustave de W., marquis de Thézy, auteur de tous les descendants actuels t. 6, p. 923. ↑ Antoine de Wolbock, vicomte de Limé, Aisne, exempt des gardes corps du roi Louis XIII, gentilhomme de la reine en 1617. François de W., maintenu noble en Soisonnais le 18 juillet 1667, ép., le 13 juillet 1659, Marguerite de Chatillon d' gouverneur d'Avesne avant 1754. Louis-François-Armand, de W., baron de Limé, blessé à Fontenoy le 11 mai 1745. Jean-Louis-Armand, inspecteur général de la maison des rois louis XVIII et Charles X t. 5, p. 408. Autres références ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 17. ↑ Philippe du Puy de Clinchamps, La Noblesse 1959, Alain Texier, Qu'est-ce que la noblesse ? 1988 ↑ Les terres et seigneuries de Coëtion, La Gassili et des Boixières furent unies et érigées en marquisat sous le nom de La Bourdonnaye par Lettres de février 1717, enregistrées à Nantes le 7 janvier 1718, en faveur d'Yves Marie de La Bourdonnaye, intendant de Rouen, nommé conseiller d'État en juillet 1750. Comte de Waroquier. Tableau de la noblesse présenté au roi. 1787. ↑ Ornacieu seigneurie en Dauphiné érigée en marquisat en avril 1645, par Lettres enregistrées en la Chambre des Comptes de Grenoble le 3 décembre 1646 en faveur de Jean de La Croix de Chevrières, président du Parlement de Dijon. Comte de Waroquier, Tableau de la noblesse présenté au roi, 1787[réf. à confirmer]. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 583. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 584. ↑ Révérend, no 1910, Pièces originales, Ms 1497. ↑ Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, tome II, ↑ de Haute-Vienne. ↑ Acte récognitif Lettres de provision du 27 juillet 1745 pour la charge de Trésorier de France au bureau des Finances de Limoges, en faveur de Léonard-Claude Lajoumard, écuyer, seigneur de La Boissière, 5e aïeul du candidat. Lettres de provision du 10 mars 1779 pour la charge de Chevalier d'honneur au bureau des finances de Limoges en faveur d'Antoine Lajoumard, son fils, mort en charge le 21 juin 1790, quart-aïeul du candidat. ↑ Jean-Nicolas de La Lande d'Olce, colonel des Gardes françaises, massacré le 10 août 1792, au Palais des Tuileries à Paris[réf. nécessaire] ↑ Acte récognitif Registre de Simon des Coutures des maintenues faites par d'Agusseau, intendant de Limoges inscription de Gabriel de La Laurencie, 12e aïeul du candidat, écuyer, seigneur de Mourières, demeurant en la paroisse de Tonnay-Boutonne, élection de Saint-Jean-d'Angely, qui produisit ses titres le 10 novembre 1666 de la Haute-Vienne 2 Mi 591. ↑ 13,0 et 13,1 Séréville et Saint-Simon 1975, p. 591. ↑ Le Second ordre, Société du grand armorial de France, Éditions du Palais Royal, 1947, page 80. ↑ Charondas, A que titre, 1970, Volume 37, p.? présentation en ligne ↑ 16,0 16,1 et 16,2 Tallandier 2008 ↑ André Lecler, Généalogie de la famille Lamy de La Chapelle, depuis le patriarche 1305 jusqu'à nos jours 1873, impr. de Chapoulaud frères Limoges, 1873, 60 pages présentation en ligne ↑ Mort en charge le 19 janvier 1777. ↑ Acte récognitif Lettres de provision de l'office de Conseiller secrétaire du roi, Maison et Couronne de France, audiencier en la chancellerie près le Conseil supérieur d'Alsace à Colmar en faveur de Jean-Baptiste Lamy, seigneur de Lucet et de La Chapelle, 6e aïeul du candidat, par du 17 novembre 1772. L'intéressé mort en charge le 19 janvier 1777. ↑ Vair, seigneurie, paroisse d'Anets, diocèse de Nantes, érigée en comté en 1653, en faveur de Charles de La Noue. Comte de Waroquier, Tableau de la noblesse présenté au roi, 1787. ↑ Saint-Allais, Nobiliaire Universel de France, p. 190, Paris, 1873, [réf. non conforme]. ↑ Grand Armorial de France, tome V, page 349. ↑ Gironde f° 5 et 14. ↑ Beauchet-Filleau, Dictionnaire des familles du Poitou non conforme] ↑ Patrice du Puy de Clinchamps, Dictionnaire et Armorial de la noblesse, Patrice du-Puy-Éditeur, 2005-2009, [réf. non conforme]. ↑ 26,00 26,01 26,02 26,03 26,04 26,05 26,06 26,07 26,08 26,09 26,10 26,11 26,12 26,13 26,14 26,15 26,16 et 26,17 François Bluche, Les honneurs de la cour, xxxx, non conforme]. ↑ J. Lazerme, Noblesa Catalana, La Roche-sur-Yon, 1976, vol. 2, p. 246. ↑ François-Alexandre Aubert de La Chenaye-Desbois,Dictionnaire de la noblesse, seconde édition, tome XII, 1778, p. 576 présentation en ligne ↑ M. de Saint-Allais, De l'ancienne France, Tome premier, 1833. ↑ Louis Moreri, Le grand dictionnaire historique, ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, Tome 10, 1759, p. 12 présentation en ligne ↑ 31,0 et 31,1 Famille distincte de la maison de La Tour d'Auvergne, vicomtes de Turenne, éteinte en 1896. ↑ Et en Auvergne par Fortia le 9 octobre 1666. ↑ A librement repris le nom de la célèbre maison de La Tour d'Auvergne depuis le 18e sans lien généalogique. ↑ Site sur la famille de La Tullaye. ↑ Balthasar de Clapiers-Collongues, Chronologie des officiers des Cours souveraines de Provence, Édition de la Société d’Études Provençales, Aix-en-Provence 1909, non conforme]. ↑ Albert Révérend, Les familles titrées et anoblies au 19e siècle, ↑ Maintenue noble en 1668 sur le vu d’une production falsifiée établissant une noblesse de race remontant à 1493 ↑ 38,0 38,1 38,2 38,3 38,4 et 38,5 François-Paul Blanc, Le second ordre provençal et les réformations de noblesse sous le règne de Louis XIV. Dictionnaire généalogique des familles maintenues en la noblesse, édition Presses de l'université de Toulouse 1 Capitole, décembre 2018, pages 388 à 389. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 618. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 620. ↑ Une branche de Choulot a relevé Chabaud La Tour par adoption[réf. nécessaire]. ↑ Gontran du Mas des Bourboux, L'ancienne noblesse du Périgord subsistant en Dordogne, Pilote 24 édition, Périgueux, 2001, pages 187 et 189. ↑ 21A 633. ↑ Acte récognitif Lettres Patentes de mars 1789 en faveur de Pierre Alexandre Henry, quint-aïeul du candidat, le maintenant dan sa noblesse. ↑ d'après Pièces originales 3006, Nouveau d'Hozier 332 ↑ Nom repris de la famille de Courson de La Villevalio, éteinte en 1847. ↑ Aignan Le Bas, seigneur de Leschenau, secrétaire de la chambre du roi en 1639, maître d'hôtel du roi en 1653. Louis Pierre d'Hozier. Armorial Général ou registre de la noblesse de France – 4e registre. ↑ Cette famille a été maintenue dans sa noblesse par ordonnance de Barentin le 10 décembre 1667 sur filiation suivie depuis 1559 ; cette ordonnance de Barentin est rappelée dans trois maintenues distinctes rendues par Quentin de Richebourg, Intendant du Poitou, et publiées Tome XXIII des Archives Historiques du Poitou. ↑ Acte récognitif Enregistrement, en date du 4 mai 1680, auprès de la Cour de la Sénéchaussée du Puy, de la maintenue de noblesse par Claude Bazin, seigneur de Bezons, du 5 juillet 1669, de Louis Antoine Pierre Blanc de Molines, et leur frère, noble Jean Blanc de Molines, sieur de Vailhes, époux de Marie de Courtial, 7e aïeul du candidat 43 111 j1. ↑ Jean Le Bouteiller, seigneur du Chastenay, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 9 avril 1669 t. 1, p. 362. ↑ H. Lamirault, 1885, La Grande Encyclopédie, volume 21, page 1093 présentation en ligne. ↑ Etat de la Noblesse Française subsistante, vol 24[réf. non conforme]. ↑ Rennes mss 504 et 505. ↑ Sur réversion du titre de 1815 du général Lecourbe. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 630 ↑ Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration ↑ Fr 32084, no 14 ; NH121. ↑ du Pas-de-Calais, 1B48, f° 248 V° à 250 V°. ↑ Acte récognitif de vétérance du 16 janvier 1748 en faveur de Jean François Lefebvre 1702-1747, seigneur de Gouy, conseiller au conseil d'Artois du 2 janvier 1702 au 18 octobre 1747. Il avait succédé à François Lefebvre son père, décédé en charge[réf. nécessaire]. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 341 ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 173. ↑ Philippe Lefèbvre, directeur des fermes du roi à Rouen, fermier général depuis 1710, reçu le 14 juillet 1718 conseiller-secrétaire du roi, mort en charge le 29 janvier 1733. Une branche de la famille reprend le nom de Salgues par décret du 14 janvier 1882. Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, page 218. ↑ Marquis d'Ormesson par érection des terres de La Queue en Brie, d'Amboile Ormesson-sur-Marne, et de Chenevières. ↑ Acte récognitif Certificat de noblesse du 24 octobre 1736, dressé et signé par Louis Pierre d'Hozier, pour l'admission dans la maison royale de Saint Louis à Saint Cyr de Marie Louise Charlotte Le Forestier du Buisson, baptisée le 13 juin 1726, fille de messire Charles René Le Forestier, seigneur du Buisson, chevalier de Saint Louis, quint-aïeul du candidat, et de Marguerite Louise Françoise de Camps. ↑ Claude Le Lou, seigneur de La Renaudière, en ST-Donatien, maintenu noble en Bretagne le 15 novembre 1668 t. 3, p. 555. ↑ cf. noblesse belge. ↑ Famille Le Marchand de Guignard de Saint-Priest Association d'entraide de la Noblesse Française ANF - Table des familles. ↑ Louis Lemau, lieutenant du bailliage de Polisy Aube, conseiller-secrétaire du roi près le Parlement d'Aix en Provence en 1750. Louis Marie Lemau de Talancé, émigré à l'armée de Condé en 1791. Une des branches cadettes relève le nom de Sirvinges. Authier et Galbrun. État de la noblesse française Subsistante, vol. 18, p. 236. ↑ 283-Armorial du Gui. Certificat de noblesse délivré le 8 avril 1785 par Denis Louis d'Hozier pour l'admission dans les pages de la Petite Écurie ↑ Seigneurs de Chamery en Châteauneuf-Val-de-Bargis en 1438.// Seigneurs de Maupertuis, de Turigny, de Corbelin en La Chapelle-Saint-André, de Molin, originaires du Nivernais en Auxerrois. Châtellenies de Donzy, de Cosne et de Clamecy. Claude Le Muet, écuyer, conseiller du roi, prévôt des maréchaux à Vèzelay en 1645. Inventaire des titres de Nevers. Armorial général de Bourgogne. Archives de l'Yonne et de la Nièvre. Armorial historique de l'Yonne.- La famille Le Muet est désignée dans un rôle de 1760 des nobles privilégiés de l'élection de Nevers Archives du département de Nevers - Jules-César Le Muet de Turigny, écuyer, seigneur de La Poté, baron d'Asnois, gentilhomme convoqué à l'Assemblée de 1789 du bailliage de Saint-Pierre-de-Moutiers, regroupant 53 familles dont 34 rattachées au Nivernais. Comte de Soultrait, Armorial de l'Ancien duché de Nivernais, Michot, Librairie de la Société Nivernaise. 1888; 2 T. ↑ Acte récognitif Maintenue de noblesse du 20 juillet 1699 pour Messire Claude Le Muet demeurant à Gurgy, par Antoine François Ferrand, intendant de Bourgogne et de Bresse. - 5 descendants inscrits dans l'Annuaire ANF 2007. ↑ Acte récognitif Extraits des registres de la Chambre de Rennes, établis par le Roy pour la réformation de la noblesse de la Province de Bretagne, certifiant par arrêt du 26 janvier 1669 que Mathurin Le noir, sieur de Tournemine, 8e aïeul du candidat, ainsi que d'autres membres de sa famille, sont issus d'ancienne extraction noble et maintenus dans leur noblesse Archives familiales au château de Craffault, en Plédran. ↑ Louis Le Peletier, secrétaire du roi, conseiller d'État en 1624. Son fils Claude est président à mortier du Parlement de Paris en 1651 et ministre d'État en 1653. ↑ Le Rouge de Guerdavid. ↑ Waroquier de Combles, Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, Paris, 1789, non conforme] ↑ d'argent à 7 fusées de gueules rangées en fasce. AR du 7 octobre 1968 9 novembre 1765, certificat de noblesse délivré par Beaujon pour l'admission dans les chevau-légers de la Garde du Roi ↑ d'argent à 7 fusées de gueules , 4 et 3. AR du 29 mai 1973 Jugement de maintenue de noblesse rendu par Quentin de Richebourg, intendant du Poitou ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 512. ↑ Fr 11927/8. ↑ Distinction auprès Henri IV. ↑ Preuves devant les généalogistes des ordres du roi MM 815. ↑ 82,0 et 82,1 MM 817. ↑ Preuves de noblesse pour les pages de la grande écurie, le 20 avril 1700. Preuves de noblesse pour Saint-Cyr en 1708. Dr de Ribier. Preuves de la noblesse d'Auvergne. ↑ Famille originaire de Mondovi en Piémont. Filiation suivie depuis Paolo Lingua, consul de Mondovi en 1463, père de Jérôme, évêque de Saint-Lizier Ariège en 1575. Innocent Lingua naturalisé en 1597. Anobli en 1604. Maintenue de noblesse le 14 juillet 1717. Authiers et Galbrun. État de la noblesse Française Subsistante. Vol. 18, p. 247. ↑ J. Lazerme, Noblesa Catalana, La Roche-sur-Yon, 1976, vol. 2, p. 262. ↑ Cette famille serait originaire du Piémont et venue en Barrois avec Christophe Pauli, dit Mousca, gendarme italien, de parents nobles, marié en 1457 avec Adeline Longeaux, dont la postérité a pris le nom. Charles-Sébastien de Longeaux, capitaine d'infanterie pour le service du roi, dans les régiments de La Ferté, de Picardie et de Lorraine, anobli le 26 septembre 1698, chevalier de Saint-Louis. ↑ Maintenue de noblesse en Orléanais du 26 janvier 1702 par M. Jubert de Bouville BN. MF no 32270. ↑ Acte récognitif Certificats de noblesse de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin du 21 août 1784 pour être reçu chevau-léger de la Garde ordinaire du roi en faveur d’Émeric Joseph de Longueau, mentionnant la maintenue de noblesse de 1696 en faveur de son aïeul Jean de Longueau, chevalier, seigneur de Launay, et en faveur du frère de ce dernier, Louis de Longueau, chevalier, seigneur de Saint-Michel, 6e aïeul du candidat Défense 1Ye carton 151. ↑ Changement de nom "de Louvel" en "de Lupel" par ordonnance du 13 septembre 1820 Bulletin des lois de la République Française, Volume 11, page 543, reprise depuis du nom de Louvel. ↑ DNF, 1975, ↑ Jean ou Francois Haudicquer de Blancourt, Nobiliaire de Picardie, 1693, page 311 présentation en ligne. ↑ François Bluche, in Les honneurs de la cour. ↑ Hector des Lyons, greffier des États d'Artois, fut anobli le 19 février 1634 Roux, roy d'armes au titre de la Province et Comté de Flandre, Recueil de la noblesse de Flandres et Artois, Lille, 1715[réf. à confirmer]. ↑ Dommaigné par décret de 1930 pour une branche. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 678. ↑ Gontran du Mas des Bourboux, L'ancienne noblesse du Périgord subsistant en Dordogne, 2001, article de Madaillan, pages 195 à 198. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 684. ↑ 98,0 et 98,1 Louis d'Izarny-Gargas, Jean-Jacques Lartigue, Jean de Vaulchier, Nouveau Nobiliaire de France, tome 3 M-Z, Versailles, 1998. ↑ cette famille ayant présenté trois générations de chevaliers de Saint-Louis, officiers des armées royales, est anoblie sous la Restauration par lettres patentes de 1815 de Raillicourt, La Noblesse militaire, chez l'auteur, Paris, 1962, ↑ Janine et Pierre Saliès, Les Capitouls de Toulouse de 1590 à 1740 », in Cahiers d'histoire de Toulouse et du pays toulousain - revue Archistra, xxxx, non conforme]. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 690. ↑ Premier consul de Toulon en 1497-1502 ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 697. ↑ Abbé Nadaud, Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges xxxx, non conforme]. ↑ Abbé A. Andrieu, Notice sur la famille Martrin d'Esplas et de Donos, Camarès, 1932, non conforme]. ↑ Une branche puinée a relevé le nom de la branche ainée, du Mas de Paysac, éteinte au début du XIXe siècle ↑ Patrice du Puy, Dictionnaire et armorial de la noblesse, tome III, 2009, non conforme]. ↑ Gontran du Mas des Bourboux, L'ancienne noblesse du Périgord subsistant en Dordogne, édition Pilote24, Périgueux, 2001, p. 213-220 ↑ Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, volume 23, 1995, non conforme]. ↑ Albert de Remacle, Dictionnaire des fiefs de la Basse Auvergne, xxxx, non conforme]. ↑ Georgel, Armorial des familles lorraines titrées au XIX° siècle, xxxx, non conforme]. ↑ DNF 1975, ↑ Léonard Michon, Armorial général de nos seigneurs les Présidents au bureau des finances de la généralité de Lyon, xxxx, non conforme]. ↑ Bibliothèque historique de la ville de Paris mss 1222, Dreux, f°139 ↑ Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, vol. 33, p. 169. ↑ Nicolas-François de Metz, avocat en parlement, substitut du procureur général en la Chambre des Comptes, fut maintenu aux droit et possession de se qualifier écuyer par arrêt de la Chambre des Comptes de Lorraine du 24 décembre 1788, comme descendant au huitième degré de Philippe de Metz, père de Mathieu, reconnu être issu d'ancienne noblesse par lettres de Nicolas de Lorraine, comte de Vaudémont, régent du duché pendant la minorité de Charles III, du 11 décembre 1556 Reg B. 269 n°21. Nicolas-François de Metz dit, dans sa requête, qu'au nombre des pièces qu'il produit ne se trouvent pas les lettres d'anoblissement. La noblesse de sa famille est trop ancienne pour que les titres originaires aient pu être conservés pendant plusieurs siècles dans une province qui a essuyé tant de révolutions... Archives de Meurthe-et-Moselle, AD MM B269, d'après l'inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790. ↑ Armorial de l'ANF, 2004, n° 1855, du 24 décembre 1788 Arrêt de la Chambre des Comptes de Lorraine portant maintenue de noblesse ↑ Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, vol. 18, p. 272 ↑ Tallandier 2008, ↑ DNF 1975, ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 392 ↑ AR Lettres de provisions du 16 décembre 1698 pour une charge de conseiller-maitre en la Cour des comptes de Dôle, en faveur de Philibert de Montagu, 7e aïeul du candidat ↑ AR Signification faite le 22 décembre 1777 à Messire Jean de Montard, écuyer, ancien officier au régiment de Poitou, quart-aïeul du candidat, par le maire et les consuls du Mas-d'Agenais, de leur délibération du 2 novembre 1777 concluant à l'absence d'objection contre sa noblesse, à la suite de l'examen de l'arrêt de la Cour des Aydes et Finances de Bordeaux du 2 septembre précédent. ↑ Jean Pierre Morel, seigneur de La Colombe, 1473. Antoine, lieutenant de 100 arquebusiers à cheval en 1578. Charles, représenté au ban et à l'arrière-ban le 12 novembre 1639, maintenu dans sa noblesse le 13 décembre 1669 par M. de Bezon. Louis Ange Morel de La Colombe, passé au service d'Amérique en 1777, en qualité d'aide de camp de M. de La Fayette, capitaine de dragons au régiment du roi en 1780, chevalier de l'ordre de Cincinatus en 1784 Comte de Waroquier, Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786 ↑ Gabriel de Mostuéjouls, résidant à Haapiti, Polynésie française ↑ DNF 1975, ↑ ↑ Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, vol. 18, p. 279 ↑ Jean Doublet édition de Charles Bréard, Journal du corsaire Jean Doublet de Honfleur lieutenant de frégate sous Louis XIV publié d'après le manuscript autographe, Paris Charavay frères, 1883, p. 9.//Pierre L'Estourmy éd., Recherche de la noblesse de 1666 pour la généralité de Rouen, dite Recherche de la Galissionnière, élection de Pont-l'Évêque, Saint-Pois, l'auteur, 2001, ISBN 2-901760-33-3, p. 280 généalogie p. 280-285 ↑ Woelmont de Brumagne, Notices généralogiques, 6e série, p. 832 généalogie p. 832-838. ↑ Woelmont de Brumagne, Notices généralogiques, 6e série, p. 841. ↑ Mort en charge le 14 janvier 1756. ↑ Branche. aînée comte de Vaubécourt 1642, éteinte 1705. Baron de Vaubécourt 1862, Champagne, Lorraine, Barrois ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 752. ↑ La famille "de Nicolaï de Lacoste de Laval" est issue de la famille "de Nicolas", sieurs de La Coste et de Laval. Alain de Nicolas né en 1715 écuyer et sieur de La Coste eut de son union avec Françoise Martine Planchard un fils, Louis-Anne 1763-1847 qui adopta la nouvelle graphie de son patronyme. M. d'Hozier, "Armorial Général de France", registre seconde, 2nd partie, Paris, 1742 et M. Champeval, "Dict. des familles nobles et notables de la Corrèze", xxxx, p. 335. ↑ Woelmont, Notices généalogiques, 3, 559-560. ↑ Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, 4e série, p. 606 généalogie p. 604-610. ↑ Duc de Cadore et de l'Empire en 1814, pour une branche éteinte en 1893, mais relevé par adoption de 1919. ↑ Acte récognitif Protestation de la noblesse de Bretagne de janvier 1789 dans laquelle est mentionné René Noüel de Kertanouarn, 6e aïeul du candidat d’Ille-et-Vilaine C 2855F. ↑ Acte récognitif Annales manuscrites de la ville de Toulouse mentionnant Antoine de Nucé de Lissac, 7e aïeul du candidat, comme Capitoul de la ville pour le quartier de la Dalbade pour l'année 1773 BB 284, chronique 442 f°96. Testament de Marie de Coly, épouse d'Antoine de Nucé de Lissac, le qualifiant d’Écuyer et d'ancien Capitoul de la ville de Toulouse du Lot 4E 480/1. ↑ Oberkampf de Dabrun, Allemagne, Oberkampff modifié en Oberkampf de Dabrun cours d'appel de Lyon - 28 juillet 1898, non reconnue noble en France[réf. nécessaire]. ↑ John O'Byrne had Letters of Nobility granted to him by King Louis the XVI in 1770 and was always styled in France and in Ireland le Chevalier O'Byrne de Macon La Byrne-Rothwell, The Byrnes and O'Byrnes - A social history of the clan, p. 232, Argyll, 2010. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-nobiliaire français, 2012, ↑ Les 21 janvier et 30 avril. ↑ M. de Saint-Allais, Nobilaire universel de France, t. 3, p. 69. ↑ Philippe Lazerme, Noblesa Catalana, La Roche-sur-Yon, 1975, vol. II, p. 409. ↑ Éric Thiou, Dictionnaire des titres et des terres titrées en France sous l'Ancien Régime, éd. Mémodoc, Versailles, 2003, ↑ Mort en charge. ↑ Jean Parisot de Bernécourt anobli par Lettres du duc Charles III de Lorraine le 19 janvier 1598. Bernécourt, seigneurie en Lorraine, érigée en baronnie par Lettres du 19 avril 1719, en faveur de Didier-Charles Parisot, colonel de cavalerie, au service du duc Léopold Ier de Lorraine. Comte de Waroqier Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi. 1786.. ↑ Acte récognitif Lettres patentes du Duc de Lorraine Léopold 1er, du 7 septembre 1707, attribuant le titre de Baron à Charles Parisot, 8e aîeul du candidat E3185. ↑ Brandt de Galametz, Histoire Généalogique de la Maison du Passage, xxxx, non conforme].. ↑ Armorial de l'ANF, AR 2408, éditions du Gui ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 418 ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 1182. ↑ Vicomte Albert Révérend, in Armorial du premier Empire xxxx, non conforme]. ↑ Tallandier 2008, p. 211. ↑ François Bluche, Les honneurs de la Cour, xxxx, non conforme]. ↑ Acte récognitif maintenue de noblesse le 20 août 1669 par la Chambre pour la réformation de la noblesse de Bretagne. ↑ Tallandier 2008, p. 213. ↑ Actes récognitif données à Turin, le 10 mai 1775, par Victor-Amé, roi de Sardaigne, duc de Savoie, portant vente et inféodation de la terre et fief de la Bathie avec la dignité et titre de Baronnie, en faveur de Claude Perrier et son fils aîné Pierre-Antoine, avec transmission en primogéniture dans la descendance mâle. ↑ AN 149 Mi 3 et État des Donataires en Westphalie du 15 août 1810. ↑ Acte récognitif Lettres Patentes du 12 novembre 1811 conférant le titre héréditaire de Baron de l'Empire à Pierre-François-Charles-Alexandre Petiet, 4e aïeul du candidat. ↑ Vicomte Albert Révérend, Armorial du Premier Empire xxxx, non conforme]. ↑ Léonce de Piépape, Nicolas Joseph Philpin de Piépape, jurisconsulte et conseiller d'état, 1731-1793, Paris, É. Champion, 1924, 136 p. OCLC 566025170. ↑ Anobli par charge de conseiller au parlement de Dombes, exercée pendant 24 ans, suivant certificat de service du 2 janvier 1659. ↑ Maintenue de noblesse par arrêt du Conseil d'État le 22 mars 1669 et à l'intendance de Lyon par d'Herbigny le 13 juin 1698. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 798. ↑ Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, 1989, p. p. 155 ↑ Maintenues de noblesse par ordonnance de M. Barentin, intendant de la généralité de Poitiers le 1er septembre 1667, ordonnance de M. de Maupéou intendant de la généralité de Poitiers le 18 janvier 1699 et ordonnance de M. Bégon intendant de la généralité de La Rochelle le 21 avril 1700. ↑ de la Seine-Maritime, C1305, f°183. ↑ Acte récognitif Lettres Patentes du 12 septembre 1731, octroyant l'office de conseiller secrétaire du roi Maison et Couronne de France près le Parlement de Rouen à Adrien François Pinel, 5e aïeul du candidat. ↑ Anne Louis Pinon, marquis de Saint-Georges, fait Mestre de Camp sur le champ de bataille de Fontenoy en 1745, Lieutenant-Général des Armées le 13 avril 1780, Grand'Croix de l'Ordre de Saint-Louis en 1773. Comte de Waroquier Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi. 1786. ↑ Acte récognitif arrêté du Garde des Sceaux du 22 janvier 1993 531 T91 investissant le père du candidat du titre héréditaire de vicomte de Quincy. ↑ Jean Étienne Piochard de La Bruslerie, né le 31 mai 1696, chevalier de Saint-Louis en juillet 1736, sous-brigadier de la Ire Compagnie de Mousquetaires le 1er juillet 1737, anobli par Louis XV par Lettres Patentes de mars 1743, Maréchal des Logis de la Compagnie le 1er juillet 1756. Comte de Waroquier, Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786. ↑ Acte récognitif Maintenue de noblesse de Normandie en 1666 par Messire de Chamillart, en faveur de Georges Piton, sieur du Manoir, 8e aïeul du candidat Musée des Beaux-Arts de Caen, collection Mancel, Ms 157, p. 506 et 507. ↑ Acte récognitif Lettres patentes de Louis XVIII en date du 14 août 1818 conférant le titre héréditaire de baron à Louis Duplessis de Pouzilhac, avec constitution de majorat. ↑ Jean Pocquet de Livonnière, conseiller du roi au siège présidial d'Angers, mort en fonction en 1767. Un échevin d'Angers en 1684 Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique du Maine-et-Loire xxxx, non conforme].. Maître ordinaire en la Chambre des comptes de Blois le 4 août 1766 ↑ Acte récognitif Preuves de noblesse délivrées le 6 septembre 1788 par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans les Écoles Militaires de Henry-André du Pont de Compiègne, preuves remontant à la maintenue de noblesse par arrêt du Conseil du roi du 18 novembre 1667 en faveur du bisaïeul Nicolas du Pont de Compiègne, Écuyer, 8e aïeul du candidat. ↑ O'Gilvy, Nobiliaire de Guyenne, xxxx, non conforme]. ↑ L'actrice Clotilde Courau, épouse du prince Emmanuel-Philibert de Savoie, descend en ligne féminine de la famille du Pontavice. ↑ Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, 2e série. ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 543-544 présentation en ligne ↑ Acte récognitif Maintenue de la généralité de Rouen, élection de Ponteaudemer, du 22 janvier 1669, par Barin de La Galissonnière, pour Louis de Postis, 7e aïeul du candidat, alias Pottier, escuyer, sieur du Houlbec, y demeurant Rouen, ms Martinville Y93, f°2, 2v et 319, fils de Charles et Louise de Courseulles man. fr. 32270 frère de Jacques, Pierre et Diane de l'Eure 8 Mi 2313. ↑ Acte récognitif Arrêt du Conseil du roi du 27 novembre 1730 confirmant dans sa noblesse d'ancienne extraction Jean de Pracontal, 7e aïeul du candidat. ↑ DNF 1975, ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols, 2002, p. 442 ↑ Recueil des personnes ayant fait leurs preuves pour l'ANF 1977. ↑ Ils étaient cultivateurs, ensuite marchands à Draguignan, Histoire véridique de la noblesse de Provence, par le baron du Roure Bergerac, 1912, maintenue de noblesse par Belleguise le 12 janvier 1669 et Le Bret le 9 juillet 1697 à l'intendance de Provence, Draguignan en Provence . ↑ Acte récognitif Procès-verbal des preuves de noblesse, en date du 23 mars 1782, pour l'admission comme chevalier de justice dans l'Ordre de Malte de Joseph Augustin Casimir de Raffelis de Soissan, 4e aïeul du candidat des Bouches-du-Rhône 56 H 567/346. ↑ Noblesse prouvée depuis Antoine de Rasque qui épousa le 21 février 1559 Marguerite de Tulles. Maintenue de noblesse par jugement de M. Le Bret, intendant de Provence de l'an 1704. La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, t. IX, p. xx[réf. non conforme].. ↑ 1979- AR de l'ANF/5277 18 mars 1789,comparution pour l'Ordre de la noblesse, sénéchaussée d'Angers et qualifications nobles sur cinq degrés-LP du 26 août 1670 enregistrées tardivement le 29 mai 1725 sur paiement d'une soulte ↑ Cette famille remonterait à Guillaume Reboul, juge au Chapitre de Gap vers 1399. Maintenue de noblesse par M. de Bezons, intendant du Languedoc le 31 janvier 1669. Louis de La Rocque,Armorial du Languedoc[réf. non conforme]. ↑ Tallandier 2008, p. 234. ↑ Recueils de l'ANF, 1950. ↑ Preuves ANF admission 2016. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 851. ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 597-598 présentation en ligne ↑ Cette famille est citée dès 1066 avec Richard de Reviers, mort en 1107. Maintenue en 1634 et en 1667. Preuves pour les Écoles Royales Militaires en 1769. Guy Chamillart, Généralités de Caen ; Woélmont, Notices généalogiques, xxxx, non conforme]. ↑ Noble Louis Richard, conseiller de l'Hôtel du duc de Bourgogne, mort avant 1465. Noble Flauceault Richard, co-seigneur de Ruffey en Bourgogne en 1482. Noble Jacques Richard, seigneur de Ruffey, né en 1579, Gouverneur de la Chancellerie de Bourgogne en 1604, admis dans la Chambre de la noblesse des États de Bourgogne en 1618, élu aux états généraux de Bourgogne le 22 décembre 1623. Germain Richard, chevalier, sgr de Ruffey et de Vesvrotte, né le 3 septembre 1668, président de la Chambre des Comptes de Dijon le 10 mai 1730. Terres érigées en marquisat d'Ivry par Lettres de novembre 1776, enregistrées au Parlement de Dijon le 4 août 1777, en faveur de Jean-Baptiste Richard de Curtil. Comte de Waroquier Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786 Voir l'article Charles Richard de Vesvrotte. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 855. ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 613 présentation en ligne ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 619-623 présentation en ligne ↑ Henri Filleau, Dictionnaire historique, biographique et généalogique des familles de l'ancien Poitou xxxx, non conforme]. ↑ CC249. ↑ Vicomte Albert Révérend, Armorial du premier Empire xxxx, non conforme]. ↑ Tallandier 2008, p. 240 ↑ Henri Rouillé d'Orfeuil appartient à cette famille. ↑ Maurice Callandrau, in L'ordre de la noblesse de l'Angoumois xxxx, non conforme].. ↑ Philippe Lazerme, Noblesa Catalana, La Roche-sur-Yon, 1975, vol. III, p. 199. ↑ 149 Mi 8 f°295. ↑ Acte récognitif Lettres Patentes du 31 mai 1817 du roi Louis XVIII accordant la noblesse héréditaire avec règlement d'armoiries à Joseph Étienne Royer Dupré, quart-aïeul du candidat. ↑ Certificat de noblesse délivré par Louis Pierre d'Hozier pour l'admission dans la Maison royale de Saint-Louis à Saint-Cyr, le 16 mai 1750. ↑ Filiation suivie depuis Jean Roys, vivant en 1553, père d'Arnaud, marié par contrat du 13 août 1579 avec Roberte de Concolas[réf. nécessaire]. ↑ Clermont-Ferrand, mss 555 f°166. ↑ MM 817 ; Chérin no 181. ↑ AD Tarn et Garonne C557 et C558 mort en charge le 18 mai 1752. ↑ Acte récognitif Conseiller secrétaire du roi près la Cour des Aides de Montauban, par lettres de provision d'office du 10 juillet 1751, en faveur de Bernard Rudelle, mort en charge le 18 mai 1752, 6e aïeul du candidat. ↑ Qu'il détenait lors de l'abolition des charges anoblissantes. ↑ Sur institution de majorat pour la terre de Prouvais Marne. ↑ Lettres patentes du 9 septembre 1824 conférant le titre héréditaire de baron pair sur institution de majorat. ↑ 25 B619. ↑ Revue Mabillon archives de la France monastique, 1933, p. 214 1554 François Sabolin, de Signes » présentation en ligne ↑ Artefeuil, Histoire héroique et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, 1776, p. 352 présentation en ligne. ↑ 224,0 224,1 et 224,2 Dictionnaire de la noblesse française, 1975, p. 891. ↑ Sur réversion du titre d'Elzéar Zozime 1764-1847 premier et dernier duc de la maison de Sabran. ↑ Luc Antonini, Les Grandes familles provençales aujourd'hui volume 3, xxxx, [réf. non conforme]. ↑ Certificat de noblesse délivré par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans les Écoles royales militaires, le 6 juin 1778. ↑ Acte récognitif Copie par Merigot, Directeur de la recherche des usurpateurs du titre de noblesse de la Généralité de Montauban, d'une maintenue de noblesse du 11 novembre 1715 par Laugeois, intendant de la Généralité, en faveur de noble Scipion Antoine de Saint-Julien, 7e aïeul du candidat man. fr. 32302 f°687 et 688. ↑ Armorial général des registres de la noblesse de France, Paris, Edouard de Barthélémy, éditeur scientifique, 1867 [lire en ligne page consultée le 2017-01-10], p. 270. ↑ Ordonnance de décharge du droit de franc-fief rendue le 21 novembre 1760 par l'intendant de Picardie, en raison de noblesse d'extraction BN Carrés d'Hozier 361. ↑ Arrêt du Conseil du roi du 21 juin 1783 portant maintenue de noblesse d'ancienne extraction BN Nouveau d'Hozier 206. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 899. ↑ Château de Ker-Saint-Éloy Kersaint-Eloy name="RHO_12"Revue Historique de l’Ouest, année 1896, présente dès la fin du XIIe siècle, État présent de la noblesse française, 1866, Antoine Bachelin-Deflorenne, Louis Paris, citée en 1351 comme gens d'armes/premier tome de l’Histoire de Bretagne, colonne 1471, par dom Morice name="RHO_12", citée 1371. Extrait de La Revue Historique de l’Ouest, année 12 1896 - Documents - 1668-1671 - Réformation de la noblesse - 118 voir ↑ Père Anselme, Histoire de la Maison royale de France et des grands officiers de la Couronne xxxx, [réf. non conforme]. ↑ AD du Doubs liasse 1B 788. ↑ Acte récognitif Arrêt sur requête rendu le 29 avril 1669 par la Chambre des Comptes de Franche-Comté donnant acte à Claude-François de Salivet, 7e aïeul du candidat, et à son frère Jean-François, pour y avoir recours en cas de besoin, de la présentation qu'ils font des lettres de noblesse délivrées à leur parent, François de Salivet, par l'Empereur Charles Quint, en janvier 1531 du Doubs, liasse 1 B788. ↑ Fr. 31786/51, f°297. ↑ Ils sont originaires de Valensole, ou ils étaient nourriguiers, c’est-à-dire propriétaires de bétail et tirent leur noblesse de la maintenue des traitants en 1668 baron du Roure, Histoire Véridique de la noblesse de Provence, Bergerac, 1912, [réf. non conforme]. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 903. ↑ Vicomte Albert Révérend, Armorial du Premier Empire xxxx, [réf. non conforme]. ↑ Révérend, Titres, anoblissements et pairie de la Restauration tome II, xxxx, [réf. non conforme]. ↑ Max de Savenelle de Grandmaison, capitaine au 125e RI, Promotion Saint-Cyr 1888 du Grand Triomphe, mort pour la France à Metz le 23 août 1914[réf. nécessaire]. ↑ Tallandier 2008, p. 255. ↑ Vicomte Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration xxxx, [réf. non conforme]. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français, Sedopols 2002, p. 487. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 1192. ↑ Bernard du Serech d'Aurimont de Saint-Avit promotion du Tafilalet Saint-Cyr[réf. nécessaire]. ↑ Pour les branches de Bandeville et de Quincy Séréville et Saint-Simon 1975, p. 920. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 920. ↑ Lamant et Saint Simon, armorial des Cincinnati de France, xxxx, [réf. non conforme]. ↑ Archives et bibliothèque départementales Gaston Defferre B1360 f°391r et 409r. ↑ Archives Départementales des Bouches du Rhône C2212 f° 1050r. ↑ Barons féodaux d'Écosse sortie des Comte de Fife en 1150 par un cadet titulaire de l'office royal de "Dispensator Regis", naturalisée en France en 1474 avec son titre de baron. ↑ Admission de Jacques Clair Stanislas de Surrel de Saint-Julien comme cadet-gentilhomme au régiment La Couronne Infanterie en 1778, sur présentation d'un certificat de noblesse du 13 mai 1776 signé de l'Intendant du Languedoc de Saint-Priest et du comte de Périgord, commandant militaire de la province de Languedoc Archives de l'Armée de Terre, à Vincennes et Registre de contrôle du régiment La Couronne Archives de l'Armée de Terre Yb 410, p. 94. Velay ↑ Charondas Faux nob. » dans l'ouvrage À quel titre ...Volume 37, coll. Les Cahiers nobles, 1970, 112 pages, [réf. non conforme] préentation en ligne. ↑ Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, Vol 2, page 187. ↑ Conseiller secrétaire du roi audiencier auprès du Parlement de Flandre ↑ Archives de l'Armée de Terres à Vincennes. ↑ Acte récognitif Certificat de noblesse délivré par Chérin pour l'obtention d'une sous-lieutenance, en date du 26 mai 1783, en faveur de Simon-Louis-François Taffin du Hocquet, 4e aïeul du candidat. ↑ Pol Louis Potier de Courcy, Nobiliaire de Bretagne, 1846, p. 373 présentation en ligne. ↑ 261,0 et 261,1 Séréville et Saint-Simon 1975, p. 939. ↑ Registrées au Parlement de Paris le 18 mars 1684 X1a 8677, f°140. ↑ P 3825-26. ↑ Charles-Anselme-Marie Tardieu de Maleissye, né le 18 mars 1875, est autorisé à ajouter à son nom patronymique celui de Melun et à s’appeler légalement à l’avenir Tardieu de Maleissye-Melun au lieu de Tardieu de Maleissye in Bulletin des lois, 1902, p. 396 présentation en ligne. ↑ Tardieu de Maleissye-Melun, décret du 29 mars 1902 in Noms à caractère nobiliaire obtenus par décrets de 1803 à 1956, SGADF 1957, p. 90 présentation en ligne. ↑ Certificat de noblesse délivré le 19 mars 1784 par Chérin BN Chérin 214. Vicomte Albert révérend, Titres et confirmations de titres, titre héréditaire de baron par Lettres Patentes de l'Empereur Napoléon III, le 22 décembre 1866. ↑ Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, 1989, p. 248. ↑ Les trois branches nobles subsistantes sont issues de Pierre Teillard 1763-1836, anobli par du 22 juin 1816. ↑ Chardin par mariage en 1841 avec Victoire Barron de Chardin[réf. nécessaire]. ↑ Rancilhac de Chazelles par décret du 27 janvier 1869. ↑ Les autres branches non anoblies, qui subsistaient encore au début du XXIe siècle, sont les Teilhard de Laterrisse installés en Argentine au XIXe siècle, et les Teillard de Nozerolles.[réf. nécessaire] ↑ Charles Tenant de La Tour, Notice sur les Tenant de La Tour, 1550-1875, impr. de H. Lefebvre Compiègne, 1886[réf. nécessaire], présentation en ligne ↑ Comte Henri de Jouvencel, L'assemblée de la noblesse de la sénéchaussée de Lyon, xxxx, non conforme]. ↑ Duc de Caraman, Notes généalogiques pour servir à l'histoire des fermiers généraux tome III, xxxx, p. xx[réf. non conforme].. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 946. ↑ Acte récognitif Maintenue de la noblesse de Champagne en 1669 par M. de Caumartin, en faveur de Gabriel de Thelin, seigneur de Gumont et Villiers-sur-Marne, 7e aïeul du candidat man. fr. 32090 et 32091. ↑ confirmé en 1733, Pages de la Grande Ecurie du roi en 1721.[réf. nécessaire] ↑ registrées au Parlement de Dijon le 5 août 1659, et à la chambre de comptes le 14 août suivant ↑ Acte récognitif Enregistrement le 14 septembre 1772 à la Chambre des Comptes de Bretagne des lettres de provision, données à Versailles le 30 décembre 1771, de l'office de Conseiller Secrétaire du roi, Maison et Couronne de France en la chancellerie près la Cour du Parlement de Bretagne, à Pierre Thoinnet, quint-aïeul du candidat de la Loire-Atlantique, Chambre des Comptes, B510. ↑ Famille de Thomas de Labarthe anoblie par LP de Louis XIII le 27 décembre 1627 pour la branche aînée éteinte en 1685. La branche cadette, pour la maintenue de noblesse de 1670, s'est fait passer pour descendante de l'anobli de 1627 alors qu'elle n'en descend pas. Sur foi de ce faux, elle a donc était maintenue Cf. "État de la Noblesse Française subsistante" volume 28 pages 280 et 281 de Michel Authier et Alain Galbrun, qui montre que le père de Jean de THOMAS, Antoine THOMAS, seigneur de Rocquecourbe est mort en 1612 et que c'est son fils, donc le frère de Jean, autre Antoine THOMAS, aussi seigneur de Rocquecourbe qui a été anobli en 1627, donc 15 ans après le décès de leur père. Cette maintenue a l'autorité de la chose jugée, et seuls l'intendant ou le conseil du roi, auraient pu l'annuler si cette erreur avait été découverte. Également maintenu par le grade de maréchal de camp le 1er mars 1780 pour la branche subsistante[réf. nécessaire]. ↑ Acte récognitif Maintenue de noblesse de la généralité de Moulins, élection de Nevers de 1667, en faveur de Noël de Thoury, seigneur de Malnay, 8e aïeul du candidat man. fr. 32275. ↑ du Rhin 1B943 p. 85 et 86. ↑ Acte récognitif lettres d'honneur de Conseiller secrétaire du roi en la Chancellerie près le Conseil supérieur d'Alsace données par le roi à Versailles le 11 avril 1746 à Jean-François-Antoine Tissot, 6e aïeul du candidat. ↑ Raoul Daudeteau, Recherches historiques et généalogiques sur la maison de Tournebu, Caen, 1911, [réf. non conforme]. ↑ Maintenue de noblesse en normandie en 1641 et à Caen en 1666. Certificat pour une sous-lieutenance du 6 mars 1789 Clairembault 936. ↑ Beauchet-Filleau, Dictionnaire des familles du Poitou p. 53-54. ↑ André Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France, 1893, ↑ Blason d'argent à un sanglier de sable en furie ayant la lumière et la défense d'argent- Armorial de Bretagne de Guy Le Borgne. 1681. ↑ André de Tressemanes prouva l’anoblissement de sa famille au XVe siècle, par charge de secrétaire du Roi, en produisant des titres falsifiés entérinés sans difficultés par la commission » se reporter à la source suivante, page 606. ↑ 24 avril 1698 Enregistrement par la Chambre des comptes de Dole des lettres de noblesse d'octobre 1630- AD Doubs. B 784. ↑ Isabelle Marie Anne de Truchis de Varennes, plus connue comme chanteuse sous le pseudonyme de Zazie, appartient à cette famille. ↑ Louis de Turenne, marquis d'Aynac, page de la Grande Ecurie sur preuves du 21 mars 1548. Honneurs de la cour en 1772 Authier et Galbrun, État de la noblesse française subsistante, Vol. 18, page 329. ↑ Raoul de Warren, Grand Armorial de France, tome 5, Paris, 1949, non conforme]. ↑ Titre de comte de l'Empire concédé au duc Charles Joseph d'Ursel, gouverneur-maire de la ville de Bruxelles, par LP scellées le 20 Décembre 1810. Cf Bulletin de l'ANF - Juillet 2017. ↑ Adrien Lascombe, Répertoire général des hommages de l'évêché du Puy, 1154-1741, xxxx, p. 385. ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 757-759 présentation en ligne ↑ Claude Vaillant, seigneur de Meixmoron, conseiller maître puis président de la chambre des comptes de Dijon, le 14 mai 1786. Maintenue par arrêt de la chambre des comptes de Lorraine, le 3 décembre 1775. J. d'Arbaumont. Armorial de la chambre des comptes de Dijon. Jean-Baptiste Charles Vaillant de Meixmoron, garde du corps du roi, épouse en 1837 Marie Charlotte Mathieu de Dombasle, fille de Christophe, Joseph Alexandre, célèbre agronome et inventeur. Son nom sera repris ultérieurement par décret du 23 juin 1866[réf. nécessaire]. ↑ Acte récognitif arrêt du Conseil du Roi du 19 mars 1668 prouvant l'ascendance noble d'Edme du Val, sieur d'Espizy, jusqu'à Yvon du Val, secrétaire du roi par lettres de provision du 6 juillet 1437 charge qui n'était pas anoblissante à cette époque. Ledit Edme, cousin issu-de-germains de Jean du Val, écuyer, conseiller au parlement de Bordeaux, 9e aïeul de la candidate. Bulletin ANF n° 306, juillet 2016, p. 30 assemblée générale du 13 juin 2016. ↑ Séréville et Saint-Simon 1975, p. 974. ↑ Denys du Péage, Recueil de généalogies lilloises. ↑ Famille maintenue dans sa noblesse en Périgord le 20 avril 1667 Authier et Galbrun, État de la Nobesse Française Subsistante. Vol. 18, xxxx, p. 345. ↑ Acte récognitif Lettres de conseiller secrétaire du roi, Maison et Couronne de France honoraire du 12 novembre 1751 attribuées à Claude-François Varenne, 6e aïeul du candidat. ↑ Seigneurs de La Citière, de La Razillière, de Belezay, de La Varenne, de la Voute, de la Chaume, de Massilly, de Cordouan, des Hayes, de Champfremont, de Ravigny et de la Posté, Page de la Grande Ecurie en 1709, marquis 1796 branche aînée éteinte, comte branche cadette[réf. nécessaire]. ↑ Acte récognitif Preuves dressées par Charles d'Hozier le 8 mai 1709 pour Alexandre de Vaucelles de Ravigny, 7e aïeul du candidat, en vur d'être reçu Page du roi dans sa Grande Écurie man. fr. 32102 f°147 et 148. ↑ Admission dans la noblesse belge en 1925; voir sources sur WPNL. ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 770 présentation en ligne ↑ Albert Révérend, Titres et confirmations de titres[réf. non conforme]. ↑ NH330. ↑ Acte récognitif Lettres Patentes du 18 janvier 1829 du duché de Savoie octroyant le titre de Comte à Marc-Antoine Vialet de Montbel, trisaïeul du candidat, et à sa descendance par ordre de primogéniture. ↑ Registrées en la Cour des Aides de Rouen le 12 novembre 1623. ↑ Fr 32265 et 32312. ↑ Amans-Charles de Vigouroux, maintenu dans sa noblesse le 15 mai 1700 par M. Legendre, Intendant de Montauban Comte de Waroquier Tableau généalogique et historique de la noblesse présenté au roi, 1786. ↑ Acte récognitif Maintenue de noblesse du 28 février 1715 dressée par Richebourg, intendant de la généralité de Poitiers, en faveur de Pierre Gabriel de Villedon, écuyer, seigneur de Saint-Rhue, 7e aïeul du candidat de la Vienne 17J164. ↑ Philippe du Puy de Clinchamps, L'ancienne noblesse française en 1955, Les Cahiers nobles, 1955, présentation en ligne. ↑ Armoiries de gueules à trois étoiles d'argent posées en bande côtoyées de deux cotices de même. Devise Accueillance de Villers. François-Félix Chevalier, Mémoires Historiques sur la ville et seigneurie de Poligny, 2, xxxx, p. 529. ↑ Acte récognitif Ordonnance du 29 novembre 1745, de Stanislas, duc de Lorraine, roi de Pologne, en suite des preuves admettant Jean Charles Adam, chevalier, marquis de Villers quart-aïeul du candidat, dans la compagnie des cadets gentilshommes de Lorraine. ↑ Conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France, contrôleur en la chancellerie près de la Cour des Comptes, aydes et finances de Dôle office transféré le 12 octobre 1756 à la chancellerie près le Parlement de Rouen[réf. nécessaire]. ↑ Pour la branche éteinte de Prunières. ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 805-811 présentation en ligne ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 806, seigneurs de Faverges dite Virieu-Beauvoir » présentation en ligne ↑ Rivoire de La Bâtie, 1867, p. -812-813, Vivier » présentation en ligne p. 222 Fay-Solignac » présentation en ligne ↑ François Bluche pour la première maison de Vogüe, éteinte en ligne masculine en 1326, extraction chevaleresque 1275 ou 1284 pour la seconde maison de Vogüé, olim d'Alès alias d'Alex, originaire du Dauphiné, La Vie quotidienne de la noblesse française au XVIIIe siècle, Hachette, 1973, p. 197 présentation en ligne. ↑ déclaré exempt de toutes tailles, subsides, impositions et droit de maimmorte en 1739 et 1745. Authier et Galbrun État de la noblesse française subsistante, vol. 33, xxxx, p. 224. ↑ Acte récognitif Lettres de noblesse du 4 novembre 1815 avec règlement d'armoiries, accordées par ordonnance du roi en date du 7 mars 1815, en faveur de François-Charles Vuillefroy, ancien chevalier d'honneur au Bureau des Finances de Soissons, 6e aïeul du candidat BB29/978 f°88. ↑ Michel Authier, État de la noblesse française subsistante vol. 03, xxxx, p. 159. ↑ Généalogie Walsh-Serrant », sur le site ↑ Il y a rupture de filiation tout à la fin du XIVe siècle, et celle-ci n'est évidente qu'à partir du XVe siècle in Philippe du Puy, L’ancienne noblesse française, xxxx, [réf. non conforme]. ↑ Par arrêt du Conseil d’État de Léopold I Duc de Lorraine, suivant certificat du College of Arms de Londres du 20 septembre 1717. ↑ Majorat sur un domaine de 8 300 francs de revenu[réf. nécessaire]. ↑ Anobli par Lettres Patentes du 3 novembre 1623. Roux, Roy d'Armes au titre de la province et Comté de Flandre, Recueil de la noblesse de Flandres, Artois, Lille, 1715, [réf. non conforme]. Voir aussi Articles connexes Noblesse française Association d'entraide de la noblesse française ANF Liste des familles subsistantes de la noblesse d'Empire Liste de familles éteintes de la noblesse française depuis 1900 Liste de familles éteintes notoires de la noblesse française Liste des familles françaises subsistantes dites de noblesse inachevée Liste des familles françaises subsistantes de la noblesse pontificale Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime A à K Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime L à Z Liste des familles françaises anoblies et/ou titrées au XIXe siècle Liste des familles contemporaines de la noblesse belge Armorial des familles de France Lien externe Site officiel de l'ANF Erreur Lua dans ModuleSuivi_des_biographies à la ligne 193 attempt to index field 'wikibase' a nil value.Limite du nombre de liens externes atteinte
LeGouray (Gallo: Le Góràè, Kreuz beim Château de la Motte Basse Literatur. Le Patrimoine des Communes des Côtes-d’Armor. Flohic Editions, Band 1, Paris 1998, ISBN 2-84234-017-5, S. 186–190. Weblinks Fotos der Dorfkirche Saint-Étienne; Infos zur Geschichte und den SehenswürdigkeitenJeanne Coroller, ou C. Danio pour Coroller Danio, est née le 25 mai 1892 à Mordelles est assassinée le 13 juillet 1944, dans la forêt de La Hardouinais à Merdrignac. Elle est une militante catholique régionaliste et autonomiste bretonne et une femme de lettres. Son principal nom d'auteur était C. Danio[1], elle signait C. Danio voir liste de ses principaux ouvrages, Jeanne de Coatgourc'han, Gilles Gautrel et Gilesse Penguilly. Origine[modifier modifier le code] Son père est un écrivain de langue bretonne, Eugène Coroller 1857-1923 plus connu sous le pseudonyme de Gweltaz. Ce grand ami de Théodore Hersart de la Villemarqué est un descendant du colonel Coroller, membre de l’état-major de Georges Cadoudal, Il est aussi le fondateur de "Feiz ha Breiz" et le président du "Breuriez ar Brezonnek". Bretonne également, sa mère est Pauline de Farcy de Beaumont 1858-1932. Née à Mordelles en 1892, Jeanne Coroller épouse le 19 février 1924 à Trédaniel, René Chassin du Guerny veuf en premières noces de Cécile Loir-Mongazon et lui donnera sept enfants dont Rozenn 1958, mariée en 1939 avec Yves Chevillotte, François, Armelle, mariée en 1960 avec Yves Chevillotte, Marie-Hélène, Yvonne-Jeanne Vonig et Yannick marié en 1958 avec Geneviève de Méric de Bellefon. Œuvre romanesque et historique de langue bretonne[modifier modifier le code] Elle est un auteur de jeunesse de grand talent. Elle est aussi une catholique fervente. Dès 1922, elle publie une Histoire de notre Bretagne illustrée dans sa première édition par Jeanne Malivel 1895-1926 qui au vu de l'autonomisme revendiqué par l'ouvrage alors qu'elle même s'était toujours revendiquée régionaliste, interdira fermement toute utilisation de ses bois gravés pour la réédition. En 1929, elle publie sous forme scénique Le Mystère de Bretagne, qui sera représenté, dans la version bretonne de l'abbé Perrot, au Bleun-Brug de Douarnenez devant près de 10 000 personnes. En 1940, elle participe à la revue pour enfants Ôlolé d'Herry Caouissin, où elle publie Les loups de Coatmenez 1941, suivi peu après de sa suite La croisade des Loups 1943 tous les deux illustrés par Étienne Le Rallic. On lui doit aussi une Histoire de ma Bretagne et de nombreux autres textes historiques. Elle publie son œuvre sous divers pseudonymes C. Danio, Jeanne de Coatgourc'han, Gilles Gautrel et Gilesse Penguilly. Son collaborationnisme breton[modifier modifier le code] En août 1943, son château accueille le Kadervenn de Neven Henaff. Yann Fournis, dans sa thèse sur le Bezen Perrot, affirme que le cantonnement des Bagadoù stourm fut organisé chez elle en 1943 à Caulnes. Ronan Caouissin mentionne sa présence dans une réunion politique, le 20 mai 1944[2] À la réunion de la rue le Bastard, Mabinog[3], adjoint de Lainé, avait groupé une trentaine d'opiniâtres. Le néo-païen Pol Le Reste y côtoyait les très catholiques Marc Le Berre, Olier Chevillotte, Jeanne du Guerny ainsi que le protestant Marcel Guieysse. » Son assassinat le 13 juillet 1944[modifier modifier le code] Courant 1944, Christian Le Mintier de La Motte-Basse, capitaine de vaisseau, est mis en congé d'armistice. Il vient s'installer au château de la Motte-Basse au Gouray, propriété de son frère Godefroy Le Mintier de La Motte-Basse. Pour accélérer le retour de ses 4 fils vivant alors chez une tante dans la Creuse, il accepte l'aide de sa voisine de Penguily, Jeanne Coroller, proche sympathisante du PNB, qui l'accompagne à la Kommandantur de Lamballe pour obtenir des laissez-passer. Selon les sources, il n'aurait pas été pour la collaboration, mais d'autres considèrent qu'il avait des liens étroits avec le PNB. Ce qui est sûr, c'est qu'il exprime régulièrement son amertume vis-à-vis des Anglais pour avoir vécu l'attaque de Mers el-Kébir. Il commandait en effet le contre-torpilleur Lynx et a protégé, avec sang-froid et détermination, la sortie du cuirassé Strasbourg[4]. Les troupes allemandes font face à l'organisation de maquis dans le secteur du Gouray. Menacés d'encerclement, les maquisards de Lamballe du Bataillon Gilles commandé par le commandant Gilles René Billaud ont évacué leur maquis des Petites Rosaies à La Malhoure le 21 juin 1944 pour le Nid Rouge au Gouray. Menacés de nouveau par un ratissage allemand, ils se replient à La Boulaye, dans la forêt du Boquen, au Gouray. Le 29 juin 1944, les Allemands fouillent Le Gouray à la recherche des maquisards. Pourchassés en territoire mal connu, manquant d'armes, les maquisards ont le moral en berne et risquent l'anéantissement. Ils repartent le jour-même à 18 heures vers Le Mené en passant de nuit par Saint-Jacut-du-Mené. Ils trouvent refuge dans une grange isolée à 600 mètres de la route à 500 mètres de la ferme du Plat. Le 30 juin 1944, le commandant Gilles annonce la dispersion temporaire du maquis[5]. Fin juin 1944, le groupe de maquisards et de SAS du lieutenant Fauquet s'installe à son tour au Nid Rouge au Gouray. Ils sont également attaqués par les Allemands et doivent décrocher. Certains partent vers la ferme des Salles à Hénon où ils sont attaqués, capturés puis fusillés groupe du lieutenant Fauquet. Un autre groupe crée le maquis de Seilla à Saint-Gilles-du-Mené groupe du sergent Morand[6]. Un nouveau maquis s'installe début juillet dans la forêt de Boquen, au Nid Rouge Gouray, aidé par les parachutistes SAS hébergés de temps en temps depuis juin 1944 chez Julia Gouin, épouse Baratoux. Dénoncé, le maquis de Boquen doit évacuer le 9 juillet 1944, tout d'abord près du château de La Rohée au Gouray. Les 8 et 9 juillet, cinq personnes sont arrêtées au Gouray par les Allemands, notamment Julia Gouin, épouse Baratoux, torturée ensuite à l'école primaire d'Uzel. La plupart des maquisards partent ensuite au maquis de la forêt de La Hardouinais à Merdrignac. Quelques autres créent le 14 juillet 1944 le maquis de Bourgneuf à Sévignac. Une ou plusieurs personnes du Gouray dénonce la famille Le Mintier de La Motte-Basse comme responsable de ces dénonciations répétées au Gouray. Ces personnes interprètent diverses informations pas toujours très fiables sur fond de rivalités familiales remontant à la Révolution française… Une trentaine de maquisards arrivent au château, vers 22 h, le 11 juillet 1944. Trois d'entre eux trouvent les habitants rassemblés dans la cuisine et emmènent dehors, sous la menace de leurs armes, Christian Le Mintier de La Motte-Basse, son épouse Henriette Aymer de La Chevalerie, leur bonne alsacienne Gertrude Baumgarten, et Alberte Le Mintier de La Motte-Basse, épouse de Pétigny de Saint-Romainc[7],[4]. Ils sont emmenés et enfermés au presbytère du Gouray. Le lendemain 12 juillet vers 10 h, deux hommes armés viennent au domicile de Jeanne Coroller, au château de La Saudraie, à Penguily, pour lui réquisitionner son automobile, ce qu'elle accepte. Ils lui apprennent sans doute que Christian Le Mintier de La Motte-Basse et sa famille ont été capturés et que l'automobile doit servir à les transporter. Elle se rend à pied, dans l'après-midi, au Gouray avec son fils, François Chassin du Guerny [8] probablement dans l'espoir de faire libérer les prisonniers[9]. Mais, considérée comme étant proche sympathisante du PNB, elle est aussi emprisonnée avec son fils. Tous les captifs sont emmenés dans la forêt de La Hardouinais, à Merdrignac, sauf la bonne, emmenée à Seilla à Saint-Gilles-du-Mené[7], par Michel Carrier et deux parachutistes pour être jugés » sauf François Chassin du Guerny, épargné, par un tribunal militaire du maquis de Boquen », dont les deux parachutistes. Il s'agit d'André Coquette et Francis Serville ; Michel Carrier est membre du maquis FTPF de Seilla, à Saint-Gilles-du-Mené[10]. Après un interrogatoire de plusieurs heures, ils sont condamnés à mort »[11]. Le commandant Christian Le Mintier de La Motte-Basse, son épouse Henriette Aymer de La Chevalerie, sa belle-sœur Alberte Le Mintier de La Motte-Basse, épouse de Pétigny de Saint-Romain et Jeanne Coroller sont tués par balle dans la tête, d'après le médecin qui examine les corps après leur découverte[4],[12],[13]. Les corps sont enterrés dans une fosse commune faite dans un taillis, à La Fenderie, dans la forêt de La Hardouinais, et retrouvés le 26 juillet 1944 à 14 heures. L'acte de découverte des corps est dressé le 30 juillet 1944 à Merdrignac[14]. Les corps sont déposés dans un premier temps à la mairie de Merdrignac[4] et identifiés par André Mirchier avant d'être amenés au caveau familial du château de La Motte-Basse, au Gouray, pour inhumation. Les membres de la famille Le Mintier de La Motte-Basse sont reconnus Morts pour la France »[7] et inscrits au Monument aux Morts du Gouray. Il existe une rue du Commandant Le Mintier à Vannes. Jeanne Coroller a été également assassinée le 13 juillet 1944, son corps a été retrouvé que le 26 juillet [15], treize jours plus tard, et identifié par son frère Yves Coroller[4]. Elle est inhumée dans un premier temps au cimetière communal de Merdrignac le 28 juillet et quelques mois plus tard au cimetière de Penguily, puis transférée ailleurs. Gertrude Baumgarten est emmenée directement au maquis de Seilla à Saint-Gilles-du-Mené. Bien que la sachant innocente, ordre est donné de l'assassiner. Après avoir été violée par toute la bande dans le bois de Bosseny à Saint-Gilles-du-Mené, elle est tuée, le 24 juillet 1944, d'une balle de pistolet dans la tête. Enroulé dans un drap, son corps est retrouvé dans le bois, le 7 août 1944, et enterré dans une fosse sous un taillis. Le corps est ensuite inhumé dans l'ancien cimetière de la commune[4] situé autour de l'église. Dans les années 1970, le cimetière est transféré à son emplacement actuel et la tombe de Gertrude Baumgarten est supprimée. L'acte de décès est dressé le 13 janvier 1945 à Saint-Gilles-du-Mené. La recherche des responsables des assassinats[modifier modifier le code] Plainte de la famille Le Mintier[modifier modifier le code] Après la Libération, la famille Le Mintier de La Motte-Basse multiplie les requêtes pour obtenir la vérité sur l'affaire. Recueillant des informations et des rumeurs, Godefroy Le Mintier de La Motte-Basse, frère du commandant Christian Le Mintier de La Motte-Basse, affirme que ce sont les maquisards de Seilla, à Saint-Gilles-du-Mené, commandés par un dénommé Mimile, qui ont enlevé ces personnes. Il affirme également que, le maquis en forêt de La Hardouinais étant supposé sous surveillance allemande, les meurtres auraient été réalisés par René Baubry et Rogard, de la bande à Mimile, à coups de barre de fer. Reconstitution des faits[modifier modifier le code] Deux maquis existent en juillet 1944 à Saint-Gilles-du-Mené. Le premier s'est formé en juin 1944 à La Douve, à l'est de la commune, où se trouve la ferme de la famille Sagory. Le père Jean Sagory est décédé lors de la campagne de 1939-1940[16]. Ce maquis regroupe quelques maquisards qui ont fui la ferme de Créneleuc à Laurenan autour de Roger Peltier, alias Bouboule et le groupe Bleiz-Mor commandé par Eugène Le Rhun alias Mimile, basé à Plouguenast. Pisté par la police, l'armée allemande et la Gestapo, le groupe Bleiz-Mor doit fuir et rejoint le maquis de La Douve à Saint-Gilles-du-Mené. Ce maquis regroupe une trentaine d'hommes et de femmes[17],[18]. À l'ouest de la commune de Saint-Gilles-du-Mené, une maison non habitée du Seilla, aux Rochers, sert de lieu de rencontre entre messagers des maquis. Fin juin 1944, le maquis du Nid Rouge dans la forêt du Boquen au Gouray est attaqué par les Allemands. Aux côtés des maquisards se trouvent des parachutistes largués en juin 1944 pour aider les résistants. Certains ont participé à la création de la base Samwest de Duault attaquée par les Allemands et dispersée. Après l'attaque au Nid Rouge fin juin 1944, les maquisards se dispersent en deux groupes l'un avec les Fauquet, Fadda et Bidault part direction la ferme des Salles à Hénon, l'autre avec les Franz Nedelko alias Francis Morand, André Coquette et Francis Serville, direction Le Fresne à Plessala puis finalement le Seilla à Saint-Gilles-du-Mené[6]. Une rencontre a lieu entre Eugène Le Rhun, dit Mimile, du maquis de La Douve et le sergent-chef Franz Nedelko, alias Francis Morand. Eugène Le Rhun, alias Mimile, prétend que par la suite, les deux maquis n'ont plus de contact[19]. Divers témoignages ne confirment pas cette déclaration. Le maquis de Seilla se compose de trois parachutistes le sergent Franz Nedelko alias Francis Morand, le caporal-chef André Coquette et le soldat Francis Serville, et des maquisards Roger Jerichenson, alias Lucien Lagrée, Louis Lecomte, Jean-Louis Delourmel sous-lieutenant, Jean-Marie Connan, Étienne Carrier, Michel Carrier, Jacques Chesneau et Lucien Lecomte. Le maquis de Seilla et celui de La Douve se croisent puisqu'ils se trouvent sur le même secteur. Ils sont liés aux autres maquis du secteur notamment celui de La Hardouinais en attente d'un parachutage. Des dénonciations ont lieu sur le secteur du Gouray 22 en juin et juillet 1944 qui entraînent plusieurs arrestations. Les résistants du secteur cherchent le ou les responsables. Leurs soupçons se portent sur la famille Le Mintier de La Motte-Basse. Cela entraîne les arrestations des 11 et 12 juillet réalisées par Mimile, sa bande et des résistants du Gouray en accord avec les Les prisonniers ont été emmenés dans la forêt de La Hardouinais, à Merdrignac, par Michel Carrier et deux parachutistes André Coquette et Francis Serville membre du maquis de Seilla à Saint-Gilles-du-Mené, pour être jugés par un tribunal improvisé du maquis de Boquen, avec des hommes en uniforme, dont les deux parachutistes. Après un interrogatoire de plusieurs heures, ils sont déclarés coupables[11] et assassinés. La bonne alsacienne, Gertrude Baumgarten, est emmenée au Seilla. Elle refuse de devenir la maîtresse de Franz Nedelko, alias Francis Morand, qui la donne à Mimile. Ce dernier l'assassine le 24 juillet 1944 après qu'elle a été violée par toute la bande. Les représailles allemandes[modifier modifier le code] Dans la nuit du 27 au 28 juillet 1944, Franz Nedelko, alias Francis Morand, envoie Étienne Carrier et Roger Jerichenson, alias Lucien Lagrée, en mission. Quant à lui, il prend une permission avec Lucien Lecomte et quitte le maquis. Les deux maquisards, partis en mission avec la traction du maquis, tombent en panne et sont arrêtés par une colonne allemande, vers 2 heures, à La Louvière à Plumaudan. Torturé à la Feldkkommandantur de Dinan, Étienne Carrier reste silencieux. Il est très probablement fusillé peu après mais son corps n'a jamais été retrouvé. Roger Jerichenson craque sous la torture et livre ses camarades. Le maquis est attaqué à 6 heures du matin par la Gestapo et les de Dinan. Tous les maquisards présents sont tués ainsi que l'agent de liaison en mission, Odette Tort, du maquis de Plouasne, qui passe la nuit à Seilla. Les condamnations[modifier modifier le code] Absent, Franz Nedelko, alias Francis Morand, survit, mais il ne pourra jamais être interrogé, car il est abattu le 22 août à Lesneven par un soldat américain ivre. Lucien Lecomte poursuit la lutte en combattant avec les de Plémet mais n'a apparemment rien dit. Quant à Roger Jerichenson, alias Lucien Lagrée, qui était prisonnier des Allemands, il est libéré par les Américains vers le 6 août 1944 Libération de Dinan. Mais, il est arrêté à nouveau après la Libération, puis condamné à cinq ans de travaux forcés par un tribunal militaire de Rennes[20]. L'assassinat des civils arrêtés le 12 juillet 1944 implique en fait divers groupes de résistants le maquis de Seilla, le maquis de La Douve et le maquis de La Hardouinais. Unité combattante, le maquis de La Douve perd trois hommes lors des combats pour la libération de Merdrignac Jean Pierre Génevisse, Pierre Guéguen et Albert Leguern. Cela n'empêche que Mimile et sa bande, ont marqué les mémoires dans Le Mené par leur brutalité meurtres, intimidations, réquisitions.... Les membres du groupe ont pour certains rejoint les formations militaires issues des et intégrées à l'armée. C'était le cas d'Eugène Le Rhun, alas Mimile, qui prenait le grade de capitaine, et qui est finalement arrêté, interrogé et incarcéré à Saint-Brieuc, mais il trouve la possibilité de s'évader avant son jugement[21]. Interrogé de nouveau en 1952 par la Gendarmerie[22]. et dans les années 1980, concernant en particulier l'assassinat de Gertrude Baumgarten[23], Mimile nie toute responsabilité de sa part ainsi que de celle des membres du maquis de La Douve dans les enlèvements des 11 et 12 juillet 1944 et les meurtres qui ont suivi. Plusieurs autres assassinats sont imputables au maquis de La Douve. Deux sont reconnus par Eugène Le Rhun, alias Mimile[24]. Tout d'abord celui d'Annie Gelly née en 1920. Venue se reposer pour des raisons médicales à Saint-Gouéno, la jeune femme est dénoncée par une habitante comme étant une espionne. En effet, elle prend en juillet 1944 des photos des trois parachutistes du maquis de Seilla lorsqu'ils viennent au bourg en uniforme pour les obsèques d'un habitant. Elle est arrêtée par des maquisards de La Douve le 27 juillet 1944 à Saint-Gouéno. Interrogée, elle avoue sa culpabilité et des liens avec le lieutenant Müller de la Feldgendarmerie de Saint-Brieuc. Elle est tuée le 28 juillet 1944, après une tentative de fuite, jour de l'attaque du maquis de Seilla dont on l'estime responsable. C'est un maquisard, boucher de son métier, qui la tue de 2 coups de poignard au ventre et au sein gauche, sans doute pour éviter d'attirer d'éventuels soldats allemands encore présents dans le secteur. Elle est sommairement enterrée sur place, à l'angle d'un champ aux Épinettes à Saint-Unay à Laurenan. Le corps est découvert le 21 août 1944, exhumé le 24 août 1944, pour être inhumé au cimetière communal où plus aucune tombe ne porte son nom[25],[24]. Le second assassinat concerne Jean Thomas, né en 1925, serrurier domicilié 210 rue de Nantes à Rennes. Après la Libération, il se promène au bourg de Plessala d'un café à un autre. Il manie deux revolvers qu'il dépose sur les tables en disant qu'il est à la recherche d'un groupe de car ses camarades ont été arrêtés. Trois maquisards de La Douve, venus se ravitailler en voiture chez le boulanger de Plessala, sont prévenus le capitaine Eugène Le Rhun alias Mimile, Roger Peltier alias Bouboule et Alexis Hamon alias Francis. Ils arrêtent le personnage qui les suit sans protestations. Il est désarmé et conduit en voiture au maquis. Il est rapidement reconnu par René Baudry. Ce dernier l'a en effet vu en tenue de milicien lorsqu'il était incarcéré à Rennes. Fouillé, il est trouvé en possession d'une fiche de paie de la Milice. Il reconnaît les faits et est condamné à mort » par les responsables du maquis. Il est brutalisé œil gauche tuméfié. Conformément à sa demande, il passe sa dernière nuit en prière auprès de l'abbé Poilbout, alors curé de Saint-Gilles-du-Mené. Accompagné du prêtre, il est conduit, le 9 août 1944, au Pont du Gros Chêne, à Saint-Gilles-du-Mené, et abattu de 2 balles dans la tête vers 9 heures. Son corps est découvert le jour même, dans l'après-midi, dans une fosse, dans une prairie du Pont du Gros Chêne, à Saint-Gilles-du-Mené, à 60 mètres de la RN 792. Son identité n'est pas connue dans un premier temps. Son acte de décès est dressé le 7 mai 1945 à Saint-Gilles-du-Mené, sur la déclaration de son père. Cet assassinat est jugé par le Tribunal Permanent des Forces Armées à Paris et se termine par un non-lieu pour le capitaine Eugène Le Rhun[26],[23]. D'autres assassinats sont à porter à l'actif de Mimile. Aucune plaque, tombe ou monument ne rappelle plus la mémoire de ces victimes de la barbarie de certains maquis. Œuvres[modifier modifier le code] C. Danio, Yann-Vari Perrot, Le Mystère de Bretagne Pe war roudou hon Tadou - Pez burzudus e tisklaerier ennan eun diverra eus istor hor breiz, R. Durand, 1921, et Staed-Kastel, Brest, 1929. C. Danio, La route au but lointain, Saint-Brieuc, Aubert, 1927. Histoire de notre Bretagne, L'Enseigne de l'hermine - Dinard, 1922, l'Enseigne de l'hermine - Dinard, Impr. de Bretagne à Rennes, 1932 avec ill. de René-Yves Creston et Jeanne Malivel, Enseigne de l'Hermine - Dinard 1938, éd. Elor, Saint-Vincent-sur-Oust. Cet ouvrage est réédité en 1997, Éditions Élor, avec comme nom d'auteur de réédition Jeanne Coroller-Danio C. Danio était son nom de plume original et Jeanne Malivel, une introduction de Herry Caouissin et une préface de Fransez Vallée. Le trésor des douze, Quimper, Nouvelles Éditions Bretonnes, collection 'Pâques", 1935 sous le pseudonyme de Gilles Gautrel roman policier. C'est un roman de politique-fiction qui met en scène des nationalistes bretons luttant pour l'indépendance de la Bretagne but atteint à la fin du livre. C. Danio, Histoire de Bretagne pour tous. Éditions du Parti national breton - Rennes, Imprimerie Centrale de Rennes. 1942 Xavier Haas Les loups de Coatmenez et La croisade des Loups. Ils furent publiés pour la première fois respectivement en 1941 et 1943, en différents épisodes, dans l'hebdomadaire 'Olôlé'. Une réédition de cet ouvrage a été effectuée en 1995 par les éditions BSI-Elor. Il s’agit d’une version expurgée de celles de 1942 et 1963 date peu plausible? 1943 ?, comprenant de multiples allusions antisémites. Dans cette aventure, les voleurs sont deux juifs, Isaac et Jacob dont l’accent est étranger … et le nez n’est pas chrétien » Ololê, 19 janvier 1941, p. 2 et édition 1963, p. 10. L’édition de 1963 a systématiquement fait disparaître le mot youpin remplacé par voleur. Histoire de ma Bretagne illustrée par Étienne Le Rallic Notes et références[modifier modifier le code] ↑ Joël Cornette, Le Marquis et le régent Une conspiration bretonne à l'aube des Lumières, Tallandier, 2015, 480 p. ISBN 979-10-210-0907-3, lire en ligne ↑ Le rêve fou des soldats de Breiz Atao, p. 102. ↑ Mabinog, de son vrai nom Jean-Marie Chanteau ↑ René et Marguerite-Marie Billaud, Occupation et Résistance en Bretagne, Imprimerie de la Manutention, Mayenne, 1985, pages 165-203. ↑ a et b Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, pages 13-14. ↑ a b et c Dossiers nominatifs du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains. ↑ Certaines sources ont indiqué à tort l'implication dans ce tragique évènement d'une Charlotte Coroller, sœur de Jeanne Coroller. Jeanne Coroller n'a pas de soeur se prénommant Charlotte voir fratrie de Jeanne Coroller dans les 'Filiations Bretonnes' d'H. Frotier de la Messelière. Charlotte est son cinquième prénom à l'état civil, source de confusion ?. C'est aussi le quatrième prénom à l'état civil de sa soeur Paule décédée à Brest en 1983 et qui n'est pas concernée. ↑ ADCA 2W79 Penguily. ↑ Tous trois ont été tués par les Allemands avec quatre autres personnes lors de l'attaque du maquis de Seilla le 28 juillet 1944. Voir Les monuments rappelant ce combat. ↑ a et b Lire l'article L'élimination de collaborateurs. ↑ D'autres versions erronées rapportées dans les dossiers nominatifs du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains affirment que le maquis étant supposé sous surveillance Allemande, les exécutions auraient réalisées par René Baubry et Rogard du maquis de La Douve à coups de barre de fer. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 11, orthographe corrigé à l'aide de la liste des membres du maquis de La Douve. ↑ Voir état-civil de Merdrignac. Acte du 30 juillet 1944,16 heures, signé Joseph Gaborel maire de Merdrignac et dressé à la suite du PV de gendarmerie de Merdrignac n°186 du 26 juillet 1944 ↑ Voir ci dessus acte de découverte des corps du 30 juillet 1944 ↑ Jean SAGORY sur et sa fiche SGA-Mémoire des Hommes. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, pages 7 à 9. ↑ Charles ASSET, La toile d'araignée de la Résistance en Bretagne, de Merdrignac et son canton, pages 19-21. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 14, témoignage d'Eugène Le Rhun. ↑ Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, pages 14-15. ↑ ADIV, cité par Kristian Hamon ↑ Dossier nominatif du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains de Charles Le Mintier De La Motte-Basse, interrogatoire d'Eugène Le Rhun. ↑ a et b Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 10. ↑ a et b Brochure La Résistance à Saint-Gilles-du-Mené », 1984, Rennes, page 10. ↑ Source ADCA 2W87 Saint-Gouéno. ↑ ADCA 2W87 Saint-Gilles-du-Mené. Voir aussi[modifier modifier le code] Bibliographie[modifier modifier le code] Notice dans le Dictionnaire des auteurs de jeunesse de Bretagne, de Jacqueline et Bernard Le Nail. Article connexe[modifier modifier le code] Seiz Breur Liens externes[modifier modifier le code] Notices d'autorité Fichier d’autorité international virtuel International Standard Name Identifier Bibliothèque nationale de France données Système universitaire de documentation Bibliothèque du Congrès WorldCat
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Voici donc une nouvelle balade pour découvrir ces nombreux Châteaux et Manoirs, qui font partie de notre Patrimoine et de notre Histoire, que vous pourrez admirer et photographier, dans les Côtes d'Armor, rendant votre séjour encore plus agréable et vous laissant un souvenir impérissable de notre Patrimoine. - LE CHATEAU DE L'ARGENTAYE A SAINT-LORMEL - 22130 Privé CC BY-SA Le Château de l'Argentaye est un château bâti à Saint Lormel, dans le département de la Cote d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de l'Argentaye actuel, à une architecture néo-classique. Il fut construit du XIe au début du XIXe siècle. La Seigneurie d'Argentaye était mentionnée au XIe siècle. Le propriétaire initial du Château de l'Argentaye était Frédéric Rioust de Largentaye. Le Château de l'Argentaye appartient toujours à la Famille Rioust de Largentaye. Le Château de l'Argentaye a été inscrit aux en 1985 et 1993. Le Château de l'Argentaye est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 32' 30" Nord, 2° 13' 21" Ouest - LE CHATEAU DES AUBIERS A HILLION - 22120 Privé Le Château des Aubiers est un château bâti à Hillion, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Le Château des Aubiers est de style néo-gothique. Les Architectes étaient Jacques Mellet et Jules Mellet. Le Château est composé de briques rouges. La construction du Château des Aubiers date de 1876 et 1882. Son propriétaire initial était Charles-Marie-Adolphe de La Noüe. Le Château des Aubiers est inscrit aux depuis 2007. Le Château des Aubiers est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 29' 56" Nord, 2° 40' 00" Ouest - LE MANOIR DE LA BAGE-DE-TREGOUET A CORSEUL - 22130 Chambres d'Hôtes Le Manoir de La Bage-de-Trégouèt appelé aussi l'Abbaye de Tégouet, est une ancienne abbaye, située rue de l'Hôtellerie, à Corseul, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Elle a été transformée en manoir puis remaniée au XIXe siècle. Le Manoir de la Bage de Trégouèt a été, du XIIIe au XVIIe siècle, la propriété successive des Familles Labbé, de Trégouèt du XVIIe au XVIIIe siècle et de L'Estang du Rusquec et, en 1480, le Manoir de La Bage de Trégouèt est devenu la propriété de Jehan Labbé. Le Manoir de La Bage de Trégouèt vous propose, aujourd'hui, ses chambres d'hôtes. Vous êtes à 7 kms de Dinan. Adresse Manoir-de la Bage-de-Tregouet - Abbaye de Tregouet à Corseul 22130 Coordonnées par GPS 48° 28' 36,73" Nord, 2° 9' 44,21" Ouest - LE MANOIR DE BALORE A TREVOU-TREGUIGNEC - 22660 Privé Le Manoir de Baloré est un manoir bâti à Trévou-Tréguignec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il date du XVe et XVIe siècle. Le Manoir de Baloré était, à l’origine, le fief des seigneurs de Baloré, en 1667. Cette famille se fondit dans celle du Trévou, seigneurs du manoir voisin du Trévou-Bras. Celle-ci portait D’argent au léopard de sable, accompagné de six merlettes du même posées en orle ». La devise de la famille est Pa garro Doué - Quand il plaira à Dieu ». En 1418, Yves du Trévou accompagne le duc de Bretagne dans son voyage en France. En 1477, Olivier épousa Guillemette de Quélen. En 1629, Jean du Trévou, conseiller du Roy, sénéchal de Lannion. En 1642, René du Trévou, son fils, est lieutenant général de l’Amirauté, au siège de Lannion. En 1670, le Père du Trévou, jésuite, est confesseur de Monsieur, frère de Louis XIV. En 1689, un du Trévou est page du Roy. En 1753, un du Trévou est Lieutenant aux gardes françaises. En 1758, Joseph du Trévou combatit à Saint-Cast. Deux lieutenants de vaisseau de cette famille prirent part à la guerre d’indépendance de l’Amérique l’un à bord du Vaillant », l’autre à bord du Jason ». Sébastien du Trévou commanda Le Papillon ». La famille du Trévou habitait le Château de Traofeunteuniou, à Ploujean, en 1755, lorsqu’elle mit en vente le Manoir de Baloré. Le manoir fut acquis, fonds et droits convenanciers, par Mr Louis Pasquiou, Notaire royal à Kergouanton, du manoir voisin de Trélévern. Le manoir est depuis resté dans la même famille. En 1795, un du Trévou, lieutenant de vaisseau, fut fusillé à Quiberon. Le Manoir de Baloré possédait autrefois sa propre chapelle du nom de Saint-Thérézien. En 1389, le Pape accorda, par bulle, des indulgences à tous ceux qui aideraient à la restauration de cette chapelle endommagée par les guerres. La silhouette de ce manoir fut longtemps connue des écoliers. En effet, plusieurs éditions des manuels de géographie de Schrader et Gallouédec montraient une gravure du Manoir de Baloré avec pour légende Une Ferme bretonne. La Bretagne de Gallouédec fait figurer la même illustration avec une légende plus précise Le Manoir du Trévoux. Le manoir s'ouvre sur une porte cochère de granit et sur une voûte massive adjacente à la belle teinte grise. Un peu plus loin en parallèle, d'autres voûtes et une porte cochère constituent l'entrée de la cour intérieure près du puits. Les bâtiments sont construits en équerre avec une tourelle centrale qui abrite un escalier en colimaçon desservant les différentes salles du manoir. Une très ancienne statue de Saint-Yves décorait autrefois le vestibule d'entrée. De temps immémorial, le bail stipulait qu'une bougie devait brûler devant le protecteur du lieu », le 19 mai, jour de sa fête. Les intérieurs sont simples avec une cheminée de granite pratiquement dans chaque pièce. Derrière le manoir, dans le jardin délimité par un mur construit en 1819, se dresse le colombier seigneurial. Non loin de là, il reste un socle où reposait un cadran solaire, du XVIIIe siècle, aujourd'hui disparu. Ce cadran portait cette mélancolique inscription SICUT FUGIUNT HOROE, SIC VITA MEA FUGIT Comme fuient les heures, ainsi fuit la vie ». Restauré depuis, le Manoir de Baloré est privé, fermé au Public. Découvrez sur le blog de Michel LE PEUC'H, l'évolution des travaux importants entrepris pour rénover ce manoir. Site web Trestel Coordonnées par GPS 48° 48' 56" Nord, 3° 21' 26" Ouest - LE MANOIR DE BARAC'H A LOUANNEC - 22700 Privé CC BY-SA Le Manoir de Barac'h est un manoir bâti à Louannec, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du Manoir de Barac'h date du XIIIe au XVe siècle. Le Manoir est protégé par les depuis le 22/03/1930. Le Manoir de Barac'h est privé et fermé au Public. Adresse Manoir du Barac'h - 1 Route de Pen ar Hoat 22700 Louannec Coordonnées par GPS 48° 47' 41" Nord, 3° 24' 34" Ouest * LE CHATEAU DE BARREGAN A LE FAOUET - 22290 Vestiges Le Château de Barrégan est un château bâti à Le Faouët, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Il ne reste que des vestiges du Château de Barregan. Il existe aussi à découvir sur la commune le Manoir de Kerihuel et le Manoir de Diarnelez, propriété de la Famille Rousseau, du XIVe siècle jusqu'en 1717. En 1973, l'aile Ouest, qui comportait une belle galerie à arcades, a été démontée et transférée, dans le Finistère Coordonnées par GPS 48° 02' 02" Nord, 3° 29' 25" Ouest - LE CHATEAU DE BEAUBOIS A BOURSEUL - 22130 Privé CC BY-SA Le Château de Beaubois est un château bâti à Bourseul, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Beaubois date du XVIIe siècle. Le château d Beaubois a été construit sur l'emplacement de deux constructions antérieures, dont la partie la plus ancienne remonte au XIIe siècle. Une partie a été conservée qui date du début du XVIIe siècle. Le Château de Beaubois fut vendu, à la Révolution, comme bien national. La partie Ouest fut démolie et servit de carrière de pierres. Le Château de Beaubois sera reconstruit au XIXe siècle. Il a appartenu aux Treal, Nevet, Coigny, Gueheneuc, de Boishue. C'est en 1861, que Mr de Tessay fit entreprendre la restauration du Château de Beaubois. Au XXe siècle, le Château de Beaubois devint la propriété de Mr de Chappedelaine, Député et Ministre de la Marine Marchande. Le château est devenu une propriété privée, fermée au Public. Le Château de Beaubois est inscrit aux depuis 1926. Coordonnées par GPS 48° 25' 46,02" Nord, 2° 16' 33,41" Ouest - LE CHATEAU DU BEAUCHENE A LANGROLAY-SUR-RANCE 22490 Privé CC BY-SA Le Château du Beauchêne est une malouinière bâtie au Hameau Le Bourg, à Langrolay-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Beauchêne date de la 1ère moitié du XVIIIe siècle à la 1ère moitié XIXe siècle. Le Château du Beauchêne a été entièrement reconstruit dans le premier tiers du XVIIe siècle pour Jacques III Goin de Beauchêne, lieutenant général de l'amirauté de Saint-Malo, Sénéchal et Capitaine des garde-côtes au département de cette ville. Le château de Beauchêne est une malouinière construite au début du XVIIIe siècle pour Jacques Gouin de Beauchêne à l'emplacement d'un ancien manoir dont il subsiste quelques éléments datant du XVIIe siècle. Il a été inscrit par arrêté du 8/02/2000. Les éléments à protéger sont la Malouinière en totalité sont les façades et toitures de la maison du gardien, la maison-écuries-pigeonnier, les communs, l'orangerie, la maison du jardinier, le parc avec ses terrasses, son étang, son mur d'enceinte avec son portail Nord et le pont qui le prolonge. Il est inscrit aux le 8/02/2000. Le Château du Beauchêne est privé et fermé au Public. Adresse Château du Beauchêne - Le Bourg - 22490 Langrolay-sur-Rance Coordonnées par GPS 48° 33' 17,41" Nord, 2° 0' 17" Ouest - LE CHATEAU DE BEAUCOURS A SAINT-NICOLAS-DU-PELEM - 22480 Ruines/privé Le Château de Beaucours est un ancien manoir bâti à Saint-Nicolas-du-Pélem, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction de ce manoir en granite date du XVe siècle. Il se situe à côté de l’étang de Beaucours, dans le bois de Beaucours. En 975, il mesurait 30 mètres. Abandonné à la Révolution, le Château de Beaucours est désormais en ruine et, pour éviter tout accident, l'accès à l'intérieur du château a été interdit. Les visiteurs peuvent faire le tour du château et aussi faire une halte dans le moulin de Beaucours, aménagé pour les pique-niqueurs. Depuis le fond d'une colonne de latrine autrefois accessible, une porte donnant sous le mur de la façade sud et aujourd'hui obstruée permettait sans doute de curer la fosse d'aisance, à moins qu'il ne s'agisse d'une sortie dérobée en cas d'urgence. Ce serait l'origine de la légende d'un souterrain qui partirait du Château de Beaucours. Coordonnées par GPS 48° 18' 50" Nord, 3° 09' 47" Ouest - LE CHATEAU DE BEAUMANOIR OU DOMAINE DE BEAUMANOIR - LE LESLAY - 22800 Hôpital Psychiatrique CC BY-SA Le Domaine de Beaumanoir appelé Château de Beaumanoir est un château bâti à Evran, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Beaumanoir date de 1628. Il fut bâti du XVe au XVIe siècle. La porte d'entrée et les deux tours carrées sont inscrites aux depuis 1925. Ce parc romantique paysager de 23 ha, dessiné par Henri SINGLIS, comporte de nombreuses espèces étrangères américaines. L'Etang de 3 ha avec ses nymphéas, so, son points de vue, ses cascatelles, son saut de loup, son rocher, l'embarcadère, ses fontaines et ses ponts. Il y a un parc sans fleurs, dont la plantation a été dessinée en fonction de la diversité, la rareté des espèces et des couleurs des feuillages. L'ensemble des bâtiments a été classé aux en 1965. Le Château de Beaumanoir est devenu depuis un hôpital psychiatrique. Adresse Domaine de Beaumanoir - Le Pré Colou à Le Leslay 22630 - Tél. 02 96 58 17 86 Coordonnées par GPS 48° 22' 60" Nord, 1° 58' 47" Ouest -* LE CHATEAU DE BEAUMONT A GUITTE - 22350 Privé de Dolly11 CC BY-SA Le Château de Beaumont est un château bâti à Guitté, dans le département des Côtes d'Armor, sur les bords de la Rance, en région Bretagne, en France. La construction du château date du XVe et XVIe siècle. La porte d'entrée du château est encadré par les deux tours. Les terres appartenaient à la famille de Beaumont, initialement puis iront à la Famille de Guitté. En 1158, le Château de Beaumont devint la propriété de Hervé de Guitté, Baron, mentionné en 1167, parmi les Conseillers du Duc de Bretagne. En 1170, il sera le premier témoin de la fondation de l'Abbaye de Beaulieu. Olivier de Guitté, Seingeur de Vaucouleurs, fait partie des chevaliers bretons, participant aux croisades. Le Château de Beaumont se situe sur les bords de la Rance. Robert de Guitté, Chevalier de Bretagne, en 1371, fait partie des 27 chevaliers de la montre du connétable de France. Il fait partie, aussi, de l'association des nobles contre l'invasion de la Bretagne. Après plusieurs générations de Guitté, le Château de Beaumont ira, par héritages et diverses alliances, à plusieurs propriétaires, avant d'appartenir à la Famille de Carné, à la suite du mariage, en 1832, de Louise-Marie-Léonie de Chappedelaine de Limonëlan, héritière de Beaumont, avec Henri-Marie-Toussaint de Carné-Trécesson, Marquis de Carné-Coëtlogon. Leur fils, en 1835, Léon, Comte de Carné-Trécesson, fit restaurer le Château de Beaumont. Le Château de Beaumont se situe sur les bords de la Rance. Le Château de Beaumont est inscrit aux le Il y a 3 châteaux dans le village à découvrir Château de Beaumont, le Château de Couëllan et le Château de la Perchais. Le Château de Beaumont est privé et fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 18' 06,17" Nord, 2° 05' 28,12" Ouest - LE CHATEAU DE BEAUSSAIS A TREGON - 22650 Hôtel 1 Etoile Le Château de Beaussais est un château bâti à Trégon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Beaussais date du XVIIe siècle. Le Château de Beaussais est entouré d'un parc de 2 Ha. C'est un hôtel 1 Etoile. Vous pourrez y louer les salles du Château de Beaussais pour fêter vos évènements mariages, séminaires, réception, retraite, etc. Le Château de Beaussais a été classé aux Monuments Historiques en 1926. Adresse Château de Beaussais, 22650 Trégon - Beaussais-sur-Mer - Téléphone 02 96 82 57 98 - Email contact Site web Château de Beaussais Coordonnées par GPS 48° 18' 06" Nord, 2° 10' 28" Ouest - LE MANOIR DE BELETRE A BEAUSSAIS-SUR-MER - 22650 Privé Le Manoir de Belêtre est un manoir bâti au lieu-dit Bel-Être, au lieu-dit Ploubalay, à Beaussais-sur-mer, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il est privé, fermé au public. Coordonnées par GPS 48° 34' 51' Nord, 2° 08' 20" Ouest - LE MANOIR DE BELLE-FONTAINE A PONTRIEUX 22260 Chambres d'Hôtes Le Manoir de Belle-Fontaine est un manoir bâti à Pontrieux, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Vous y touverez des chambres d'hôtes. Le Manoir de Belle Fontaine date du XVe siècle avec ses vergers et animaux de la ferme, en pleine campagne, à 2 km de Pontrieux. Le sentier de randonnée GR34 se trouve à proximité et un petit-déjeuner maison est servi tous les jours. Offrant une vue sur le jardin, les chambres présentent du mobilier en bois et des poutres apparentes. Elles comprennent toutes une salle de bains privative pourvue d'une baignoire ou d'une douche. De plus, des articles de toilette gratuits et un sèche-cheveux sont fournis. Le petit-déjeuner se compose d'œufs, de céréales, de yaourts, de jus de fruits et de pain. Sur demande préalable, vos hôtes pourront également préparer le dîner. Le Château de la Roche-Jagu est à seulement 3 km et Pontrieux accueille un marché, tous les lundis. La ville médiévale de Tréguier se situe à 15 km de l'établissement. Vous trouverez au Manoir de Belle Fontaine des chambres d'hôtes. 70-82 €/nuit, petit déjeuner inclus - 2 chambres, 20 et 25 m², 2 et 3 personnes total 5 personnes Adresse Manoir de Belle Fontaine LD Belle Fontaine, 22260 Pontrieux. Coordonnées par GPS 48° 41' 57" Nord, 3° 09' 29" Ouest * LE MANOIR DE BELLEVILLE A PLEDRAN - 22960 Privé Le Manoir de Belleville est un manoir bâti à Plédran, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Belleville date du XVIe au XVIIIe siècle. C'est un manoir à tourelle. Le Manoir de Belleville est privé, fermé au Public. Il existe 1 autre Château et plusieurs Manoirs à découvrir sur la commune de Plédran le Château de Craffault, le Manoir de Belleville, le Manoir du Pesle-Châtel, le Manoir de La Ville Guinvray, et le Manoir de La Fontaine Menet. Coordonées par GPS 48° 26' 48" Nord, 2° 44' 41" Ouest * LE CHATEAU DE BELLEVUE A HENON - 22150 Le Château de Bellevue est un château bâti à Hénon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Bellevue date du XIXe siècle. C'est un château construit dans un style Néo-Gothique, Le château fit bâti par des artisans locaux, avec un plan inspiré des châteaux de la Renaissance. Le corps de logis, de petite taille, est entouré par 4 tours d'angles circulaires importantes. L'emploi de la brique et la taille moderne maison noble. Il existe 4 châteaux à Henon à découvrir le Château de Bellevue, le Château des Granges, le Château de Catuélan, et le Château du Colombier. Coordonnées par GPS 48° 23' 07" Nord, 2° 40' 57" Ouest - LE CHATEAU DE LA BELLIERE A LA VICOMTE-SUR-RANCE - 22690 Privé Le Château de la Bellière est un château bâti à La Vicomté-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Bellière date du XIIe – XVe et XVIIe siècle. Le 1er seigneur connu de La Bellière était Raoul de Dinan, Vicomte de Poudouvre 1237-1287. La seigneurie de La Bellière possèdait à cette époque un droit de Haute Justice. L'ensemble du domaine, la tour, le corps de logis, la chapelle, les communs et le colombier, représente le type même du manoir à cour close des XIVe-XVe siècles. Le Château de la Bellière est entouré d'étangs. Au XIVe siècle, le château échut par alliance aux Raguenel, Famille de Thiphaine, première épouse de Bertrand Du Guesclin, connétable de France. Le Château de la Bellière a conservé des tuyaux de cheminées à souches octogonales en granit, en brique et en ardoise, qui datent de la fin du XIVe siècle, avec ses couronnements et ses arcatures en ardoises. Les terres qui l'avoisinent sont de grandes pièces de terre bordées de chênes hauts de fût. En 1767, le domaine passe aux Collin de La Bellière, qui jouent un grand rôle dans l'érection de La Vicomté-sur-Rance en paroisse en 1870, et en commune en 1878. Le Château de la Bellière est resté dans la même famille. C'est un château privé, fermé au Public. Le Château de la Bellière est inscrit aux 1927. Adresse Château de La Bellière - La Bellière, La Vicomté-sur-Rance 22690 Coordonnées par GPS 48° 29' 43" Nord, 1° 58' 15" Ouest * LE CHATEAU DE BELORIENT A L'HERMITAGE-LORGE - 22150 Privé Le Château de Belorient est un château bâti à L’Hermitage-Lorge, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Belorient est un château de style Néo-Gothique. La construction du Château de Belorient date du 1er quart du XXe siècle. Coordonnées par GPS 48° 19' 57" Nord, 2° 49' 39" Ouest * LE MANOIR DE BELOUZE A PLEDELIAC 22270 Ferme-Auberge Le Manoir de Belouze est u manoir bâti à Plédéliac, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en FFrance. Le Manoir de Belouze a été construit au XVIe siècle. Il est devenu aujourd'hui une ferme-auberge pédagogique. Il existe aussi à découvrir sur la commune le Manoir de Belouze, le Château de Saint-Aubin 1900, le Château de la Hunaudaye XIIIe siècle, Classé aux et le Château du Guillier, XVIIe siècle, inscrit aux Coordonnées par GPS 48° 27' 00" Nord, 2° 23' 12" Ouest - LE CHATEAU DE BIENASSIS A ERQUY - 22430 Se visite CC BY-SA Le Château de Bienassis est un château bâti à Erquy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Bienassis date des XVe et XVIIe siècles. Il possède un beau parc et jardins. Le Château de Biennassis est un ensemble complet d'une demeure seigneuriale. L'accès se fait par un pont qui a succédé au pont-levis au-dessus des douves qui entourent les plates-formes sur lequel le logis cantonné de tours aux angles. Le logis et ses dépendances sont en grès roses d’Erquy. Une partie médiévale possède une tour d'escalier demi-hors-œuvre dans un angle et, une tour hors-œuvre dans l'autre angle. La partie renaissance prolonge la partie ancienne vers l'ouest et abrite un escalier monumental à deux volées et un grand salon au rez-de-chaussée. Les cheminées et les escaliers sont des XVe et XVIIe siècles. Un mur crénelé est le seul vestige de l'enceinte du XVe siècle. Les tours d'angle et les tourelles du mur ont été ajoutées au XVIIe siècle, à l'époque de la reconstruction du château. Le logis est ouvert à la visite le rez-de-Chaussée meublé, le grand salon, la salle des gardes, la salle à manger où l'on peut admirer des porcelaines de Chine, du Japon et de Bayeux, des meubles de style Louis XIV et de la Renaissance bretonne, la cuisine, la chapelle, témoignent d’une maison vivante ainsi que sa grande avenue classée, ses larges douves, ses remparts, sa cour d'honneur, son jardin français, son potager et son parc forestier. Le Château de Bienassis est classé aux depuis le XVe et XVIIe siècle. Le Château de Bienassis est ouvert au Public et se visite. Adresse et Tel Château de Bienassis- 22430 Erquy - Tél. 02 96 72 22 03 Site web Château de Bienassis Coordonnées par GPS 48° 35' 17,48" Nord, 2° 29' 14,24" Ouest - LE CHATEAU DE BODIFFE A PLEMET - 22210 Centre de Rééducation Le Château de Bodiffé est un château bâti à Plémet, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château est de style Louis XV – Louis XVI. Les architectes étaient Freine et Tournon. La construction du Château de Bodiffé date du début du XIXe et XXe siècle. Il est de style néo-gothique. En 10/07/1933, sera construit puis ouvert un sanatorium. Il a la forme d'un immense paquebot. Il comporte 115 lits, pour abriter des femmes et des enfants. Il est long de 110m. A 1,4km de là, fut construit un second sanatorium celui de Bel-Air qui ouvrit le 1/02/1934. Il ressemblait à un avion, long de 136m d elong, pour accueillir 115 hommes. Deux sanatoriums, distants de 1,4 km, furent construits le sanatorium de Bodiffé qui a la forme d'un paquebot, long de 110 m et comporte 115 lits pour abriter femmes et enfants, et le sanatorium Bel-Air qui a la forme d'un avion de 136 m de long pouvant héberger 115 hommes. Le Château de Bodifé sera aménagé pour recevoir les services administratifs et les appartements du Médecin-Directeur Docteur faget et du Médecin-adjoint. Le Sanatorium de Bodiffé accueillera des réfugiés. Le Château de Bodiffé possède un toit en ardoise, un logement et des communs avec un toit en tuile mécanique. Les communs furent construits en brique, les moellons de granite, et de pierre reconstituée. Aujourd'hui, les 2 sanatoriums ont été transformés, en centres spécialisés dans la rééducation et la réadaptation fonctionnelles. Coordonnées par GPS 48° 10' 40" Nord, 2° 35' 37" Ouest - LE CHATEAU DE BOGARD AU QUESSOY - 22120 Visites/RV CC BY-SA Le Château de Bogard est un château bâti à Quessoy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château Bogard date du XVIe et la fin XVIIIe siècle. Bogard est le berceau de la Famille Bogard, dont l'origine remonte au XIIIe siècle. Au XIe siècle, l'étang du château abritait une sorte de loup-garou, nommé Mourioche, qui fut tué par le Seigneur Jean de Beauchêne. Au début du XVIIe siècle, la terre passa aux Le Metayer puis aux de la Noue, famille connue par une succession de conseillers au Parlement. Plusieurs châteaux furent bâtis sur le même emplacement. Le 4ème château date du XVIe au XVIIIe siècle. Le Château de Bogard est constitué d'un pavillon au Sud, vestige de constructions de la fin du XVIe siècle, d'un corps de bâtiment du 1XVIIIe siècle. Les communs les plus anciens du Château de Bogard datent de 1656. Du côté Est, subsistent les formes et allées d'un jardin, au tracé romantique, créé au début du XIXe siècle. Le Château de Bogard est inscrit depuis 1990 aux Le Château de Bogard se visite sur RV. Parc ouvert toute l’année de 15h à 17h30, fermeture le Jeudi midi au Mardi midi. Pour des visites guidées, RV par Tel. Tarifs unique de 3€ 1h. Il existe 3 autres châteaux et 1 manoir à Quessoy à découvrir Le Château de Bogard, XVIe siècle, inscrit aux en 1990 ; le Château de la Houssaye, XVIIIe siècle, extérieur visitable l'été, partiellement classé 1982 et partiellement inscrit 2002 aux le Manoir de La Rocherousse, XVIe siècle, inscrit aux en 2002 et le Château de la Fontaine-Saint-Père, de 1773, inscrit en 2002 aux Adresse Château de Bogard 22120 Quessoy - Tél 02 96 42 38 25 Site web Coordonnées par GPS 48° 25' 19" Nord, 2° 39' 25" Ouest * LE CHATEAU DU BOIS-DE-LA-ROCHE A COADOUT 22970 Le Château du Bois-de-la Roche est un château bâti à Coadout, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Bois-de-la-Roche date du XIVe et XVe siècle. Les vestiges du château nous présentent le Château Château du Bois-de-la Roche comme un corps de bâtiments de 70 m de façade et qui prolongeait l'habitation actuelle jusqu'au mur d'enceinte, vers le Nord. On peut encore voir des traces des cabinets d'aisance insérées dans la muraille, comm le voulait la coutume au Moyen Age. Les communs sont de style Renaissance, ainsi que des pierres de récupération insérées dans la construction récente laisse entendre que l'ensemble avait une certaine importance. Les tours nous ramènent au plus tôt au XIIIe siècle et il existe une ferme à l'ouest dont le magnifique porche d'entrée recèle une charpente qui laisserait entendre que des Compagnons du Devoir sont passés par là, tant le travail est précis et complexe. Vous pourrez demander à visiter l'intérieur du Château du Bois de la Roche, pour étudier les difficultés que connurent les reconstructeurs à à allier les différents niveaux du bâtiment actuel, aux anciennes tours, dont les hauteurs sous plafond diffèrent. Ils utilisèrent pour la première fois le ciment, tant il leur était difficile de voir les poutres de bois partirent en fumée. Le Château du Bois-de-la-Roche est lié aux Familles de Roscerf et du Liscouët. Coordonnées par GPS 48° 31' 05" Nord, 3° 11' 13" Ouest * LE CHATEAU DU BOIS-BERTHELOT A CANIHUEL - 22480 Le Château du Bois-Berthelot est un château bâti à Canihuel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 20' 20" Nord, 3° 06' 15" Ouest - LE MANOIR DE BOISGELIN A PLEHEDEL - 22290 Hôtel 3 Etoiles Le Château du Boisgelin ou Château-Hôtel de Coatguelen est un manoir bâti à Pléhédel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Boisgelin date du XVe siècle. C'est devenu un Hôtel 3 Etoiles. Aujourd’hui, le Domaine de Boisgelin est un ensemble d’une très grande beauté qui est ouvert à tous et ce, durant toute l’année, sans exception. Vous profiterez de ce joyau de notre patrimoine Breton que vous soyez golfeur, marcheur ou simple amoureux de la nature, de notre histoire et de nos vielles pierres. Après votre promenade, nous vous réservons un accueil chaleureux. Le Château de Boisgelin a été transformé en un très bel Hôtel, Restaurant de renom et un Golf. Adresse Château de Boisgelin à Pléhédel 22290 - Tél. 02 96 22 37 67 - Gite - Tél 06 12 30 29 31 - Email Site web Château de Boisgelin Site Restaurant Mathieu-Kergoulay Coordonnées par GPS 48° 41' 43" Nord, 3° 00' 25" Ouest * LE MANOIR DE BOISHARDY A BREHAND 22510 Le Manoir de Boishardy est un manoir bâti à Bréhand, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Boishardy date du XVIe siècle. Mentionné en 1587, le Manoir d Boishardy a donné son nom à la Famille du Chef chouan Boishardy auquel il a appartenu. Sa forme est beaucoup plus moderne, à la suite de restaurations menées au XIXe siècle et au XXe siècle. Il existe aussi 2 Manoirs sur la Commune de Bréhand et 1 Château Le Manoir de Boishardy et le Manoir de Quimby et le Château de Launay. Coordonnées par GPS 48° 24' 13" Nord, 2° 34' 23" Ouest - LE CHATEAU DU BOIS-DE-LA MOTTE A PLESLIN-TRIGAVOU - 22490 Le Château du Bois-de-la-Motte est un château bâti à Pleslin-Trigavou, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Bois de la Motte date du XVI-XVIIème siècle. Le Château du Bois de la Motte est la maison seigneuriale de Trigavou. Le Château du Bois-de-la-Motte fut édifié à la place d'un manoir, qui appartenait pendant tout le Moyen Age, à une branche de la Famille de Beaumanoir. Il est érigé en bannière par lettres du duc Jean V, le 21 juillet 1433, puis, en marquisat. En 1633, il ira dans la Maison de Cahideuc pour le mariage de Guyonne de Montbourcher, Marquise du Bois-de-la-Motte, avec Sébastien René de Cahideuc. Un bois de 8 kms entourait autrefois le château. En 1780, le Château du Bois-de-la-Motte appartenait au Marquis du Bois-de-la-Motte. Sa chapelle privée est un édifice rectangulaire, avec un chevet à pans coupés, date du XVIIIème siècle. Le Château du Bois-de-la-Motte est inscrit aux Coordonnées par GPS 48° 31' 07" Nord, 2° 05' 22" Ouest * LE CHATEAU DU BOIS-DE-LA ROCHE A COADOUT - 22970 Ruines Le Château du Bois-de-la Roche est un château bâti à Coadout, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Bois-de-la-Roche date du XIVe et XVe siècle. Les vestiges du château nous présentent le Château Château du Bois-de-la Roche comme un corps de bâtiments de 70 m de façade et qui prolongeait l'habitation actuelle jusqu'au mur d'enceinte, vers le Nord. On peut encore voir des traces des cabinets d'aisance insérées dans la muraille, comm le voulait la coutume au Moyen Age. Les communs sont de style Renaissance, ainsi que des pierres de récupération insérées dans la construction récente laisse entendre que l'ensemble avait une certaine importance. Les tours nous ramènent au plus tôt au XIIIe siècle et il existe une ferme à l'ouest dont le magnifique porche d'entrée recèle une charpente qui laisserait entendre que des Compagnons du Devoir sont passés par là, tant le travail est précis et complexe. Vous pourrez demander à visiter l'intérieur du Château du Bois de la Roche, pour étudier les difficultés que connurent les reconstructeurs à à allier les différents niveaux du bâtiment actuel, aux anciennes tours, dont les hauteurs sous plafond diffèrent. Ils utilisèrent pour la première fois le ciment, tant il leur était difficile de voir les poutres de bois partirent en fumée. Le Château du Bois-de-la-Roche est lié aux Familles de Roscerf et du Liscouët. Coordonnées par GPS 48° 31' 05" Nord, 3° 11' 13" Ouest - LE CHATEAU DU BOIS-DE-LA-SALLE A PLEGUIN - 22290 Le Château du Bois-de-la-Salle est un château bâti à Pléguien, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date de la fin du XVIIe siècle. Le château, avec ses dépendances et jardins, montre un ensemble représentatif du premier quart du 18e siècle. Au début du XVIe siècle, le château se présente comme une maison noble dont les propriétaires exercent la charge héréditaire de greffier civil et criminel de la cour de Lanvollon. L'Aménagement des jardins eut lieu, en 1702, ainsi que l'élévation des étages d'une partie de l'habitation. L'étang est achevé en 1706. En 1718, construction des communs. En 1723, achèvement du pavillon et de la chapelle dont les sculptures furent réalisées par Corlay. A la Révolution, l'ensemble est déclaré bien national. En 1795, d'importants dommages furent causés par des soldats républicains. Le Château du Bois-de-la-Salle est inscrit aux depuis 1993. Coordonnées par GPS 48° 37' 23" Nord, 2° 55' 39" Ouest -* LE MANOIR DE BOISHARDY A BREHAND - 22510 Le Manoir de Boishardy est un manoir bâti à Bréhand, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Boishardy date du XVIe siècle. Le manoir, cité en 1587, donna son nom à la famille d'un chef chouan, auquel il a appartenu. Sa forme est devenu beaucoup plus moderne, suite aux plusieurs restaurations, menées du XIXe au XXe siècle. Site web Les Amis du Château de Bogard Coordonnées par GPS 48° 24' 13" Nord, 2° 34' 23" Ouest - LE CHATEAU DU BOISRIOU A TREVOU-TREGUIGNEC 22660 Gite d'Hôtes Le Château du Boisriou est un château bâti à Trévou-Tréguignec, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Cette terre noble appartenait au xve siècle, à François de Carnavalet, sieur du Boisriou, de Trévou-Tréguignec. Ce personnage se rendit célèbre à la cour d'Henri II et de ses fils dont il avait été gouverneur. Il fut Chevalier de l'Ordre, Grand écuyer de France, Lieutenant de la compagnie des gens d'armes d'Henri III, Gouverneur d'Anjou, du Bourbonnais et du Foretz. Cette même famille Carnavalet du Boisriou a fourni 1 des 4 lieutenants des gardes du roi Louis XIV. Elle portait argent à trois faces, accompagné de dix merlettes, le tout de sable. En 1421, Marie du Boisriou transmettait par mariage le Château du Boisriou à la famille Plusquellec. Au XVIIe siècle, le Château du Boisriou passa aux mains de Mme de Villeneuve du Louët, qui fut, grâce à cette terre, reconnue comme fondatrice de la paroisse par l'information de 1695 ». Ce lieu a ensuite donné son nom à la famille Le Borgne de Coëtivy. Cette famille est issue d'un frère de Guy Le Borgne, l'auteur de l'Armorial Breton 1667. Cette famille a hérité du Domaine du Boisriou à la suite d'un mariage, en 1677 et, le possède, depuis cette époque. Adresse Chateau et Domaine Du Bois Riou - Gîte dHôtes - Le Bois Riou - 22100 Quévert - Tel 02 96 83 52 35 Coordonnées par GPS 48° 48' 56" Nord, 3° 21' 26" Ouest - LE CHATEAU DE BONABRY A HILLION - 22120 Chambres d'Hôtes Le Château de Bonabry est un château bâti à Hillion, dans le département des Côtes d'Armor, sur la presqu'ile d'Hillion, en Bretagne, en France. La construction du château de Bonabry date du XVe et XVIe siècle. Il est à 5 minutes de la plage. Le Château de Bonabry vous propose ses chambres d'hôtes, dans un cadre champêtre des plus agréables. Adresse Château de Bonabry 22120 Hillion, Tél 02 96 32 21 06 Coordonnées par GPS 48° 31' 12,14" Nord, 2° 39' 5,57" Ouest * LE CHATEAU DE BON ABRI A HILLION 22120 Le Château de Bon Abri se situe au lieu dit "La Vieille Croix". Propriété privée non visitable. L’actuel château de Bonabry a été construit sur le site d'un ancien manoir. Guillaume du Bouilly en fit l'acquisition en 1580. L’un de ses descendants fait démolir le manoir pour bâtir ce château, construit sur un plan à deux corps en équerre, surmonté dans sa partie centrale par un corps coiffé en pavillon. Au début de la Révolution, il servit de point d'embarcation pour l'émigration. En 1861, le Château de Bon-Abri devint la propriété de la Famille du Fou de Kerdaniel. Les dépendances se composent de vastes écuries, d’une chapelle dédiée à Saint-Gilles et Saint-Loup datant également de la fin du XVIIe siècle, d’un colombier et d’une vieille croix classée aux Coordonnées par GPS 48° 30' 49" Nord, 2° 40' 04" Ouest - LE CHATEAU DU BOURBLANC A PLOURIVO - 22860 Location de Salles Le Château du Bourblanc est un château bâti à Plourivo, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La Seigneurie du Bourblanc avait été apportée dans la famille ROQUEL, seigneurs de Goasfroment en Plouézec, par le mariage en 1513 de Guillaume ROQUEL, Président du Parlement de Bretagne, et Conseilleur du Roi, avec Marie Ruffault, Dame du Bourblanc. Le Château de Bourg-Blanc date du XVIe siècle. Situé au Ruclé, il fut la propriété successive des familles Roquel du Bourblanc du XVIe siècle à 1639, Armez 1773 à 1935 et Mauduit en 1935. Le Château du Bourblanc aujourd'hui vous propose ses salles pour célébrer vos mariages, ou séminaires. Adresse Château 31 Chemin Louis Armez, 22860 Plourivo - Tél 02 96 55 99 31 - E-mail philippot_martine Coordonnées par GPS 48° 44' 41" Nord, 3° 04' 18" Ouest - LE MANOIR DE BREJERAC A CREHEN - 22130 Privé Le Manoir de Bréjerac est un manoir bâti à Créhen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Bréjeras date du XVe et XVIIème siècle. Ce Manoir du XVIIème siècle, avec remploi du XVème siècle porte d'entrée et fenêtre à arcature trilobée, remanié au XIXème siècle. Selon Henri Frotier de La Messelière, il relevait de la Baronnie du Guildo. Il aurait appartenu à plusieurs propriétaires La Famille Labbé XVème, Le Roy XVème-XVIIème, Le Bouëtoux XVIIème-XIXème siècles, La Motte-Rouge XIXème siècle et du Bosc de Peyran XXème siècle. Les communs datent de la fin du XIXème siècle ou du début du XXème siècle. Il ne reste que les dépendances de l'ancien Manoir de Bréjerac. Coordonnées par GPS 48° 32' 47" Nord, 2° 12' 43" Ouest * LE CHATEAU DE LA BRIERE A ILLIFAUT - 22230 Privé Le Château de la Brière est un château bâti à Illifaut, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Brière date du XIXe siècle. Le Château de la Brière est privé, fermé au Public. Il existe 3 châteaux sur la commune à découvrir le Château de La Brière, le Château de Keranno, le Château de la Ville Thual et le Manoir de Kérurien. Coordonnées par GPS 48° 08' 49" Nord, 2° 20' 50" Ouest - LE MANOIR DE LA BRUNAIS A CREHEN - 22130 Le Manoir de la Brunais est un manoir bâti à Créhen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Brunais date du XVème siècle. Coordonnées par GPS 48° 32' 47" Nord, 2° 12' 43" Ouest - LE CHATEAU DE LA BRUYERE A SAINT-LAUNEUC - 22230 Privé CC BY-SA Le Château de La Bruyère est un château fort bâti à Saint-Launeuc, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Bruyère date de 1770. Le Château de la Bruyère fut construit au XVIIIe siècle. Il a l'aspect proche d'une malouinière. Comme dans ce genre de construction, l'accès du 1er étage s'effectue par un escalier extérieur, à double révolution. Le Château de la Bruyère a été inscrit aux le 15/10/1968. Le château est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 14' 45" Nord, 2° 20' 23" Ouest * LE MANOIR DE CAMPOSTAL A ROSTRENEN - 22110 Le Manoir de Campostal à Rostrenen 22110 , dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Campostal se situe sur la place du bourg Coz vieux bourg. Sa construction en granite date du XVIe siècle, avec sa cheminée monumentale et sa tour polygonale. Cordonnées par GPS 48° 14' 14" Nord, 3° 18' 56" Ouest - LE CHATEAU DE CARADEUC A PLOUASNE - 22830 Le Château de Caradeuc est un château bâti sur 3 communes Longaulnay, Saint-Pern Ille-et-Vilaine et Plouasne, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Caradeuc date du début du XVIIIe siècle. Il est classé Jardin Remarquable. Le Château de Caradeuc est un château classé aux Coordonnées par GPS 48° 17' 37,28" Nord, 1° 57' 30,61" Ouest * LE CHATEAU DE CARBIEN A HILLION - 22120 Le Château de Carbien est un château bâti à Hillion, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il existe 3 Châteaux et 6 Manoirs sur la Commune de Hilion, à découvrir Le Château des Marais 1893, le Château de Bonabry XVIème et XVIIème, le Château des Aubiers XIXème et l'ancien manoir des Aubiers XVIème privé , le Manoir des Chauchix, le Manoir des Vergers XVème, le Manoir des Portes XVème - XVIème, le Manoir de Licantois XVIème et le Manoir de La Ville-Pierre XVIème siècle Coordonnées par GPS 48° 30' 51" Nord, 2° 40' 03" Ouest - LE CHATEAU DE CARGOÜET A MESLIN - 22400 Le Château de Cargouët est un château bâti à Meslin, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Cargouët a été construit au XVIIe siècle. Le château initial de Cargouët fut bâti au XIIIe siècle. Il appartenait à la Seigneurie des Cargouët, avec un droit de haute-justice sur Meslin, sur Landéhen, sur Maoué, sur Malhoure et sur Pomeret. Le 13/04/1793, le 3ème maire de Meslin, François Pincemin, et l'un des métayers du Château de Cargoüet, furent guillotinés à Saint Brieux. Ils avaient participé, à l'émeute de Pommeret, le 23/03/1793, en compagnie de Boishardy. Encadrant l'entrée de la cour. Le corps de bâtiment fut construit, à la fin du XVIIe siècle, flanqué d'une tourelle, qui servait de pigeonnier, ainsi que deux pavillons à la toiture en carène renversée. Les écuries du XVIIe siècle, à l'architecture classique, en sont le seul témoin intégralement préservé. Le Château de Cargouët tomba progressivement en ruine, dès 1903. Le Château de Cargouët a été inscrit aux en 1992. Coordonnées par GPS 48° 27' 06" Nord, 2° 35' 43" Ouest * LE CHATEAU DE CAREIL OU CHATEAU DU BAS-CARHEIL A SAINT-SAMSON-SUR-RANCE - 22100 Le Château de Carheil est un château bâti à Saint-Samson-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Ba-Carheil date du XVIIe siècle. Du premier manoir de Carehel », il ne subsiste pas de vestiges. L’ancien logis dit actuellement le Bas Carheil » remonte au XVIIe siècle et serait antérieur à 1650. Le Domaine du Bas-Carheil passera au XVIIIe siècle à la Famille de Launay, par le mariage de Guillaume Pierre de Launay avec Marie Claire Gilette Mousset de Villeneuve. Ce couple fit ensuite construire un nouveau château qui s’apparente aux Malouinières de la Région. Site Coordonnées par GPS 48° 29' 32" Nord, 2° 01' 47" Ouest - LE CHATEAU DE CATUELAN A HENON - 22150 Se Visite CC BY-SA Le Château de Catuelan est un château bâti à Hénon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Catuélan date du XVIIIe siècle. Il y a sa cour d'honneur. Le Château de Catuelan est inscrit aux Visite du Château sur RV Parc ouvert du 1er mai au 15 octobre les samedis, dimanches et jours fériés, de 10 h à 18 h. Visites commentées, sur rendez-vous uniquement. Il existe 3 Châteaux et 1 Manoir à Henon à découvrir le Château de Bellevue, le Château des Granges, le Château de Catuélan et le Manoir du Colombier. Tarifs 2 € dont 1 € reversé à l’Association Kourir. Adresse Château de Catuélan 22150 Hénon - Tél 02 96 73 40 52 Coordonnées par GPS 48° 23' 07" Nord, 2° 40' 57" Ouest * LE CHATEAU DE LA CAUNELAYE A PLANCOET - 22130 Le Château de La Caunelaye est un manoir bâti à Plancoët, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de la Caunelaye, construit pour la première partie au XVIIe siècle, par Thomas de La Caunelaye, fut rénové et agrandi au fil des siècles. Coordonnées par GPS 48° 29' 45" Nord, 2° 12' 23" Ouest - LE CHATEAU LE CERF A MUR-DE-BRETAGNE - GUERDERLAN - 22530 Mairie Le Château le Cerf est un château bâti à Mûr-de-Bretagne, devenu Guerlédan, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La Mairie de Mur-de-Bretagne est installée dans les murs du Château Le Cerf. Adresse Château Le Cerf - Hôtel de ville - 2 Rue Sainte-Suzanne, 22530 Mûr-de-Bretagne - Tél 02 96 28 51 32 Coordonnées par GPS 48° 12' 03" Nord, 2° 59' 05" Ouest - LA TOUR DU MANOIR DE CESSON A SAINT-BRIEUC - 22000 Ruines CC BY-SA Le Manoir de Cesson est un manoir bâti à Saint Brieux, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La tour de Cesson domine l'estuaire du Gouët et la baie de Saint-Brieuc. Elle fut édifiée en 1395 sur ordre du duc de Bretagne Jean IV de Montfort. Construite à près de 70 m de hauteur sur un éperon rocheux dominant la baie, la Tour de Cesson est un site historique et archéologique. Cet emplacement stratégique est choisi afin de protéger l'embouchure du Gouët et la ville de Saint-Brieuc des attaques des pirates et d'éventuels agresseurs. D'ailleurs, différents vestiges, monnaies, ruines, fondations témoignent de l'occupation de ce lieu, notamment par les romains ou encore les vikings. La tour permettait aussi au Duc de surveiller le trafic commercial maritime. La tour a été occupée par Olivier de Clisson tandis que le Duc Jean IV la réclamait au connétable, à la suite du traité, de 1388. Elle fait partie du domaine ducal en 1423, lorsqu'elle sert de prison à Morice de Ploësquellec, et du domaine royal, au XVIe siècle vers 1532, quand un édit réunit les juridictions de Cesson et de Goëlo, pour les transférer à Saint-Brieuc. Dès que la guerre de la Ligue commence en Bretagne, du fait de son positionnement, la tour de Cesson prend une grande importance stratégique. Elle finit par être prise en 1598 par le comte de Brissac, qui ordonne le démantèlement de la forteresse à la demande des habitants. Une partie est conservée pour servir d'amer aux navigateurs à partir de 1625. Avant la Révolution, la tour de Cesson, bâtie sur un terrain nommé la Terre du Duc, appartient au duc de Penthièvre. Vendue en 1791, elle est rachetée en 1852 par Alexandre Olivier Glais-Bizoin. Les ruines de la tour de Cesson sont classées aux depuis 1926. La Tour du Manoir de Cesson est située aujourd'hui sur un domaine privé, fermé au Public. Il ne reste qu'une tour depuis, de l'ancien château, appelée la Tour de Cesson. Coordonnées par GPS 48° 30' 49" Nord, 2° 45' 55" Ouest - LE CHATEAU DE CHALONGE A TREVRON - 22980 Privé CC BY-SA Le Château de Chalonge est un château bâti à Trévron, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Chalonge du XVIIIe siècle. Le Château du Chalonge fut attaqué, en 1791, par un millier de paysans qui brûlèrent les titres de redevance. Le Château de Chalonge a été fondé par la Famille de Lorgeril. Situé aux environs de Dinan et entouré de bois, le Château de Chalonge est visible de la route. Le logis, l'orangerie, les dépendances et la ferme sont dus à Louis-Pierre-Marie de Lorgeril, né en 1744. La construction qui s'échelonne vers 1785 n'était pas entièrement terminée à la Révolution. Le pigeonnier et la chapelle sont les vestiges d'une ancienne construction. Le Chateau de Chalonge est précédé d'une grande cour d'honneur, fermée d'une grille et sa façade Sud donne sur un Jardin à la Française, qui est limité par des douves. Le Château de Chalonge est inscrit aux partiellement depuis le 4/02/1926. Il existe aussi à découvrir sur la commune Manoir de Pestivien XVIIe siècle. Le Château de Chalonge est privé, fermé au Public. Adresse Château du Chalonge - 36 Rue du Vieux Bourg 22100 Trévron Coordonnées par GPS 48° 24' 51,81" Nord, 2° 9' 8,13" Ouest * LE MANOIR DES CHATELETS A PLOUFRAGAN 22440 Le Manoir des Chatelets est un manoir bâti à Ploufragan, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coodonnées par GPS ................... - LE MANOIR DU CHATELIER-GUITREL A SAINT-SAMSON-SUR-RANCE 22100 Privé CC BY-SA Le Manoir du Chatelier-Guitrel est un château bâti à Saint-Samson-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir du Chatelier-Guitrel date du XVIe et XIXe siècle. Le Manoir du Chatelier-Guitrel a été construit, sur un promontoire rocheux, qui domine l'estuaire de la Rance. Le site atteste d'une occupation défensive ancienne, avec une motte féodale à l'entrée du promontoire. Le corps de logis principal, de plan allongé, date de la seconde moitié du XVIe siècle. La façade antérieure présente une tour d'escalier hors oeuvre polygonale puis carrée, ainsi qu'une ornementation Renaissance sculptée. Au XVIIIe siècle, le logis est agrandi de 2 petites ailes basses et intérieurement réorganisé. Une nouvelle chapelle a été construite, des jardins en terrasse et une promenade sont aménagés. Plusieurs bâtiments de communs, dont certains datant du XIXe siècle, ont été conservés, ainsi qu'un ancien colombier. Le Manoir du Châtelier-Guitrel a été inscrit aux depuis le 24/04/2008. Le Manoir est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 29' 55,68" Nord, 1° 59' 39,12" Ouest * LE CHATEAU DU CHEF-DU-BOIS A POMMERIT-JAUDY - 22450 Lycée Pommerit Le Château du Chef-du-Bois est un château bâti à Pommerit-Jaudy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. L'actuel château fut construit, en 1867, pour Auguste Le Provost de Launay. Dans le sous-sol du château, les caves abritent un calorifère, tandis qu'au 1er étage, on découvre l'histoire du site en 1794, le Chef du Bois a été vendu comme bien national au rochois Charles Le Roux, Président du Tribunal Criminel des Côtes-d'Armor, qui condamnât à mort Ursule Taupin, commerçante à Tréguier et les deux prêtres réfractaires, à qui elle avait donné asile. Charles Le Roux sera assassiné 2 ans, plus tard. Le pigeonnier conserve une partie des boulins d'origine. Le manoir du Chef du Bois, en breton Penn ar C'hoad, a été reconstruit en 1867. C'est devenu aujourd’hui le Lycée Pommerit. Le Château du Chef-du-Bois est ouvert qu'aux 2 journées du patrimoine 3ème WE de Septembre. Il y a plusieurs manoirs à découvrir Le Manoir de Kersaliou, le Manoir de Coat-Nevenez, le Manoir de Kermezen, le Manoir du Cosquer et le Manoir du Chef du Bois. Le Château du Chef-du-Bois est devenu, aujourd’hui, le Lycée Pommerit. Coordonnées par GPS 48° 43' 58" Nord, 3° 14' 27" Ouest * LE CHATEAU DU CHENE A BREHAND - 22510 En Vente Le Château du Chêne est un château bâti à Bréhand, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il existe 2 Châteaux et 2 Manoirs sur la commune de Bréhand Le Château de Launay, le Château du Chêne Privé, le Manoir de Quimby et le Manoir de Boishardy. Coordonnées par GPS 48° 24' 13" Nord, 2° 34' 23" Ouest * LE CHATEAU DU CHENE-FERON A SAINT-CARNE - 22100 Le Château du Chêne-Ferron est un château bâti à Saint-Carné, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 25' 00" Nord, 2° 03' 51" Ouest * LA TOUR DU CHATEAU DU CHENE-VERT A PLOUËR-SUR-RANCE -22490 La Tour du Château du Chêne Vert est un château bâti à Plouër-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La tour du chêne vert, se situe à l'extrémité Ouest du territoire de la commune de Plouër-sur-Rance. Coordonnées par GPS 48° 31' 43" Nord, 2° 00' 07" Ouest - LE MANOIR DE LA CHESNAYE-TANIOT A MATIGNON - 22550 Le Manoir de la Chesnaye-Taniot est un manoir bâti à Matignon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de La Chesnaye-Taniot date du XVIIe siècle-XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 36' 15" Nord, 2° 18' 1" Est * L'HOTEL DE CLEZIEUX A MONCONTOUR - 22510 de Dolly11 CC BY-SA L'Hôtel de Clézieux est un ancien hôtel bâti à Moncontour, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVIIe siècle. Lorsque Hoche arriva à Moncontour, en mars 1795, il séjourna dans la demeure d'un riche négociant, M. Latimier du Clézieux. Cette maison à pilastres et balcons en fer ouvragé a été découronnée de son toit à la Mansard et de son fronton triangulaire dans lequel s'enchassait un cadran solaire. Le décor n'a pas changé, depuis le passage de Hoche avec son salon orné de boiseries ; ses peintures ; sa grande chambre au second étage et les escaliers intérieurs. L'Hôtel de Clézieux a été inscrit partiellement aux depuis le pour sa façade sur la Place et sa toiture. L'Hôtel de Clézieux est privé, fermé au Public. Adresse Hôtel de Clézieux 2 place Penthièvre à Moncontour 22510 - Privé Coordonnées par GPS 48° 21' 40,08" Nord, 2° 38' 0,07" Ouest * LE CHATEAU DE CLIO A QUESSOY - 22120 Le Château de Clio est un château bâti au Quessoy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 25' 19" Nord, 2° 39' 25" Ouest * LE CHATEAU DU CLUDON A PLOUGONVER - 22810 Mairie Le Château du Cludon est un château bâti à Plougonver, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Cludon date du XVIIe siècle. Il existe aussi sur la commune de Plougonver l'ancien Presbytère devenu la Mairie. Coordonnées par GPS 48° 29' 07" Nord, 3° 22' 38" Ouest - LE MANOIR DE COADELAN A PRAT 22140 Privé CC BY-SA Le Manoir de Coadelan est un manoir bâti à Prat, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Manoir conservant des plafonds à poutrelles et des cheminées anciennes. Cet édifice était l'une des habitations du ligueur Guy Eder, dit "la Fontenelle". Le Manoir de Coadelan est inscrit aux depuis le Le Manoir est une propriété privée, fermée au Public. Coordonnées par GPS 48° 41' 42,55" Nord, 3° 17' 26,15" Ouest - LE CHATEAU DE COAT-AN-NOZ A BELLE-ISLE-EN-MER - 22810 CC BY-SA Le Château de Coat-An-Noz est un château bâti à Belle-Isle-en-Mer, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Ce beau manoir a été construit de 1880 à 1884 pour la Comtesse de Sesmaisons 1838-1901. Le château devient, par alliance, la propriété des sieurs de Faucigny-Lucinge. Bertrand de Faucigny-Lucinge, criblé de dettes, revend le château et son vaste domaine, en 1923. En 1929, Sir Robert Mond, le roi du nickel, rachète le château pour sa femme Lady Mond, née Marie-Louise Le Manac'h, à Belle-Isle-en-Terre. Après sa mort en 1949, le château passe entre les mains de divers propriétaires qui s'avèrent incapables de restaurer entièrement ce vaste château. C'est un logis rectangulaire flanqué de tourelles à ses 4 angles, construit en granit et en schiste et recouvert de toits d'ardoise. En 2011, le Château de Coat-An-Noz est racheté par des particuliers, qui le restaurent. Bernard et Danuta Moreau sont les nouveaux propriétaires du château de Coat an Noz, à Belle-Isle- en-Terre. Le couple a immédiatement engagé des travaux de rénovation afin d'éviter que la bâtisse, très délabrée, ne s'effondre. Abandonné depuis l'après-guerre, le Château de Coat-an-Noz, à Belle-Isle-en-Terre, retrouvera d'ici quelques années son lustre d'antan; celui du temps de LadyMond. Bernard Moreau et son épouse Danuta, de la région parisienne, en sont les propriétaires depuis le 11/01/2011. Un château à EUR Le couple a acquis la bâtisse pour la somme de EUR. Une somme qui paraît dérisoire mais qui ne représentera, au final, qu'une infime partie du montant des travaux, colossaux! Le château n'est plus aujourd'hui qu'un vaisseau fantôme meurtri par les éléments. C'est dans la presse que Bernard Moreau découvre pour la première fois le château de Coat-an-Noz, alors qu'il est en vacances du côté de Plestin-les-Grèves. C'était il y a deux ans. Il décide de s'y rendre avec Danuta et tombe sous le charme de cette demeure dessinée par une femme. Quelque temps plus tard, le propriétaire anglais la met en vente. L'ancien entrepreneur dans le bâtiment saute sur l'occasion. Sous le charme de Lady Mond, je l'ai racheté pour ne pas qu'il s'écroule. Depuis la mort de Lady Mond, le château est passé de main en main, n'a pas été entretenu et fut pillé. Certains ont même voulu le raser. Je pense que les gens sont contents de voir enfin quelqu'un s'en occuper», explique le nouveau Comte, puisque la terre serait anoblissante à Coatan Noz. Il entreprit la rénovation de la demeure, inhabitable en l'état; si ce n'est par une colonie de pigeons. Le matin de la signature chez le notaire, les ouvriers étaient déjà sur le chantier». Des travaux colossaux Et cela se comprend, compte tenu de l'ampleur des dégâts. L'eau s'était infiltrée partout, les champignons avaient proliféré. Les toiture, huisseries, planchers, escaliers, poutres, les peintures, l'électricité, tout était à refaire. Seuls les murs étaint en place. C'est la misère», soupire le propriétaire alors qu'avec des ouvriers, il s'attache à couler une nouvelle dalle au rez-de-chaussée. Fin 2012, le Château de Coat-An-Noz est enfin hors de danger. A terme, le couple envisage de s'installer au Château de Coat-an-Noz, pour profiter de ses de terrain. Car, tient à préciser ce châtelain Toutes les anciennes terres du Domaine de Coat-an-Noz ne m'appartiennent pas». Coordonnées par GPS 48° 30' 55,8" Nord, 3° 23' 33,36" Ouest - LE CHATEAU DE COAT-COURAVAL A GLOMEL - 22110 Hôtel/Se visite CC BY-SA Le Château de Coat-Couraval OU Château de Coatcouraval est un château bâti à Glomel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du milieu du XVe au XVIIe siècle. C'est une ancienne maison forte. Le Château de Coat-Couraval a été construit, vers 1430, pour la famille de Bouteville dont les armes sont visibles sur le clocher de l'église voisine de Bonen. Le château changera plusieurs fois de propriétaires et passera dans les mains des familles Urvoy de Crenan, de Perrien, de Goulaine et Rouillé d'Orfeuil. Il a traversé les siècles sans avoir subi trop de dommages ni de remaniements importants. Il constitue un intéressant témoignage des maisons fortes de la Bretagne intérieure qui succèdent aux châteaux-forts du Moyen Age. Malgré son aspect imposant, le Château de Coat-Couraval n'avait pas de vocation militaire. Le Château de Coat-Couraval est classé aux depuis le 2/03/1981. A l'intérieur, le Château de Coatguélen vous propose des chambres d'hôtes. Adresse et Tel Château de Coatcouraval - 22110 Saint-Michel-en-Glomel - Tél. 02 96 29 09 61 Coordonnées par GPS 48° 12' 16" Nord, 3° 21' 21" Ouest - LE CHATEAU DE COATFREC A PLOUBEZRE - 22110 Privé/Restauration en Cours CC BY-SA Le Château de Coatfrec est un château bâti à Ploubezre, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Coatfrec date du XVe siècle. Le Château de Coatfrec fut reconstruit en 1462, puis démantelé en 1592 sur l'ordre des Etats de Bretagne. Il est en ruines depuis. Au Moyen Age, le Château de Coatfrec sert à défendre le pays accessible depuis le Léguer1 de même que les châteaux de Tonquédec en amont sur la rive droite et Runefau détruit en 1525. Le château aujourd'hui est en cours de restauration et n’est pas ouvert au Public, sauf événement exceptionnel comme les Journées du Patrimoine 3ème WE de Septembre. Le Château de Coatfrec est inscrit aux Monuments historiques le 9/03/1927. C'est un château privé, fermé au Public. Il y a 3 Châteaux et 2 Manoirs à découvrir sur la commune le Château de Coatilliau, le Château de Kergrist xve siècle, visitable de Pâques à septembre,IMH, le Château de Coatfrec XVe siècle, en ruines, IMH, le Manoir de Kerauzern XVe, IMH, le Manoir de Kerguéréon, ancienne résidence de la Famille de Kermel, appartient depuis la Famille de Méric de Bellefon. Coordonnées par GPS 48° 42' 32" Nord 3° 25' 20" Ouest - LE CHATEAU-HOTEL DE COATGUELEN A PLEHEDEL - 22290 Se visite Le Château de Coatguélen est un château-Hôtel bâti à Pléhedel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Coatguélen date de 1840. Les extérieurs du château sont ouverts au Public et se visitent uniquement de Pâques à la Toussaint. Coordonnées par GPS 48° 41' 43" Nord, 3° 00' 25" Ouest - LE CHATEAU DE COATILLIAU A PLOUBEZRE - 22300 Le Château de Coatilliau est un château bâti à Ploubezre, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château Coatilliau fut la propriété de la Famille Kergariou du XVIIe au XXe siècle. Sa construction a débuté au XVIIe et s'est achevée au XXe siècle. Il fut la propriété de la famille Kergariou du XVIIe au XXe siècle. Benjamin Jollivet, auteur d'un ouvrage sur les Côtes-d'Armor, écrivait en 1859 Coatiliou est un château moderne appartenant à M. de Kergariou, l'un des descendants d'Alexandre de Kergariou, qui, en 1586, fut nommé capitaine-gouverneur de la ville et château de Morlaix. Cette habitation possède un fort beau parc. En avant, on remarque 2 douves profondes où l'on y avait, autrefois, des sangliers ». Il existe 3 Châteaux et 2 Manoirs à découvrir sur la commune de Ploubezre le Château de Coatilliau, le Château de Kergrist xve siècle, visitable de Pâques à Septembre,IMH, le Château de Coatfrec XVe siècle, en ruines, IMH, le Manoir de Kerauzern XVe, IMH, le Manoir de Kerguéréon, ancienne résidence de la Famille de Kermel, appartient depuis la Famille de Méric de Bellefon. Coordonnées par GPS 48° 43' 00" Nord, 3° 26' 54" Ouest - LE CHATEAU DE COAT-AN-NOZ A BELLE-ISLE-EN-MER 22810 CC BY-SA Le Château de Coat-an-Noz est un château bâti au sud de la commune de Belle-Isle-en-Terre, dans le département des Côtes-d'Armor, proche de Loc-Envel, en région Bretagne, en France. Sa contruction date de 1880 et 1884, pour la Comtesse de Sesmaisons 1838-1901. Le château de Coat-an-Noz devint, par alliance, la propriété des Princes de Faucigny-Lucinge. Bertrand de Faucigny-Lucinge, criblé de dettes, revendit le château et le vaste domaine qui l'entourait, en 1923. En 1929, Sir Robert Mond, roi du Nickel, rachèta le Château de Coat-an-Noz pour sa femme Lady Mond, née Marie-Louise Le Manac'h, originaire de Belle-Isle-en-Terre. Après sa mort en 1949, le château de Coat-an-Noz passa entre les mains de plusieurs propriétaires qui furent incapables de restaurer entièrement ce vaste édifice. En 2011, le Château de Coat-an-Noz est racheté par des particuliers, qui le restaurent depuis. Il existe 2 châteaux à découvrir sur la commune le Château de Coat-an-Noz, et Kastell appelé aussi le Château de Lady Mond, bâti en 1939, qui abrite la Mairie et la Bibliothèque. Le Kastell Mond, est la réplique du Château de Coat-an-Noz. Le Kastell Mond abrite aussi le Centre d'Initiation à la Rivière, depuis 2000. Coordonnées par GPS 48° 30' 55,8" Nord, 3° 23' 33" Ouest * LE MANOIR DE COAT-NEVENEZ A POMMERIT-JAUDY - 22450 Le Manoir de Coat-Nevenez est un manoir bâti à Pommerit-Jaudy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Coat-Nevenez date du XVIIe siècle. Il est inscrit aux Le Manoir de Coat-Nevenez se situe sur le site d'un maquis, lors de la Guerre de 1939 à 1945, attaqué et anéanti par les Allemands, le 19/07/1944. Coordonnées par GPS 48° 43' 58" Nord, 3° 14' 27" Ouest - LE CHATEAU DE COATCOURAVA A GLOMEL - 22110 CC BY-SA Le Château de Coatcourava est un château bâti à Glomel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Coatcouraval est une maison forte bâtie au XVe au XVIIe siècle, par la Famille de Boutteville. Le château a traversé les siècles, sans avoir subi de remaniements importants. Régulièrement entretenu et restauré, il constitue un témoignage intéressant des manoirs, de l'époque. Il constitue un intéressant témoignage des maisons fortes de la Bretagne intérieure qui succèdent aux châteaux-forts du Moyen Age. Malgré son aspect imposant, le Château de Coatcourava n'avait pas de vocation militaire. Le Château de Coatcouraval est situé, dans un endroit isolé, sur la commune de Glomel. Il a été classé aux depuis le 2/03/1981. Coordonnées par GPS 48° 12' 16,19" Nord, 3° 21' 20,99" Ouest - LE CHATEAU DE COATREDREZ A TREDREZ-LOCQUEMEAU - 22300 Privé Le Château de Coatrédrez est un château bâti à Trédrez-Locquémeau, à 8 kms au Sud-Ouest de Lannion, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Coatrédez a été construit au XVe siècle. C'est l’un des châteaux les plus anciens du Département des Côtes d’Armor. C'est aussi l'un des plus anciens manoirs des Côtes d'Armor. La charpente de l'église, signée de Johan Jouhaff, s'orne des armes des seigneurs de Coatrédrez. La famille des Coatrédrez ou, en breton, Coat-Tredrez signifie Bois de Trédrez était déjà mentionnée, dès 1283. Le corps principal du château a une forme en L. La tourelle, située à l’angle Est, est de forme polygonale. Un mur d’enclos fortifié entoure le Château de Coatrédrez. Le Château de Coatedrez possède aussi un puits, un pigeonnier du XVe et une chapelle du XVIIe siècle ainsi que 2 étangs. En 1990, le château a été restauré. Le Château de Coatrédrez est privé, fermé au Public. Site web Château de Coatredrez Coordonnées par GPS 48° 41' 55" Nord, 3° 33' 52" Ouest - LE CHATEAU DE COELAN A LE MENE - 22330 Privé Le Château de Coelan est un château bâti à Langourla, devenu le Méné, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il date du XVIe et XVIIe siècle. La construction du Château de Coelan date du 1870, pour la Famille Quemper de Lanascol, à Champigny. Il est de style Louis XIII et Renaissance. C'est un château bâti en tuffeau. A la fin du XIXe siècle, il appartenait à la Famille Camus de la Guibourgère. Le parc a été dessiné par le paysagiste Bülher, qui créa le Parc du Mont-Thabor à Rennes. Le Château de Coélan se situe à la lisière de la forêt de Bosquen, sur un promontoire. Le Château de Coelan est un château privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 17' 09" Nord, 2° 24' 52" Ouest * LE CHATEAU DE COËTANDO OU CHATEAU DE COAT-AN-DOC'H A LANRODEC - 22170 Le Château de Coëtando appelé aussi le Château Coat-an-Doc’h est un château bâti à Lanrodec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Coat-an-Doc'h le bois du sanglier. Un château ancien avec douves et colombier était propriété jadis de la famille Le Roux de Coëtando. Sous la Restauration après 1820, le château et les terres passent à Francis Le Saulnier de Saint-Jouan, dont la fille Marguerite fait don à l'institut missionnaire des salésiens pour créer une école. En 1935, les Salésiens de Don Bosco y fondent l'Institut Missionnaire et bâtissent une chapelle 1936. On y trouve une grotte moderne inspirée de Notre-Dame de Lourdes. Autrefois, des processions y étaient organisées. Coordonnées par GPS 48° 31' 01" Nord, 3° 01' 47" Ouest * LE CHATEAU DE COET-DREZO A SAINT-GUEN - 22530 Privé Le Château de Coët-Drezo est un château bâti à Saint-Guen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Coët-Drezo date du XIXe siècle. Le Château de Coët-Drezo est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 13' 05" Nord, 2° 56' 07" Ouest * LE CHATEAU DE COËTLOGON A COËTLOGON - 22210 de CC BY-SA Le Château de Coëtlogon est un château bâti à Coëtlogon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Fief de la famille de Coëtlogon, la Seigneurie de Coëtlogon a été érigée en marquisat, en mai 1622, par Louis XIII, au camp devant Royan, en faveur de René de Coëtlogon 1582-1639. Une motte castrale était située au lieu-dit les douves. Ce Château primitif fut abandonné à une date inconnue, pour un nouveau château édifié à 500 mètres, au Sud-Ouest lieu-dit le Bosquet. Un incendie détruisit ce second château, en 1720, et un 3ème château fut reconstruit, en 1728, à l'emplacement actuel, par César de Coëtlogon 1696-1742 avec l'aide financière de son grand-oncle, Alain Emmanuel de Coëtlogon. En 1742, à la mort de César de Coëtlogon, le Château de Coëtlogon passa par mariage à la Famille de Carné. Le Château de Coëtlogon est vendu comme bien national en 1793 et de nouveau incendié lors de la bataille de Coëtlogon le 17 juillet 1795 au cours de laquelle est tué le chevalier de Tinténiac. Resté en ruine, il est rasé à la fin du xixe siècle. Le Château de Coëtlogon actuel a été construit en 1911, pour Henri de Carné. Il fut remanié, en 1948. Coordonnées par GPS 48° 8' 41,84" Nord, 2° 32' 35,2" Ouest - LE CHATEAU DE COËTQUEN A SAINT-HELEN - 22100 Ruines CC BY-SA Le Château de Coëtquen est un château fort bâti à Saint-Hélen, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Coëtquen date du XVe et du XVIIe siècles. Cet ancien château fort est en ruine, aujourd'hui. Le Château de Coëtquen a été inscrit aux depuis 1927. Coordonnées par GPS 48° 28' 17,17" Nord, 1° 56' 16,31" Ouest * LE MANOIR DU COLOMBIER A HENON - 22150 Privé de Crepi22 CC BY-SA Le Manoir du Colombier est un château bâti à Henon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château Le Colombier date du XVe et XVIIIe siècles. Le Manoir du Colombier date de 1450 et possède une tourelle d'angle remarquable, de la même époque. Sa façade est classique et remonte au XVIIe siècle. Le Manoir du Colombier est privé. Le Chateau du Colombier est inscrit partiellement aux depuis le Il existe 4 Châteaux à Henon à découvrir le Château de Bellevue, le Château des Granges, le Château de Catuélan, et le Château du Colombier. Coordonnées par GPS 48° 23' 07" Nord, 2° 40' 57" Ouest * LE MANOIR DU COLOMBIER A HENON - 22150 Se Visite Le Manoir du Colombier est un manoir bâti à Hénon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château Le Colombier date de 1450 et du XVIIIe siècle. Le Manoir du Colombier a conservé une tourelle sculptée. Sa facade est de style classique du XVIIe. La chapelle a été remaniée à la fin du XVIIIe siècle. Parc ouvert tous les jours. Visites de 9h à 18h. Tarifs 6 € gratuit pour les moins de 12 ans en visite libre ou en compagnie de la Comtesse de Lorgeril 10 € - Durée de la visite guidée 2h Adresse et Tel Manoir du Colombier - 22150 Hénon - Tél. 02 96 73 57 81 Coordonnées par GPS 48° 23' 07" Nord, 2° 40' 57" Ouest * LE CHATEAU DE LA CONNINAIS A TADEN - 22100 Gite d'Hôtes Le Château de la Conninais est un manoir bâti à Taden, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Conninais date du XVe siècle. Il fut édifié à l'initiative d'Alain Mucet au XVe siècle. Le Château se situe dans une cour close. Le donjon date du XVe siècle. Vers 1500, Olivier Mélas en devient propriétaire par son mariage avec une petite fille d'A. Mucet puis ce fut leur fille qui transmis ce bien pour deux siècles à la famille Vallée, en 1530. En 1745, Françoise Geneviève de la Vallée épouse Jean du Chatel transmettant ainsi à sa famille le Château de la Conninais. Leur fils Louis Julien François Tanneguy, Comte du Chatel, page du Roi en sa petite écurie, colonnel d'infanterie, epousa en 1778, Marie Elizabeth Mollet, originiaire de Saint-Domingue. Jean Deshais le revendit en 1820 à un anglais, John Surtees. Sa fille ramena par son mariage à Taden avec un fils du Chatel le chateau de la Conninais à la famille du Chatel. Il appartiendra ensuite à la Famille Villeferron. En 1902, les enfants vendront le manoir. En 1938, la Conninais passe à la BNCI, futur BNP. L'entrée principale du Château de la Conninais est ornée de cariatides, et présente un pavillon à tourelles pointues. C'est au XVIème siècle que le Manoir prit son apparence actuelle. Bien que les statues en pierre d'un escalier latéral rappellent la facture des gargouilles gothiques, de nombreuses empreintes de la Renaissance sont incrustées dans les murs toiture de la tourd'amour posée sur une corniche à modillon, lucarnes à pilastres et un buste d'époque du roi Henri II, au dessus de la porte. L'entrée principale est ornée de cariatides et présente un pavillon à tourelles pointues. Le Château de la Conninais est inscrit aux depuis le 28/09/1926. Le Château de Conninais est devenu un gite d'hôtes. Le Manoir de la Conninais est inscrit aux depuis le 28/09/1926. Il existe aussi sur la commune à découvrir Le Manoir de la Grand'Cour, près de l'église, résidence seigneuriale de la fin du Moyen Age circa 1300, de type logis-porche. Il a été racheté par la commune de Taden, en 1991. Le Château de la Conninais est classé aux depuis 1993. Adresse Château de la Conninais - Route de Dinard - 22100 Taden Coordonnées par GPS 48° 27' 57" Nord, 2° 02' 43" Ouest - LE CHATEAU DE CORLAY A CORLAY - 22320 CC BY-SA Le Château de Corlay est un château bâti à Corlay, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Corlay date de 1195, pour y abriter les Seigneurs de Corlay, jusqu'au XIVe siècle. Durant la Guerre de cent Ans, le château sera ruiné. Le Château de Corlay sera restauré de 1475 à 1493, par le Vicomte Jean de Rohan. De 1591 à 1598, suite à de nombreux affrontements entre les troupes royalistes et celles du Duc de Mercoeur, le château ne cesse de changer de mains. Puis au XVIIème siècle, le Château de Corlay est à nouveau abandonné et finit par se dégrader. La ville de Corlay sera occupée par les Chouans en 1795. Délabré, en 1806, le Château de Corlay servira de carrière de pierres. Enfin, en 1978, le Château de Corlay a été restauré par les Monuments Historiques. Coordonnées par GPS 48° 19' 06,45" Nord, 3° 03' 38,25" Ouest - LE MANOIR DU COSQUER A POMMERIT-JAUDY - 22450 Gite d'Hôtes Le Manoir du Cosquer est un manoir bât à Pommerit-Jaudy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir du Cosquer date du XVIIIe siècle. Le Gîte d'Hôtes du Manoir du Cosquer possède un jardin privé, un barbecue et met, gratuitement, son parking, à votre disposition. Coordonnées par GPS 48° 43' 58" Nord, 3° 14' 27" Ouest - LE CHATEAU DE COSTAERES A TREGASTEL - 22730 Privé CC BY-SA Le Château de Costaères est un manoir bâti sur l'Île de Costaérès, à Trégastel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Cet imposant manoir est de style Néo-Médiéval. La construction du Château de Castaéres date de la fin du XIXe siècle. C'est un gros manoir, caractéristique des grandes maisons de villégiature de la fin du XIXe siècle, qu ise situe sur la côte de granit rose. Le Château de Costaères, à volumétrie complexe, issue de plusieurs agrandissements, est réalisé en granit rose issu des carrières de La Clarté, quartier de Perros-Guirec. Le toit est en ardoise. Son aménagement intérieur a été conçu avec le bois de récupération d'un trois-mâts échoué en hiver 1896, le Maurice. Celui-ci a été édifié sur un îlot acheté par Bruno Abakanowicz appelé aussi Bruno Abdank, qui a construit un peu plus tard vers 1896 l'Hôtel Bellevue à Ploumanac'h, ingénieur et mathématicien d'origine polonaise à la fin de l’été 1892 au douanier René Le Brozec, un Perrosien qui y cultivait des pommes de terre et faisait sécher du lichen et du poisson. La transaction de l’époque fut de 0,25 franc le m2. Il a été achevé vers 1896 par l'ingénieur Lanmoniez et l'entrepreneur lannionnais, Pierre Le Tensorer. Après 1900, date du décès du propriétaire, sa fille, Sofia Abakanowicz, devenue Mme Poray, fit agrandir la villa, d'une aile du château, à l’Ouest, en retour sur la façade postérieure. Durant la Seconde Guerre mondiale, la villa est réquisitionnée par l'armée allemande, et subit quelques dommages intérieurs. A la suite de travaux de toiture, le 6/09/1990, un incendie détruisit en partie l'intérieur de l'édifice. L'image du Château de Costaérès sur son îlot est souvent utilisée pour la décoration des cartes postales et des guides touristiques de la Côte de granit rose, des Côtes-d'Armor et de la Bretagne. Le propriétaire actuel du Château de Costaérès est Mr Dieter Hallervorden, un comédien allemand, qui a racheté l'ile. Le Château de Costaérès est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 50' 07" Nord, 3° 29' 33" Ouest * LE CHATEAU DE LA COSTE A SAINT-JULIEN - 22940 Le Château de la Coste est un château bâti à Saint Julien, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 27' 12" Nord, 2° 48' 55" Ouest - LE MANOIR DE LA COUDRAIE A PLOUBALAY - BEAUSSAUS SUR MER 22650 Privé CC BY-SA Le Manoir de la Coudraie à est un manoir bâti au Hameau de Ploubalay, à Beaussais-sur-Mer, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de la Coudraie fut reconstruit vers 1729, puis fut, en partie, démoli en 1793, sous le régime de la Terreur. Le Manoir de La Coudraie est inscrit aux Monuments Historiques depuis 1964. C'est un manoir parfaitement entretenu. Le Manoir de la Coudraie est privé, fermé au Public. Adresse Château de la Coudraie 5794 Cht de la Coudraie Ploubalay 22650 Beaussais-sur-Mer Coordonnées par GPS 48° 34" 51" Nord 2° 08' 20" Ouest -* LE CHATEAU DE COUELLAN A GUITTE - 22350 Privé de Sylenius CC BY-SA Le Château de Couëllan est un château bâti à Guitté, à proximité de la commune de Caulnes, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Un premier manoir datant du XVe siècle fut détruit en 1591. La reconstruction du Château de Couëllan date du début du XVIIe et XVIIIe siècle. Le château fut remanié et agrandi au XVIIIe siècle. Le Château de Couëllan se situe à proximité de Caulnes. Le Château de Couëllan est inscrit aux depuis le 24/02/1976. C'est un château privé, fermé au Public. Il existe aussi 3 châteaux dans le village de Guitté à découvrir le Château de Beaumont, le Château de Couëllan et le Château de la Perchais. Coordonnées par GPS 48° 16' 56" Nord, 2° 08' 47" Ouest * LE CHATEAU DE LA COUR A ANDEL - 22400 Le Manoir de La Cour est un manoir bâti à Andel, dans le département des Côtes d'Armor, en région bretagne, en Fance. Le Manoir de la Cour est éponyme de la famille Le Saulnier de la Cour. Il existe un autre manoir sur la commune à découvrir le Manoir de Lourmel éponyme à la Famille Le Normand de Lourmel. Coordonnées par GPS 48° 29' 27" Nord, 2° 33' 59" Ouest - LE CHATEAU DE CRAFFAULT A PLEDRAN 22960 Privé CC BY-SA Le Château de Craffault est un château bâti à Pédran, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Craffault date du XVe au XIXe siècle. L'architecte était Martenot Jean-Baptiste. Il est de syle Renaissance. Le château regroupe divers éléments construits du XVème siècle au XIXème siècle. Le Château de Craffault est constitué d'un corps de logis, dont la façade principale, aspectée à l'Est, date du XVIe siècle pour sa partie droite, et du XVIIe siècle pour sa partie gauche. Le pavillon du XVe siècle abrite l'escalier principal, et enfin d'une galerie, d'un pavillon et d'une aile au Nord de 1902, conçus par l'architecte rennais J-B. Martenot dans un souci d'harmoniser les nouvelles constructions avec la façade principale restaurations importantes de 1899 à 1902 avec des éléments de remploi du château de Cotardais à Médréac. Le Château de Craffault a été inscrit aux partiellement depuis le 9/ pour son logis, ses douves et les soubassements du châtelet d'entrée. Restauré, le Château de Craffault est aujourd'hui privé, fermé au Public. Il existe plusieurs manoirs sur la commune de Pledran à découvrir le Manoir de Belleville XVIe au XVIIIe siècle privé, le Manoir à tourelle, le Manoir du Pesle ChâtelXVe au XVIIe siècle. Il est entouré de murets, lucarnes à frontons décorés de coquilles, il est visible de la route Plédran-Piruit Privé, le Manoir de La Ville-Guinvray du XVIIe siècle, avec de belles lucarnes à frontons, et une élégante cheminée. Il est visible de la route Le Manoir les Prés Bernard à Guinvray privé, le Manoir de La Fontaine Menet XVIIe siècle avec ses lucarnes à frontons et une belle corniche en pierre de taille. Le Château de Craffault est visible du chemin communal, à droite, sur la route le Rocher - Quertaux Privé. Le Château de Craffault a été inscrit aux en 1990. Adresse Château de Craffault 5 rue Château de Craffault 22960 Plédran. Coordonnées par GPS 48° 26' 49" Nord, 2° 47' 05" Ouest * LE MANOIR DE CREC'H-UGIEN A LANNION - 22300 Privé Le Château de Crec'h-Ugien est un château bâti à Lannion, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Crec'h-Ugien est privé, fermé au Public. Il y a aussi à découvrir sur la commune de Lannion Le Château du Cruguil, XVe siècle, se visite l'été. Cette ancienne résidence de la famille de Lannion fut transformée en ferme dès le XVIIe siècle. Au XIXe siècle le château du Cruguil passa par mariage de la dernière des Lannion à la Famille de Mac-Mahon, qui le transmis à la fin du XIXe siècle, au Comte de Lur-Saluces dont la fille épousa le Baron Édouard Hainguerlot, ancien maire de Brélevenez. Il appartient depuis à cette famille ; le Château de Kerivon D65 22300 Lannion Privé ; le Manoir de Kervégan, XVe siècle, Privé ; le Manoir de Langonaval, XVe siècle, visitable l'été ; le Manoir de Kerprigent, les extérieurs sont visitables sur RV. La maison Orain, labellisée Logo monument historique Patrimoine XXe s. 2000, due à l'architecte Roger Le Flanchec Coordonnées par GPS 48° 44' 00" Nord, 3° 27' 15" Ouest * LE CHATEAU DE CRENAN A LE-FOEIL - 22800 Visites/Journées du Patrimoine Le Château de Crénan est un château bâti à Le Foeil, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Crénan date du XVe siècle. Il est de style Gothique. ce château a été bâti sur une ancienne motte féodale. Au milieu du XIII Siëcle, le Château de Crénan appartenait au chevalier Eudes, compagnon de croisade du roi de France Louis IX, puis il passa aux mains des Dolo. La famille Le Nepvou en devint propriétaire, à la fin du XIVe siècle. Elle fit édifier le bâtiment d'angle à tours et tourelles en surplomb, à la fin du XVe siècle. Les pignons des lucarnes comportent un décor sculpté crochets et arcs en accolade. L'aile droite correspond aux anciens communs, remaniés par la suite. L'aile gauche fut édifiée, vers 1600, par les Perrien, une famille de hauts fonctionnaires bretons. La frise de triglyphes et de spires surmonte la porte d'entrée, flanquée de pilastres. Sur le bandeau supérieur, le blason des anciens seigneurs est représenté, encadré par des vases. Le château de Crénan a été détruit, partiellement , par un incendie, en 1927. Le Château de Crenan au Foeil est ouvert exceptionnellement au Public aux Journées du Patrimoine 3ème WE de septembre. Le Château de Crénan est inscrit aux Adresse Le Château de Crénan- Hameau de Crenan 22800 Le Foeil. Coordonnées par GPS 48° 25' 46" Nord, 2° 54' 50" Ouest * LE CHATEAU DE LA CROCHAIS A BEAUSSAIS-SUR-MER - 22650 Privé Le Château de La Crochais est un château bâti à Beaussais-sur- Mer, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de la Crochais se situe le long du Frémur. Situé au voisinage d'un souterrain du second âge du Fer, le Château de la Crochais est le témoignage d'une occupation pluriséculaire du site qui comprend un logis manorial du XVème siècle et un logis du XVIIIème siècle, avec une cour close et une chapelle ", selon Henri Frotier de La Messelière, ayant appartenu, selon ce dernier, aux familles Ladvocat XVe - XVIIIe siècle. et Briot XIXe-XXe siècle. Le site du château de la Crochais permet d'appréhender, outre la permanence de l'occupation du site, l'évolution de l'habitat seigneurial de la fin du Moyen Age à la fin de l'Ancien Régime. Le Château de La Crochais est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 33' 45" Nord, 2° 04' 54" Ouest * LE MANOIR DE LA COUDRAYE A PLOUBALAY 22650 de Thor19 Le Manoir de la Coudraye est un manoir bâti à Ploubalay, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Coudraye date du XVIIIe siècle. Le Manoir fut reconstruit vers 1729, en partie démoli, en 1793, sous le régime de la Terreur. Le manoir de la Coudraye est une propriété privée. Il est inscrit partielement aux depuis le 24/07/1964 pour ses façades et ses toitures. Adresse Manoir de la Coudraye 5794 Cht de la Coudraie Ploubalay 22650 Beaussais-sur-Mer Coordonnées par GPS ................. - LE CHATEAU DU CRUGUIL A LANNION - 22300 Se Visite/Eté Le Château du Cruguil est un château bâti à Lannion, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Cruguil date du XVe siècle. Cette ancienne résidence de la Famille de Lannion fut transformée en ferme dès le XVIIe siècle. Au XIXe siècle le château passa par le mariage de la dernière des Lannion à la Famille de Mac-Mahon, qui l'a transmis à la fin du XIXe siècle au Comte de Lur-Saluces dont la fille épousa le Baron Hainguerlot, ancien Maire de Brélevenez. Le château est resté depuis dans cette famille. Le Château du Cruguil se visite chaque été. Autour du manoir, le parc de 5 ha situé à la sortie de Lannion en direction de Perros-Guirec comprend un jardin à la Française composé d'une charmille et de parterres plantées chaque année de 3 000 fleurs et un jardin romantique avec l'étang, le lavoir et la fontaine. La chapelle est ouverte à la visite. Ouvert en Juillet et Août de 13H à 19H - Tous les jours SAUF le Samedi, Dimanche et Jours fériés - Entrée 3eme - Gratuit -12 ans Coordonnées par GPS 48° 44' 00" Nord, 3° 27' 15" Ouest - LE CHATEAU-MUSEE DE LA DUCHESSE ANNE OU CHATEAU DE DINAN A DINAN - 22100 Musée Le Château de Dinan appelé aussi le Château de la Duchesse Anne est un donjon est un Musée bâti à Dinan, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Jean IV le Conquérant, Duc de Bretagne, lance la construction du donjon en 1384. Haute tour de forme ovale, une douve la sépare de l'extérieur des remparts mais aussi de la ville intérieure. Les mâchicoulis surplombent 30 mètres de murs de pierres de taille mais certains éléments ont été faits en bois. En 1693, l'Ingénieur militaire Siméon Garangeau, élève de Vauban dresse un rapport après l'inspection des fortifications de Dinan. Il suggère des travaux pour transformer le donjon en prison et pendant tout le XVIIIe siècle, le Château de Dinan aura une vocation carcérale pour les prisonniers de guerre. Il accueillera ensuite des détenus de droit commun. Ce n'est qu'en 1906 que la commune de Dinan rachètera le château pour y faire des travaux de restauration et y abriter son Musée ouvert au Public. Le donjon abrite, depuis 1908, les collections permanentes du Musée municipal consacré à l'histoire de Dinan, de la Préhistoire au début du XXe siècle, et à l'Artisanat local mobilier, costumes, belle collection de coiffes, atelier du tisserand. Des expositions temporaires y sont organisées chaque été. Le Château-Musée de la Duchesse Anne ou Château de Dinan est ouvert au Public et se visite. Adresse et Tel Château-musée de la Duchesse Anne - 22100 Dinan - Tél. 02 96 39 45 20 Coordonnées par GPS 48° 27' 01,08" Nord, 2° 02' 41,28" Ouest * LE MANOIR DU DISQUAY A BOURBRIAC 22390 Le Manoir du Disquay est un manoir bâti à Bourbriac, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il y a 6 manoirs à découvrir sur la commune le Manoir du Helloch, le Manoir du Lézard XVIe-XVIIe siècle, le Manoir du Disquay et le Manoir de Kerias XVIe-XVIIe siècle, le Manoir de Langoat XVIIe siècle, le Manoir du Lojou XVIIe-XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 28' 26" Nord, 3° 11' 14" Ouest * LE CHATEAU DE L'EPINAY A PLUMAUGAT - 22250 Privé Le Château de l’Epinay est un château bâti à Plumaugat, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de l'Epinay est privé. Il existe 2 châteaux et 1 manoir à Plumaugat à découvrir le Manoir de la Rivière, 1678, un ancien presbytère devenu aujourd'hui un gîte qui accueille des groupes de personnes, le Château de Lozier inscrit en 1992 aux et le Château de l'Epinay à Plumaugat Privé Coordonnées par GPS 48° 15' 20" Nord, 2° 14' 16" Ouest * LE CHATEAU DES ESSARTS A PLOUGENAST-LANGAST - 22150 Le Château des Essarts est un château bâti à Plouguenast-Langast, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château des Essarts date du XVe siècle. Il existe 3 châteaux sur la commune et 1 manoir le Château des Essarts, le Château du Rocher ou du Rochay et le Château du Pontgamp eet le Manoir de la Touche-Brandineuf, inscrit aux en 1926. Coordonnées par GPS 48° 16' 51" Nord, 2° 39' 45" Ouest * LE MANOIR DE LA FERRONNAYS A CALORGUEN - 22100 Privé de Dolly11 CC BY-SA Le Manoir de la Ferronnays est un manoir bâti à Calorguen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La date de construction du Manoir de la Ferronnays date du XVIe siècle. Une inscription indique que le Manoir de la Ferronnays a été commandité, en 1569, par Gilles Ferron. L'édifice présente un plan rectangulaire percé d'une tour circulaire à une extrémité, et comportant une tourelle d'angle sur l'autre. Seuls, les extérieurs sont visitables toute l'année. Le Manoir de la Ferronnays est classé aux depuis le 27/02/1926. Le Manoir est privé, fermé au Public. Adresse Manoir de la Ferronnays - Saint-rené - 22100 Calorguen Coordonnées par GPS 48° 23' 52,83" Nord, 2° 00' 51,2" Ouest * LE MANOIR DE LA FOLINAYE A HENANBIHEN - 25550 Privé Le Manoir de la Folinaye est un palais bâti à Henanbihen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un manoir de style Renaissance. La construction du Manoir de la Folinaye date du XVIe siècle. Il existe 3 monuments à découvrir sur la Commune de Henanbihen le Manoir de la Folinaye Privé ; le Château de la Villehelleuc, devenu la résidence de la Famille de Normant de La Villehelleuc ; le Château de la Guérande, berceau de la Famille de François-René de Chateaubriand et la Ville au Maitre, qui fut l'ancienne demeure des Templiers. Coordonnées par GPS 48° 33' 06" Nord 2° 23' 24" Ouest * LE MANOIR DE LA FONTAINE-MENET A PLEDRAN - 22960 Privé Le Manoir de La Fontaine-Menet est un manoir bâti à Plédra, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du manoir date du XVIIe siècle. Il possède des lucarnes à frontons et ue belle corniche en pierre de taille. Le Manoir de La Fontaine-Menet est visible du chemin communal, à droite, sur la route le Rocher-Quertaux. C'est un manoir privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 26' 48" Nord, 2° 44' 41" Ouest * LE CHATEAU DE LA FONTAINE-SAINT-PERE A QUESSOY - 22120 Privé Le Château de la Fontaine-Saint-Père est un château bâti à Quessoy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Fontaine-Saint-Père date de 1773. Le Château de la Fontaine-Saint-Père est inscrit aux depuis 2002. C'est un château privé, fermé au Public. Adresse Château de la Fontaine Saint-Père - Rue Jean Pinault à Quessoy 22120 Coordonnées par GPS 48° 25' 13" Nord, 2° 39' 15" Ouest * LE CHATEAU DES FORGES DES SALLES A PERRET - 22570 Se visite Le Château des Forges des Salles est un château bâti à Perret, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château des Forges des Salles a été construit au XVIIIe siècle. Le château des Salles de Perret est un des plus anciens châteaux des Rohan/ Niché en bordure de la forêt de Quénécan, sur la rive orientale du lac des Salles, les ruines d’un des plus anciens châteaux des Rohan, semblent perdues et oubliées des hommes, semblables au château de la Belle au bois dormant, qu'un prince n'aurait jamais trouvé. De cet endroit, toute vie semble avoir disparue. Les châteaux des Rohan sont nombreux, Josselin, Rohan, La Noyale le château s’appelle aussi les Salles » » dès 1150, La Chèze, Perret, Corlay, Pontivy construit en 1485, il abritera une église réformée dès 1560, Blain, Guéméné… Le regretté Charles Floquet a consacré un livre à ces nombreuses bâtisses 61 liées aux Rohan. Ces derniers sont issus d’une branche cadette de l’ancienne maison des comtes de Rennes, les comtes de Porhoët. Ils possédaient de vastes domaines dans le Centre-Bretagne, autour de Josselin, mais jusqu’à la châtellenie de Gouarec où au XIe siècle ils firent bâtir, au bord de l’étang des Salle, un premier château sur l’emplacement d’une ancienne villa gallo-romaine. Les extérieurs du Château des Forges des Salles, sont visitables de Pâques à la Toussaint. Partagées avec Sainte-Brigitte dans le Morbihan, elles sont inscrites aux Coordonnées par GPS 48° 10' 38" Nord, 3° 09' 30" Ouest - LE MANOIR DES FOSSES A PLELAN-LE-PETIT - 22980 Privé CC BY-SA Le Manoir des Fosses est une ancienne maison forte bâtie, au lieu-dit Les Fossés, à Plélan-le-Petit, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il est de style Moyen-âge tardif. La construction du Manoir des Fossés date du 4ème quart du XVIe siècle. Le Manoir des Fossés, est de type "logis-porte" avec sa charpente gothique, unique en Bretagne dans un bâtiment civil. C'est un des plus anciens manoirs de Bretagne. Le manoir des fossé est privé. Il est inscrit aux depuis le 13/02/1992. Sur le même site, se trouve une tour datant du XVIe siècle, attenante à un édifice, modifié au XIXe siècle. Le Manoir des Fossés est inscrit aux depuis 1992. Il est privé, fermé au Public. Il existe 3 Manoirs à découvrir sur la Commune Plélan-le-Petit Le Manoir des Fossés Privé, Le Manoir de la Bordelais 1770 et le Manoir de Légoman du XVIIIe siècle. Adresse Manoir des Fossés - 9 Les Fosses 22980 Plélan-le-Petit Coordonnées par GPS 48° 26' 22,57" Nord, 2° 13' 37,07" Ouest - LE MANOIR DE FOURNEBELL0 A CHATELAUDREN-PLOUAGAT - 22170 Privé Le Manoir de Fournebello est un élégant petit manoir bâti à Plouagat, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Fournebello date de la 2ème moitié du XVIe siècle. Sa couverture est en ardoise. Son toit est à longs pans et le pignon découvert. Il possède un étage carré, un escalier hors-oeuvre, et un escalier en vis sans jour. Le Manoir de Fournebello est privé, fermé au Public. Le Manoir de Fournebello est inscrit aux depuis 1943. Il existe aussi à découvrir sur la commune Le Colombier de Maros, dernier vestige du Château de Maros, inscrit en 1988, aux Monuments Historiques Le Château de la Ville-Chevalier. Coordonnées par GPS 48° 32' 15" Nord, 2° 59' 51" Ouest - LE CHATEAU DE LA GARAYE A TADEN - 22100 Gîte d'Hôtes CC BY-SA Le Château de la Garaye est un château bâti au lieu-dit Potain, à Taden, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Garaye date du 1550 au XVIIe siècle. Au XVème siècle, la seigneurie de la Garaye appartenait à la famille Ferré. En 1617, Raoul Marot des Alleux, Sénéchal de Dinan, en fit l'acquisition. Il fut anobli par Henri IV pour avoir été en 1598, lors des guerres de la Ligue, un des artisans de la reddition de la ville. Les ruines du Château de la Garaye ont été classées aux en 1920. On peut admirer sur sa façade, de très beaux éléments architecturaux du XVIème siècle. Vous y trouverez un gite d'hôtes. Le Château de la Garaye a été classé aux en 1920. Il existe aussi sur la commune à découvrir Le Manoir de la Grand'Cour, fin du Moyen Age, classé MH depuis 1993, le Château de La Garaye, Privé en partie en ruine, certaines dépendances abritent un gite d'hôtes, classé , le Château de la Conninais, inscrit aux Adresse La Garaye, 22100 Taden - Gite d'Hôtes - Tel 02 96 39 24 55 Site web Domaine de la Garaye Coordonnées par GPS 48° 28' 34" Nord, 2° 01' 39" Ouest * LE MANOIR DE GAROUET A YVIGNAC-LA-TOUR - 22350 Privé de Dolly11 Le Manoir de Garouët est un manoir bâti à Yvignac-la-Tour, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Garouët est inscrit aux depuis le 20/05/1930. Le manoir est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 20' 57" Nord, 2° 10' 30" Ouest * LE MANOIR DE LA GAUDESIERE A PLUMAUGAT - 22250 Le Manoir de la Gaudésière est un manoir bâti à Plumaugat, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Gaudésière date du XVIe siècle. Au creux d'un vallon, construit par la famille de La Moussaye, originaire de Jugon-les-Lacs, le Manoir de La Gaudésière fut le berceau de Jacques de La Lande, né le 20 mai 1768. Volontaire au Bataillon des Côtes-du-Nord, il participa à la bataille de Jemappes, le 6/11/1792, et termina sa carrière Colonel, Chevalier de la Légion d'honneur et de Saint-Louis, avant de revenir à La Gaudésière, où il décèda, en 1828. Il y a un aute château sur la comune à découvrir Le Château de Lozier,IMH en 1992. Coordonnées par GPS 48° 15' 20" Nord, 2° 14' 16" Ouest * LE MANOIR DE GOASFROMENT A PLOUEZEC - 22470 Privé Le Manoir de Goasfroment est un manoir à Plouézec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Goasfroment est privé, fermé au Public. La Commune de Plouezec comprend aussi de nombreux Manoirs Goazfroment, Keriblanc, La Lande du Bois, des lavoirs route de Boulgueff, au Clandry, ainsi que des traces d'une voie romaine au lieu-dit Traou An Argoat. Coordonnées par GPS 48° 44' 56" Nord, 2° 59' 02" Ouest * LE CHATEAU DE GEOFFROY-BALUCON A PLOUEZEC - 22470 Sté Privée Le Château de Geoffroy-Baluçon est un château bâti à Plouézec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il est privé, fermé au Public. Il date du XVIe et XVIIe siècle. Le Manoir de Goasfroment, situé aux limites des Communes de Plouézec et Lanloup, non loin de la grève de Bréhec, se signale par un logis édifié au tournant des 16e et 17e siècles, accosté de deux petits pavillons symétriques dont le premier étage est construit en pans de bois, formule d'autant plus rare dans une demeure rurale qu'elle n'est pas seulement un dispositif structurel, mais un élément de décor à part entière, à l'instar des façades de certaines maisons urbaines de Saint-Brieux, Paimpol ou Lanvollon bâties à la même époque. Le second élément remarquable du logis est un grand escalier intérieur en pierre, ajouté dans les premières années du 18e siècle par les propriétaires, Olivier du Fresne et Jeanne de Leshildry. Les bâtiments annexes ont été remaniés ou détruits colombier et l'emprise de la propriété initiale se trouve considérablement réduite. Le Château de Geoffroy-Baluçon est la propriété d'une société privée. Le Château de Geoffroy-Baluçon a été inscrit aux le 26/08/2016. La Commune de Plouezec comprend aussi de nombreux Manoirs Goazfroment, Keriblanc, La Lande du Bois, des lavoirs route de Boulgueff, au Clandry, ainsi que des traces d'une voie romaine au lieu-dit Traou An Argoat. Adresse Château de Geoffroy-Baluçon 6 Route de Goas Froment 22470 Plouézec Coordonnées par GPS 48° 44' 56" Nord, 2° 59' 02" Ouest * LE CHATEAU GOËLO A PLELO - 22170 Privé Le Château Goëlo est un château bâti à Plélo, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château Goëlo date du XVIIe siècle. Le Château Goëlo fut construit sur l'emplacement d'une ancienne forteresse féodale et se situe près d'une voie allant du Sépulcre en Plérin à Chatelaudren. Le Château de Goëlo doit probablement son nom aux premiers seigneurs du Goëlo qui y séjournèrent peu de temps puis, l'abandonnèrent pour Chatelaudren. Le Château Goëlo appartenait en 1300 à Guillaume de Mordelle. Il resta dans la Famille de Mordelle jusqu'au XVIIIe siècle, puis il ira aux mains des Familles d'Uzille, La Lande de Calan, et Huyn de Kermeville. Le Château Goëlo actuel fut reconstruit au XVIIe siècle. Il ne possède plus depuis qu'une aile des communs, l'autre ayant été rasée, vers 1940. Le Château Goëlo est inscrit aux depuis le 18/10/1990. Il est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 33' 26" Nord, 2° 56' 44" Ouest - LE CHATEAU DE GOUDEMAIL A LANRODEC - 22170 Privé Le Château de Goudemail est un manoir bâti à Lanrodec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date des XVIIe au XVIIIe siècles. Cet ancien manoir appartenait, en 1600, à Guillaume Colliou. Par mariage, le Château de Goudemail a appartenu à Jean Juppehault puis à Jacques Delpeuch en 1627. En 1744, les Delpeuch ont émigré à St-Brieuc et revendirent le Manoir, à Hamon de Porville. Le Château de Goudemaille devint la propriété de Jean Louis de Villeféron en 1840, puis de Louis de Lorgeril en 1850. Ce dernier fit reconstruire le château, en 1880. L'édifice actuel bâti en pierres et en briques, comporte une tour de chaque côté. L'ancien château du XVIIe siècle fut en partie démoli, en 1907. Auprès du Château de Goudemaille subsistent un logis et les communs de l’ancien château, et un grand parc à la française de plus de 5 Ha. Au décès, en 2010, du dernier propriétaire, Louis de Lorgeril, le Château de Goudemail fut vendu et le mobilier fit l'objet d'une vente aux enchères. Le Château de Goudemail a été revendu en 2012 et son accès est maintenant privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 31' 01" Nord 3° 01' 47" Ouest * LE MANOIR DE LA GRAND'COUR A TADEN - 22100 de Raydou CC BY-SA Le Manoir de la Grand'Cour est un manoir bâti à Taden, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de la Grand'Cour, se situe près de l'église. C'était une résidence seigneuriale de la fin du Moyen-Age Circa 1300. Il est de type logis-porche. Le Manoir de la Grand'Cour a été racheté par la commune en 1991. Le Manoir de la Grand'Cour a été classé aux en 1993. Il existe plusieurs Manoirs sur la commune de Taden Le Manoir de la Grand'Cour, près de l'église, résidence seigneuriale de la fin du Moyen Age circa 1300, de type logis-porche. Il a été racheté par la commune en 1991. Le manoir est classé aux depuis 1993 ; le Château de La Garaye, privé, est en partie en ruine, certaines dépendances abritent un Gite d'Hôtes, classé le Château de la Conninais, inscrit aux Coordonnées par GPS 48° 28' 31,31" Nord, 2° 01' 1,33" Ouest - LE MANOIR DE LA GRAND'ISLE A SAINT-BIHY - 22800 CC BY-SA Le Manoir de la Grand'Isle est un manoir bâti à Saint-Bihy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de la Grand'Isle est inscrit aux depuis 1967. Coordonnées par GPS 48° 22' 30" Nord, 2° 58' 37" Ouest * LE MANOIR DU GRAND-KERMIN A PABU - 22200 CC BY-SA Le Manoir du Grand-Kermin est un manoir bâti à Pabu, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Grand Kermin est un ancien manoir remanié au XVIIIe, dont il subsiste des parties datant des XVe tourelle, XVIe et XVIIe siècles. Il possédait jadis un colombier et une chapelle privée dédiée à Saint Jacques. Propriété noble depuis toujours, le domaine a dû cesser son faire-valoir-direct exploitation par le noble lui-même très tôt. Sous la Révolution, il est déjà affermé, mais les propriétaires y conservèrent un pied-à-terre, pour la chasse, jusqu'à la dernière guerre. Coordonnées par GPS 48° 35' 18" Nord, 3° 08' 04" Ouest * LE CHATEAU LE GRAND-PERRIEN A LANRODEC - 22179 Le Château le Grand-Perrien est un château bâti à Lanrodec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château Le Grand Perrien date du XVe au XVIe siècle. La construction du Château de Perrien date du XVe au XVIe siècles. C'était un château fortifié, entouré de douves. Ses tours abritaient des casemates d'artillerie. Aujourd'hui, il ne subsiste plus que ses douves et quelques pierres d'origine. Le Château le Grand-Perrien a été inscrit aux le 10/09/1928. Sa cheminée dite cariatides » fut transportée à la Villa à Saint-Quay-Portrieux. Coordonnées par GPS 48° 31' 01" Nord, 3° 01' 47" Ouest * LE MANOIR DU GRAND-PONTEBAR A PAIMPOL 22500 Privé de Barbetorte Le Manoir du Grand-Pontébar est un manoir bâti à Paimpol,, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir du Grand-Pontébara a été construit en 1766. La cour est délimitée par la façade Sud du bâtiment principal et par diverses constructions plus récentes. Elle est ornée d'un puits caractéristique. Le long du chemin vicinal, se trouvent les ruines d'une porte d'entrée et de plusieurs bâtiments anciens ainsi qu'un calvaire mutilé. Le Manoir du Grand-Pontébar est inscrit partiellement aux depuis le 5/10/1970 pour façades, toitures, le Puit, l'élévation. Le manoir est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 46' 43" Nord, 3° 02' 43" Ouest - LE CHATEAU DE LA GRAND'VILLE A BRINGOLO - 22170 Privé CC BY-SA Le Château de la Grand’Ville est un château bâti à Bringolo, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Grand'Ville date de 1650, suite au démantèlement du Château de Lérimer, par le Chevalier du Breil-de-Rays. Le Château de la Grand’ville sera ensuite transmis suite à un mariage, à la Famille Chrétien de Tréveneuc, puis au Comte de Kergariou, qui épousa Mélanie de Tréveneuc. Le Château de la Grand’ville est constitué d'un grand corps de logis rectangulaire et de 2 petits corps latéraux symétriques Est/Ouest, qui forment une légère avancée, ainsi que d'un corps latéral de plan carré, articulé à l'angle Sud-Est du corps latéral Est. Le Château de la Grand'Ville est inscrit aux 1987. Le Château de la Grand'Ville est un château privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 35' 04" Nord, 2° 59' 28" Ouest * LE DOMAINE DES GRANGES A HENON - 22150 Privé de Crepi22 CC BY-SA Le Château des Granges appelé Domaine des Granges aussi est un château bâti à Hénon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château des Granges date de la 1ère moitié du XVIIIe siècle et du XIXe siècle. Le château des Granges, reconstruit au début du 18e siècle par une famille de parlementaires, les Le Mintier, est une construction à pavillons d'angle comprenant trois niveaux. Ce fief, relevant de Moncontour, fut le berceau des Le Mintier, en Bretagne, dès le début du XIVe siècle ; une pierre portant leur écusson, datant de 1312, le rappelle dans la façade du château actuel. La cour d'honneur, délimitée par des douves, communique avec la cour des communs, dont l'accès est marqué par deux pavillons d'entrée. La chapelle, attenante au château, a été construite au XIXe siècle. Le jardin s'étend au Nord du château et le parc au nord-est parc de 14 hA dont environ 3 sont en jardin, vergers et tapis verts, et 11 en parc boisé s'organisant autour d'allées monumentales, d'une pièce d'eau et d'un étang. Ce parc que la tradition orale, le Grand Larousse Volume II et la Gazette illustrée des amateurs de jardins 1914 attribuent à Le Nôtre, a été malheureusement très endommagé par la tempête d'octobre 1987. Le Château des Granges est inscrit aux Le village de Hénon avec ses 2233 habitants, possède 4 châteaux à découvrir le Château de Bellevue, le Château des Granges, le Château de Catuélan, le Château Le Colombier. Des visites guidées du parc peuvent être sollicitées. Adresse Château des Granges 22150 Hénon Tél 02 96 73 50 83 Coordonnées par GPS 48° 23' 07" Nord, 2° 40' 57" Ouest * LE CHATEAU DE GRENIEUX A SAINT-BRANDAN - 22800 Le Château de Grénieux est un château bâti à Saint-Brandan, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un château de style Renaissance. Le Château de Grénieux a été reconstruit sur les ruines d’un ancien château datant du XVIe siècle. La construction du Château de Grénieux date du 1882. Il a appartenu à pusieurs propriétaires Familles Le Frotter, Garnier de Kerigant, de Callac, de Bruc. Il existe 9 manoirs et 1 château à découvrir à Saint-Brandan Manoir de Saint-Eutrope, Manoir de Carbrien de 1670, le Manoir du Pont-Ruellan fin XVIIème, le Manoir de Saint-Bedan de la fin XVIIème-début XVIIIème, Manoir de la Villeneuve, XVIIIème s. Famille Le Marchand de Launay, le Manoir de la Porte-ès-Gautron du XVIIIème, le Manoir du Fretay du XVIIIème, le Manoir de la Ville-Fréhour de 1730, le Manoir du Cartier ou du Quartier. Coordonnées par GPS 48° 23' 25" Nord, 2° 52' 08" Ouest * LE CHATEAU DE GRIMONT A LANVALLAY - 22100 Le Château de Grimont est un château bâti à Lanvallay, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Grimont est de style néo-gothique. Il a été construit à la fin XIXe siècle. Coordonnées par GPS 48° 27' 21" Nord, 2° 01' 37" Ouest * LE CHATEAU DE GROS CHENE A LE GOURAY - 22330 Le Château de Gros Chêne est un château bâti à Le Gouray, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Gros Chêne date du début du XVIe au XIXe siècle. Il a été édifié pour la Famille Tardivel. Le château se voit de la rue. Le Château est privé, fermé au public. Adresse Château de Gros Chêne 22330 Le Gouray Coordonnées par GPS 48° 19' 41" Nord, 2° 29' 15" Ouest - LE MANOIR DE LA GUERAIS A BEAUSSAIS-SUR- MER 22650 Le Manoir de la Guérais est un manoir bâti à Ploubalay, fusionné avec Beaussais-sur-Mer, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVIIe siècle. Le Manoir de la Guérais est une juveignerie du Plessix-Balisson, qui a appartenu successivement aux familles Le Bégassoux, Breil de Rays, Chrestien de Tréveneuc et Besnard, selon le Vicomte Henri Frotier de La Messelière. Un aveu de 1706 indique que les seigneurs de La Guérais exploitaient à l'époque, les salines en baie du Frémur. Le Manoir de la Guérais a été reconstruit en 1729. Il a été en partie démoli, en 1793, sous le régime de la Terreur. La Guérais est un manoir qui ne comporte qu'un seul pavillon d'extrémité, l'autre n'ayant vraisemblablement jamais été construit. Les façades sont ornées de deux oculis placés de façon symétrique par rapport aux portes d'entrée, qui éclairent les couloirs et l'escalier en pierre. Adresse Manoir de la Guérais 5794 Cht de la Coudraie Ploubalay 22650 Beaussais-sur-Mer. Coordonnées par GPS 48° 34' 51' Nord, 2° 08' 20" Ouest * LE MANOIR DU GUERMAIN A LE FOEÏL - 22800 Le Manoir du Guermain est un manoir bati à Le Foeïl, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 25' 46" Nord, 2° 54' 56" Ouest * LE MANOIR DE GUERMEUR A PENVENAN - 22710 Le Manoir de Guermeur fut construit à Penvénan, dans le département des Cotes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date de 1907 à proximité de Cohanno, pour Roger de Langlais. Sur le plan initial, l’architecte Caubert de Cléry avait prévu une seconde aile qui ne fut jamais réalisée, en raison de la guerre de 1914. Le Château du Guermeur est une propriété privée, fermé au Public. Il existe un autre manoir sur la commune à découvrir Le Manoir de Kerbelven, IMH en 1970 partiellement. Coordonnées par GPS 48° 48' 44" Nord, 3° 17' 37" Ouest - LE MANOIR DE GUERNAC'HANAY A PLOUARET - 50170 CC BY-SA Le Manoir de Guernac'hanay apelé aussi le Manoir de Guernachanay est un manoir bâti à Plouaret, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVIe siècle. Des 16 manoirs ou maisons-nobles dénombrés, en 1861 à Plouaret, le manoir de Guernac'hanay, archétype de l'architecture civile du Trégor à la fin du 16e siècle, est le plus imposant. Fondée par les Guernac'hanay, la seigneurie passa aux familles de Coëtmohan, Keranrais, Le Goalès, La Lande, Coskaër, de la Vigne ; le manoir fut vendu au président de Robien et resta dans sa famille juqu'à la Révolution. Le corps de logis comprend six arcades au rez-de-chaussée puis un haut pavillon d'escalier ; dans le prolongement des communs, perpendiculaires au logis, un grand portail monumental donne accès à la cour du manoir. Ce portail, très ornemental, est flanqué de chaque côté d'une grosse guérite de pierre en encorbellement. Le manoir de Guernachanay est privé, fermé au Public. Adresse Manoir de Guernac'hay 5427 Guernanchanay 22420 Plouaret Coordonnées par GPS 48° 35' 22,88" Nord, 3° 28' 38,32" Ouest - LE CHATEAU DU GUILDO A CREHEN - 22130 Vestiges/Se Visite de Thor19 CC BY-SA Le Château du Guildo est un ancien château fort bâti à Créhen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Cet ancien château fort est de style Médiéval. La construction du Château du Guildo date du XIIe au XIVe siècle. Il se présente sous la forme d'un château-cour d'une superficie de 3 200 m2 environ, surplombant de 20 m, l'Arguenon, au fond de l'estuaire, duquel il est installé. Il occupe un éperon rocheux constitué de micaschistes et traversé par un banc de dolérite, bordé au Nord et à l'Ouest par l'Arguenon et à l'Est par un thalweg, assez escarpé. Il ne reste depuis, que des ruines du XIVe siècle et XVe siècle, dont l'histoire a été dominée par Gilles de Bretagne. Le Château du Guildo a été construit sur un site de l'âge du fer. Son accès est libre aux visiteurs. Tombé en ruines, il appartient aujourd'hui au Département. Le Château du Guildo est inscrit aux depuis le Coordonnées par GPS 48° 34' 29" Nord 2° 12' 24" Ouest * LE CHATEAU DU GUILLIER A PLEDELAC - 22270 Privé Le Château du Guillier est un château bâti à Plédéliac, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Guillier date des XVIIe et XVIIIe siècles. La Seigneurie du Guillier appartenait aux du Breuil au XVè siècle. Aux alentours de 1600, la Famille du Breuil se fondra dans la Famille Brunet. Celle-ci possède encore aujourd'hui le château. La cour d'honneur est fermée par les dépendances et 2 pavillons. Le Château du Guillier est constitué d'un corps de logis qui remonte au XVIIe siècle, d'un pavillon en légère saillie du XVIIIe siècle. La façade postérieure donne sur un Jardin à la Française. Il est entouré d'un beau Jardin à la Française. Le Château est inscrit aux depuis le 8/03/1990. Le Château du Guillier est privé, fermé au Public. Adresse Château du Guillier - 1 Château le Guillier 22270 Plédéliac - Privé Coordonnées par GPS 48° 27' 00" Nord, 2° 23' 12" Ouest * LE CHATEAU DE GUINGAMP A GUINGAMP - 22200 Ruines de Binche CC BY-SA Le Château de Guingamp appelé Château de Pierre II est un château bâti à Guingamp, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château est en ruines. Sa construction date du XVe siècle 1438 – 1442. Le Château de Guingamp aurait été bâti pour Pierre II, Duc de Bretagne. Le château faisait également partie de la ceinture défensive de la ville des remparts construits en 1446 par Jean de Beuves pour Pierre II, étaient également présents et dessinaient les contours de la ville au XVe siècle. Ce château oublié de la ville de Guingamp ayant été occupé jusqu'au XXe siècle par une école primaire, des fouilles archéologiques récentes 2005 ont permis de mettre au jour tout un pan de l'histoire de la ville. Les vestiges du Château de Guingamp ont été inscrits aux depuis 1926. Coordonnées par GPS 48° 33' 36" Nord, 3° 09' 01" Ouest * LE CHATEAU DE GUYOMARAIS A SAINT-DENOUAL - 22400 Privé Le Château de La Guyomarais est un château bâti à Saint-Denoual, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un manoir construit au XVIe siècle. Le château, élevé au XVIe siècle, est en granit. Le domaine de La Guyomarais appartient en 1450 Jean de Guerrande, puis à Marguerite de Guerrande en 1536, et Mathurin Le Fruglais en 1569. Au XVIIIe siècle, il devint la propriété de Monsieur de La Motte de La Guyomarais. Pendant la Révolution Française, il est le lieu de refuge du Marquis de La Rouërie, qui y séjourna au mois d'octobre 1792, du 9 au 11 novembre, le 15 décembre, et y revint le 12 janvier 1793. Celui-ci y meurt le 30 janvier 1793. Dans le bois du château a été élevée la tombe du marquis de La Rouërie, où une stèle a été dressée par l'Ambassade des États-Unis. Le Château de la Guyomarais est aujourd'hui une propriété privée, fermée au Public. Son Propriétaire actuel est la Famille Poinçon de La Blanchardière. Coordonnées par GPS 48° 30' 44" Nord, 2° 22' 51" Ouest - LE CHATEAU DU HAC A LE-QUIOU - 22630 Se Visite CC BY-SA Le Château de Hac est un château bâti à Le Quiou, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Hac date du XIVe au XVe-XVIe siècle, presque en totalité en calcaire local. Le Château du Hac était résidence de chasse des Ducs de Bretagne. Il appartenait à Arthur de Richemont, qui fut le compagnon de Jeanne d'Arc. Le Château ou manoir du Hac forme un bel ensemble architectural, composé de deux corps de bâtiments d'époques différentes. L'un, situé à l'ouest, construit pour Jean Hingant, familier du duc de Bretagne, date de 1440-1448. L'autre, à l'Est, est le vestige d'un édifice antérieur dont subsisteraient les fondations. Les façades n'ont pratiquement pas été modifiées depuis la construction. L'intérieur présente les dispositions de type français caractéristiques des réalisations architecturales du milieu ducal et a conservé de très beaux éléments qui témoignent de la qualité de cette architecture, en dépit d'une restauration un peu regrettable dans les années 1930. Le Château du Hac demeure ainsi l'une des plus parfaites productions de la cour ducale, dont l'influence a persisté longtemps dans la région. La visite se complète par un jardin planté d'espèces aromatiques et médicinales et de parterres d'époque Renaissance. Le Château du Hac est classé aux depuis 1993. Ouvert au Public depuis 1984, la visite comprend différentes salles abritant un mobilier d'époque et de style gothique avec une collection de coffre, de lits à baldaquin, de tapisseries, de vitraux, de statuettes et de trophées de vénerie. Adresse Château du Hac 22630 Le Quiou Tél. 02 96 83 43 06 Coordonnées par GPS 48° 20' 27,22" Nord 2° 0' 21,4" Ouest * LE MANOIR DU HELLOCH A BOURBRIAC - 22390 Le Manoir du Helloch est un manoir bâti à Bourbriac, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir du Helloch et de sa chapelle date du XVIe au XVIIe siècle. La tour date du XVIe siècle et le logis central date de 1625. On peut admirer sa chapelle. Il y a 6 manoirs sur la commune Manoir du Helloch, Le Manoir du Lézard XVIe-XVIIe siècle, Manoir du Disquay et Manoir de Kerias XVIe-XVIIe siècle, Manoir de Langoat XVIIe siècle, Manoir du Lojou XVIIe-XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 28' 26" Nord 3° 11' 14" Ouest - LE CHATEAU DE LA HERSONNIERE A GOMENE - 22230 Chambres d'Hôtes Le Château de la Hersonnière est un château bâti à Gomené, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Hersonnière date du XIXe siècle. C'est un manoir qui date du XIXe siècle, au sein d'un parc de Gomené de 7 Ha, à 40 minutes en voiture de Rennes. Un espace de stationnement privé est disponible gratuitement sur place. Vous découvrirez au Château de la Hersonnière ses chambres d’hôtes. Adresse et Tél. Château de la Hersonnière - La Croix du Taloir à Gomené 22230 - Tel 02 96 28 48 67 Coordonnées par GPS 48° 12' 2,78" Nord, 2° 29' 22,12" Ouest * LE MANOIR DE LA HINGANDAIS A CREHEN - 22130 Le Manoir de la Hingandais est un manoir bâti à Créhen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Houssaye date du XVIIe au XXe siècle. Ce manoir doit son nom à la Famille Hingand. Le Manoir de la Hingandais a appartenu plusieurs années par la Famille Lebreton. Au début du XIXe siècle, il appartenait à Auguste Lemaire, Notaire à Saint-Malo, qui le donnera, en héritage avec le reste de sa fortune, à son neveu l'abbé Giblaine. Celui-ci en fit un hôpital, dont l'entretien était assuré par les rentes de son oncle. L'hôpital Giblaine fut agrandi aux XIXe et XXe siècles. Il est resté en activité, jusqu'à son transfert, dans un bâtiment neuf au bourg de Créhen. Coordonnées par GPS 48° 32' 47" Nord 2° 12' 43" Ouest - LE CHATEAU DE LA HOUSSAYE AU QUESSOY - 22120 Visite/ Extérieurs/Eté Le Château de la Houssaye est un château bâti au Quessoy, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Houssaye date du XVIIIe siècle. Vétuste et devenu peu agréable à vivre, il sera remplacé par une nouvelle demeure, de style classique. On y accède par une grande allée qui traverse le parc. Les extérieurs se visitent l'été. Le Château a étéédifié vers 1750. Le colombier du XVIIIe se situe près du château. Le colombier est un bâtiment circulaire couvert de pierres de taille montées en encorbellement. La chapelle et l'ancien manoir réutilisé comme bâtiment agricole témoignent de l'existence d'un château antérieur. A l'intérieur, deux salons possèdent un décor de boiseries. Une salle-à-manger est décorée de lambris à moulures courbes et d'une cheminée en bois. Le Château de la Houssaye se trouve dans un parc recomposé au début du XXe siècle, avec une perspective, un Jardin à la Française, un potager et un ancien verger. Le Château de la Houssaye appartient depuis à une société privée. Il est classé partiellementaux depuis 1982 et inscrit, partiellement, en 2002. Les extérieurs du Château de la Houssy ne se visitent qu'en été. Pigeonnier est classé aux et la chapelle est classée à la Fondation du Patrimoine. Ouvert tous les jours sauf les dimanches, du 1er juillet au 31 août. classé MH et chapelle Classée Fondation du PatrimoineOuvert tous les jours sauf les dimanches, du 1er Juillet au 31 Août. Visite de groupe sur RV uniquement. Adresse et Tel Château de La Houssaye- 22120 Quessoy - Tél 02 96 42 30 04 Coordonnées par GPS 48° 25' 19" Nord 2° 39' 25" Ouest - LE CHATEAU DE HUNAUDAYE A PLEDELIAC - 22270 Se Visite de MFSG CC BY-SA Le Château de la Hunaudaye est un château fort bâti à Plédéliac, dans le département des Cotes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Hunaudaye, date de la première fois au XIIIe siècle. Il fut reconstruit du XVe au XVIe de Dreux, Duc de Bretagne, ne reconnaissant pas les droits d'Henri Ier sur ses terres en Penthièvre se les approprie en prétextant des droits de succession de son épouse Alix, en tant que petite fille de Conan IV. Pour consolider sa position dans cette région, il se serait appuyé sur Geoffroy et Olivier Tournemine, respectivement mari et fils d'Eline, elle-même sœur de Geoffroy Boterel III, comte de 1214, Pierre de Dreux, donne la forêt de Lanmur actuelle forêt de la Hunaudaye à Olivier Tournemine, puis l'autorisa en 1220 à y construire le château fort de la Hunaudaye et lui donna la vicomté de Pléhérel. L'édification de ce château était probablement de surveiller le Poudouvre pays de Dinan dont la frontière avec le Penthièvre pays de Lamballe était constituée par l'Arguenon, cours d'eau situé à deux kilomètres de là. Henri Ier d'Avaugour s'était réfugié au Poudouvre, envisageant de récupérer ses terres. Le Château de la Hunaudaye est édifié dans une cuvette marécageuse qui était occupée depuis le ive siècle par un camp militaire gallo-romain. Il tirerait son nom de la proximité du village actuel de Saint-Jean, lequel est beaucoup plus ancien que lui, et se nommait alors la ville de la Hunaudaye ». Le Château de la Hunaudaye a été classé aux en Février 1922 et Novembre 1930. Le Château de Hunaudaye est ouvert au Public depuis le Dates OUVERT du 1/4 au 31/10 de 14H30 à 18H - Tarif 5,50E/adulte. Fermé du 1 Novembre au 31 Mars. Il existe aussi à découvrir sur la commune le Manoir de Belouze, le Château de Saint-Aubin 1900, le Château de la Hunaudaye XIIIe siècle, Classé aux et le Château du Guillier, XVIIe siècle, inscrit aux Adresse Château de la Hunaudaye - 22270 Plédéliac - Tel Site web Chateau de la Hunaudaye Coordonnées par GPS 48° 28' 22" Nord, 2° 20' 20" Ouest - KASTEL-MOND OU CHATEAU DE LADY MOND A BELLE-ISLE-EN-TERRE - 22810 Mairie-Bibliothèque CC BY-SA Kastell Mond appelé aussi le Château de Lady Mond est un château bâti à Belle-Isle-en-Terre, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. En 1939, le Château de Lady Mond abrite la Mairie et la Bibliothèque. Le Kastell Mond est la réplique construite, en 1923, du château plus ancien de Coat-an-noz à Loc-Envel. Le Château de Lady Mond abrite également le Centre d'initiation à la rivière, depuis 2000. Coordonnées par GPS 48° 32' 44" Nord, 3° 23' 36" Ouest * LE CHATEAU DE KERALIO A PLOUGRESCANT 22820 Privé Le Château de Kéralio est un château bâti à Plougrescant, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La chapelle est un édifice rectangulaire de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe, ayant servi de chapelle sépulcrale aux châtelains de Keralio. Une porte ogivale à pinacles encastrés et fleurons en son centre, se remarque dans l'axe du pignon, surmontée d'un cadre de pierre sur moulure cordon. Saint-Yves, Saint-Gonery et Saint-Tugdual y sont représentés en relief. La Chapelle sépulcrale est inscrite aux depuis le 8/12/1966. La propriété est privée, fermée au Public. Coordonnées par GPS 48° 50' 27" Nord, 3° 13' 38" Ouest - LE CHATEAU DE KERALIO A POUGUIEL - 22220 CC BY-SA Le Château de Keralio est un château bâti à Plouguiel, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il date du XVIe et XVIIe siècle. Le plus ancien élément du Château de Keralio est sa tour avancée. Construite à la fin du XVème siècle, par Roland de Sklizon, elle comporte un toit en poudrière, des mâchicoulis sur corbeaux de pierre, des meurtrières en sifflet et est entourée de douves profondes. La tour militaire date du XVe siècle et ses douves en eau. La Façade est de style renaisance bretonne. Tous ces éléments sont caractéristiques d’une architecture défensive et contrastent avec la conception plus résidentielle du corps du logis. Il est inscrit aux du 22/03/1930. - Les extérieurs du château sont ouverts gratuitement au Public, du 1er Juillet au 30 septembre, de 14h à 18h les Samedis et Dimanches. - Visites groupes sur RV auprès d'Ernesto Ghironi. - Visites guidées du château, du 1er Avril au 31 Octobre - de 11h, 15h et 17h. - Tarifs 5 € / pers. Gratuit aux - 12 ans. Adresse Château de Keralio 22220 Plouguiel Tél. 02 96 92 27 82 Coordonnées par GPS 48° 47' 53" Nord, 3° 14' 22" Ouest - LE MANOIR DE KERANDRAOU A TROGUERY 22450 Se Visite Crepi22 CC BY-SA Le Manoir de Kerandraou est un manoir bâti à Troguéry, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. le manoir de Kerandraou XIVe-XVe siècle, classé le 16/10/2003 aux C'est le plus ancien Manoir du Trégor. Occupé depuis plusieurs millénaires, ce site mystérieux, emprunt de secrets, est ouvert à la visite. Remontez le temps à la rencontre de ceux qui ont fait son histoire, des habitants du néolithique aux chouans, sans oublier Saint-Yves, les Ducs de Bretagne ou les contrebandiers. Sa restauration a débuté en 2003. Visite guidée du 1er Juillet au 31 Août de 14h30-18h30 - Ouvert toute l'année sur réservation pour les Groupes. Coordonnées par GPS 48° 45' 51" Nord, 3° 12' 52" Ouest * LE CHATEAU DE KERANGUEVEL A PAULE - 22340 Privé Le Château de Keranguevel est un manoir bâti à Paule, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kéranguevel date du XVIIIe siècle. Le Manoir de Keranguevel, dont la construction s'étend du Moyen Age au XVIIIe siècle, fut la résidence privée de la Famille de Crevoisier d'Hurbache. Le Manoir actuel date du début du XVIIIe siècle. Le logis central et les ailes de la cour principale furent modifiées au XVIIIe siècle, pour la Famille du Leylay à qui il appartenait. Il a appartenu à la Famille du Leslay de Jeranguevel, du XVe au XIXe siècle. La façade porte la date de 1717 et l'aile Nord porte la date de 1777. Le puits date de 1659. Les grandes pièces du rez de chaussée sont en boiseries. Il ira ensuite, par alliance, dans les mains de la Famille du Pontavice. Puis, au XXe siècle, il sera racheté par Mr et Mme Brière de l'Isle. Une chapelle avec des ouvertures de style Roman, est accolée au manoir. Aujourd'hui, le Château de Keranguevel appartient à Mr De Crevoisier. Il existe aussi un second manoir à découvrir sur la Commune de Paule le Manoir de Kerloguennic bâti au XIXe siècle. Adresse Château de Keranguevel 22340 Paule Privé Coordonnées par GPS 48° 14' 13" Nord, 3° 26' 37" Ouest - LE CHATEAU DE KERANNO A GRACES - 22200 Appartements de vacances de Sapcal22 CC BY-SA Le Château de Kéranno est un château bâti à Grâces, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. A la fin du XVIIème siècle, le Château de Keranno était la plus belle demeure que l'on puisse trouver autour de Guingamp. Le Château de Keranno, date du XVIe siècle et seconde moitié du XVIIe siècle est inscrit depuis le 18/11/1965 aux Vous y trouverez des appartements de vacances. Alexandre JOUDE dirige l'entreprise 1 mandat, son mandat principal est Gérant de l'entreprise CHATEAU-KERANNO. Adresse Château de Keranno - Appartement de vacances - 22200 Grâces - Tél 06 20 64 39 11 ou Tel Site web Château de Keranno Coordonnées par GPS 48° 33' 24" Nord, 3° 11' 01" Ouest * LE CHATEAU KERANNO A GRACES 22200 Maison d'Hôtes Le Château Keranno est un château bâti à Lech-Léonec, à Graces, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château Keranno est devenu un gite d'hôtes où vous pourrez profiter d'un service de prêt de vélos, d'un court de tennis et d'un barbecue. Vous bénéficierez gratuitement d'une connexion Wi-Fi et d'un parking privé sur place. Les chambres du Château Keranno sont équipées d'un lave-vaisselle, d'un four, d'une machine à café, d'une baignoire, d'un sèche-cheveux et d'une armoire. Chaque chambre dispose d'une salle de bains privative. Certaines chambres ont une terrasse et d'autres offrent une vue sur le jardin. Tous les logements donnent accès à une salle de bains commune pourvue d'un bidet. La maison d'hôtes sert un petit-déjeuner buffet ou continental. Lors de votre séjour au Château Keranno, vous pourrez pratiquer des activités dans et autour de Lech-Léonec, comme la randonnée. Adresse Château Kéranno 2 rue Kéranno 22200 Graces Coordonnées par GPS 48° 33' 24" Nord, 3° 114 01" Ouest * LE MANOIR DE KERARIOU A TREBEURDEN 22560 Le Manoir de Kerariou est un manoir bâti à Trébeurden, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il comporte un logis de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle. Des dépendances datent de la même époque et du XIXe siècle. Un mur d'enceinte et le porche d'accès à la cour ont été démontés, vers 1835, afin de constituer l'entrée principale, dans un appareil à bossage, de l'église paroissiale. Le Manoir de Kerariou est en mauvais état. Le signalement concerne la typologie et les qualités architecturales du existe aussi sur la commune le manoir de Trovern XVIIe siècle à découvrir. Coordonnées par GPS 48° 46' 13" Nord, 3° 34' 01" Ouest - LE MANOIR DE KERBRIDOU A PLOUARET 22420 Privé CC BY-SA Le Manoir de Kerbridou est un manoir bâti à Plouaret, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVIe siècle. A la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe siècle, apparaît en Bretagne une architecture nouvelle, composée de porches avec des guérites à dômes et à culs de lampes. A la même époque, remontent les hautes gerbières à étages avec accolades et frontons de Kerbridou. Le Manoir de Kerbridou est un manoir, de forme rectangulaire avec ue tour d'escalier carrée, saillante. Une porte encadrée de pilastres superposés, soutient une légère corniche, avec un passage circulaire sous une archivolte continuant sur les piedroits. L'espace entre cet arc plein-cintre et la corniche contient des écussons et ds armes dans ses angles. Une fenêtre coupée d'un linteau-meneau se trouve de chaque côté de cette entrée. Des grebières à fronton décoré ressortent dans la toiture. La tour carrée possède un pan coupé au deuxième, et s'élargit par des mâchicoulis en haut. L'angle rentrant vers le manoir possède une guérite à cul de lampe. Le Manoir de Kerbridou est inscrit partiellement aux pour ses façades, ses toitures et les souches de cheminées, depuis le 9/10/1964. Le Manoir de Kerbridou est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 37' 34,57" Nord, 3° 27' 47,48" Ouest * LE MANOIR DE KEREPOL A PLOUARET 22420 Privé de Creasy CC BY-SA Le Manoir de Kérépol est un manoir bâti à Plouaret, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kérépol date du XVIe et XVIIe siècle. Le Manoir de Kérépol, se situe à l'Ouest du bourg de Plouaret. La seigneurie de Kérépol appartenait à la famille de Kergariou. Le logis occupe le côté Ouest d'une cour fermée avec une porte charretière et une porte piétonne. Deux ailes des dépendances encadrent la cour au Nord et au Sud. Le Manoir de Kérépol est inscrit partiellement aux depuis le 18/03/1991 pour le logis, le mur d'enceinte avec la double porte, et l'enclos. C'est un manoir privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 36' 26,35" Nord, 3° 29' 12,7" Ouest - LE CHATEAU DE KERANNO A ILLIFAUT 22230 Privé Le Château de Keranno est un château bâti à Illifaut, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Keranno, date de la seconde moitié du XVIIe siècle. Il a été inscrit depuis le 18/11/1965. Il est privé, fermé au Public. Il existe 2 autres châteaux sur la commune Le Château de la Brière XIXe siècle - Privé et le Château de la Ville Thual XIXe siècle - privé Coordonnées par GPS 48° 08' 49" Nord, 2° 20' 50" Ouest * LE CHATEAU DE KERANNO A GRACES 22200 Privé de Sapcal22 CC BY-SA Le Château de Kéranno est un château bâti à Graces, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Keranno date de la seconde moitié du XVIIe au XVIIIe siècle. Il comporte aussi un jardin. C'est un château inscrit depuis le Le Château de Keranno est privé, fermé au Public. Il existe aussi sur la Commune de Graces, à découvrir, le Manoir de Kérurien, construit au XVIe siècle, inscrit depuis le Coordonnées par GPS ............... * LE CHATEAU DE KERAUTER-PONTHOU A SAINTE-TREPHINE - 22480 Le Château de Kérauter-Ponthou est un château bâti à Sainte-Tréphine, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kérauter-Ponthou date du début du XVIIe siècle Coordonnées par GPS 48° 16' 14" Nord, 3° 09' 10" Ouest * LE MANOIR DE KERAUZERN A PLOUBEZRE - 22300 Privé Le Manoir de Kerauzern est un manoir bâti à Ploubezre, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kerauzern date du XVe au XVIIe siècle. Le Manoir de Kerauzern est inscrit aux depuis le 26/02/1926. Le Manoir de Kerauzern est privé, fermé au Public. Il y a 3 châteux et 2 manoirs à découvrir sur la commune le Château de Coatilliau, le Château de Kergrist xve siècle, visitable de Pâques à Septembre,IMH, le Château de Coatfrec XVe siècle, en ruines, IMH, le Manoir de Kerauzern XVe, IMH, le Manoir de Kerguéréon, ancienne résidence de la Famille de Kermel, appartient depuis la Famille de Méric de Bellefon. Adresse Château de Kerauzern, 22300 Ploubezre - Tel Coordonnées par GPS 48° 42' 15" Nord 3° 26' 53" Ouest * LE CHATEAU DE KERAVAL A GRACES - 22200 Le Château de Kéravel est un château bâti à Grâces, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS ............. * LE DOMAINE DE KERAVEL A PLOUHA 22580 Gite d'Hôtes Le Domaine de Kéravel est un château bâti au Hameau de la La Trinite, à Plouha, en région Bretagne, en France. Tarif 95 Euros la chambre. Une table de très bon bonne tenue dans une belle demeure au coeur d'un parc. Accueil et service par le patron convivial et décontracté. Tartare de daurade, top. Cuisson des coquilles Sait Jacques maîtrisée, dessert le tiramitsu traditionnel est très apprécié. sur le site Tripadvisor Coordonnées par GPS * LE MANOIR DE KERBELVEN A PENVENAN - 22710 Privé Le Manoir de kerbelven est un manoir bâti à Penvenan, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kerpeulven date du XVIème et du XVIIème siècle. Il appartenait à la famille du Hallegoët au XVIème siècle. Au XVIIe siècle, il fut racheté par le séminaire de Tréguier, puis fut vendu comme bien national, à la Révolution. Il occupe une position stratégique isolée. Desservi par une allée bordée d'arbres centenaires, il comprend un corps de logis orienté au Sud, une chapelle de plan rectangulaire à vaisseau unique et un colombier circulaire couvert d'une coupole. Les façades et les toitures du manoir et de la chapelle, les façades et la toiture du colombier sont inscrits aux depuis le 17/12/1970. Le Manoir de Kerbelven est, aujourd'hui, une propriété privée, fermée au Public. Coordonnées par GPS ............. * LE CHATEAU DE KERBIC A POMMERIT-LE-VICOMTE - 22200 Le Château de Kerbic est initialement un modeste manoir bâti à Pommerit-le-Vicomte, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Acquis au XVIIe siècle par les Raison, il a depuis été transmis par succession passant des Raison de Kerbic aux Floyd puis La Motte Rouge et Henry de Villeneuve. L'édifice a été remanié et agrandi par ses propriétaires successifs aux XVIIIe et XIXe siècles. Kerbic comporte aujourd'hui un bâtiment principal exposé au Sud, encadré de deux longères formant une cour carrée. Un jardin clos de murs ayant conservé les vestiges de défenses sommaires complète l'ensemble à l'est. En 1596, Gilles Chaillou, seigneur de Kermouster en Pommerit-le-Vicomte acquiert quelques pièces de terre situées près du manoir de Kerbic. Vers 1647, Claude Chaillou, fille du seigneur de Kermouster, épouse Jean Raison. Le 25/04/1647, Écuyer Jean Raison, seigneur de Kerviou et son épouse Claude Chaillou offre le manoir de Kerbic avec toutes les dépendances, franchises, prairies embellissements, pourpris, bois de hautes futaies et de décorations ». En 1666, Jean Raison fait aveu pour la terre de Kerbic à Messire Henri Gouyon, Seigneur Marquis de la Moussaye, Comte de Quintin et de Pommerit-le-Vicomte. Cet aveu porte droit de colombier et de fuie, de banc en la chapelle du Paradis du côté de l'épître, avec armes à la vitre et d'un banc et chapelle en l'église de Pommerit-le-Vicomte du côté de l'évangile près de celui du Rumeur avec armes à la vitre et au mur ». En 1801, Adélaïde Renée Raison de Kerbic épouse Armand Floyd de Tréguibé de la Salle. Les Floyd émigrent, du Pays de Galles en France au début du XVIIe siècle, pour fuir les persécutions anti-catholiques qui suivirent en Angleterre la conspiration des poudres en 1605. Le nouveau châtelain de Kerbic fut adjoint au maire de Pommerit-le-Vicomte le 12/08/1809, puis Conseiller d'arrondissement et Maire de la commune, jusqu'à son décès. Sans enfant, Adolphe de Floyd, fils du précédent, lègue Kerbic, en 1883, au Vicomte Alain de La Motte Rouge, neveu de son épouse. Sa fille Yvonne de La Motte Rouge épouse Jacques Henry de Villeneuve, en 1924. Coordonnées par GPS 48° 37' 12" Nord 3° 05' 14" Ouest * LE MANOIR DE KERBOL A LANRODEC - 22170 Le Manoir de Kerbol est un manoir bâti à Lanrodec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date de 1870. Une motte ancestrale existait, de forme ovoïde. Le Château de Kerbol initial appartenait aux Marec'h de Kerbol - Du Dresnay. La construction moderne du Manoir de Kerbol fut édifié par la famille Lamare, sur l’emplacement d'un vieil édifice du XVIe siècle qui appartenait au Comte Du Fou. Coordonnées par GPS 48° 31' 01" Nord, 3° 01' 47" Ouest - LE MANOIR DE KERBRIDOU A PLOUARET - 22420 Privé Le Manoir de Kerbridou est un manoir bâti au N°580 Rue de l'Armorique à Plouaret, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kerbridou date du XVIe siècle. Les façades du Manoir de Kerbridou, les toitures et les souches de ses cheminées sont inscrits pour la protection des par arrêté du 9/10/1964. Le Manoir de Kerbridou est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 37' 34,57" Nord 3° 27' 47,48" Ouest * LE CHATEAU DE KERCABIN A PLOUEC-DU-TRIEUX - 22260 Le Château de Kercabin est un manoir bâti à Plouëc du Trieux, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kercabin date du XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 40' 29" Nord, 3° 11' 26" Ouest - LE CHATEAU DE KERDANIEL-ROS'MAR OU CHATEAU DE SAINT-JEAN A SAINT-JEAN-KERDANIEL - 22170 Privé Le Château de Kerdaniel-Ros'Mar appelé aussi Château de Saint Jean est un château bâti à Saint-Jean-Kerdaniel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kerdaniel Ros’mar date du XVe au XIXe siècle. Le château de Kerdaniel est le siège d'une seigneurie qui relevait du Comte de Goëllo. Ce château est occupé au XVème siècle, par la famille RosmarLe château des Rosmar appartenait initialement aux Seigneurs de Kerdaniel. La Famille de Guébriant, en 1600, va décider de la construction d'un nouveau château, auquel succède l'édifice actuel, entouré d'un parc de 50 hectares. En 1855, l'édifice est remplacé par une construction inachevée en 1856. L'architecte serait Joseph-Antoine Froelicher. Le paysagiste est celui qui a dessiné les lacs du Bois de Boulogne. L'ancien château du XVe siècle fut détruit en 1860. Le Château de Kerdaniel-Ros'Mar actuel possède une importante galerie des portaits de la Famille Budes de Guébriant. Le portail d'entrée du Château de Kerdaniel est aux armes des Guébriant. Un mur d'enceinte cloture le parc. Le Château de Kerdaniel-Ros'Mar est une propriété privée, fermée au Public. Adresse Château de Saint-Jean ou de Kerdaniel-Ros'mar 22170 Saint-Jean-Kerdaniel, Coordonnées par GPS 48° 33' 57" Nord, 3° 01' 12" Ouest - LE CHATEAU DE KERDUEL A PLEUMEUR-BODOU - 22560 Visite des Extérieurs CC BY-SA Le Château de Kerduel est un château bâti à Pleumeur-Bodou, à 3 km au Nord Ouest de Lannion, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kerduel date du XVIe siècle. On peut le voir sur la route qui mène de Plommion à Pleumeur-Bodou. On peut visiter ses extérieurs de Pâques au 15 Septembre. Situé au milieu d'un grand parc, le chateau à fière allure. Son corps de logis date du XVIIe siècle. Il ne reste que sa tour ronde, qui est intégrée à la chapelle et son corps de logis. Coté ouest, une tour carrée a été construite, en 1890, sous la Famille de Champagny. Les historiens disent que le chateau de Kerduel etait l'une des résidences préférées du Roi Arthur. D'où son nom Carduel, en Grande-bretagne, qui s'apparente au palais du Roi Arthur. La légende raconte que, par les nuits d'hiver les plus froides et sombres, on aperçoit le fantôme du Roi Arthur, qui chevaucherait la nuit son cheval blanc, dans le parc du Château de Kerduel. Ce magnifique château date initialement du XVè et XVIe siècle. Le Château de Kerduel possède beaucoup de charme et mérite le détour. La meilleure période pour lui rendre visite est à la mi-août quant a lieu la fameuse Foire aux Antiquités. Il est inscrit aux Monuments Historiques. Adresse Château de Kerduel - 22560 Pleumeur-Bodou - Tel - Visites de Paques à Septembre Extérieurs du Château de Kerduel Coordonnées par GPS 48° 45' 57,13" Nord, 3° 29' 41,46" Ouest * LE MANOIR DE KEREPOL A PLOUARET - 22420 de Creasy Le Manoir de Kérépol est un manoir bâti à Plouaret, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 36' 26,35" Nord, 3° 29' 12,7" Ouest * LE CHATEAU KERGOFF A GOUDELIN - 22290 Le Château Kergoff est un manoir bâti à Goudelin, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kergoff date du XVIe au XVIIIème siècle. C'est l'ancienne propriété de la Famille Le Goff. Le Château Kergoff est formé d'un corps de logis flanqué d'une tourelle à pan coupé, qui abrite un escalier à vis en pierre. Coordonnées par GPS 48° 36' 14" Nord, 3° 00' 57" Ouest * LE CHATEAU DE KERGOUANTON A TRELEVERN - 22660 Chambres d'Hôtes Le Château de Kergouanton est un château bâti à Trélévern, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le château de Kergouanton se situe à 2kms des plus belles plages des Côtes d'Armor, entre Paimpol et Ploumanach, un lieu idéal pour visiter l'Ile de Bréhat, les Sept Iles, en bâteau, ainsi que le Sentier des Douaniers. Le manoir noble de Kergouanton appartenait au XVIIe siècle, à Pierre de Loz, Sieur de Kergouanton, le fondateur de l'Hôtel-Dieu de Tréguier, contrat du 18/12/1655. Kergouanton était aussi une sorte d'hospice où les malheureux étaient reçus. "Pierre de Loz entendait 3 messes par jour ; une à l'église paroissiale,la seconde dans une chapelle qu'il avait fait bâtir en l'honneur de son patron, à mi-chemin de son château au bourg et, la 3ème, dans la chapelle de Kergouanton. Après la mort de Françoise de Kergroadez, son épouse, qui s'était, elle aussi, consacrée tout entière aux pauvres, durant les dernières années de sa vie, il se retira à l'hôpital de Tréguier et se fit placer parmi les pauvres, sans aucune distinction. Il mourut le 27/05/1668 et fut inhumé dans la chapelle de l'établissement qu'il avait comblé de bienfaits toute sa vie et qu'il dota richement à sa mort. Dans son testament du 19/05/ précédent, il avait laissé aux religieuses hospitalières de la Miséricorde de Jésus de nombreux biens dont son manoir de Kermouster en Langoat. Reconverti en gite d'hôtes, vous y trouverez 5 chambres d'hôtes, dont deux suites pour accueillir une petite famille. Toutes les chambres sont spacieuses et lumineuses. Coordonnées par GPS 48° 48' 33" Nord, 3° 22' 14" Ouest - LE CHATEAU DE KERGRIST A PLOUBEZRE - 22300 Se Visite CC BY-SA Le Château de Kergrist est un château bâti à Ploubezre, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un château qui fut construit au XVe siècle à 1867. Kergrist est un manoir de la Renaissance du Trégor, même si par la suite, des façades XVII et XVIIIe siècle, ont été rajoutées. Les anciennes écuries sont toujours visibles en face du château, intégralement réaménagées en un lieu d'habitation. A proximité, on observe encore les ruines de la Chapelle Saint-Laurent. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, Marie de Kergrist 1576-1638, dernière descendante de la famille, épouse à la fin xvie siècle Jonathas de Kergariou Décédé le 25/10/1625 et Seigneur de Keraël la demeure change alors de propriétaires. A l'Est, une façade Classique s'érige, un escalier à double volées droites mène à l'actuel Jardin Français. Le manoir devint un château. Au Sud, la façade s'inspire de sa voisine à l'Est, mais dans un style plus épuré. Au XVIIIe siècle, les Barbier, Marquis de Lescoët, prennent possession du Château de Kergrist, par alliance maritale avec les Kergariou. Mais ils doivent rapidement l'abandonner sous la Révolution Française 1792. Au XIXe siècle, le Château de Kergrist fut vendu comme bien national à la Révolution, le domaine est morcelé, vendu en 2 parties et le château fut pillé. En 1867, Charles et Julien Huon de Penanster récupèrent le domaine, que leur grand-père et leur père, Pierre et Michel Huon notaires royaux, mandatés par les Barbier de Lescoët, avaient réunifié. Caroline, la mère de Charles et Julien, relève le nom Penanster à la demande de son oncle, Caude Guezno de Penanster, ancien Lieutenant du chef Chouan Cadoudal. Ils firent restaurer le Château de Kerguéréon, ainsi que son parc, dans un esprit XVIIe. Ils vont privilégier l'achat de mobilier ancien, avec une forte prédilection pour le XVIIIe siècle. C'est ainsi qu'ils acquièrent les boiseries de l’abbaye de Beauport, située près de Paimpol, pour être en cohérence avec la date d’édification des façades. Charles rachète également des toiles de maître Rubens, Giordano, ainsi que des panneaux de bois d'époque Henri II xvie siècle avec lesquels il fait réaliser des meubles de style néo-Renaissance. Deux frères, Charles et Julien Huon de Penanster vont récupèrer le Château de Kergrist, en 1867. Ils firent restaurer, le Château de Kergist, de style Renaissance, morcelé et pillé à la Révolution Française, dans un esprit du XVIIème siècle. Ils rachètent les boiseries de l'abbaye de Beauport, les toiles de Maître de Rubens ou Giordano, ainsi que des panneaux de bois d'époque, Henri II. Au XXe siècle, l'ancien propriétaire Régis Huon de Penanster réalise le Jardin des Roches, dans un esprit désertique, en utilisant l'effet naturel de blocs de granit issus d'un filon enterré. Le château possède 4 Ha de parc, ainsi qu'une grande partie de la forêt et des terres alentour. Le Château de Kergrist accueille régulièrement des expositions temporaires. Le planning est organisé d'une année sur l'autre. Le château accueille tous les ans, en avril, le festival Plantes et Jardins » organisé par le Lions Club de Lannion. Le Château de Kergrist peut héberger occasionnellement des séminaires, mariages etc. Le Château de Kergrist est visitable, de Pâques à Septembre. Il est inscrit aux Il y a 3 châteux et 2 manoirs à découvrir sur la commune le Château de Coatilliau, le Château de Kergrist xve siècle, visitable de Pâques à Septembre,IMH, le Château de Coatfrec XVe siècle, en ruines, IMH, le Manoir de Kerauzern XVe, IMH, le Manoir de Kerguéréon, ancienne résidence de la Famille de Kermel, appartient depuis la Famille de Méric de Bellefon. Le Château de Kergrist se visite et est ouvert au Public. Visites Adresse et Tel Château de Kergrist, 22300 Ploubezre - Tél 02 56 39 57 97 Pour réserver vos billets Le Château de Kergrist Coordonnées par GPS 48° 39' 50,13" Nord 3° 26' 13,68" Ouest * LE MANOIR DE KERGUEREON A PLOUBEZRE - 22300 Le Manoir de Kerguéréon est un manoir bâti à Ploubèzre, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Kerguéréon est la résidence de la Famille de Méric de Bellefon. Sa construction date du XVe au XVIIIe siècle. Son propriétaire était Jean Le Diuezat, ou Digouezat, roturier, qui en fut propriétaire en 1540. La construction du manoir débute au xve siècle, et se poursuit au XVIe siècle, à la demande de Jehan de Kergrist et de sa épouse Gilette le Cozic. C'est à l'époque, un manoir typique de la Renaissance bretonne une tour octogonale entourée de 2 corps de logis principaux. Un passage voûté permettait d'accéder, de la cour intérieure nord, au potager clos situé au sud. Au XVIe siècle, une seconde tour est dressée, face à la première, dans des proportions plus importantes car la famille prospère. Le Manoir a une tourelle accolée à la tour principale, qui permet d'accéder à une chambre haute, récupérant ainsi l'espace vide au-dessus de l'escalier en vis de la tour. Un pigeonnier a été rajouté dans la façade Sud du Manoir. Il y a 3 châteux et 2 manoirs à découvrir sur la commune le Château de Coatilliau, le Château de Kergrist xve siècle, visitable de Pâques à Septembre,IMH, le Château de Coatfrec XVe siècle, en ruines, IMH, le Manoir de Kerauzern XVe, IMH, le Manoir de Kerguéréon, ancienne résidence de la Famille de Kermel, appartient depuis la Famille de Méric de Bellefon. Adresse Manoir de Kerguéréon, Lannion - Tel 02 96 38 80 59 Coordonnées par GPS 48° 42' 15" Nord, 3° 26' 53" Ouest * LE MANOIR DE KERHIR A TREDARZEC - 22220 Gite d'Hôtes Le Manoir de Kerhir est un manoir bâti à Trédarzec, dans le département des Côtes d'Armor, en réion Bretagne, en France. Qu’il est doux de ne rien faire quand tout s’agite autour de vous ! Le monde autour de vous peut s’agiter ! mais à Kerhir, vous aimerez le calme de la nature, le chant des oiseaux, la beauté de l’environnement. Après être passés devant la Chapelle St Nicolas de Kerhir, vous entrerez au domaine par une longue allée de tilleuls. Vous découvrirez, en face, le VIEUX MANOIR et MANERCOZ, puis passant les piliers, le CHATEAU et à gauche le GRAND LOGIS, et blotti au fond d’un chemin, la BERGERIE. Les 4 gites du domaine de Kerhir ont la particularité d’être indépendants, avec leur propre jardin. Mais si vous décidez d’en louer 2 ou 3 pour un séjour à plusieurs, vous en apprécierez la proximité et apprécierez la dimension et l’espace du grand logis pour lieu de rassemblement. Ils sont tous situés au cœur du parc de Kerhir auquel vous pourrez accéder pour vous détendre. Elizabeth et Bruno de la Brosse ont une passion pour ce domaine de Kerhir et seront heureux de vous aider à le decouvrir. Le Château de Kerhir comporte le Grand Logis, la Bergerie et le Vieux manoir. Adresse Manoir de Kerhir - Domaine de Kerhir 22220 Trédarzec - Tel 02 96 92 31 69 ou Apres 18H 00 au Tel 06 07 48 20 99 - contact Site Manoir de Kerhir Coordonnées par GPS 48° 47' 15" Nord, 3° 11' 56" Ouest * LE MANOIR DE KERIAS A BOURBRIAC - 22390 Privé Le Manoir de Kérias est un manoir bâti à Bourbriac, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il y a 6 manoirs à découvrir sur la commune Manoir du Helloch, Le Manoir du Lézard XVIe-XVIIe siècle, Manoir du Disquay et Manoir de Kerias XVIe-XVIIe siècle, Manoir de Langoat XVIIe siècle, Manoir du Lojou XVIIe-XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 28' 26" Nord, 3° 11' 14" Ouest * LE MANOIR DE KERIBLANC A PLOUEZEC - 22470 Privé Le Manoir de Keriblanc est un manoir bâti à Plouezec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Kériblanc est privé, fermé au Public mais visible de l'extérieur. La Commune de Plouezec comprend aussi de nombreux Manoirs Goazfroment, Keriblanc, La Lande du Bois, des lavoirs route de Boulgueff, au Clandry, ainsi que des traces d'une voie romaine au lieu-dit Traou An Argoat. Coordonnées par GPS 48° 44' 56" Nord, 2° 59' 02" Ouest * LE CHATEAU DE KERICUFF A PLOËZAL-RUNAN - 22260 Le Château de Kericuff est un manoir bâti à Ploëzal Runan, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kériguff date du XVIIe siècle. Kericuff appartenait en 1535 à Charles Le Lagadec. Kericuff possédait une chapelle privée dédiée à Saint-Louis,qui a été détruite depuis. Le Château de Kericuff a appartenu à la Famille de Kerguézec ou Kerguézennec, du XVIème au XIXème siècle. Puis il devint la propriété de Toussaint et Joseph-René de Kerguézec, en 1795. Le manoir de Kericuff est mise en vente, comme bien national, en décembre 1795, pour la somme de 49 806 livres à Etiennette Marguerite de Kerguézec. Bien que fortement remanié, la façade arrière du Château de Kericuff a conservé encore une grande tour d'escalier quadragulaire flanquée elle-même d'une tourelle. coordonnées par GPS 48° 43' 02" Nord, 3° 12' 06" Ouest * LE MANOIR DE KERISAC A PLOUISY - 22200 Ruines de Pymouss Le Manoir de Kérisac est un manoir bâti à Plouisy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kérisac date du XVIe siècle. Le manoir est inscrit aux depuis le 22/02/1926. Le Manoir de Kérisac est privé et fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 34' 14,24" Nord, 3° 12' 16,14" Ouest * LE MANOIR DE KERIZOUET A ......... ? Le Manoir de Kerizouët est un manoir bâti à ........., dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVe siècle. Coordonnées par GPS ............ * LE CHATEAU DE KERIVON A LANION - 22300 Privé Le Château de Kerivon est un château bâti à Lannion, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Cette ancienne propriété appartenait à la Famille Le Gualès. Sa construction date de 1724 et 1850. Le château a été reconstruit à partir de 1724 par la famille Carcaradec, en remplacement d'un manoir médiéval qui existait déjà au 13e siècle. Au 19e siècle, les menuisiers poursuivaient la décoration intérieure de boiseries. Le parc a été aménagé au 19e siècle autour du château. L'étang situé derrière la demeure a été creusé et dallé, les grandes allées plantées, le vieux jardin démoli et remplacé par un potager. Ses caractères principaux sont le rôle déterminant des perspectives, l'importance de l'eau, la prédominance des espaces boisés. De nouveaux éléments ont été ajoutés à cette époque, liés à la plaisance ou à l'économie du domaine glacière, four à pain, serres, remise à voiture, sellerie. Les vestiges du 18e siècle ont été conservés pigeonnier, hangar à bateaux, grande écurie, basse-cour. L'ensemble est représentatif de l'organisation d'un . parc XIXe siècle autour d'une grande demeure du 18e. La grande statue équestre date de 1914 et est due à Geoffroy de Ruillé. Le Château de Kérivon est inscrit partiellement aux depuis le 31/05/1946 et le Parc est inscrit aux depuis 1992. Château de Kerivon estprivé, fermé au Public Adresse Château de Kérivon - D65 22300 Lannion - Privé Coordonnées par GPS 48° 43' 47" Nord, 3° 25' 39" Ouest * LE CHATEAU DE KERIVON A BUHULIEN - LANNION - 22300 Privé Le Château de Kérivon est un château bâti au hameau de Buhulien, à Lannion, sur la D65, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kérivon date du XVIIIe et XIXe siècle. L'Architecte ou maître d'oeuvre était Geoffroy de Ruillé sculpteur. Le château fut bâti de 1724 à 1850. Le Château de Jérivon a été reconstruit à partir de 1724 par la famille Carcaradec, en remplacement d'un manoir médiéval qui existait déjà au 13e siècle. Au XIXe siècle, les menuisiers poursuivaient la décoration intérieure de boiseries. Le parc a été aménagé au 19e siècle autour du château. L'étang situé derrière la demeure a été creusé et dallé, les grandes allées plantées, le vieux jardin démoli et remplacé par un potager. Ses caractères principaux sont le rôle déterminant des perspectives, l'importance de l'eau, la prédominance des espaces boisés. De nouveaux éléments ont été ajoutés à cette époque, liés à la plaisance ou à l'économie du domaine glacière, four à pain, serres, remise à voiture, sellerie. Les vestiges du XVIIIe siècle ont été conservés pigeonnier, hangar à bateaux, grande écurie, basse-cour. L'ensemble est représentatif de l'organisation d'un parc XIXe siècle autour d'une grande demeure du 18e. La grande statue équestre date de 1914 et est due à Geoffroy de Ruillé. Le Château de Kérivon est classé aux depuis le 2 juillet 1992. Le Château de Kerivon est privé et fermé au Public. Le Château de Kérivon est inscrit aux le 31/05/1946 et le 2/07/1992. Il existe aussi dans la commune à découvrir Le Manoir de Kermarker XVe siècle et le Château de la Roche-Jagu XVe siècle. Adresse Château de Kérivon D65 Ploëzal - 22300 Lannion Coordonnées par GPS 48° 44' 00" Nord, 3° 27' 15" Ouest * L'HOTEL DE KERJEGU A MONCONTOUR 22510 Hôtel particulier de Edouard Hué CC BY-SA L'Ancien Hôtel de Kerjégu est un hôtel bâti à Moncontour, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction de l'Hôtel de Kerjégu date du XVIIe siècle. Il est la Propriété de la commune de Moncontour. L'hotel de Kerjégu est inscrit partiellement aux pour sa porte et sa cheminée, depuis le 31/03/1926. Adrese Ancien Hôtel de Kerjégu 1 Rue de Bel-Orient 22510 Moncontour. Coordonnées par GPS 48° 21' 41,44" Nord, 2° 37' 54,29" Ouest * LE MANOIR DE KERLEVENEZ A SAINT NICOLAS DU PELEM - 22480 Le Manoir de Kerlévenez est un manoir bâti à Saint-Nicolas-du-Pélem, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Ce manoir date du XVIIe siècle. Il est en granite. Il fut restauré et remanié en 1970. Le Manoir de Kerlevenez est situé sur l’emplacement d’un manoir du XVe siècle, à l’entrée du bois de Kerlévenez, entre Kergoubleau lieu-dit de Saint-Nicolas-du-Pélem et Kerbrezeaux lieu-dit de Plounévez-Quintin. Il possède une cour fermée par un portail entouré de 2 pavillons, et le Manoir de Kerlévenez lui-même a 2 corps de logis. Le corps de ferme est séparé du Manoir de Kerlévenez mais ne donne pas sur la cour intérieure. Coordonnées par GPS 48° 18' 50" Nord, 3° 09' 47" Ouest * LE CHATEAU DE KERLOGUENNIC A PAULE - 22340 Privé Le Château de Kerloguennic est un manoir bâti à Paule, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kerloguennic date des XVIe – XIXe siècles. Le Château ou Manoir de Kerloguennic 1577 fut la propriété de la Famille Jegou du Laz. Ce manoir a été restauré, par Marie-Thérèse Armande Frédérique de Saisy. Ses communs et sa cheminée sont inscrits aux Le Château de Kerloguennic est privé, fermé au Public. Il appartient à la Famille de Lager. Il existe un 2ème manoir sur la commune de Paule 22340 le Manoir de Keranguevel dont la construction date du Moyen Âge au XVIIIe siècle. Il est la résidence privée de la Famille de Crevoisier d'Hurbache. Coordonnées par GPS 48° 14' 13" Nord, 3° 26' 37" Ouest * LE MANOIR DE KERLOURY A PAIMPOL 22500 Privé Le Manoir de Kerloury est un manoir bâti à Paimpol, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il date du XVIIIe siècle. Le Manoir de Kerloury est inscrit partiellement aux le 23/09/1971, pour ses façades, toitures et ses cheminées intérieures. Le Manoir de Kerloury est composé d'un corps de bâtiment principal et de bâtiments d'exploitation agricole entourant une cour intérieure. Le manoir est inscrit aux depuis 1971. Le Manoir de Kerloury est privé, fermé au Public. Il existe un 2ème manoir à découvrir sur la commune le Manoir Grand-Pontébar. Adresse Manoir de Kerloury Chemin de Kerloury 22500 Paimpol - Privé Coordonnées par GPS 48° 47' 19" Nord, 3° 04' 52" Ouest * LE MANOIR DE KERMARQUER A LANMODEZ - 22610 Privé Le Manoir de Kermarquer est un manoir bâti à Lanmodez, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kermarquer date du XVI siècle. Le Manoir de Kermarquer est privé, fermé au Public. Il est inscrit aux depuis le 29/12/1927. Adresse Manoir De Kermarquer Rue du Docteur Pichouron, Penvénan 22710 Coordonnées par GPS 48° 50' 31" Nord, 3° 06' 16" Ouest - LE CHATEAU DE KERMEZEN A POMMERIT-JAUDY 22450 Location/mariage Le Château de Kermezen est un château bâti à Pommerit-Jaudy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de kermezen a été restauré au XVIIe siècle. C'est un château typiquement breton. Le Manoir de Kermezen est la propriété de la Famille de Kermel, depuis 1624. Le Château a été, depuis, transformé en hôtel et vous accueille pour y fêter votre mariage. Vous découvrirez le charme d’une vieille demeure dans la même famille depuis 500 ans. C'st un accueil familial et chaleureux qui vous attend. Proche, vous découvrirez la beauté sauvage de la célèbre Côte de Granit Rose et du Trégor. Adresse Château de Kermézen, Comte et Comtesse de KERMEL 22450 Pommerit-Jaudy - Tél. 02 96 91 35 75 Coordonnées par GPS 48° 43' 58" Nord, 3° 14' 27" Ouest - LE CHATEAU DE KERMEZIT A TREMEL - 22310 Ferme CC BY-SA Le Château de Kermerzit est un château bâti à Trémel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château date du XVe et XVIe siècle, pour les Goesbriand. Il possède une belle porte de style gothique avec une tour. Il a été restauré plusieurs fois et transformé en ferme depuis. Il s'agit d'un château de la Renaissance bretonne avec sa cour close, ses tourelles, son porche et ses fenêtres ornées. Le Château de kermerzit est inscrit aux depuis 1927. Adresse Château de Kermerzit - 1982 Moulin du Pré à Trémel - 22310 Trémel Coordonnées par GPS 48° 35' 46,76" Nord, 3° 37' 18,4" Ouest - LE CHATEAU DE KERNABAT A PLOUISY - 22200 Privé Le Château de Kernabat est un château bâti à Plouisy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kernabat date du XVIe et XVIIe siècle. Le Château de Kernabat est un ensemble important comprenant un corps de logis principal avec une aile en retour, une chapelle, un corps de communs, un colombier, un portail d'entrée, un mail et des jardins en terrasse. Le domaine date pour l'essentiel du dernier tiers du 17e siècle certains détails architecturaux remontent au XVIe siècle, date de la construction d'un premier manoir. Le logis, reconstruit vers 1680-1700 pour Claude d'Acigné, englobe l'ancien manoir de la fin du XVIe siècle. Vendu en 1888 aux Kerouartz, le Château de Kernabat fut restauré en 1901 par Dussauze, architecte à Angers, qui fit reconstruire la façade sur jardin de la chapelle, et modifier les toits des communs. Le Château de Kernabat, abandonné depuis 1912, a récemment été racheté par une congrégation religieuse. Il est privé et fermé au Public. Le Château de Kernabat est inscrit aux le Coordonnées par GPS 48° 34' 19,75" Nord, 3° 11' 17,37" Ouest * LE MANOIR DE KERNABAT A TREGUIER - 22220 Le Manoir de Kernabat est un manoir bâti à Tréguier, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le portail est inscrit en 1931. Le Manoir de Kernabat est un manoir à cour close avec une entrée par une voie charretière. Coordonnées par GPS 48° 47' 09" Nord, 3° 13' 52" Ouest * LE CHATEAU DE KER-NELLY A TREBEURDEN 22560 Chambres d'Hôtes de StanleyRoark Le Château de Ker-Nelly est un château bâti à Trébeurden, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Chambres d'Hôtes. Tarif 1 020 € en moyenne par nuit - Adresse Château de Ker Nelly 21 Rue de Molène, 22560 Trébeurden - Téléphone 06 45 70 46 13 Coordonnées par GPS 48° 46' 13" Nord, 3° 34' 01" Ouest * LE CHATEAU DE KERNINON A PLOULEC'H - 22300 Le Château de Kerninon est un château bâti à Ploulec’h, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kerninon date de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle. Le château a été propriété de la Famille de Le Roux de Kerninon jusqu'en 1924-1925. Le Comte de Belizal a été le maire de la commune est le propriétaire de ce superbe château. Le Château de Kerninon est privé, fermé au Public. Seuls les bois alentour sont libre d'accès. Coordonnées 48° 43' 29" Nord, 3° 30' 52" Ouest * LE MANOIR DE KEROUE A LOGUIVY-PLOUGRAS - 22780 Privé de Crepi22 CC BY-SA Le Manoir de Kéroué est un beau manoir bâti à Loguivy-Plougras, dans le département de l'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVIe et XVIIe siècle à l'époque des Guerres de Religion. La grange du Manoir de Kéroué date du XVIe siècle, le corps de logis principal de la fin du XVIe siècle, et l'aile droite, du début du XVIIe siècle. Le Manoir de Kéroué témoigne d'un retour à l'architecture défensive suscité par les Guerres de Religion. L'édifice devait former un corps central dans le plan primitif, avec une tourelle d'escalier, une échauguette, et des mâchicoulis sur le pignon Sud. Un second pavillon servait au départ de métairie. Le Manoir, à savoir le corps de logis en ruine et l'aile appelée manoir, ainsi que la grange faisant face à cette aile sont classés aux depuis le 27/09/1993. Le Manoir de Kéroué a été inscrit aux du 3/06/1927 puis Classé aux du 27/09/1993. Coordonnées par GPS 48° 31' 13" Nord, 3° 31' 32" Ouest * LE MANOIR DE KERPEULVEN A PENVENAN - 22710 Privé de Crepi22 CC BY-SA Le Manoir de Kerpeulven est un château bâti à Penvenan, dans le département ds Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kerpeulven date du XIVe au XVIIe siècle. Mise à part l'extrémité Est du manoir qui fut remaniée au XIXe siècle, l'ensemble des bâtiments remonte au XIVe la tour et la salle des gardes. Le Manoir de Kerpeulven date du XVe siècle. La chapelle du Manoir du Kerpeulven est du XVIe siècle et le colombier date du XVIIe siècle. L'ensemble est construit dans du granit, caractéristique de la région. En 1700, le Domaine de Kerpeulven est racheté comme résidence d'été, par l'Evêque et le Comte de Tréguier. Les fermiers avaient pour mission de tenir en état, toute l'année, le Manoir et le jardin potager. A la Révolution, le domaine est vendu comme bien national à un papetier de Tonquédec. Vers 1860, il fut transformé en ferme. A l'intérieur, se trouvent des cheminées, des boiseries, et un parquet Versailles. Les façades et toitures du manoir et de sa chapelle, ses façades et toitures du colombier ont été inscrits aux depuis le 17/12/1970. Le Manoir de Kerpeulven est privé, fermé au Public. Adresse Manoir de Kerpeulven 1 rue Kerbeulven 22710 Penvénan Cordonnées par GPS 48° 47' 09" Nord, 3° 13' 52" Ouest * LE MANOIR DE KERPRIGENT A LANNION - 22300 Le Manoir de Kerprigent est un manoir bâti à Lannion, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Kerprigent se visite, sur rendez-vous, pour découvrir ses extérieurs. Coordonnées par GPS 48° 44' 00" Nord, 3° 27' 15" Ouest * LE CHATEAU DE KERRAOUL A PAIMPOL - 22500 Le Château de Kerraoul est un château bâti à Paimpol, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est une Maison de notable datant du 4ème quart XIXème siècle. Le Château de Kérraoul est de plan rectangulaire, doublé en profondeur. La façade antérieure est animée par un corps de bâtiment sur l'angle agrémenté d'un bow-window à balcon et coiffé d'un toit en pavillon à égout retroussé. Éléments de décor garde-corps à balustre, épis de faîtage en zinc, de lucarnes à fronton surbaissé, d'une lucarne architecturée, et d'un oeil-de-boeuf. Il existe aussi 8 manoirs à Paimpol à découvrir Manoir de Kerloury, Manoir de Kereiz, Manoir de Kerbiguet, Manoir de Kergoniou, Manoir de Penlan, Manoir de Keralain, Manoir de Kervic et le Manoir de Lostang. Coordonnées par GPS 48° 46' 15" nord, 3° 04' 24" Ouest * LE CHATEAU DE KERSA A PLOUBAZLANEC - 22620 Le Château de Kersa est un château bâti à Ploubazlanec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kersa date de la fin du XIXe siècle. Coordonnées par GPS 48° 48' 05" Nord, 3° 01' 56" Ouest * LE CHATEAU DE KER-SAINT-ELOY A GLOMEL - 22110 Le Château de Ker-Saint-Éloy appelé aussi le Château de Kersaint-Eloy est un château bâti à à Glomel, dans le département des Côtes-d'Armor, région Bretagne. La construction du Château de Ker-Saint-Eloy date du XIIIe siècle et XVIIIe siècle. Ce manoir de la fin du XVIIIe siècle comprend une partie ancienne qui date du XIIIe siècle. A l'époque, il appartient à la famille de Saisy implantée dans la région, depuis l’an 1215. Les Saisy de Saisy de Kerampuil ou de Saisy de Kersaint-Eloy prennent part aux croisades. L'un d’eux est le compagnon de Du Guesclin. Plusieurs d’entre eux sont maires et députés. Le Manoir de Ker-Saint-Éloy a appartenu par la suite à Jeanne Meslou, épouse de Jean Le Rouge, seigneur de Penanjun en Motreff. Leur fille Marie Ursule Le Rouge, veuve de Hyacinthe de Volvire, comte de Ruffec, le vendit, le 30 septembre 1689, à Joseph de Rison, écuyer originaire d'Armagnac et marié à Carhaix, en 1680, à Sylvie Vachet. Sylvie de Rison, leur fille, le porta en dot, au Comte Charles René de Saisy de Kerampuil qu'elle avait épousé, dans la chapelle de ce manoir, le 12/10/1711. Il appartient, à partir de 1889, à Mme la Baronne Cazin d'Honinctun, née de Saisy de Kerampuil. Le Château de Ker-Saint-Eloi a été construit en granit et schiste, avec un étage est couvert d'un toit d'ardoise. Il comporte des communs, une une chapelle et un colombier. Les visites du Château de Ker-Saint-Eloy se font en extérieur, sur RV, toute l'année. Coordonnées par GPS 48° 12' 59" Nord, 3° 26' 04" Ouest * LE MANOIR DE KERSALIOU A POMMERIT-JAUDY - 22450 Le Manoir de Kersaliou est un manoir bâti à Pommerit-Jaudy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 43' 58" Nord, 3° 14' 27" Ouest * LE CHATEAU DE KERTANOUARN A PLOUBAZLANEC - 22620 Privé Le Château de Kertanouarn est un manoir bâti à Ploubazlanec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kertanouarn date du XVIIIe ou du début du XIXème siècle. Il est de style classique. C'est un manoir composé de quatre pièces au rez-de-chaussée et à tour d'escalier demi-hors-oeuvre sur l'élévation postérieure. Il fut édifié en moellons de granite. De plan rectangulaire allongé et à double orientation, le Château de Kertanouarn est composé d'un rez-de-chaussée abritant 4 pièces principales, d'un étage carré et d'un étage de comble. La façade antérieure est rythmée par neuf travées de baies régulières, la travée axiale étant surmontée d'un fronton-pignon triangulaire orné d'un écu portant les armes des commanditaires. Une tour carrée demi-hors-oeuvre placée au centre de la façade postérieure et coiffée d'un toit en pavillon abrite l'escalier de distribution intérieur. Les versants antérieur et postérieur du toit principal accueillent des lucarnes à fronton-pignon triangulaire en maçonnerie. Coordonnées par GPS 48° 48' 05" Nord, 3° 01' 56" Ouest - LE CHATEAU DE KERVASDOUE A LE FAOUET 22290 Le Château de Kervasdoué est un château bâti à Le Faouët, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Kerasdoué date du XVIème siècle. Le Château de Kerasdoué fut remanié vers 1890. Sa position en plein champ, près d'une recente forêt à de quoi surprendre ceux qui le découvre. Coordonnées par GPS 48° 41' 02" Nord, 3° 04' 21" Ouest * LE MANOIR DE KERVEGAN A LANNION 22300 Restauration en cours de Kervegan4936 CC BY-SA Le Manoir de Kervégan est un manoir bâti à Lannion, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un manoir privé, fermé au Public. La construction du manoir de Kervegan date du XVe et le XIXe siècle. Son propriétaire initial était la Famille des Tertres. Le Manoir de Kervegan est inscrit aux depuis 1964. Le manoir est en cours de restauration actuellement. Le Manoir de Kervegan est privé, fermé au Public. Adresse Manoir de Keregan 45 Chemin de Kerwegan 22300 Lannion - Privé Coordonnées par GPS 48° 44' 30" Nord, 3° 29' 38" Ouest * LE MANOIR DE KERVEN A GUIMAEC - 29620 Le Manoir de Kerven est un manoir bâti à Guimaec, dans le département du Finistère, en région Bretagne, en France. La partie la plus ancienne du manoir de Kerven date du XIIIe siècle. Il fut profondément remanié lors de la première moitié du XVIIe pour devenir un ensemble architectural très homogène. Il est composé d’une maison noble avec le corps de logis, les communs et la cour d’honneur, l’ensemble clos d’un mur d’enceinte. Le plus bel élément de cet édifice est une porte gothique du milieu du XVIe siècle. Il existe aussi à découvrir sur la commune le Château de Kercadiou ou Kergadiou. Coordonnées par GPS 48° 40' 04" Nord, 3° 42' 27" Ouest * LE MANOIR DE KERVERZIOU A PLOUARET 22420 Le Manoir de Kerverziou est un manoir bâti à Pouaret, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Kerverziou date du XVe siècle. Il existe 14 manoirs à découvrir sur la commune de Plouaret Manoir de Guernachanay, Manoir de Ker an Borgne, Manoir de Keranrais, Manoir du Pont Blanc, Manoir de Kerhuon, Manoir de Kervoaziou, Manoir de Kerdanet, Manoir de Melchonnec, Manoir de Kerbridou, Manoir de Kervégan-Vras, Manoir de Kervégan-Vian, Manoir de Kerépol, Manoir de la Haye et le Manoir du Guilguin. Coordonnées par GPS 48° 36' 45" Nord, 3° 28' 16" Ouest * LE MANOIR DE KERYHUEL A FAOUET 22 Le Manoir de Keryhuel est un manoir bâti au Faouet, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS ............. * LE MANOIR DE KESTELLIC A PLOUGUIEL 22220Jardins exotiques Le Manoir de Kestellic est un manoir bâti à Plouguiel, dans le département des Cotes d'Armor, en région Bretagne, en France. Vous pourrez découvrir les jardins exotiques du Manoir de Kestellic. Le Manoir de Kestellic est inscrit aux depuis 1992. Coordonnées par GPS 48° 47' 53" Nord, 3° 14' 22" Ouest * LE CHATEAU DE LADY-MOND A BELLE-ISLE-EN-TERRE - 22 CRIR/Musées de Antoine Brunet CC BY-SA Le Château de Lady Mond, appelé aussi Kastel Mond est un château bâti à Loc-Envel et sur Belle-Isle-en-Terre, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Chateau de Lady-Mond est une réplique, construite en 1923 pour Lady Mond, du Château de Coat-an-Noz. Cette réplique ayant été construite au départ trop près de la route, Lady Mond ordonna qu'elle soit démontée et reconstruite quelques mètres plus loin de la route. Aujourd'hui, le Château de Lady Mond accueille un aquarium d'eau douce et le Centre régional d'initiation à la rivière Crir ouverts au Public. L'Aquarium des Curieux de nature, qui se trouve au château de Lady Mond dans les locaux du Centre Régional d'Initiation à la rivière, présente 10 aquariums contenant des spécimens représentatifs de la faune des rivières de la Bretagne. Informations au Tel Coordonnées par GPS 48° 32' 44" Nord, 3° 23' 36" Ouest * LE CHATEAU DE LANDEBOULOU A LANVALLAY - 22100 Le Château de Landeboulou est un château bâti à Lanvallay, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Landeboulou date du XVIIe au XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 27' 21" Nord, 2° 01' 37" Ouest * LE CHATEAU DES LANDELLES A PLEMET 22210 Le Château des Landelles est un château bâti à Plémet, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Les Châteaux le Château aux Landelles, à Bodiffé, à Launay Guen et au Vaublanc, ainsi que des maisons et fermes ont également été inventoriés. Coordonnées par GPS 48° 10' 40" Nord, 2° 35' 37" Ouest * LE MANOIR DE LANGOAT A BOURBRIAC 22390 Le Manoir du Disquay est un manoir bâti à Bourbriac, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il exise 6 Manoirs à découvrir sur la commune Manoir du Helloch, Le Manoir du Lézard XVIe-XVIIe siècle, Manoir du Disquay et Manoir de Kerias XVIe-XVIIe siècle, Manoir de Langoat XVIIe siècle, Manoir du Lojou XVIIe-XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 28' 26" Nord, 3° 11' 14" Ouest * LE CHATEAU DE LANDEBOULOU A LANVALLAY - 22100 Privé Le Château de Landeboulou est un château bâti à Lanvallay, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Il est privé. Il existe un autre château sur la commune le Château de de la Vairie, privé. Coordonnées par GPS 48° 27' 21" Nord, 2° 01' 37" Ouest * LE MANOIR DE LANGONAVAL A LANNION - 22300 Se visite l'été Le Manoir de Langonaval est un manoir bâti à Lannion, dans le département des Cotes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Langonaval date du XVe siècle. Le Manoir de Langonaval ne se visite qu'en été Juillet-Août. Coordonnées par GPS 48° 44' 00" Nord, 3° 27' 15" Ouest * LE CHATEAU DE LANGOURLA A SAINT-VRAN - 22230 Le Château de Langourla est un château bâti à Saint-Vran, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château date du XVe siècle. Le Château de Langourla a été restauré au XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 14' 18" Nord, 2° 26' 28" Ouest * LE MANOIR DE LAN KERELLE A TREBEURDEN Hotel 4 Etoiles Le Manoir de Lan Kerellec est un château bâti à Trébeurden, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est devenu un Hôtel 4 étoiles. Il existe aussi sur la commune à découvrir le Manoir de Trovern qui date XVIIe siècle, remanié vers 1925. Cette oeuvre est signalée en raison de l'état de conservation de la tour postérieure, de la présence d'un pigeonnier sur tour et d'une partie rapportée de style néo-Médiéval, Coordonnées par GPS .................... * LE CHATEAU DE LANVINEC A PAIMPOL 22500 Le Château de Lanvinec est un chateau bâti à Paimpol, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS .................... * LE CHATEAU DU LATTAY A GUENROC - 22350 Le Château du Lattay est un château bâti à Guenroc, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 19' 05" Nord, 2° 04' 26" Ouest -* LE FORT DE LA LATTE OU CHATEAU DE LA ROCHE-GOYON A PLEVENON - 22240 Se Visite CC BY-SA Le Fort La Latte appelé aussi le Château de la Roche Goyon est un château bâti à la Pointe de La Latte, à Plevenon, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Fort de La Latte date du 1340 au XVe siècle. C'est un château fort du XIVe siècle dont le propriétaire initial était Étienne III Goyon. Le Château de la Roche-Goyon date du XIVe siècle, pour le seigneur de Matignon, Étienne III Gouÿon. La construction du château commença en 1340, son donjon date de 1365-1370. En 1379, à la suite du retour d'exil du duc de Bretagne Jean IV, le château fut assiégé par Bertrand Du Guesclin. Le château La Latte est attaqué et fut pris une 2ème fois lors des guerres de Religion, au XVIe siècle, cette défaite marquant un temps d'abandon de l'édifice. Ce n'est qu'au XVIIIe siècle, sous Louis XIV, que le château reprit son intérêt stratégique et fut bastionné. Il servira jusqu'à la fin du Premier Empire où l'évolution des techniques militaires conduisit à son inadaptabilité. Sur le chemin menant au château se dresse un menhir qui représente le doigt de Gargantua. La légende dit que celui-ci l'aurait perdu alors qu'il enjambait la Manche afin de rejoindre les côtes d'Angleterre. On y trouve aussi la trace de son pied et de sa canne. En 1892, il fut vendu à divers propriétaires privés, avant d'être racheté par un passionné, en 1931 qui fit entreprendre de lourds travaux de restauration, qui furent achevés en 1950. Le Fort de la Latte appartient aujourd'hui à la Famille Joüon des Longrais. Le Fort de La Latte est classé aux en 1925 et 1934. Il se visite Hors saison du 01/10 /2016 au 31/03/2017. Visite en saison du 1/04/2017 au 20/09/2017. Adresse et Tel Fort La Latte – Château de la Roche Goyon - 22240 Plévenon - Tél. 02 96 41 40 31 Site web Castel La Latte Coordonnées par GPS 48° 40' 06" Nord, 2° 17' 05" Ouest * LE CHATEAU DE LAUNAY A BREHAND - 22510 Le Château de Launay est un château bâti à Bréhand, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Launay date du Ve et XIXe siècle. Le domaine de Launay fut fondé au début du XIVe siècle par Typhaine, épouse du seigneur de Bréhand. Il est divisé en 1319 en Launay-Gouray l'actuel domaine de Launay et Launay-Madeuc à la suite du mariage de Jeanne de Bréhand avec Robin Du Gouray. Cette seigneurie fut érigée en bannière au milieu du XVe siècle. Le Château de Launay est acquis, en 1779, par la famille de Foucaud. Dès 1848, Ludovic de Foucaud fit édifier un nouveau château, de style Classique, à l'emplacement de l'ancien. Le Domaine de Launay abrite un pigeonnier et une chapelle intérieure. Dans cette dernière repose le gisant du Charles Madeuc, Chevalier et Chambellan de Jean V, Capitaine de Moncontour en 1422 et Seigneur de Launay-Madeuc en 1436. Coordonnées par GPS 48° 24' 13" Nord, 2° 34' 23" Ouest * LE CHATEAU DE LAUNAY A PLEUBIAN - 22610 Le Château de Launay est un château bâti à Pleubian, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Launay date des XVIe et XVIIe siècles. Coordonnées par GPS .................... * LE CHATEAU DE LAUNAY A BREHAND - 22510 Le Château de Launay est un château bâti à Bréhand, dans le département des Côtes-d'Armor, en region Bretagne, en France. La construction du Chateau de Launay date du XIe au XIXe siècle. Le domaine de Launay fut fondé au début du XIve siècle par Typhaine, épouse du seigneur de Bréhand. Il est divisé en 1319 en Launay-Gouray l'actuel Domaine de Launay et Launay-Madeuc à la suite du mariage de Jeanne de Bréhand avec Robin Du Gouray Day. Cette seigneurie est érigée en bannière au milieu du xve siècle. L'état civil, dès le 17e siècle, fait apparaître Vorhg-urvoy Joseph et François à Brehand. Ils organisent Le Gouray de son nom avec Robin et Jeanne Urvoy de Brehand. Joseph a sa descendance Guillaume surnommé "Conquis" puis avec union Raffray-Urvoy, pour l'enfant Jeanne qui épousa Domrault. Le Château de Launay est acquis par la famille de Foucaud en 1779. Dès 1848, Ludovic de Foucaud fit édifier un nouveau château, de style Classique, à l'emplacement de l'ancien. Jeanne y apprécia la cuisine jusqu'à sa retraite, en retrouvant sa fille Marie-Françoise unie à J-Ange Marie. Le Domaine de Launay abrite un pigeonnier et une chapelle intérieure. Dans cette dernière repose le gisant de Charles Madeuc, Chevalier et Chambellan de Jean V, Capitaine de Moncontour en 1422 et Seigneur de Launay-Madeuc en 1436. Il existe aussi 2 manoirs sur la commune de Bréhand et 1 château à découvrir Le Manoir de Boishardy et le Manoir de Quimby et le Château de Launay. Coordonnées par GPS 48° 24' 13" Nord, 2° 34' 23" Ouest * LE CHATEAU DE LAUNAY A LAUNAY-GOURAY - 22510 Le Château de Launay Gouray est un château bâti à Bréhand, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Launay date du XIVe et second quart du XIXe siècle. Le château de Launay fut fondé au début du XIVe siècle, par Typhaine, épouse du Seigneur de Bréhand. Il fut divisé en 1319 en Launay-Gouray l'actuel domaine de Launay et Launay-Madeuc à la suite du mariage de Jeanne de Bréhand avec Robin Du Gouray. Cette seigneurie fut érigée en bannière au milieu du XVe siècle. Le château est acquis par la famille de Foucaud en 1779. C'est en 1848, que Ludovic de Foucaud fit édifier un nouveau château, de style classique, à l'emplacement de l'ancien. Le domaine abrite un pigeonnier et une chapelle intérieure. Dans cette dernière repose le gisant du Charles Madeuc, Chevalier et Chambellan de Jean V, Capitaine de Moncontour en 1422 et Seigneur de Launay-Madeuc en 1436. Coordonnées par GPS 48° 24' 13" Nord, 2° 34' 23" Ouest * LE MANOIR DU LAUNAY A LANNION-SERVEL 22300 Le Manoir du Launay est un manoir bâti à Lannion-Servel, dans le département des Côtes d'Armor, en region Bretagne, en France. À 5 minutes du centre historique de Lannion, de la mer et des plages. Le Manoir du Launay est idéalement situé entre Perros-Guirec, Trégastel, Trébeurden, Pleumeur-Bodou, Ploumanach, Lannion et Beg-Léguer. Cette localisation est parfaitement adaptée à un séjour agréable. Après le passage d'une longue allée arborée, l'ambiance intemporelle, le calme, le silence et le confort vous enchanteront ; le temps défilera différemment. Vous pourrez à votre guise rester sur place et goûter à la tranquillité et au charme des lieux, ou partir à la rencontre de cette merveilleuse Côte de granit rose. La bâtisse entièrement rénovée, offre le confort moderne dans un cadre ancien ayant gardé son charme. La situation géographique est idéale pour découvrir la région du Trégor. Vous pourrez rayonner sur un grand périmètre, et revenir vers ce refuge où règne calme et sérénité. Les origines du Manoir du Launay remontent au début du XVIIe siècle, date que l'on retrouve gravée sur le cadran solaire incorporé sur la façade Sud de l'actuel Manoir, dans la fontaine et sur une auge. La bâtisse construite sur 4 niveaux intégralement rénovée en 2001, représente 650 m2 et possède un très grand nombre de larges ouvertures invitant la lumière en tous lieux de la demeure. Vous découvrirez de spacieuses chambres claires et confortables. Chacune a son décor, son ambiance, sa personnalité. L'isolation phonique a été particulièrement soignée pour vous procurer un confort optimum. Chaque chambre est dotée d'un grand lit de m ou 2 x m, selon votre demande, d'une salle de bains et de toilettes y trouverez un accueil agréable et des chambres d'hôtes. Coordonnées par GPS * LE CHATEAU DE LAUNAY-GUEN A PLEMET - 22210 Le Château de Launay-Guen est un château bâti à Plémet, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Launay-Guen est de style néogothique. Il a été construit du 3ème quar du XIXe siècle. Il appartenait à la famille de la Balme. Le Château de Launay-Guen est de forme allongée. Le corps central est accosté de nombreux pavillons, de tours circulaires et de tourelles formant des saillies irrégulières. La façade Nord comporte une importante tour circulaire centrale, au côté de laquelle se trouve l'entrée principale du logis. La façade Sud est accostée d'une autre tour circulaire sur l'angle Est. Le pavillon ouest est flanqué par 2 échaugettes. La loggia est formée de 3 arcades et surmontée d'une terrasse. Un escalier descend sur le jardin. Le Château de Launay-Guen est privé et fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 10' 40" Nord, 2° 35' 37" Ouest - LE CHATEAU DE LEHON A LEHON - 22100 Se Visite/Vestiges CC BY-SA Le Château de Léhon est un château féodal bâti à Léhon, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XIIIe siècle. Le Château de Léon était mentionné en 1034. Il fut détruit par le Duc de Normandie, en 1065. Il s'agit d'une forteresse construite dans le second tiers du XIIIe siècle, selon les normes royales définies par Philippe Auguste à la fin du XIIe siècle. De plan polygonal trapézoïdal, les courtines sont défendues par une tour d'angle semi-circulaire, et des tours intermédiaires en fer à cheval. Au centre de l'enceinte, un donjon s'élevait aujourd'hui, disparu. Délaissée dès le XVe siècle au profit du Château de Dinan, la forteresse va servir au XIXe siècle de carrière de pierres. Il ne reste que des vestiges. Il est inscrit aux depuis le 9/11/2004. Le Château de Léon est ouvert au Public et se visite. Horaires Lundi au Dimanche de 10H00 – 19H00 Il existe aussi 2 manoirs à découvrir Manoir de la Marotais XVIe siècle et le Manoir de la Renardière XVIIe siècle. Adresse Château de Léhon - 2-5 Allée du Château, Léhon 22 Coordonnées par GPS 48° 26' 28,72" Nord, 2° 2' 26,25" Ouest * LE MANOIR DE LESLAC'H OU LE CHATEAU A PLESTIN-LES-GREVES - 22310 Le Manoir de Leslac'h, appelé aussi le "Château" est un manoir bâti à Plestin-les-Grèves, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Son architecture a été marquée par diverses périodes de l'histoire. C'était à l'origine une gentilhommière dont les premières pierres furent scellées au XVème siècle, à l'initiative de la famille Le Splan. Il faudra patienter 100 ans, pour qu'elle présente son aspect général actuel, fermée par une enceinte dont l'entrée principale sera plus tard décorée d'un balcon. Entretemps, le "rustique breton" se mêlera au classique roman, arborant ensuite une influence marquée par Beaumanoir, surtout visible sur la façade du corps de logis. Le Manoir de Leslac'h sera confisqué à la Révolution et transformé en ue simple ferme pendant plusieurs décennies puis reprendra une destinée nobiliaire au XIXeme siècle. Le Baron Pierre Etienne Albert de Schonen l'acquerra et le fit restaurer en 1900. Il deviendra ainsi la demeure de prestige d'une famille dont les générations se succèdent depuis lors, à l'abri des hauts murs. Coordonnées par GPS -* LE CHATEAU DE LESMAËS A PLESTIN-LES-GREVES - 22310 Privé de Crepi22 CC BY-SA Le Château de Lesmaës est un manoir bâti à Plestin-les-Grèves, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Lesmaës date de la fin du XVe et du début du XVIe siècle. Le Domaine de Lesmaës comprend aussi une chapelle restaurée et remaniée. Seul, l'ancien colombier a disparu. Il existe à découvrir sur la commune Le Château de Lesmaës, le Manoir de Kerviziou, tous deux du XVIe siècle et le Manoir de Leslach du XVIIe siècle ont été inscrits en 1927 aux Coordonnées par GPS 48° 39' 28" Nord, 3° 37' 47" Ouest * LE MANOIR DE LESMOAL A PLOUNERIN - 22780 Privé/pigeonnier de Crepi22 Le Manoir de Lesmoal est un manoir bâti à Plounérin, sur la D56, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Lesmoal date du XVIe siècle. Le Manoir de Lesmoal est protégés parielement aux pour son logis, sa grange à lin, les façades du manir et les toitures des bâtiments, depuis le 4/02/1997. Le Manoir de Lesmoal est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 33' 36" Nord, 3° 34' 20" Ouest * LE CHATEAU DE LESTREZEC A PLOËZAL - 22260 Le Château de Lestrézec est un château bâti à Ploëzal, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Lestrézec date du XVIe et XVIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 43' 02" Nord, 3° 12' 06" Ouest * LE MANOIR DU LEZARD A BOURBRIAC - 22390 Privé Sapcal22 CC BY-SA Le Manoir du Lézard est un manoir bâti à Bourbriac, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir du Lézard date du XVIe au XVIIe siècle. C'est la propriété de la famille Bizien de Lézard dont une autre branche possédait le Manoir du Helloc, aussi en Bourbriac. Il est à noter que la chapelle privée du Manoir du Lézard se trouve à Saint-Adrien. Les éléments protégés du Manoir du Lézard sont sa façade principale, l'entrée de la cour et l'entrée de la propriété avec ses balustres. Le Manoir du Lézard est inscrit partiellement aux depuis le 20/01/1926. Il y a 6 manoirs à découvrir sur la commune Manoir du Helloch, Le Manoir du Lézard XVIe-XVIIe siècle, Manoir du Disquay et Manoir de Kerias XVIe-XVIIe siècle, Manoir de Langoat XVIIe siècle, Manoir du Lojou XVIIe-XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 28' 48" Nord 3° 33' 08" Ouest * LE MANOIR DE LEZHILDRY A PLOUGUIEL - 22220 Le Manoir de Lezhildry est un manoir bâti à Plouguiel, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Lezhildry date du XVe au XVIe siècle. L'artiste peintre Alain Plesse y créa une fresque en 1996. Coordonnées par GPS 48° 47' 53" Nord 3° 14' 22" Ouest LE CHATEAU DE LIMOËLAN A SEVIGNAC - 22250 Le Château de Limoëlan est un château bâti à Sévignac, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Limoëlan date de 1779. Le château est composé de douves, d'un colombier et d'une chapelle. Les deux Châteaux de Limoëlan sont inscrits aux monuments historiques, par arrêté, du 18 mars 1991. le premier château de la seigneurie dite de Beaumanoir Beaumont, terre noble possédant le droit de haute justice, fut la propriété des familles Rousselot 14e siècle , de Dinan 14e-15e siècles , de la Chapelle de Beuvres 16e siècle , de Guémadeuc 16e siècle , de Beaumanoir XVIe siècle , d'Espinay XVIIe siècle, de Lorraine 1689. Il fut racheté en 1758 par Michel Julien Alain Picot de Clorivière. Le second château de Limoëlan fut construit par ce dernier acquéreur à 150 mètres de l'ancien château en 1779. Son propriétaire prit alors le nom de Michel Picot de Limoëlan. Il fut pris dans la conspiration du Marquis de la Rouerie, arrêté à la Fosse-Hingant et guillotiné à Paris le 18 juin 1793. Son fils, Joseph Picot, dit le Chevalier le Limoëlan, est célèbre pour sa participation à l'affaire de la machine infernale, attentat dirigé contre Bonaparte le soir de Noël 1800. Après la Révolution, Limoëlan fut successivement la propriété des familles Picot de Limoëlan, Bonjour de Limoëlan et de Chappedelaine. De l'ancien château entouré de douves, il ne subsiste qu'une partie, à l'usage de ferme. Coordonnées par GPS 48° 20' 01" Nord, 2° 20' 14" Ouest - LE CHATEAU DE LISANDRE A PLOUHA - 22580 Privé Le Château de Lisandré est un château bâti à Plouha, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Lisandré date du 1er quart et 4ème quart du XVIIIème siècle. Le Château de Lisandré comprend un corps de logis et une chapelle, construits vers 1720, une orangerie qui date de 1785. Confisqué sous la Révolution, le château fut vendu comme bien national à Guillaume Le Cornec, le 13 août 1793, puisracheté en 1804, par Jean-Louis Courson de La Villehélio. La chapelle et l'orangerie sont inscrites à l'inventaire supplémentaire des depuis le 9/04/1952. Le Château de Lisandré est privé et fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 39' 33" Nord, 2° 56' 26" Ouest * LE MANOIR DE LOCMARIA A PLOUMAGOAR - 22970 Privé Le Manoir de Locmaria est un château bâti à Ploumagoar, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Locmaria date des XIVe et XVe siècles. Il a été reconstruit en 1720. Le Manoir de Locmaria est inscrit aux depuis le 23/12/1985 pour ses façades et toitures hors sa tour d'angle, sa chapelle, son escalier et sa salle à manger. Son propriétaire Olivier Thomas ne ménage pas sa peine pour que le Manoir de Locmaria retrouve toute sa splendeur. Il a fallu une année pour que la Tour du Manoir de Locmaria, à Carnoët, retrouve son niveau d’origine. Son propriétaire, Olivier Thomas a réalisé seul ce travail de restauration, en travaillant soirs et week-ends avec les gestes et techniques du Moyen Age, tous corps de métiers confondus maçonnerie, taille de pierre, charpente, menuiserie, couverture. Le Manoir de Locmaria, le plus vieux patrimoine bâti de Carnoët, retrouve progressivement la splendeur qu’il avait du temps de Jean de Lémo et Marie du Bois les propriétaires du XVIe siècle. Une fierté pour son propriétaire Olivier Thomas, qui tient aussi à rendre hommage à son ami Jérôme Caouën qui a fait un travail de recherche remarquable. En fouillant les archives du fond Kerouartz, il a déniché des trésors de parchemins sur la vie au Moyen Age à Locmaria et a permis d’identifier les armoiries authentiques des seigneurs qui ont été replacées sur les vitraux du manoir ». Le Manoir de Locmaria, du XVIIIe siècle, a été inscrit aux le 23/12/1985, pour ses façades et toitures hors tour d'angle, sa chapelle, son escalier et sa salle à manger. Adresse Manoir de Locmaria - 33-37 Rue des Châtaigniers - 22970 Ploumagoar. Coordonnées par GPS 48° 32' 45" Nord, 3° 07' 53" Ouest * LE MANOIR DE LOCMARIA A CANOET - 22160 de Cavan06 CC BY-SA Le Manoir de Locmaria est un manoir bâti, au lieu-dit de Locmaria, à Canoët, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Locmaria était la propriété de Jan Le Cerff et de Catherine du Ménez, à la fin du XIVe siècle. Au XVe siècle, Jan du Bois et Adelize du Vieuxchastel héritèrent du manoir. Il changea de propriétaires, durant les siècles, par mariages, allant des Familles de Lémo, de Cleuz du gage, de Kerouarz. Il fut vendu comme bien national à la Révolution Française. Une étude historique et architecturale complète fut publiée dans le Kaier du Poher », la Revue du Centre de généalogie et historique du 2008, le Manoir de Locmaria étant à l'abandon, fut racheté par Olivier Thomas, qui le fera, ensuite, aux avec ses intérieurs et ses extérieurs, le fouilles permirent de découvrir des objets en pierre du Paléolithique molette, pilon, broyon, balle de fronde, perle ainsi que de nombreuses poteries et verres XVe XVIe des billes en terre, des terres cuites, boulet en pierre de couleuvrine, balle d'arquebuse en fer, balles de pistolet en fer du XVIe, lissoir en pierre médiéval , l'aire de protection, se trouve l'ancien vallum, la stèle gauloise et la fontaine lavoir romaine. A proximité, on trouve la Motte féodale, le Moulin de Locmaria actuellement le Moulin du Poulmic. On peut citer la Chapelle de Locmaria, aujourd’hui, disparue, parfois nommée une église Notre-Dame de Pentrau » dont les propriétaires du Manoir de Locmaria étaient les seigneurs fondateurs. L’ancien calvaire de la chapelle de Locmaria a été réimplanté, devant la chapelle de Pénity, en Carnoët. Le Manoir de Locmaria, son logis et ses dépendances, en totalité, ainsi que le sol d’assiette de la cour et ses anciens jardins, sont inscrits aux le Site web Manoir de Locmaria Coordonnées par GPS 48° 19' 57" Nord, 3° 30' 42" Ouest * LE MANOIR DES LOGES A AMBRIERES-LES-VALLEES - 53300 Gîte d'Hôtes Le Manoir des Loges est un manoir bâti à Ambrières-les-Vallées, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir des Loges est une ancienne seigneurie dont de nombreux bâtiments témoignent encore de l'ancienneté du site. Aujourd'hui, ses salons et sa capacité de couchage permettent l'organisation de nombreux événements festifs mariages, fiançailles, depart en retraite, etc. Les flambées dans les cheminées et ses lustres vous apporteront de doux souvenirs, dans ce lieu romantique. Vos événements familiaux, artistiques ou professionnels ou simplement les vacances que vous organiserez au Manoir des Loges resteront inoubliables. Le Manoir des Loges se situe à 2 kms d'Ambrières. C'est un gite de groupe dont les proriétaires seront ravis de vous accueillir. Adresse Le Manoir des Loges - Route de Saint Marc - 53300 Ambrières-les-Vallées - Tél. 06 70 17 46 82 Coordonnées par GPS 48° 24' 08" Nord, 0° 37' 50" Ouest * LE MANOIR DE LOJOU A BOURBRIAC - 22390 Le Manoir du Disquay est un manoir bâti à Bourbriac, dans le département des Cotes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il existe 6 manoirs à découvrir sur la commune Manoir du Helloch, Le Manoir du Lézard XVIe-XVIIe siècle, Manoir du Disquay et Manoir de Kerias XVIe-XVIIe siècle, Manoir de Langoat XVIIe siècle, Manoir du Lojou XVIIe-XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 28' 26" Nord, 3° 11' 14" Ouest - LE CHATEAU DE LORGE A PLOEUC-l'HERMITAGE - 22150 Privé CC BY-SA Le Château de Lorge est un manoir bâti dans l'ancienne commune de L'Hermitage-Lorge, devenue Plœuc-l'Hermitage le 1/1/2016, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Lorge date de 1720 à 1740. Son propriétaire initial était Guy-Nicolas de Durfort, Duc de Loge, qui en avait fit sa résidence seigneuriale. Pendant la Révolution française, le château est le théâtre d’un drame chouan. Grenadiers et gardes nationaux y débusquèrent une royaliste, Mme Le Frottier de Kérilis, qui avait été arrêtée et fut condamnée à mort au terme d’un procès expéditif. Afin de reculer la date fatale, elle se déclara enceinte, ce qui permet à ses deux fils d’organiser son enlèvement de la prison de Saint-Brieuc. Opération réussie. Ils se réfugièrent au Château de Lorge, inhabité depuis 20 ans, mais les Bleus ne tardèrent pas à les rattraper et tuèrent Mme Le Frottier de Kérilis et l’un de ses fils. Une autre histoire parle de 20 morts et d'un perron ensanglanté. Le Château de Lorge est inscrit aux depuis le 26/06/1963. Le nouveau propriétaire du château est Mr Joseph HERVE. Ce château est entouré de 4 plans d'eau et a une superficie de 80 hectares avec la forêt. La chasse y est interdite pour la plus grande joie des oiseaux Poules d'eau, oiseaux sauvages, Martin pêcheur et chevreuils, ragondins etc qui vivent heureux dans ce coin de paradis. Un travail magnifique à découvrir sur cette vidéo créée par Yann. Mr Joseph HERVE a le projet de créer é immenses fresques relatant la vie des habitants de cette époque. Le Château de Lorge est privé et fermé au Public. Le Château de Lorge est inscrit partiellement aux depuis le 26/06/1963. Coordonnées par GPS 48° 20' 19" Nord, 2° 49' 39" Ouest * LE MANOIR DE LORGERIL A JUGON-LES-LACS - 22270 Le Manoir de Lorgeril, fondé à la fin du XVe siècle, dans la seigneurie de Follideuc en Saint-Igneuc. L'ancien Manoir de Lorgeril, fut édifié à la fin du XVe siècle dans la commune de Plorec-sur-Arguenon Côtes-d'Armor, berceau de la branche aînée éteinte de la Famille de Lorgeril, fut racheté en 1838 par la famille subsistante de Lorgeril12 ; le nouveau Manoir de Lorgeril, fut construit, en 1825, à Jugon-les-Lacs, pour la Famille de Lorgeril. La Famille de Lorgeril a possédé de nombreuses propriétés, parmi lesquelles l'ancien Manoir de Lorgeril, édifié à la fin du XVe siècle à Plorec-sur-Arguenon Côtes-d'Armor, berceau de la branche aînée éteinte de la famille de Lorgeril, fut acheté en 1838 par la famille subsistante de Lorgeril12 ; le nouveau Manoir de Lorgeril 1825 ; le Château du Chalonge à Trébédan Côtes-d'Armor ; le Château de la Bourbansais et le Zoo de la Bourbansais, à Pleugueneuc Ille-et-Vilaine, ancien centre équestre ; le Manoir de la Motte Beaumanoir, construit en 1580, sur les actuelles communes de Pleugueneuc et Plesder Ille-et-Vilaine ; le Château de Goudemail en Lanrodec Côtes-d'Armor ; le Château de la Ville-Chevalier à Plouagat Côtes-d'Armor ; le Château de Pennautier, dit le Versailles du Languedoc », à Pennautier Aude ; le Château de la Bastide RougePeyre, à Pennautier Aude ; l'Hôtel Lelasseur-Lorgeril, à Nantes. Coordonnées par GPS 48° 24' 36" nord, 2° 19' 15" ouest - LE CHATEAU DE LOUDEAC A LOUDEAC - 22600 en Vente Le Château de Loudéac est un château bâti à Loudéac, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un château construit au XIXe siècle, de style néogothique. La superficie du château est de 150m2. Il comporte 15 pièces dont 9 chambres. Le Château de Loudéac est mis en vente au prix de 1 155 000 Euros. Contact Tel +33 6 43 69 63 52 - Site web Belles Demeures Coordonnées par GPS 48° 10' 40" Nord, 2° 45' 14" Ouest * LE CHATEAU DE LOURMEL A ANDEL - 22400 Le Manoir de Lourmel est un manoir bâti à Andel, dans le département des Côtes d'Armor, en région bretagne, en France. Le Manoir de Lourmel est éponyme de la Famille Le Normand de Lourmel. Il existe un autre manoir sur la commune à découvrir Le Manoir de La Cour, éponyme de la Famille Le Saulnier de la Cour. Coordonnées par GPS 48° 29' 27" Nord, 2° 33' 59" Ouest * LE CHATEAU DE LOZIER A PLUMAUGAT - 22250 Privé Le Château de Lozier est un château bâti à Plumaugat, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Lozier a été construit aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il était aussi appelé le Château de Lozier, ainsi que le Château de l'Hozier ou Château de l'Osier. Les façades et toitures du corps de logis et la Chapelle du château sont inscrits aux le 13/02/1992. Le Château du Lozier est privé et fermé au Public. Adresse Château de Lozier - Launay Blouet 22250 Plumaugat. Coordonnées par GPS 48° 15' 20" Nord, 2° 14' 16" Ouest * LE CHATEAU DE LA MADELEINE A PLOUVARA - 22170 Gite et chambres d'hôtes Le Château de la Madeleine est un château bâti à Plouvara, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le 5/12/2013, une femme a été retrouvée morte et un homme grièvement blessé au Château de la Magdeleine, à 3 km du bourg de Plouvara. Le 12/01/2014, le mari s'est suicidé. Il avait été mis en examen mardi pour meurtre sur conjoint. Le juge de la détention et des libertés avait placé Michel Bodin, 72 ans, sous contrôle judiciaire, avec obligation de fixer sa résidence, à l’hôpital psychiatrique à Bégard Côtes-d’Armor, en raison d’une grande fragilité psychologique. C’est dans sa chambre d’hôpital qu’il a attenté à ses jours, vendredi. Transféré en réanimation à l’hôpital de Saint-Brieuc, il y est décédé samedi. L’action de la justice éteinte. Triste épilogue d’un drame passionnel en 3 épisodes. Le 4 décembre, Michel Bodin empoigne sa carabine 22 long rifle. Touchée de deux balles, sa femme Caroline, 49 ans, meurt. Lui est grièvement blessé, après avoir vraisemblablement retourné contre lui l’arme qui a causé la mort de sa femme. Le 2 janvier, un homme met fin à ses jours dans sa voiture, sur une aire de repos à 200 mètres du Château de la Madeleine. Il s’agit du rival de Michel Bodin, amoureux de sa femme. Le 7 janvier, après la décision du Juge de placer Michel Bodin sous contrôle judiciaire, le parquet de Saint-Brieuc, qui avait demandé son incarcération, avait fait appel de la décision. Avec son décès samedi, l’action de la justice s'est éteinte. Le Château de la Madeleine proposait des chambres d'hôtes. Site web Château de la Madeleine Coordonnées par GPS 48° 30' 28" Nord, 2° 54' 51" Ouest * LE CHATEAU DE LA MALLERIE A BEAUSSAIS-SUR-MER - 22650 Privé Le Château de la Mallerie est un manoir bâti au lieu-dit Ploubalay, en Beaussais-sur-Mer, dans le département des Cotes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Mallerie date du XVIIIe siècle. Le Château de la Mallerie a appartenu à la Famille du Breil. Puis il changea de propriétaire, en 1787, et alla dans les mains de Toussaint Briot, qui en fit un Centre de Recrutement Royaliste pendant la Révolution. La chapelle de La Ville Briand était la propriété du Château de La Mallerie, au XVe siècle. Le Château de la Mallerie est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 34' 51" Nord 2° 08' 20" Ouest - LE CHATEAU DES MARAIS A HILLION - 22120 Se Visite/Location de Salle Le Château des Marais est un château bâti à Hillion, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il fut construit en 1893. Le début de sa construction date du XIXe siècle. Il est de style néo-gothique. Daniel de la Motte Rouge indique que la construction du château des Marais fut achevée, en 1901, pour Angélique de Lourmel, petite-fille de Louis-Toussaint Sébert, négociant et armateur à Saint-Brieuc, sur l'emplacement d'un ancien château appartenant aux Familles de la Villéon XVe au XVIIIe siècles puis Chappedelaine à une date inconnue. Le Château des Marais a été construit en 1893. De 1940 à 1944, il était occupé par les Allemands. En 1990, le Château des Marais est laissé à l'abandon. En 1996, il est racheté et rénové. Le Château des Marais se trouve à 200 mètres des grèves. De style néo-gothique, le Château des Marais présente un plan rectangulaire allongé, ouvert sur les quatre côtés, appareillé de granite en pierre de taille. Façade antérieure flanquée de 2 corps de bâtiments secondaires de plan carré. Travée centrale couronnée d'un toit en pavillon, à avant-corps en forme de châtelet flanqué de 2 tourelles en encorbellement. Ses dépendances comprennent une ferme construite en granite et brique sur un plan à deux corps en équerre, des écuries du même. Ses anciennes douves sont encore visibles. Le Château des Marais se visite et vous propose diverses prestations comme fêter des mariages, anniversaires, séminaires, départ en retraite, etc. Le Château des Marais est ouvert au Public. Adresse et réservations Château des Marais - Route des Grèves, 22120 Hillion - Téléphone 06 33 37 50 50 Site web Château des Marais Coordonnées par GPS 48° 30' 17" Nord, 2° 40' 16" Ouest * LE MANOIR DE LA MENARDAIS A CREHEN - 22130 Chambres d'Hôtes Le Manoir de la Ménardais est un manoir bâti à Créhen, dans le département des Cotes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Ménardais ou manoir date du XVIème au XVIIIème siècle. Il a été la propriété de la Famille Bernard de Courville au XVIème siècle. Son colombier date du XIIème siècle. Dans la nuit du 9 au 10 janvier 1793, le Marquis de la Rouërie passa la nuit au Château de la Pichardais. Son colombier date du XIIème siècle. Dans la nuit du 9 au 10 janvier 1793, le Marquis de la Rouërie passa la nuit au Château de la Pichardais. Le Manoir de la Ménardais vous propose ses chambres d'hôtes. Coordonnées par GPS 48° 32' 47" Nord, 2° 12' 43" Ouest * LE CHATEAU DE METTRIE A SAINT-SAMSON-SUR-RANCE - 22100 à chercher Le Château de Mettrie et un chateau bâti à Saint-Samson-sur-Rance, dans le département des Cotes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Mettrie date du XVIIIe siècle. Il existe aussi à découvrir dans la commune le Manoir du Châtelier-Guitrel XVIe siècle et Le château de Carheil. Coordonnées par GPS 48° 29' 32" Nord, 2° 01' 47" Ouest * LE MANOIR DE LA METTRIE A SAINT-JUVAT - 22630 Le Manoir de la Mettrie est un manoir bâti à Saint-Juvat, dans le département des Cotes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de la mettrie date de 1787. Adresse Manoir de la Mettrie - D12 22630 Saint-Juvat Coordonnées par GPS 48° 21' 15" Nord, 2° 02' 33" Ouest * LE CHATEAU DU MEURTEL SUR LA PRESQU'ILE D'HEREL - A PLEVENON - 22 Privé Le château du Meurtel est un château bâti sur la Presqu'île_d'Hérel, dans les Côtes-d'Armor, en région Bretagne, entre la Baie de Saint-Malo et la Baie de Saint-Brieuc. Elle sépare ses deux baies avec sa pointe en direction des îles anglo-normandes. Le Château du Meurtel comprend un corps de logis datant du XVIIe siècle. Selon Pierre Amiot historien local, le corps de logis a été construit en 1766, pour Gilles Labbé et son épouse Jacquemine Goyon. L'analyse architecturale, effectuée à partir du croquis du Vicomte Henri Frotier de La Messelière semble indiquer une campagne d'agrandissement au XVIIIe siècle vers la gauche. Château du Meurtel, avec colombier et chapelle dédiée à sainte Barbe XVIIe et XVIIIe siècle. Propriété de la famille de Tréméreuc du XVIIe siècle au début du XXe siècle, passe par alliance à la famille Grout de Beauvais du Meurtel qui le conserve jusqu'en 1922. Moyenne justice en 1780. C'est, aujourd'hui, la résidence privée de la Famille Large-Chuzeville. Le Château du Meurtel, avec son colombier et sa chapelle dédiée à Sainte Barbe XVIIe et XVIIIe siècle. Il fut la propriété de la Famille de Tréméreuc, du XVIIe siècle au début du XXe siècle, puis passa, par alliance, à la Famille Grout de Beauvais du Meurtel qui le conserve jusqu'en 1922. Moyenne justice en 1780. C'est aujourd'hui la résidence de la Famille Large-Chuzeville. Il est privé, fermé au Public. Il existe aussi sur la commune Tumulus du Château-Serein. Manoir du Grand Trécelin avec colombier et le Manoir au Bourg. Coordonnées par GPS 48° 41' 00" Nord, 2° 19' 00" Ouest * LE MANOIR DU MIROIR A SAINT-MELOIR-DES-BOIS - 22980 Privé Le Manoir du Miroir est un manoir bâti à Saint-Méloir-des-Bois, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir du Miroir est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 27' 30" Nord, 2° 14' 59" Ouest -** LE CHATEAU DE LA MOGLAIS AU LIEU-DIT LA POTERIE A LAMBALLE - 22400 Privé Le Château de la Moglais est un château bâti au lieu-dit la Poterie à Lamballe, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVIIIe siècle et 1ère moitié du XIXe siècle. Le domaine de la Moglais comprend un château achevé vers 1734 environné de communs et d'un parc à la française. Sous la Restauration, le château et le parc sont réaménagés, ce dernier conservant de cette époque plusieurs bâtiments décorés de façades à l'Italienne, parmi lesquels une orangerie et un petit théâtre ou salle des fêtes. La partie du logis ayant échappé à l'incendie de 1941 a conservé sa distribution et un décor de grande qualité datant du début du XIXème siècle. Deux chambres, au premier étage, sont ornées de papiers peints panoramique ainsi qu'une chambre située au premier étage de l'aile sud. Le Château de la Moglais est inscrit aux depuis le 16/11/2011. Adresse et Tel Château de la Moglais - 22400 Lamballe - Tél. Site Web Château de la Moglais Coordonnées par GPS 48° 28' 12" Nord, 2° 29' 6,6" Ouest - LE CHATEAU DU MOGLAIS A LAMBALLE - 22400 Privé CC BY-SA Le Château du Moglais est un château bâti à Lamballe, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Moglais date du XVIIIe siècle. Son propriétaire initial était la Famille du Bouilly. Le Domaine de la Moglais est composé d'un château, achevé vers 1734, environné de communs et d'un parc à la française. Sous la Restauration, le château et le parc sont réaménagés, ce dernier conservant de cette époque plusieurs bâtiments décorés de façades à l'Italienne, parmi lesquels une orangerie et un petit théâtre ou salle des fêtes. La partie du logis, ayant échappé à l'incendie de 1941, a conservé sa distribution et un décor de grande qualité, qui date du début du XIXeme siècle. Deux chambres, au 1er étage, sont ornées de papiers peints panoramique ainsi qu'une chambre située au 1er étage de l'aile Sud. Le Propriétaire actuel du Château est Geoffroy de Longuemar. Le Château du Moglais est inscrit aux depuis le 16/11/2011. C'est un château privé, fermé au Public. Site web Château du Moglais Coordonnées par GPS 48° 28' 12" Nord, 2° 29' 6,6" Ouest * LA TOUR MOGNET A MONCONTOUR 22510 Privée de Dolly11 CC BY-SA La Tour Mognet est bâtie à Moncontour, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction de la Tour Mogle date du XVe siècle. La place forte remonte aux temps anciens, connue sous diverses appelations Castrum Moncontorium, Mons Consularis, Mons Contoris, Moncontour. Le tracé de l'enceinte actuelle date du XIe et XIIe siècle, mais l'origine de la forteresse est antérieure. L'ouvrage a subi d'importants travaux au XIVe siècle, et a eu plusieurs interventions ultérieures. La Tour de l'Ouest date du XIIIe ou XIVe siècle. La Tour Mognet, assise, en partie, sur celle de l'Ouest, date de 1400. Au départ, l'enceinte n'avait qu'une porte pour les véhicules. A la fin du XIVe siècle, fut créée l'ouverture d'une porte flanquée d'une tour et formée de 2 passages, pour les piétons et voitures. La Tour Magnet fait environ 10 mètres de diamètre d'où part la muraille qui la reliait anciennement à celle du donjon. La Tour appartient a une société privée. Coordonnées par GPS 48° 21' 39,83" Nord, 2° 38' 4,11" Ouest * KASTELL-MOND A BELLE-ISLE-EN-TERRE - 22810 Aquarium des Curieux Antoine BRUNET CC BY-SA Kastell-Mond est un château bâti à Belle-Isle-sur-Terre, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château Kastell Mond est au centre ville. Kastell Mond appelé aussi le Château de Lady Mond - 1939, abrite la Mairie et la Bibliothèque. Kastell Mond, est la réplique du Château de Coat-an-noz, réplique construite en 1923 du Château plus ancien de Coat-an-noz, à Loc-Envel. Ce château abrite également le Centre d'initiation à la rivière, depuis 2000. L'Aquarium des Curieux de nature, qui se trouve au Château de Lady Mond dans les locaux du Centre régional d'initiation à la rivière, présente 10 aquariums qui contienent des spécimens représentatifs de la Faune des rivières de Bretagne. Informations aux Site web Aquarium des Curieux Coordonnées par GPS 48° 32' 44" Nord, 3° 23' 36" Ouest - LE KASTELL-MOND OU CHATEAU DE LADY MOND A BELLE-ISLE-EN-TERRE - 22810 Mairie-Bibliothèque Le Kastell Mond appelé aussi le Château de Lady Mond est un château bâti à Belle-Isle-en-Terre, dans le centre ville, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château Kastell Mond date de 1939. Il abrite la Mairie et la bibliothèque. Le Château de Lady Mond est une réplique, construite en 1923, par Lady Mond, du Château de Coat-an-Noz. Cette réplique ayant été construite, au départ, trop près de la route, Lady Mond ordonna qu'elle soit démontée et reconstruite, à quelques mètres plus loin de la route. Aujourd'hui, le Château de Lady Mond accueille un aquarium d'eau douce et le Centre Régional d'Initiation à la Rivière Crir. Coordonnées par GPS 48° 32' 44" Nord, 3° 23' 36" Ouest - LE CHATEAU DE MONCHOIX A PLUDUNO - 22130 Se Visite CC BY-SA Le Château de Monchoix est une malouinière bâtie à Pluduno, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Monchoix date de 1759, pour Antoine de Bédée, qui fut l'oncle de François-René de Chateaubriand surnommé "bédée l'Artichaut" pour éviter de le confondre avec "Bédée l'asperge". Le château est construit par l'oncle maternel de Châteaubriand, Antoine de Bédée il devient seigneur de Plancoët en 1786, après rachat du Fief aux Rieux. François René de Châteaubriand conserve un souvenir merveilleux de Monchoix, dont il compare la douceur à la sévérité de Combourg. Après les Bédée, le château passe aux Du Boishamon; Henri, sous-préfet, meurt à Monchoix en 1846.Source le FlohicConstruit dans la 2ème moitié du XVIIIe siècle par l'oncle de Châteaubriand, l'édifice est une maison rurale de plan rectangulaire s'élève sur 3 niveaux. Calées par deux cheminées monumentales au départ des croupes de pignon, les façades sont de composition classique. A l'intérieur, la lisibilité de la distribution d'origine a été perturbée par les cloisonnements du XIXe siècle. La chambre de l'écrivain y est conservée. Le Château de Monchoix a été racheté le 30/09/2010, par un couple de Hollandais Rien et Wilja Van Aart, passionnés de chevaux. Propriété de l'hôpital de Girac, l'ancienne maison de convalescence était en vente depuis un an. Le couple a déboursé près de 1,2 millions d'euros pour acquérir les 57 hectares de terrain, dont 80% sont boisés, et les 3800m² habitables, composés de 63 chambres. Leur projet est de faire venir de Hollande leurs 20 chevaux pour proposer des stages de dressage et des spectacles équestres. Ils projettent de faire tourner leur haras grâce à des chambres d'hôtes. Le Château de Monchoix en totalité est inscrit aux le du 22/07/2004. Le 30/09/2013, à l'occasion des journées européennes du Patrimoine, le Château de Monchoix avait ouvert ses portes. Visiteurs locaux comme les touristes n'ont pas manqué de saisir cette opportunité pour la visite, sous la conduite de son propriétaire, Charles du Boishamon, mettant ainsi leurs pas dans ceux de l'écrivain et de son oncle, qui était le propriétaire des lieux, à l'époque. Le Château de Monchoix se visite, toute l'année, sur RV. Adresse Château de Monchoix - D768 - 22130 Pluduno. Coordonnées par GPS 48° 31' 27" Nord, 2° 15' 37" Ouest - LE CHATEAU DE MONTAFILAN A CORSEUL - 22130 Gite d'Hotes de Harrie Gielen CC BY-SA Le Château de Montafilan est un château bâti à Corseul, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Montafilan date du XIIe au XIVe siècle. Château de Montafilan du XIIe siècle. Il date du XIIe au XVe siècle. C'est un château de style médiéval, construit pour les Vicomtes de Dinan, dès le XIIe siècle. Il est en partie détruit. Cependant, une partie reste visitable librement. Le site du château, un promontoire au milieu d'une vallée encaissée, a peut-être été utilisé comme oppidum à l'époque pré-romaine. L'édifice, en forme de triangle flanqué de 7 tours, a été remanié au xive siècle. Ce château médiéval, construit par les vicomtes de Dinan, est en partie détruit. Cependant, une partie reste visitable librement. Le site du château, un promontoire au milieu d'une vallée encaissée, a peut-être été utilisé comme oppidum à l'époque pré-romaine. L'édifice, en forme de triangle flanqué de sept tours, a été remanié au XIVe siècle. À la fin du XVe siècle, il a été abandonné et a servi de carrière de pierre. On y a découvert une statue de Sainte Agathe avec, à ses côtés, un chevalier et une dame, du XIIIe siècle. Pour découvrir les vestiges du Château de Montafilan, il faut prendre la route qui mène de Corseul à Bourseul. Vous pourrez vous garer sur un petit parking indiquant la direction des ruines du Château de Montafilan. A pied, vous traverserez alors une sorte de champ, puis commencerez à grimper assez fortement. Les ruines du Château de Montafilan sont en effet au sommet d'une colline abrupte. C'est aujourdhui un gite d'hôtes. Adresse Château de Montafilan - Gite d'Hôtes- Rue de Montafilan, 22130 Corseul - Téléphone 02 96 82 72 71 Horaires de 8H à 20H Coordonnées par GPS 48° 28' 57" Nord, 2° 10' 08" Ouest - LE CHATEAU DE MONTERFIL A CORSEUL - 22130 Le Château de Monterfil est un château bâti à Corseul, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Ce château fut construit, sur l'emplacement d'un temple gallo-romain, pour la famille du Breil de Pontbriand en 1864. Le Château de Monterfil est composé d'un avant-corps très saillant cantonné de 2 tours circulaires couvertes en poivrière. Le corps arrière est plus allongé. Le perron a une balustrade et un balcon polylobé. Coordonnées par GPS 48° 28' 57" Nord 2° 10' 08" Ouest * LE CHATEAU DE MONTJOIE A GOUDELIN - 22290 Le Château de Montjoie est un manoir bâti à Goudelin, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il fut constuit au XVIIème siècle. Il appartenait au XVIe siècle à la Famille Quélen. En 1698, il sera rendu à la Famille Penhoëdic, puis en XVIIIe siècle, à la Famille Botmilliau. Coordonnées par GPS 48° 36' 14" Nord, 3° 00' 57" Ouest * LE CHATEAU DE LA MOTTE-BROONS A BROONS 22250 Le Château de la Motte-Broons est un château bâti à Boons, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il ne reste, aujourd'hui, plus rien de l'ancien château natal de Bertrand du Guesclin, démoli à partir de 1616, sur l'ordre de Marie de Médicis, à la suite des Guerres de la Ligue. Il existe plusieurs châteaux et manoirs sur la commune à découvrir le Château de Brondineuf, l'Ancien donjon du Bourg de Broons, le Manoir des Milons, le Manoir de la Cavée, le Manoir de Launay-Milon, et le Manoir ou Hôtel de Pedenhouët, dit le Château de Pedenhouët. Coordonnées par GPS 48° 19' 05" Nord, 2° 15' 34" Ouest * LE CHATEAU DU MOTTAY A EVRAN - 22630 Privé Le Château du Mottay est un château bâti à Evran, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Mottay date du XVIe siècle. Le château a été remanié au XIXe siècle. Le château du Mottay est un édifice hétérogène avec 2 façades différentes. Celle de l'Est, la façade principale maintient de beaux éléments sculptés en gothique flamboyant, fenêtres, rampants des pignons à feuilles retournées et crossettes en forme de lions qui peuvent remonter au début du XVIe siècle. La propriété fut vendue, en 1516, par une famille l'Hôpital aux Chauchart qui l'ont toujours conservée depuis et qui seraient les commanditaires. Le logis a été prolongé vers le Sud au XVIIe ou XVIIIe siècle, puis à la suite d'un incendie en 1868, il est entièrement restructuré. La façade arrière Ouest rend mieux compte des nouveaux aménagements. Un avant-corps de deux travées en pierre de taille des faluns et baies en granite du Hinglé, couvert d'un haut toit en pavillon est plaqué au milieu de l´élévation, il est encadré au Nord par l'ancienne tourelle d'escalier postérieure du manoir du XVIe siècle et au Sud par une nouvelle tourelle formant pendant. Les deux tourelles seront alors couronnées par un crénelage de fantaisie lui donnant, malgré ses hautes toitures à croupe, une allure de château de style troubadour. Le Château du Mottay est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 23' 00" Nord, 1° 58' 47" Ouest * LE CHATEAU DE LA MOTTE-BASSE A LE MENE - 22330 Privé de Therese Gaigé CC BY-SA Le Château de la Motte-Basse est un château bâti à Le Gouray, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Le Château de la Motte-Basse date du XVIIIe siècle. La Motte-Basse était, à l'origine, une motte féodale qui surveillait le cours de l'Arguenon. Elle était composée d'une grande maison de pierre et de terre, avec deux tours, le tout entouré d'eau. Au 18e siècle, les murs de la petite forteresse furent maintenus, mais habillés sur la façade par un revêtement de pierres de taille. En 1748, le château fut agrandi d'un pavillon. Furent également construits un bâtiment comprenant un corps de logis et deux pavillons aux toits pyramidaux, destiné à l'habitation du chapelain. Les espaces intérieurs conservent de nombreux éléments de leur aménagement du 18e siècle. Au XXe siècle, le Château de la Mote-Basse reçut un pavillon en forme de tour carrée, surmonté d'une coupole et d'un lanternon. Il possède en partie son cordon seigneurial, son corps de logis surmonté d'un toit incurvé avec deux étages de lucarnes et oeil de boeuf. Dans la cour d'honneur, l'ancien bâtiment de la boulangerie est encore visible avec ses fours. Dans le jardin, une fontaine surmontée d'une croix porte la date de 1733. La pièce d'eau rectangulaire murée, est dominée par une terrasse dessinée à la française. La chapelle, restaurée en 1758, possède ses litres extérieures blanchies à la chaux à la Révolution. A l'intérieur, elle s'orne d'un tableau immensen de 1691, représentant l'Annonciation. En 1800, les douves furent supprimées et remplacées par des bâtiments de service reliés par une grille en fer forgé qui fermait la cour d'honneur. Les douves arrière furent élargies en pièce d'eau. Le Château de la Motte-Basse est inscrit partielement aux depuis le 3/06/1975. Les éléments protégé du château sont les façades et toitures du corps central du château,le pavillon situé près du bois et les 2 pavillons en bordure du parc ainsi que la chapelle, depuis le Le Château de la Motte-Base est privé, fermé au Public. Adresse Château de la Motte-Basse - 22330 Le Mene Coordonnées par GPS 48°19'15,41" Nord, 2°28'36,54" Ouest * LE CHATEAU DE LA MOUSSAYE A PLENEE-JUGON - 22640 Privé Le Château de la Moussaye est un château bâti à Plénée-Jugon, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de la Moussaye est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 21' 54" Nord, 2° 23' 57" Ouest - LE MANOIR DE MUNEHORRE A PABU - 22200 CC BY-SA Le Manoir de Munehorre est un manoir bâti à Pabu, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Munehorre date du XVe au XVIIIe siècle. Le château de Munehorre avait une chapelle privée qui subsiste toujours. Elle se situe près d'un petit étang et sert depuis de cave, au fermier. Certains éléments du manoir seraient encore plus anciens, comme la tourelle ; son colombier, son orangerie, sa chapelle, son moulin Milin-ar-Pont. Son nom viendrait de Mein Hoer, qui signifie pierres d'or en vieux breton langue antérieure aux XIe et XIIe siècles. Il possédait jadis une chapelle privée ; en 1671, on en distingue deux un oratoire » et une chapelle nommée Saint-Pabu. La seigneurie de Munehorre ou Kerprigent-Munehorre possédait jadis un droit de haute justice confirmée en 1671, puis de moyenne et basse justice en 1770. La seigneurie de Munehorre avait dans sa mouvance le Manoir de Kerhuel et le Manoir du Rucaër. Il existe aussi surla commune de Pabu, le Château de Runevarec. Coordonnées par GPS 48° 35' 18" Nord, 3° 08' 04" Ouest * LE CHATEAU DE LA NEAUVAIS A HENON - 22150 Le Château de la Néauvais est un château bâti à Hénon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Néauvais date du XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 23' 07" Nord, 2° 40' 57" Ouest - LE MANOIR DE NEVEIT A DUAULT 22160 Chambres d'Hôtes Le Manoir du Neveit est un manoir bâti au Hameau de Neveit, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Vous y trouverez des chambres d'hôtes agréables. Il existe u autre manoir à découvrir sur la commune Le Manoir de Rozvillou ou de Rosvilliou, date du XVIe siècle. L'extérieur est visitable en Juillet et Août. Le Manoir de Rozvillou est inscrit aux depuis le 22/01/1927. Coordonnées par GPS 48° 21' 43" Nord, 3° 26' 03" Ouest * LE MANOIR DE LA NOE VERTE A LANLOUP - 22580 Colombier CC BY-SA Le Manoir de la Noë Verte est bâti à Lanloup, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date du XVe siècle. C'est un petit manoir fortifié du XVe siècle. Une allée d'arbres terminée le long de la route par un mur, conduit au portail traditionnel breton à 2 portes. Celui-ci donne accès à la cour précédant le Manoir de la Noë Verte, bordée d'un côté, par les communs. Le Manoir de la Noë Verte a subi de nombreuses modifications. La construction primitive est limitée par 2 tourelles. Toute la partie droite fut ajoutée au XVIe siècle. L'une des pièces conserve ses boiseries du XVIIIe siècle. L'escalier de la façade postérieure présente la particularité de n'avoir pas d'accès de l'extérieur ni du rez-de-chaussée, mais seulement de l'étage, et aboutit au sous-sol. Il devait conduire à un souterrain permettant de sortir loin du Manoir de la Noë Verte. Le mur d'enceinte possédait, à l'angle, une échauguette. A l'extérieur de cette enceinte, se trouvele colombier. Le Manoir de la Noë Verte est inscrit aux depuis le 6/07/2009, pour ses façades, ses toitures du logis, ses communs et l'ensemble des dispositions délimitant la cour d'honneur, à l'exception de l'extension moderne donnant sur la pièce d'eau, l'assiette de la cour d'honneur, l'enceinte extérieure en totalité, le colombier en totalité et le routoir à lin. Le manoir appartient à une société privée. Adresse Manoir de la Noë Verte - 2 Bel Orient - 22580 Lanloup Coordonnées par GPS 48° 42' 23" Nord, 2° 58' 42" Ouest * LE CHATEAU DE LA NOE-SECHE A LE-FOEIL - 22800 Se Visite CC BY-SA Le Château de la Noé-Sèche est un château bâti à Le Foeil, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il date du XIVe siècle. Le château appartenait au XIVe siècle à Isabeau de Robien. Puis en 1449, le château appartient à Allain de Robihan, puis il devient la propriété de la famille de Kymerc'h ou Kerymerch. En 1479, Jeanne de Rostrenen est appelée Dame de Ranleon et de la Noë Sèche. Arrive ensuite, la famille de Tinténiac qui détient le domaine par mariage, vers 1520 de Pierre, seigneur du Porcher, avec Françoise de Kerimerch, dont il prend les armes. Le Château de La Noé Sècheira ensuite dans les mains des familles Hayes, Drouët, Guépin et Rabeil, et Roquefeuil en 1854. Lesseigneurs de La Noë-Sèche possédaient des droits d'écussons et de bancs, dans la chapelle Saint-Pierre de la Collégiale de Quintin. Le Château de la Noë-Sèche est constitué de 3 corps de bâtiment qui forment une cour intérieure. Le porche date du XVe siècle. Il est flanqué d'une tour, avec une porte charretière et une porte piétonne ornées d'arcs en accolade, de fleurons et de candélabres. Le Château de Noé Sèche est visible de l'extérieur. Le Château de la Noë Sèche est une propriété privée, visible de l'extérieur. Visite guidée du Château de la Noé-Sèche les jeudis et samedis, de 14 h à 17 h, les autres jours sur rendez-vous. Entrée 4 €/Adulte. Gratuit pour les enfants. Adresse Château De La Noë Sèche à Le Fœil 22800 - Tél 06 28 46 00 91 Coordonnées par GPS 48° 23' 13" Nord, 2° 55' 36" Ouest * LE CHATEAU DE NOIRMONT A ERQUY - 22430 Le Château de Noirmont est un château bâti à Erquy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Noirmont est de style néo-classique. La construction du Château de Noirmont date de la première moitié du XIXe siècle. C'était la maison d'un notable. Coordonnées par GPS 48° 37' 57" Nord, 2° 27' 47" Ouest * LE CHATEAU DU PARC AU HAMEAU LA TIOLAY A LE MENE - 22330 Privé de Thérèse Gaigé CC BY-SA Le Château du Parc est un château bâti au hHmeau la Tiolay, à le Méné, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château du Parc est inscrit aux Le Château du Parc est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 17' 01" Nord, 2° 27' 28" Ouest * LE CHATEAU DE PEHOU A PLOUËR-SUR-RANCE - 22690 de Koichi Shibata CC BY-SA Le Château de Péhou est un château bâti à Plouër-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Péhou est une anciene forteresse des Tréméreuc. Le château domine la Rance. Au siècle dernier, ne subsistaient que quelques ruines de cet ancien château-fort construit à l'origine au 14è siècle. En fait, au cours des ans, divers ouvrages défensifs ont été réalisés. Le nom Péhou, d'origine celte, désigne d'ailleurs une place forte. A l'époque elle était la seigneurie de Plumoison, ou Pille-Oison, où résidèrent les ducs de Bretagne. Une chapelle Saint-Lunaire y avait été édifiée. Plus bas, près de la rive, une fontaine prétendûment miraculeuse à laquelle la légende des deux aveugles a valu sa réputation. La chapelle a été déplacée à Vaux-Carheil au XIXe siècle. Cette demeure est une reconstitution partielle de l'ancien château. Elle est située à l'extrémité du domaine de Péhou, dressant fièrement ses tours dominant la Rance sur leur éperon rocheux. Avant la construction du barrage, les grèves entourant la pointe de Péhou grouillaient, à marée basse, de pêcheurs de crevettes. Kowalski, ultime élève de Chopin, épousa la propriétaire du domaine. Avec la fortune de son épouse, il fit reconstruire une partie du château, dont les tours. Très dépensier, il menait la grande vie au château. Quoiqu'enseignant la musique au collège de Dinan, ses revenus et la fortune de son épouse fondirent comme neige au soleil. Son épouse, qui lui surécut fut obligée de revendre le domaine et finit sa vie dans la misère. Du haut de la tour qui domine la propriété, elle devait guetter le retour d'un époux souvent absent. Pendant ce temps, sur l'autre rive, les marins, occupant les maisons blotties les unes contre les autres au bord de la cale de Mordreuc, imaginaient et parlaient, à la veillée devant le feu de cheminée, de l'histoire d'une belle princesse solitaire. Site web Val de Rance Coordonnées par GPS 48° 30' 55,14" Nord, 1° 58' 46,43" Ouest * LE CHATEAU DE PELEM A SAINT-NICOLAS-DU-PELEM - 22480 Privé de Francois Garet CC BY-SA Le Château du Pélem est un château bâti à Saint-Nicolas-du-Pélem, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Pelem date du début de 1622. Une inscription est gravée sur la voûte de la porte, par la famille de Quelen, en remplacement de l'ancien manoir. Pendant la Révolution Française, le Château de Pélem fut pillé par des Chouans, puis, il fut occupé par une colonne mobile républicaine qui brula les portes et les planchers. Heureusement, le maire de Bothoa, René Jacques Ruellan du Créhu, est intervenu et a protégé les armoiries du château et de la chapelle Saint-Nicolas, les masquant avec du plâtre pour éviter qu’elles ne soient martelées. Le château du Pélem fut transformé au XIXe siècle, avec l’ajout d’un perron en granite. L'actuelle église paroissiale est l'ancienne chapelle privée du château. Le Château du Pélem est aujourd’hui habité par la famille de Boisboissel, héritière de la famille de Beaucours. Le Château de Pélem est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 18' 50" Nord, 3° 09' 47" Ouest * LE CHATEAU DE LA PERCHAIS A GUITTE - 22350 Le Château de la Perchais est un château bâti à Guitté, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il existe 3 châteaux dans le village de Guitté à découvrir le Château de Beaumont, le Château de Couëllan et le Château de la Perchais et le Manoir des Touches. Coordonnées par GPS ................. * LE CHATEAU DE PERRIEN A LANRODEC - 22170 Ruines Le Château de Perrien est un château bâti à Lanrodec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Perrien est, aujourd'hui, en ruines. La construction du Château de Perrien date des XVe-XVIe siècles. C'était un château fortifié, entouré de douves et ses tours abritaient des casemates d'artillerie. Aujourd'hui, il ne subsiste que ses douves et quelques pierres d'origine. Le Château de Perrien a été inscrit par arrêté aux le 10 septembre 1928. Coordonnées par GPS 48° 28' 56" Nord, 3° 01' 28" Ouest * LE MANOIR DU PESLE-CHATEL A PLEDRAN - 22960 Privé Le Manoir du Pesle-Châtel est un manoir bâti à Plédran, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir du Pesle-Chatel date du XVe au XVIIe siècle. C'est un Manoir à tourelle entouré de murets, de lucarnes à frontons, décorés de coquilles. Le Manoir est visible de la route Plédran-Piruit. Le Manoir du Pesle Châtel est privé, fermé au Public. Il existe aussi dans la commune le Château de Craffault, Château de Craffault du XVe siècle, restauré et privé, inscrit aux avec d'autres manoirs Coordonnées par GPS 48° 26' 48" Nord, 2° 44' 41" Ouest * LE MANOIR DE PESTIVIEN A TREVRON - 22100 Privé Le Manoir de Pestivien est un manoir bâti à Trévron, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Pestiviens date du XVIIe siècle. Le Manoir du Pestivien est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 23' 31" Nord, 2° 03' 41" Ouest * LE CHATEAU DE PIERRE II A GUIMGAMP - 22200 Se Visite de Kingbastard CC BY-SA Le Château de Pierre II est un château bâti à Guimgamp, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Pierre II date de 1440. Bénéficiant d'une véritable restauration, le Château de Pierre II est ouvert à nouveau au Public depuis Août 2014 pour des visites encadrées. D'autres travaux ont eu lieu en fin d'années 2014. Le Château de Pierre II est inscrit aux depuis le 20/01/1926. Coordonnées par GPS 48° 33' 34,15" Nord, 3° 8' 59,64" Est * LE MANOIR DE LA PICHARDAIS A CREHEN - 22130 Chambres d'Hôtes Le Manoir de la Pichardais est un manoir bâti à Créhen, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Picardais date du XVIe et XVIIIème siècle. Ce manoir est habité depuis le XVIe siècle par la famille Bernard de Courville Durant la guerre de Sept ans, cette vieille demeure familiale fut partiellement détruite au cours de la "Bataille de Saint Cast" qui opposa Anglais et Français en septembre 1758. Situé sur la Côte d'Emeraude, vous y trouverez des chambres d'Hôtes. Infos et réservations Bénédicte et Christian de Courville - Tel 02 96 41 09 96 - Ouvert du 1 avril au 10 novembre Site web Manoir de la Pichardais Coordonnées par GPS 48° 32' 47" Nord, 2° 12' 43" Ouest - LE CHATEAU DU PLESSIX-MADEUC A CORSEUL - 22130 Chambres d'Hôtes Le Château du Plessix-Madeuc est un château bâti à Corseul, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Plessix-Madeuc date du XVIIe au XIXe siècle. Cette belle demeure a appartenu à la Famille Madeuc, une des familles les plus anciennes de la région. Son nom signifie en breton "bienfaisant". Le Château du Plessis-Madeuc comporte une tour carrée et un imposant escalier à vis. Au XVIIIe siècle, le Château du Plessis-Madeuc a appartenu à la famille Gaudemont de la Monforière. La porte principale est couronnée d'un fronton triangulaire aux armoiries de la Famille Gaudemont de la Monforière. Le château est classé Label Gite de France. Pour 4 personnes. Tarif à partir de 80 euros par jour. Adresse et Infos Manoir du Plessix-Madeux - Chambres d'Hôtes - 22130 Corseul - Téléphone 06 11 56 68 96 Coordonnées par GPS 48° 28' 09" Nord, 2° 09' 48" Ouest * LE MANOIR DE PLESTIN-LES-GREVES A PLESTIN-LES-GREVES - 22310 En Vente Le Manoir de Plestin-les-Grèves est un manoir bâti à Plestin-les-Grèves, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un très beau manoir de 200 m2 d'habitation, 7 pièces, 6 chambres,sur 1650 m2 de parc, et un terrain de 5160m2, entièrement rénové. Au rez de chaussée, se trouve une entrée d'époque, un salon de 36 m2, un parquet, des boiseries, et des volets intérieurs. Très beau Manoir de 1650 m2 sur parc 5116m², 200 m² hab, Rénové. Au RDC entrée d'époque, salon 36 m² parquet, boiseries, volets intérieurs, grand âtre avec insert, SAM avec cheminée, cuisine équipée, SDE, escalier pierre, tour du XIXe siècle. Au 1er étage 3 chambres, antichambre bureau, tourelle avec SDE, wc, cheminée bois - 2ième étage 3 chambres, SDE wc - greniers isolés avec laine de coton, toiture refaite en 1990 1 Tonne d'ardoises de LOCQUIREC, charpente traitée. Au RDJ, caves très bon état. Un parc à l'ancienne, et le puits. Le Manoir bâti autrefois par des armateurs soucieux de pouvoir visualiser leur flotte de bateaux remplis de lin en partance vers l'Orient. Le Manoir de Plestin-les-Grèves fut divisé en 2 au milieu du siècle, il existe la possibilité d'acquérir également l'autre partie du Manoir voir annonce ci-dessous. Très belle unité! Plages de sable fin à 200m. Votre bateau peut être ancré devant, face à LOCQUIREC. dont % honoraires TTC à la charge de l'acquéreur. Il existe aussi sur la commune à découvrir la Villa de Kergoz ou Le Manoir à Saint-Efflam, le Château de Lesmaës, le Manoir de Kerviziou, tous 2, datant du XVIe siècle et le Manoir de Leslach du XVIIe siècle. Référence annonceur FIN214 - Référence Propriétés le Figaro 27072691. Il est mis en vente au prix de 493 900 Euros. Infos sur Les Demeures du Littoral - Tel 33 02 96 23 09 86. Coordonnées par GPS 48° 39' 28" Nord, 3° 37' 47" Ouest - LE CHATEAU DE PLOUËR OU CHATEAU DE LA VILLE-HUCHER A PLOUER-SUR-RANCE - 22490 Privé CC BY-SA Le Château de Plouër appelé aussi le Château de la Ville Huchet est un château bâti à Plouër-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Plouër a été reconstruit au début du XVIIIe siècle. Il possède un jardin d'agrément qui date du XVIIIe siècle, inscrit au pré-inventaire des jardins remarquables. Le Château de Plouër fut reconstruit, pour Joseph de La Haye, récent seigneur de Plouër, à l'emplacement du vieux château de Saint-Paul, détruit à l'époque des guerres de la Ligue. Le Château de Plouër est de style Louis XIII et est entouré d'un grand parc d'agrément. Joseph de La Haye 1665-1723 transforma complètement l'ancienne forteresse de Saint-Paul, siège du Comté de Plouër et détruisit tout son système de défense, entre 1713 et 1720 pour y substituer un château Louis XIII agrémenté de parterres à la française et de perspectives qu'on appela le Château de Plouër. René Magon de la Villehuchet 1870-1914 fut chef d'escadron au 50ème Régiment d'Artilelrie, Chevalier de la légion d'honneur, et mort pour la France à Beaurains près d'Arras, le 3 octobre 1914, âgé de 44 ans. Il épousa en 1896, Anne Pinezon du Sel des Monts +1956. Le château depuis appartient à leurs descendants. Le Château de Plouër est inscrit aux depuis le 15/06/1964. La Famille de la Haye sera à l'origine de 2 édifices du XVIIIe siècle l'église actuelle et le Château de Plouër. C'est un château privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 31' 21,36" Nord, 2° 00' 22,1" Ouest - LE CHATEAU DE POMMORIO A TREVENEUC - 22410 Le Château de Pommorio est un château bâti à Tréveneuc, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est en 1430 que débuta l'histoire de Pommorio. Pierre Chrestien, l'époux de Guillemette de la Motte-Rouge, fit bâtir le Château de Pommorio. C'est un Château fort situé dans le bois actuel dont il reste les vestiges d'une tour et ses lavoirs. Le Château de Pommerio actuel, quant à lui, a été construit entre 1780 et 1790, pour Jean-Baptiste René Chrestien, Comte de Tréveneuc, marié à Julie Charpentier de Lenvos. Le dernier du nom, Henri Charles Marie Chrestien de Tréveneuc 1894-1915 ayant habité à Pommorio était sous-lieutenant au sein du 48ème Régiment d'Infanterie lors de la Première Guerre Mondiale, est mort pour la France à Arras le 21 Juin propriétaire du Château de Pommorio est la famille Espivent de la Villesboisnet. Vous pourrez, maintenant, y louer des salles, pour y fêter votre mariage et organiser votre réception. Adresse Château Pommorio, 22410 Tréveneuc - Téléphone 06 28 25 76 99 Coordonnées par GPS 48° 39' 52" Nord, 2° 52' 08" Ouest * LE CHATEAU DE PONTGAMP A LANGAST - 22150 Le Château de Pontgamp est un château bâti à Langast, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Pontgamp date du XVIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 16' 51" Nord, 2° 39' 45" Ouest - LE MANOIR DES PORTES A PLEVEN - 22130 Mairie Le Manoir des Portes est un manoir bâti à Pleven, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir des Portes date du XVe siècle. Il est inscrit aux Le Château des Portes abrite dans ses murs la Mairie de Pleven. Il est ouvert aux heures de bureau. Coordonnées par GPS 48° 29' 27" Nord, 2° 19' 09" Ouest * LE CHATEAU DES PORTES A NOYAL - 22400 Privé de Thérèse Gaigé CC BY-SA Le Château des Portes est un château bâti à Noyal, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château des Portes date du milieu du XIXe siècle. Le château est une construction des années 1840. De style néo-Classique, il présente une volumétrie cubique, dominée par une toiture, à quatre versants. Les élévations principales sont dotées d'avant-corps ainsi que de baies droites ou en plein cintre. A l'intérieur, les pièces sont aménagées de part et d'autre d'un couloir transversal et chaque étage se voit attribuer un usage déterminé. L'ensemble du Château des Portes dévoile un aspect homogène et bien préservé. Le Château des Portes est entourée d'un parc assez simple qui a conservé ses dispositions d'origine avec une longue avenue et son petit saut-de-loup bornant une cour d'arrivée en demi-cercle. Le Château des Portes est inscrit aux le 20/09/2012. Le Château des Portes est privé, fermé au Public. Il existe aussi à découvrir sur la commune le Château de La Roche-Goyon. Le Château est privé, fermé au Public. Adresse Château des Portes -33 Le Château des Portes 22400 Noyal Coordonnées par GPS 48° 26' 47" Nord, 2° 27' 09" Ouest * LE CHATEAU DE PORTRIEUX A SAINT-QUAY-PORTIEUX - 22410 Le Château de Portrieux est un château bâti à Saint-Quay-Portrieux, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Portrieux date de la fin du XIXe siècle. Coordonnées par GPS 48° 38' 51" Nord, 2° 49' 40" Ouest * LE CHATEAU DU QUARTIER A QUINTIN - 22800 Le Château du Quartier est un chateau bâti à Quintin, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château Quartier date du XVIIe siècle. Il est resté inachevé. Le Château du Quartier est attribué à Gabriel du Cerceau. Coordonnées par GPS .............. * LE MANOIR DE QUIMBY A BREHAND - 22510 Le Manoir de Quimby est un manoirbâti à Bréhand, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de Bréhand date du XVIe et XVIIIe siècle. Il a appartenu en 1514, à Raoul Le Champion, en 1536, du sieur de Kermené puis à la Famille Carmené. Ce petit manoir possède une porte, dont l'arc brisé repose sur deux larmiers saillies qui empêchent l'eau de couler le long du mur, une tour qui protège la porte par une meurtrière, et une chapelle privative qui fut abandonnée à la Révolution. Il existe aussi 2 manoirs sur la commune de Bréhand et 1 château à découvrir Le Manoir de Boishardy et le Manoir de Quimby et le Château de Launay. Coordonnées par GPS 48° 24' 13" Nord, 2° 34' 23" Ouest - LE CHATEAU DE QUINCOUVRE A PLEUDIHEN-SUR-RANCE - 22690 Le Château de Quincoubre est un chateau bâti à Pleudihen-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Quincoubre date de la Fin XIXe siècle. Il existe aussi le Château de la Ville-Bodin et le Manoir de Saint-Meleuc XVe siècle à découvrir dans le village. Coordonnées par GPS 48° 30' 42" Nord, 1° 57' 02" Ouest * LE CHATEAU DE QUINTIN A QUINTIN - 22800 Se Visite de CC BY-SA Le Château de Quintin est un château bâti à Quintin, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Quintin est de style Renaissance. Siège du pouvoir féodal, le Château de Quintin a subi une succession de guerres, au cours des XVe et XVIe siècles. Seules, ont été conservées de la cité médiévale de Quintin, les ence,intes et la Porte-Neuve, composée en partie par l'ancienne tour des Archives du Château de Quintin. Un des derniers bastions protestants au XVIIe siècle, le Château, réédifié au milieu du XVIIe siècle, reste inachevé. Au XVIIIe siècle, ses communs et écuries furent réaménagés et agrandis pour constituer l'actuel Château de Quintin. Chargée d’histoire, la Seigneurie de Quintin, puis son château, a depuis son origine, toujours été conservée au sein d'une même lignée. Rohan, Laval, Coligny, la Trémoille, Gouyon de la Moussaye, Durfort de Lorges ou Choiseul sont parmi les plus prestigieuses familles ayant hérité du Domaine de Quintin, à travers les siècles. L’ouverture au Public au Château de Quintin, depuis 1986, permet, peu à peu, de restaurer ses jardins et ses intérieurs. Le Château de Quintin est en fait constitué de 2 châteaux bâtis dans le même parc un Château du XVIIe siècle, inachevé, classé aux et un Château du XVIIIe siècle, inscrit aux Le Château de Quintin est ouver au Public et se visite. Visite guidée des appartements meublés salons, salle à manger, chambres, nombreuses collections privées, potager fourneau en granit XVIIIè siècle, soubassements avec salles voûtées. Exposition "Les éventails" en saison. Le Château de Quintin a été classé aux en 1983 et inscrit, aux en 1951. Il est ouvert au Public et se visite. Adresse Château de Quinin - Impasse Pompe à Quintin 22800 - Tél - Se Visite Ouvert au Public de Juin à Septembre de 14H à 18H Avril, Mai, les dimanches de 14h 30 à 17 H. Site web Château de Quintin Coordonnées par GPS 48° 24' 1O,86" Nord, 2° 54' 31,34" Ouest - LE CHATEAU DE LA RAVILLAIS A PLOUBALAY - 22650 CC BY-SA Le Château de la Ravillais est un château bâti à Ploubalay, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il comporte un beau jardin paysager, bien entretenu. Coordonnées par GPS 48° 33' 41,77" Nord, 2° 7' 50,3" Ouest * LE CHATEAU DE LA REINE ANNE OU CHATEAU DE DINAN A DINAN 22100 Le Château de la Reine Anne appelé aussi le Château de Dinan est un château bâti à Dinan, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Dinan Côtes-d'Armor est en fait constitué du Donjon, dit de la duchesse Anne, près de la porte Saint-Louis. Le donjon et la porte font partie des 2 600 mètres de remparts médiévaux qui entourent encore la vieille ville. Le château appelé aussi le Château ou donjon de la Duchesse Anne, classé par arrêté du 12 juillet 1886 qui fait partie des 2 600 mètres des remparts, également classés par arrêté du 12 juillet 1886. Le Château de la Reine Anne est classé aux Coordonnées par GPS 48° 27' 01" Nord, 2° 02' 41" Ouest * LE CHATEAU DU RESTMEUR A POMMERIT-LE-VICOMTE - 22200 Le Château du Restmeur est un château bâti à Pommerit-le-Vicomte, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Un certain De La Lande fut seigneur du Restmeur. La construction du Château de Restmeur date du XVIIIe siècle. Il fut un manoir typiquement breton du XVe siècle acheté en 1724 par Jean de La Monneraie, Grand Prévost de Bretagne. Cette propriété, très importante, s'étendait sur 5 communes. Elle restera dans la même famille jusqu'en 1803. Jean de la Monneraie construsit les écuries en 1730, son fils détruisit le manoir à partir de 1755 pour construire une première version Louis XV du Château, la chapelle Notre-Dame du Restmeur, le pavillon du chapelain et le pavillon des invités. Son petit-fils Jean Dimas entreprit des travaux d'amélioration sur la façade sud en 1788 qui se terminèrent en 1790. Aujourd'hui Le Restmeur est un ensemble très harmonieux du XVIIIe siècle présentant les principaux styles du siècle des Lumières, en cours de restauration depuis 1985 par Jean Baptiste et Christine de Bellescize. L'ensemble, avec le parc, est partiellement inscrit au titre de Monument Historique depuis 199718 et ouvert à la visite publique l'été. Il fut la propriété de la famille de La Monneraye de 1723, de Mme de Boissard en 1803, d'Amédée de Kergariou, de la Baronne de Lespinasse en 1824, du Marquis de Keroüartz en 1871 et des Bellescize depuis 1985. Il y eut une bataille entre les Chouans et les Républicain au Restmeur en 1800 qui fit 4 morts Les Chouans étaient commandés par Taupin, ancien valet de chambre de l'évêque de Tréguier. Le 10 mai 1944, quatre jeunes résistants étaient à la ferme du Restmeur quand les Allemands arrivèrent. Le gardien du Château, les ayant aperçus, courut les prévenir. Ils s'enfuirent dans le bois. L'un d'entre eux, Henri Corbel, 22 ans, craignant de compromettre les fermiers, revint chercher son pistolet, oublié sur la table. En s'échappant de nouveau il fut blessé à la jambe, interrogé sur place, torturé et exécuté, une heure plus tard. Le lendemain, le 11/05/1944, une grande Croix de Lorraine fut déposée sur le perron de la chapelle du Restmeur où le recteur de Pommerit célébra la messe devant tout le village rassemblé. Coordonnées par GPS 48° 37' 37" Nord, 3° 06' 54" Ouest * LE MANOIR DE LA RIVIERE A PLUMAUGAT - 22250 Gite d'hôtes Le Manoir de la Rivière est un ancien presbytère, bâti à Plumaugat, dans les département des Côtes d'Armor, en France. La construction du Manoir date de 1978. Aujourd'hui, le Manoir de la Rivière est devenu un gîte qui accueille des groupes de personnes. Coordonnées par GPS 48° 15' 20" Nord, 2° 14' 16" Ouest * LE CHATEAU LA RIVIERE-BINTINAYE A TREFUMEL - 22630 Le Château la Rivière-Bintinaye est un chateau bâti à Tréfumel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le premier possesseur connu de cet endroit alors désigné la Rivière était Nob. seigneur, Jean de Rohan, sieur de Coueyron, possédait en 1513 les métairies de Clairefontaine et de la Rivière. Il était le frère de Henri de Rohan, et fut le seigneur de Landal, après son frère Henri. Gouverneur de Touraine, grand-maître de Bretagne sous les reines Anne et Claude. Il mourut le 19 janvier 1524, marié avec Guyonne de Lorgeril, fille de Jean de Lorgeril et de Françoise de Parthenay. Guyonne de Lorgeril était la dernière héritière de la Maison de Lorgeril en Jugon, dame de Tressaint et de La Tourniolle, morte le 22 août 1483. Le Château de la Rivière-Bintinaye fut recontruit, en 1751, pour Gilles-François de la Bintinaye et Marie-Anne-Angélique Champion de Cicé. Leurs armes figurent sur le fronton. Le bâtiment actuel apparaît comme le projet inachevé d’une façade à la française. Les acquéreurs du domaine appartenaient à une dynastie de parlementaires Gilles de la Bintinaye, vicomte de Rougé, exerçait la charge degreffier en chef des Etats de Bretagne en 1767, ce qui explique que avec son épouse il demeurait ordinairement en la ville de Rennes, près des Portes-Mordelaises. Le sieur Gilles-François de la Bintinaye, chef de nom et d'armes était titré sieur de la Rivière, de la Ville-David et du Verger, vicomte de Rougé. Leur fille damoiselle Marie-Rose-Céleste de la Bintinaye, épousa par contrat du 29 mai 1781 passé au château de la Bintinaye, paroisse de Tréfumel, devant Trochu et Barthomeuf, notaires royaux, Jacques-Thomas de l'Esperonnière. Le mariage religieux fut célébré le 29 mai 1781, dans l'église de Tréfumel, au diocèse de Saint-Malo. Agathon de la Bintinaye, major des vaisseaux du Roi, il était lieutenant de du Couëdic sur la Surveillance, au célèbre combat que cette frégate livra au navire anglais le Québec en 1779. Le chevalier Agathon-Marie-René de la Bintinaye était né à Rennes le 24 mars 1756, ayant émigré en Angleterre , au commencement de la Révolution, il se trouvait à Londres lorsque le Morning Chronicle publia sous le titre de The only privilegs the nobily valued were distinction a franck and excepton from taxes; un article calomnieux contre la noblesse française. Le chevalier de la Bintinaye indigné, le réfuta, dans une brochure qui fut accueillie avec ferveur. Il mourut à la fin du mois de décembre 1792, noyé dans la Tamise. Jean-Baptiste de la Bintinaye, fils de François et Marie-Anne-Angélique Champion naquit en 1757. Chevalier de l'Ordre de Malte, il fut admis, avec le précédent à monter dans les carrosses du Roi, le 4 juin 1785, il mourut cinq ans plus tard. Augustin, vicomte de la Bintinaye, hérita, en 1810, de Mgr Jérôme Champion, comte de Cicé, Archevêque d'Aix, son oncle, dernier représentant de cette antique famille qui lui légua tous ses biens, titres et propriétés. Cette famille de la Bintinaye donna un maire à la commune de Tréfumel, elle était encore présente à la Rivière-Bintinaye au début du XXe siècle où elle était représentée par Anathole de la Bintinaye. Le Château de la Rivière-Bintinaye a été reconstruit pour Gilles François de La Bintinay, Vicomte de Rougé au XVIIIe siècle. Merci aux "Archives départementales des Côtes d'Armor". Coordonnées par GPS 48° 20' 20" Nord, 2° 01' 29" Ouest * LE CHATEAU DE ROBIEN A LE FOËIL - 22800 En Vente de Wally52 CC BY-SA Le Château de Robien est un château bâti à Le Foeil, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Robien est peu connu des Costarmoricains. Il date du XVIIIe siècle. Il se montre furtivement depuis la D790, mais disparaît quand on s'en approche, tel un mirage. Au début du XVIIe siècle, il fut la propriété de Philippe de Coulanges, grand-père de Mme de Sévigné. Il a longtemps hébergé le Conservatoire de Musique et accueillera prochainement le Tribunal d’Instance. L'annonce sur un site internet de ventes immobilières de prestige, présente les lieux en une dizaine de photos vestibule dallé de marbres polychromes, salon lambrissé garni de tentures anciennes, parc traversé par un gracieux cours d'eau. La façade de granit clair, avec sa demi-tourelle centrale et son escalier monumental à double révolution, ne trompe pas c'est celle du château de Robien, près de Quintin. Siège de la famille de Robien depuis 800 ans, le château est bien en passe de changer de mains. L'édifice, inscrit aux en 1946, a été reconstruit au XVIIIe siècle. Saccagé à la Révolution et vendu comme bien national, il fut racheté par un ancien serviteur de la Famille de Robien et rendu à celle-ci à son retour d'émigration. L'héritière actuelle est l'une des quatre filles du Marquis Paul VII de Robien 1897-1965, qui fut longtemps Maire du Foeil. Il se souvient des réceptions une fois par semaine, et du curé de Quintin qui venait dire la messe à la chapelle du Château de Robien ». Le gardien se souvient des litres de fuel annuellement nécessaires au chauffage des m² habitables mais c'était une belle famille, et la Marquise de Robien, qui a survécu longtemps à son mari, était une dame très simple, a déclaré un habitant de Quintin. Le Château de Robien est inscrit aux MH. Le Château de Robien est mis en vente depuis 2014 au prix de 5 Millions d'euros. Coordonnées par GPS 48° 23' 13" Nord, 2° 55' 36" Ouest * LE CHATEAU DU ROCHAY A LANGAST - 22150 Le Château du Rochay est un château bâti à Langast, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Rochay date du XVIIe siècle. Le Château du Rochay a été agrandi à la fin du XIXe siècle. Coordonnées par GPS 48° 16' 51" Nord, 2° 39' 45" Ouest * LE CHATEAU DE LA ROCHE A GUENROC - 22350 Le Château de la Roche est un château bâti à Guenroc, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Roche date du début du XIXe siècle, sur l'emplacement d’un ancien manoir du XVe siècle. Le château de la Roche a été créé par l'architecte Richelot qui bâtit plusieurs châteaux, aux environs de Rennes. Coordonnées par GPS 48° 19' 05" Nord, 2° 04' 26" Ouest - LE CHATEAU DE LA ROCHE-JAGU A PLOËZAL - 22260 Se Visite CC BY-SA Le Château de la Roche-Jagu est une forteresse bâtie à Poëzal, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa Propriétaire initiale était Catherine de Troguindy. Le Château de la Roche Jagu a été construit au XVe siècle. Le château servait d'ouvrage défensif, et de résidence. Roland Péan, décédé après 1451, fut chevalier banneret, seigneur de la Roche-Jagu, de même que son fils Pierre Péan, décédé le 24 juillet 1488 lors de la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier. La fille de ce dernier, Françoise Péan née en 1472, décédée en 1555, dame de La Roche-Jagu et de Grand-Bois en Landebaëron, vicomtesse de Tronquidi, épousa le 13 mars 1494 Guillaume d'Acigné fils cadet de Jean V, seigneur d'Acigné. Leur fils Jacques d'Acigné, puis leur petit-fils Louis d'Acigné furent successivement seigneurs de la Roche-Jagu. En 1773, le Maréchal de Richelieu vendit le château à Mme Le Gonidec de Tressan. Le Château de la Roche Jagu a été entièrement restauré en 1968. La visite du château est une étape incontournable, en Bretagne, dans la campagne trégorroise, à proximité de Pontrieux. Cest devenu un lieu d'expositions, de spectacles. Il est protégé au titre des monuments historiques. Son parc contemporain d'inspiration médiévale, est reconnu Jardin Remarquable » depuis 2005. Nature, Patrimoine Historique et création paysagère offrent aux visiteurs un lieu de découverte original. Le Château de la Roche-Jagu est classé aux depuis 1930 et 1969. Son propriétaire actuel est le Conseil Départemental des Côtes-d'Armor. Le château et son parc sont ouverts au Public. Adresse Domaine départemental de la Roche-Jagu à Ploëzal 22260 - Téléphone 02 96 95 62 35 Horaires Ouvert 1000–1200, 1400–1800 - Email chateaudelarochejagu Tarifs et Jours des Visites Coordonnées par GPS 48° 44' 00" Nord, 3° 09' 05" Ouest -* LE CHATEAU DE LA ROCHE-GUEHENNEC A MUR-DE-BRETAGNE 22530 CC BY-SA Le Château de La Roche-Guéhennec est un château bâti à Mûr-de-Bretagne, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Roche-Guéhennec date du XIIIe siècle. Reconstruit au XVIIe siècle, il est aujourd'hui en cours de restauration. C'est un château de style Moyen Age central. La seigneurie de la Roche-Guehennec possédait un droit de Haute et Basse Justice. Son tribunal pouvait prononcer la peine de mort. Il la prononcera une seule fois, au XVIIIe siècle, contre un assassin. Sa décision fut confirmée, en appel par le Parlement de Bretagne et le condamné fut exécuté à Rennes en octobre 1782. Luc François Le Cerf rachèta, en 1815, le château et les terres de la Roche-Guehennec aux héritiers du Comte de Noyan, les Euzenou de Kersalaün. La famille Le Cerf donna plusieurs maires à la ville de Mur. René Le Cerf épousa Mademoiselle Monnier, en 1878. Puis au XXe siècle, le château appartiendra aux Colin de la Bellière. Le Château de La Roche-Guéhennec, depuis 2011, appartient à Mr. et Mme Arnaud Colon de Franciosi. Chaque année, le 1er samedi du mois d’Août, se déroule un fest-noz, particulièrement prisé, grâce à l’action efficace de ses bénévoles. Coordonnées par GPS 48° 12' 03" Nord, 2° 59' 05" Ouest - LE CHATEAU DE LA ROCHE-GOYON OU FORT DE LATTE A PLEVENON - 22400 Privé CC BY-SA Le Château de La Roche-Goyon appelé aussi le Fort de Latte est un château bâti à Plévenon, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Appelé le Château de Roche-Tanguy, puis le Château Le Denays, le château prendra le nom de Roche-Goyon, au XIXe siècle. Il fut construit de 1340 au XVIIIe siècle, avec des réemplois d'une bâtisse du XVIe siècle. Quatre membres de la famille de Goyon, propriétaires du château, se distingueront au XIXe siècle. Augustin, comte de Goyon, fut préfet des Côtes-du-Nord pendant la première Restauration. Charles, son fils, nommé aide de camp de Napoléon III, en 1853, devint Président du conseil général en 1861 et Sénateur en 1862. Son fils, Charles lui aussi, devint duc de Feltre par décret impérial en 1866, et est élu député des Côtes-du-Nord de 1876 à 1889. En 1892, il rachète le Fort La Latte. Puis, suivra, Auguste, élu Président de la Chambre d'Agriculture des Côtes-du-Nord, en 1924. En 2013, le fils de Fillon s'est marié au Château de la Roche-Goyon qui appartient aux parents de la mariée. Aujourd'hui, la propriété est entourée de chênes, hêtres et autres sapins. Au début du siècle dernier, les écuries avaient été transformées en étables, les propriétaires ayant décidé de se lancer dans la sélection de vaches », précise Suzanne Piéto, propriétaire de lieux acquis par ses parents, en 1933. Maison de vacances pour ses 5 enfants, le Château de La Roche-Goyon est aussi en partie habité, à l'année par un locataire et par la propriétaire, qui apprécie tout particulièrement ses appartements entièrement réhabilités en 1997. Le Château de la Roche-Goyon est privé. Le Château de la Roche-Jagu est classé aux E-mail chateaudelarochejagu - Réservation Tél 02 96 95 62 35. Site web Château de la Roche-Jagu Coordonnées par GPS 48° 40' 05,51" Nord, 2° 17' 03,51" Ouest * LE MANOIR DE LA ROCHE-ROUSSE A QUESSOY - 22120 Se Visite Le Manoir de La Rocherousse ou Château de la Roche-Rousse est un manoir bâti à Quessoy, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Rocherousse date du XVIe siècle. La construction du Manoir de la Rocherousse date du 4ème quart du XVIe siècle à la 1ère moitié du XVIIe siècle. C'est un ensemble fortifié construit en deux temps, de la fin XVIe au XVII siècle. Il est constitué d'un corps de logis entouré d'enceintes défensives cantonnées de tours. Différentes dépendances sont encore réparties à l'intérieur et à l'extérieur des douves pavillon d'entrée, chapelle, pressoir, moulin. De nombreux travaux se déroulèrent au XIXe siècle, avec la disparition des tours accolées à la façade orientale du manoir. Le Manoir de La Rocherousse se visite. Le Manoir de La Rocherousse est inscrit depuis le 22/03/2002 aux Monuments Historiques. Il existe aussi sur la commune à découvrir le Château de Bogard. Coordonnées par GPS 48° 25' 19" Nord, 2° 39' 25" Ouest * LE MANOIR DE LA ROGERAIS - A PLOUGALAY 22650 Chambres d'Hôtes/SPA Le Manoir de la Rogerais est bâti au hameaud la Rogerais, à Plougalay, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Devenu une auberge, vous y trouverez aussi un SPA et des chambres d'hôtes. Adresse Manoir de La Rogerais Chambres d'Hôtes & SPA à la Rogerais, 22650 Plougalay Coordonnées par GPS .................... * LE CHATEAU DE ROHANNEC'H A SAINT-BRIEUC - 22000 Culturel Kev22 CC BY-SA Le Château de Rohannec'h est un château bâti à Saint Brieuc, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Rohannec'h date de 1880, pour le Vicomte Alain Le Gualès de Mézaubran, qui fut Président des armateurs de Bretagne. Cette villa d'inspiration italienne sera nommée à l'époque le château de Rohannec'h ». Le château a été construit sur un des promontoire. Le Château de Rohannec'h a la forme d'un rectangle. Il est composé d'un corps de logis central de 3 travées et de 2 corps latéraux d'une travée chacun. Le corps central comporte 3 étages carrés, les corps latéraux, 2 seulement, au-dessus d'un rez-de-chaussée surélevé. Les toitures couvertes en terrasse avec des balustrades surmontent la corniche. Deux bow-windows en rez-de-chaussée se situent sur la façade postérieure. Le Château de Rohannec est devenu la propriété du Département depuis 1946. C'est devenu un lieu culturel. Le parc du Château de Rohannec'h est ouvert au Public. Adresse Château de Rohannec, Bd Pasteur à Saint Brieuc 22000 Saint-Brieuc Coordonnées par GPS 48° 31' 19" Nord, 2° 44' 48" Ouest * LE CHATEAU DE LA ROHEE A LE-GOURAY - 22330 Privé Le Château de la Rohée est un château bâti à Le Gouray, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Rohée date du XVIIIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 19' 41" Nord, 2° 29' 15" Ouest - LE CHATEAU DE ROSANBO A LANVELLEC - 22420 Se Visite CC BY-SA Le Château de Rosanbo est un château bâti à Lanvellec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est un château fort de style Moyen Age tardif. Il est à 20km de Lannion, en direction de Morlaix, après Saint Michel de Grève, direction Lanvellec. La construction du Château de Rosenbo date du XIVe au XIXe siècle. Il appartient actuellement à la Famille Le Peletier de Rosanbo. Dans la même famille depuis le XIVe siècle, le premier bâtiment est un château fortifié sur un promontoire stratégique situé à 6 km de la baie de Saint-Michel-en-Grève pour interdire la remontée du Bô aux envahisseurs nordiques. Au XVe siècle, un manoir gothique fut construit, attenant au Château de Rosenbo. En 1688, Geneviève de Coskaër de Rosanbo, dernière héritière de la terre de Rosanbo, épousa Louis Le Peletier, le fils de Claude Le Peletier, ancien Prévôt des Marchands de Paris. Louis XIV les autorise à relever le nom de Rosanbo et à porter le titre de Marquis. En 1794, les Rosanbo, leur fille Aline et son mari Jean-Batiste de Chateaubriand, frère ainé de l'écrivain sont guillotinés. Leur fils Louis ne reviendra pas mais ses descendants, eux, reviendront. Alain, Marquis de Rosanbo a ouvert le château au Public en 1958. Le Château de Rosanbo est inscrit aux depuis 1930. Alain, Marquis de Rosanbo a rouvert le Château au Public en 1958. Son propriétaire actuel est la Famille Le Peletier de Rosanbo. Le Château de Rosanbo est ouvert au Public et se visite de Paques à Semptembre. Le Château de Rosanbo est inscrit aux depuis le 22/03/1930 Infos Château de Rosanbo - 22420 Lanvellec - Tel 02 96 35 18 77 - Ouvert d'avril à Octobre. Avril, Mai, Juin, Septembre de 14H à 17H30. Juillet Août de 11H à 18H30 tous les jours Tarifs 10E/adulte - 7E/ de 6ans à 15ans - Gratuit - de 6ans. Site web Château de Rosanbo Coordonnées par GPS 48° 37' 32,16" Nord, 3° 33' 10,08" Ouest * LE CHATEAU DU ROSCOAT A PLEHEDEL - 22290 Le Château du Roscoat est un château bâti à Pléhédel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Roscoat date du XVIIe au XIXe siècle. Coordonnées par GPS 48° 41' 43" Nord, 3° 00' 25" Ouest * LE MANOIR DE LA ROSE-DES-VENTS A PAIMPOL - 22500 ATB - Valencia Le Manoir de la Rose-des-Vents - Paimpol, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, à 30 km au nord de Guingamp, en France. Construite en 1930, cette propriété d’un ancien maire de Paimpol est de type anglo-normand. Elle est située à 600 mètres du port et du centre historique de Paimpol. Le jardin de 4 200 m2 est réparti entre un jardin potager, des sous-bois avec cèdres et pelouse. Le manoir, très haut dans ce quartier de petites maisons, a une surface de 450 m2 et comporte 14 pièces principales dont un bureau, une pièce à vivre de 75 m2 avec cheminée monumentale, une cuisine contemporaine, un escalier central sur 2 étages, un jardin d’hiver et 9 chambres. Coordonnées par GPS 48° 46' 43" Nord, 3° 02' 43" Ouest * LE CHATEAU DE ROSVILLIOU A DUAULT - 22160 Privé de André-Charles Vogt Le Château de Rosvilliou est un château bâti à Duault, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de Rosvilliou date du XVIIe siècle. Le Château de Rosvilliou a été construit dans le 4ème quart du xvie siècle et dans la second moitié du XVIIIe siècle pour sa partie Sud. Le Seigneur initial fut Charles Maurice Bahezre, seigneur de Kerfichant. Il fut habité par la Famille de Langle au XVIIIe siècle. Le Château de Rosvilliou est inscrit aux depuis le 22/01/1927. Le Château de Rosvilliou est privé, fermé au Public. Adresse Château de Rosvilliou 2 rue Rosvillou, 22160 Duault Coordonnées par GPS 48° 21' 43" Nord, 3° 26' 03" Ouest * LE MANOIR DE ROUDOUROU A GUINGAMP - 22200 Le Manoir de Roudourou est un manoir bâti à Guingamp, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du manoir date du XVIIe au XVIIIe siècle. Le Manoir de Roudourou est inscrit aux depuis le avec avec son parc et son portail d'entrée. Il appartient à la Commune de Guingamp. Adresse Manoir de Roudourou - avenue du Manoir à Guingamp 22200 Coordonnées par GPS 48° 34' 02" Nord, 3° 09' 45" Ouest * LE CHATEAU DU RUMAIN A COHINIAC - 22800 Le Château du Rumain ou Château du Rumin est un château bâti à Cohiniac, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château du Rumain date du XVIe – XIXe siècles par Olivier le Vicomte et Françoise de Kermar, son épouse. La partie centrale du château est construite au XVe siècle. La construction de l'aile gauche a commencé en 1700. Devenu la propriété de Georges Hérisson de Beauvoir au moment de la Révolution, le Château du Rumain fut confisqué et vendu comme bien national. Barthélémi Desjars, de Guingamp, en devint le nouveau propriétaire. En 1877, le Château du Rumain fut remanié par la famille Garnier Bodéliac, qui y ajouta la galerie et les deux tourelles. Le château du Rumain abrite le gisant de Tristan Perrier, Baron de Quintin, décédé en 1482. Coordonnées par GPS 48° 27' 42" Nord, 2° 56' 51" Ouest * LE CHATEAU DE RUNEVAREC A PABU - 22200 Lycée Rural du Restmeur de Loïc Frémont CC BY-SA Le Château de Runevarec est un château bâti à Pabu, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Runevarec dressée sur les ruines d'un ancien manoir, qui datait de la seconde moitié du XIXe siècle. Aujourd'hui, le Château de Runevarec est devenu le Lycée rural du Restmeur. Il a été construit, sur le modèle des Malouinières », pour Mme Perrio de Grandclos, petite-fille d'un armateur malouin qui s'était enrichi, au XVIIIe siècle, avec le commerce d'esclaves, entre l'Afrique et les Antilles, source Patrick Salaün. Coordonnées par GPS 48° 35' 18" Nord, 3° 08' 04" Ouest * LE CASTEL SAINT-ANNE A TREGASTEL - 22730 Club de Vacances Le Castel Sainte-Anne est un château bâti à Trégastel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. En 1883, les Filles des Sacrés-Cœurs-de-Jésus et de Marie-de-Saint-Quay-Portrieux fondèrent à Trégastel, une succursale, en tous points semblable au bâtiment qu’elles possèdaient déjà à Saint-Quay-Portrieux. Sur les plans de l'architecte Paul-François Courcoux, la construction du Castel Sainte-Anne nécessite neuf mois de travaux, d’août 1883 à avril 1884. La chapelle est construite en 1923 par son fils, Auguste Courcoux. Elle fut bénie le 15 août 1925. En 1894, cette communauté a ouvert un couvent-hôtel. Finalement, il s'agira du premier hôtel de Trégastel, attirant une clientèle essentiellement costarmoricaine bourgeoise et pratiquante. Un chemin permet aux baigneurs d’accéder rapidement à la plage de Coz Pors où les religieuses y louent des cabines de bain. Aujourd'hui, le Castel est devenu un club de vacances Belambra, entièrement rénové, qui a su conserver l'architecture du Castel et sa chapelle désormais est une salle de réception, mariages, animations diverses. Coordonnées par GPS 48° 49' 51" Nord, 3° 30' 54" Ouest. * LE CHATEAU DE SAINT-AUBIN A PLEDELIAC - 22270 Le Château de Saint-Aubin est un château bâti à Plédéliac, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Saint-Aubin date de 1900. Il existe à découvrir sur la commune le Manoir de Belouze XVIe siècle, devenu aujourd'hui une ferme-auberge pédagogique, le Château de Saint-Aubin 1900, le Château de la Hunaudaye XIIIe siècle, Classé aux et le Château du Guillier, XVIIe siècle, inscrit aux Coordonnées par GPS 48° 27' 00" Nord, 2° 23' 12" Ouest * LE CHATEAU DE SAINT-ETIENNE DU GUE-DE-L'ISLE A SAINT-ETIENNE DU GUE-DE-L'ISLE - 22210 Le Château Saint-Etienne-du-Gué-de-l’Isle est un château bâti à Saint-Etienne-du-Gué-de-l’Isle, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château Saint Etienne-du-Gué-de-l’Isle a été construit au milieu du XVe siècle et à la fin du XVIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 06' 16" Nord, 2° 384 473 Ouest * LE CHATEAU DE SAINT-JEAN-KERDANIEL A SAINT JEAN-KERDANIEL- 22170 Privé Le Château de Saint-Jean-Kerdaniel est un château bâti à Saint-Jean-Kerdaniel, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Saint-Jean-Kerdaniel date de 1850, par l’architecte Joseph Antoine Froelicher. Le Château de Kerdaniel, fut siège d’une seigneurie qui relevait du Comte de Goëlo. Il fut occupé au XVe siècle par les Rosmar. En 1600, la Famille Guébriant succèda aux Rosmar et vit la construction d’un nouveau château, lui-même remplacé par l’édifice actuel, entouré d’un parc de 50 hectares et ceint d’un mur de 2 km. En septembre 1989, la Famille Merode, actuelle propriétaire, succède à la Famille Guébriant. Le Château de Saint-Jean-Kerdaniel est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 33' 57" Nord, 3° 01' 12" Ouest * LE CHATEAU DE SAINT-LEONARD A QUIMGAMP - 22200 Le Château de Saint-Léonard est un château bâti à Guimgamp, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS ..................... * LE MANOIR DE SAINT-MELEUC A PLEUDIHEN-SUR-RANCE - 22690 Le Manoir de Saint-Meleuc est un manoir bâti à Pleudihen-sur-Rance, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Il fut édifié au XVe siècle. C'était l'ancienne résidence de la famille seigneuriale de Saint-Meleuc. Henri de Saint-Meleuc, 1757-1794, royaliste, est impliqué dans la conspiration Magon de 1793, condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire et qui fut guillotiné à Paris le 3 messidor an II 21/06/1794. C'est un manoir du XVe entre Dinan et Dinard. Adresse Manoir de Saint Meleuc à Pleudihen-sur-Rance 22690 - Téléphone 02 96 83 34 26 - Chambres d'hôtes à compter 135 E Coordonnées par GPS 48° 30' 42" Nord, 1° 57' 02" Ouest * LES TOURELLES DU CHATEAU DE SAINT-NICOLAS-DU-PELEM A SAINT NICOLAS-DU-PELEM - 22480 A Visiter de Fgaret CC BY-SA Les Tourelles bâties à Saint Nicolas-du-Pélem sont l'ébauche d’un château bâti au XIXe siècle, à Saint-Nicolas-du-Pélem, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Les Tourelles constituent une curiosité. Mr Anne-Marie-Hyacinthe de Boisboissel, député monarchiste et châtelain du Pélem, connaissait le Comte de Chambord », qui était prétendant au trône de France. Pour honorer le futur monarque, il fit bâtir, en 1871, la construction d’un grand château pour accueillir le futur roi, le jour où il l’inviterait à Saint-Nicolas-du-Pélem. Mais le Comte de Chambord » ruina les chances des monarchistes, en 1873, en exigeant l’abandon du drapeau tricolore alors même que les députés monarchistes, majoritaires à l'Assemblée, s'apprêtaient à restaurer la Monarchie. Anne-Marie-Hyacinthe de Boisboissel arrêta la construction de son grand château, qui avait englouti une partie de sa fortune. Il ne reste debout, aujourd'hui, que Les Tourelles, un rempart monumental qui surplombe la commune de Saint-Nicolas-du-Pélem. Coordonnées par GPS ............... * LE CHATEAU DE SAINT-RIVEUL A PLENEE-JUGON - 22640 à chercher Le Château de Saint Riveulest un château bâti à Plénée-Jugon, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Bien qu'en ruine, le Château de Saint-Riveul, était délaissé. Aujoud'hui,il serait sauvé. Il existe un 2ème château sur la commune à découvrir le Château de la Moussaye. Coordonnées par GPS 48° 21' 54" Nord, 2° 23' 57" Ouest - LE CHATEAU DES SALLES A GUINGAMP - 22200 En Vente CC BY-SA Le Château des Salles est un château bâti à Guingamp, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du château date du XVI, qui fut transformé au XVIIe et XIXe siècle. Le Château des Salles est de style Moyen Age tardif & Renaissance. Il a appartenu à la Famille Kerouartz de 1785 à 1999. En 1999, le Château des Salles a été racheté par la Commune de Guingamp. Après plusieurs projets infructueux, la Mairie a mis le Château des Salles en vente, le au prix de 639 000 Euros article dans le Journal Ouest France. Le Château des Salles était la propriété de la famille Keroüartz de 1785 jusqu'en 1999. A cette date, le Conseil municipal de Guingamp juge le château et son parc de 9 hectares d'un intérêt exceptionnel. La ville exerce donc son droit de préemption pour avoir la priorité sur l'acquisition du bien 2 560 000 F à l'époque soit plus de 390 000 €. Le Château des Salles est fermé au Public. Le Château des Salles a été classé aux en 1964. La propriétaire actuelle du Château des Salles est la Commune de Guingamp. Coordonnées par GPS 48° 33' 30" Nord, 3° 09' 23" Ouest * LE CHATEAU DES SALLES A PLOUBAZNALEC - 22620 Le Château des Salles est un château bâti à Ploubaznalec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 48' 05" Nord, 3° 01' 56" Ouest * LE CHATEAU DE LA TANDOURIE A CORSEUL - 22130 Le Château de la Tandourie est un château bâti à Corseul, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château de la Tandourie date du XVIe siècle. Il est passé dans les mains de plusieurs familles les Lenfant aux XIVe-XVIe siècles, les Rogon aux XVIe-XVIIe siècles, qui possèdaient de nombreuses terres dans le Finistère, et les Goret de La Talmachère aux XVIIe et XVIIIe siècles. Ce manoir, avec sa chapelle et son courtil clos de douves, est devenu, depuis, le Centre de la Juridiction de Corseul. Coordonnées par GPS 48° 30' 04" Nord, 2° 11' 04" Ouest * LE MANOIR DU TERTRE A SAINT-QUAY-PORTRIEUX - 22410 Le Manoir du Tertre est un manoir bâti à Saint-Quay-Portrieux, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir du Tertre date du XVIe siècle. Le Manoir du Tertre est l'ancienne résidence de la Famille Jehannot de Penquer. Coordonnées par GPS 48° 38' 51" Nord, 2° 49' 40" Ouest * LE CHATEAU DE LA TIEMBLAIS A SAINT-SAMSON-SUR-RANCE 22100 Le Château de la Tiemblais est un château bâti à Saint-Samson-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Il existe aussi le Manoir du Châtelier-Guitrel IMH le 24/04/2009 et le Château de Carheil. Coordonnées par GPS 48° 29' 32" Nord, 2° 01' 47" Ouest - LE CHATEAU DE TONQUEDEC A TONQUEDEC - 22140 Se Visite/l'Eté Le Château de Tonquédec est un château bâti à Tonquédec, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de Tonquédec date du XIIe siècle. Le Château de Tonquedec est un château fort de style Médiéval. Son premier propriétaire était la Famille de Coëtmen-Penthièvre. Son propriétaire actuel est le Comte de Rougé. C'est l'un des plus impressionnants vestiges médiévaux français. Les ruines du Château fort de Tonquédec se situent, à 8,5 km de Lannion, dans un beau cadre de verdure et dominent la Vallée du Léguer. Du haut de sa corniche rocheuse, les ruines du château de Tonquédec, avec leurs onze tours et une enceinte close, dominent la vallée du Léguer. C'est un véritable vestige de la Bretagne féodale. Le début de la construction remonte au XIIe siècle par la famille de Coëtmen-Penthièvre, puînée des ducs de Bretagne. Il a été démantelé sur ordre du duc Jean IV en l'an 1395 à cause d'un conflit l'opposant aux Penthièvre. En effet, Roland II et Roland III de Coëtmen, Vicomtes de Tonquédec, se sont alliés à la rébellion d'Olivier de Clisson. La reconstruction de l'édifice débute, à partir de 1406, par Roland IV de Coëtmen, grâce au duc de Bourgogne Jean Sans Peur. Il est ensuite passé, au gré des successions, chez les sires d'Acigné puis Goyon de La Moussaye, avant d'être classé comme place forte pour l'artillerie en 1577. Durant les Guerres de Religion, les vicomtes de Tonquédec sont issus de la maison de Goyon. Étant huguenote, elle soutient le parti du roi Henri IV contre les troupes de la Ligue dirigée par Philippe-Emmanuel de Lorraine, duc de Mercœur. Le Château de Tonquedec, considéré comme dangereux pour le pouvoir royal, fut finalement démantelé, vers 1626, sur l'ordre de Richelieu. Le château de Tonquedec se visite d'avril à octobre. On peut aussi louer le château pour des tournages de films, des séances photo et des événements divers. Il fut le décor du film "Que la fête commence", avec les acteurs Philippe Noiret et Jean Rochefort. Le Château de Tonquédec est classé aux depuis 1862. Bien qu'en ruines aujourd'hui, le Château de Tonquédec se visite. Site web Château de Tonquedec Ouverture Visite guidée toute l'année sur réservation pour un groupe de 10 personnes. Du 1er Avril au 20 Juin tous les jours de 14h à 18h. Du 21 Juin au 21 Septembre tous les jours de 10h à 19h. Du 22 au 30 Septembre tous les jours de 14h à 18h. Octobre tous les week-ends de 14h à 17h30. Vacances de la Toussaint tous les jours de 14h à 17h30. Adresse Château de Tonquédec à Tonquédec 22140 - Tel 06 18 15 34 99 - Contact chateaudetonquedec Coordonnées par GPS 48° 40' 36,01" Nord, 3° 24' 42,01" Ouest * LE MANOIR DE LA TOUCHE-BRANDINEUF A PLOUGUENAST - 22150 Privé de Crepi22 CC BY-SA Le Manoir de la Touche-Brandineuf est un château bâti à Plouguenast, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne en France. La construction du manoir date du XVIee siècle. Il s'agit d'une gentilhommière composée d'un corps de logis à 2 étages. Sur la façade principale, s'élève la tour contenant l'escalier. La porte d'entrée est composée d'un arc brisé avec un archivolte à crochets. Le Manoir de la Touche-Brandineuf est inscrit, au depuis le c'est un manoir privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 16' 56" Nord, 2° 42' 11" Ouest * LE CHATEAU DE LA TOUCHE-A-LA-VACHE A CREHEN - 22 Ruines Le Château de la Touche-à-la Vache est un château bâti à Créhen, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne en France. Le site du Manoir de la Touche-à-la-Vache comprend les restes d'un donjon datant du XVème siècle. Il est de style Médiéval. Il ne reste que des ruines aujourd'hui de l'ancien Château de la Touche-à-la-Vache. Le château de la Touche-à-la Vache est inscrit aux Les vestiges du château sont privés, fermés au Public. Coordonnées par GPS 48° 31' 17" Nord, 2° 11' 47" Ouest - LE CHATEAU DE LA TOUCHE-TREBY A TREBY - 22510 Visite/Eté Le Château de la Touche-Tréby est un château bâti à Trébry, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le début de la construction du Château de la Touche-Tréby date du XVIe siècle. Le Château de la Touche Trébry est ouvert du 15 Juillet au 30 Août fermé le samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Visite libre du parc et du château. Tarifs adultes 5 € ; enfants à partir de 6 ans 3 € ; famille parents + 2 enfants 13 € ; visite guidée du château supplément adulte 1,50 €. Le Château de la Touche-Tréby est inscrit aux depuis 1927. Site web Château de la Touche-Tréby Adresse Château de la Touche-Trébry 22510 Trébry - Tel 02 96 42 61 30 Coordonnées par GPS 48° 21' 25" Nord, 2° 34' 16" Ouest * LE MANOIR DES TOUCHES A GUITTE - 22350 Privé Le Manoir des Touches est un manoir bâti à Guitté, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir des Touches date du XVIIe au XVIIIe siècle. Il fut le lieu de naissance de René Auguste de Chateaubriand en 1718. Le Manoir des Touches est privé et fermé au Public. Il y a aussi à Guitté 3 châteaux à découvrir le Château de Couëllan, le Château de Beaumont et le Château de la Perchais. Coordonnées par GPS 48° 17' 50" Nord, 2° 0' 36" Ouest * LE CASTEL SAINTE-ANNE A TREGASTEL 22730 Club de Vacances Belambra Wayne77 CC BY-SA Le Castel Sainte-Anne est un castel bâti à Trégastel, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. En 1883, les Filles des Sacrés-Cœurs-de-Jésus et de Marie-de-Saint-Quay-Portrieux fondent à Trégastel une succursale en tous points semblable au bâtiment qu’elles possèdent déjà à Saint-Quay-Portrieux. Sur les plans de l'architecte Paul-François Courcoux, la construction du castel Sainte-Anne nécessite neuf mois de travaux, d’août 1883 à avril 1884. La chapelle est construite en 1923 par son fils, Auguste Courcoux. Elle est bénie le 15 août 1925. En 1894, cette communauté ouvre un couvent-hôtel. Finalement, il s'agira du premier hôtel de Trégastel, attirant une clientèle essentiellement costarmoricaine bourgeoise et pratiquante. Un chemin permet aux baigneurs d’accéder rapidement à la plage de Coz Pors où les religieuses louent des cabines de bain. Aujourd'hui, le Castel est devenu le Club de vacances Belambra, entièrement rénové, qui a su conserver l'architecture du Castel. Sa chapelle désormais est une salle de réception, mariages, animations diverses. Coordonnées par GPS 48° 49' 51" Nord, 3° 30' 54" Ouest * LES TOURELLES A SAINT NICOLAS DU PELEM - 22480 de FGaret CC BY-SA Les Tourelles sont bâties Saint-Nicolas-du-Pélem, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est l'ébauche d’un château au XIXe siècle. Les Tourelles constituent une véritable curiosité régionale. Anne-Marie-Hyacinthe de Boisboissel, député monarchiste et châtelain du Pélem, connaissait le Comte de Chambord, prétendant au trône de France. Pour honorer le futur monarque, il lança en 1871 la construction d’un grand château pour accueillir le roi, le jour où il l’inviterait à Saint-Nicolas-du-Pélem. Mais le Comte de Chambord ruina les chances des monarchistes, en 1873, en exigeant l’abandon du drapeau tricolore alors même que les députés monarchistes, majoritaires à l'Assemblée, s'apprêtaient à restaurer la Monarchie. Anne-Marie-Hyacinthe de Boisboissel arrêta la construction de son grand château, qui avait englouti une partie de sa fortune. Il ne reste que Les Tourelles, un rempart monumental qui surplombe la commune de Saint-Nicolas-du-Pélem. Coordonnées par GPS 48° 18' 50" Nord, 3° 09' 47" Ouest * LE MANOIR DE TRAHOU-BIHAN A LEZARDRIEUX - 22740 Privé Le Manoir de Trahou-Bihan est un manoir bâti à Lezardrieux, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Traou-Bihan est un ancien manoir est celui de la seigneurie de Coatmen-Lézérec, dépendant des seigneurs de Kermarquer. Devenu la propriété du Comte Fleuriot avant la Révolution, il fut vendu, en 1793, comme bien national. depuis le Manoir de Trahou-Bihan est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 47' 09" Nord, 3° 06' 21" Ouest * LE MANOIR DE TRAOU-NEZ A PLOURIVO - 22860 de Bruno Corpet Le Manoir de Traou-Nez est un manoir bâti à Plourivo, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Traou-Nez, est aujourd'hui la maison de l'estuaire ». La construction du Manoir date du XIXe siècle. Le Manoir de Traou-Nez est devenu célèbre dans l'affaire Seznec. La maison de l'estuaire, situé dans l'ancien manoir de Traou-Nez, est à côté de la halte ferroviaire de Traou-Nez. Il est utilisé par La Vapeur du Trieux, comme halte. Site web Château de Bourblanc Coordonnées par GPS 48° 44' 41" Nord, 3° 04' 18" Ouest * LE MANOIR DE TREBIANT A TREMEL - 22310 Privé Le Manoir de Trébriant est un château bâti à Trémel, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne en France. le manoir de Trébriant a été la propriété de la Famille de Lorgeril vers 1978. Depuis, le Manoir de Trébiant a été remanié et modernisé, avec beaucoup de goût. Il est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 36' 14" Nord, 3° 36' 37" Ouest - LE CHATEAU DE TREGARANTEC A MELLIONNEC - 22110 Visite/RV Le Château de Trégarantec est un château bâti à Mellionnec, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du Château de Trégarantec date de 1698, 1755 et 1768. L'actuel Château de Trégarantec est l'oeuvre de François-René Jégou du Laz, conseiller au Parlement de Bretagne. Il était à l'origine composé de deux ailes disposées en équerre, mais l'aile qui longeait les jardins, peut-être antérieure au corps principal, a été détruite au début du 20e siècle et reconstruite en 1970. Les boiseries des salons qui l'occupaient ont été partiellement remontées dans différentes pièces du logis actuel. Devant le logis, se développe la cour d'honneur, divisée en deux parties par un muret. L'entrée est flanquée de chaque côté par deux pavillons contemporains du château. A gauche de la cour, différents bâtiments se succèdent, communs, remises et écuries, dont certains sont très remaniés. A droite se trouve la chapelle, construite en 1755 puis, elle fut transformée en une sacristie, en 1768. Une balustrade en granit et des piliers marquent l'entrée du jardin auquel on accède par un grand escalier à trois paliers. Le Jardin à la Française est entièrement clos de murs, réparti en 3 terrasses séparées par des murets. La première a conservé son orangerie, et la deuxième son puits. La ferme a été construite dans les années 1944-1945. Le Château de Trégarantec est un château privé que l'on peut visiter sur RV, uniquement. Le Château de Trégarantec est inscrit partiellement aux depuis le Coordonnées par GPS 48° 10' 31" Nord, 3° 20' 02" Ouest * LE MANOIR DE TREVOIR OU LE CASTEL A TREBEURDEN 22 Le Manoir de Trévoir appelé le Castel est un manoir bâti à Tréburden, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Le Castel se situe sur une presqu'île rocheuse située, entre le port et la plage de Tresmeur. Castel ce mot désigne un promontoire rocheux donnant sur la mer. Sur le chemin qui en fait le tour, il est possible de voir le "Père Trébeurden", un rocher à la forme d'un profil de visage. Après une longue période d'écriture phonétique à la Française, les panneaux indiquant ce lieu emploient maintenant l'écriture bretonne Kastell. Coordonnées par GPS 48° 46' 13" Nord, 3° 34' 01" Ouest * LE MANOIR DE TROVERN A TROBERN-BRAS TEBEURDEN 22 Le Manoir de Trovern est un manoir bâti au lieu-dit Trobern-Bras, à Trébeurden, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du Logis date du XVIIe siècle. Le Manoir a été remanié et agrandi, en 1925, pour l'artiste-aviateur Eudebert. En 1982, Ernest Renan, un académicien né à Tréguier en 1823 et mort à Paris en 1892, y séjourna à plusieurs reprises, au cours de sa jeunesse. Coordonnées par GPS ............... * LE CHATEAU DE LA VAIRIE A LANVALLAY - 22100 Privé Le Château de la Vairie est un château bâti à Lanvallay, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Il est privé. Il existe un autre château sur la commune le Château de Landeboulou, construit au xviiie siècle, privé aussi. Coordonnées par GPS 48° 27' 21" Nord, 2° 01' 37" Ouest * LE CHATEAU DU VAL A PLESTAN - 22640 Le Château du Val est un château bâti à Plestan, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS ................ * LE CHATEAU DU VAL A SAINT-CAST-LE-GUILDO - 22380 Le Château du Val est un château bâti à Saint-Cast-le-Guildo, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS ................. * LE CHATEAU DU VAUBLANC A PLEMET - 22210 Le Château du Vaublanc est un château bâti à Plémet, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS .............. * LE MANOIR DE VAUCLERC A PLEMY 22150 Privé de Crepi22 CC BY-SA Le Manoir de Vauclerc est un manoir bâti à Plémy, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du Manoir de Vauclerc date du XVIe et XVIIe siècle. Restes d'un manoir qui dut être important. Tout autour du Manoir de Vauclerc, existent des vestiges de bâtiments détruits, des substructions dont, une tour ronde en avant de la cour, qui devait servir de défense. La porte est ornée de fleurons. La Porte est inscrite aux depuis le 26/05/1926. Le Manoir de Vauclerc est privé, fermé au Public. Adresse Manoir de Vauclerc 6 Le Vauclair 22150 Plémy Coordonnées par GPS .............. * LE CHATEAU DU VAUCOULEURS A TRELIVAN - 22100 Le Château de Vaucouleurs est un château bâti à Trélivan, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS ................. * LE CHATEAU DE VAULEMBERT A CORSEUL - 22130 Le Château de Vaulembert est un château bâti à Corseul, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 28' 57" Nord, 2° 10' 08" Ouest - LE CHATEAU HOTEL DE VAUMADEUC A PLEVEN - 22130 Chambres d'Hôtes CC BY-SA Le Château de Vaumadeuc est un château bâti à Pleven, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Dès le XIIIe siècle, il existait un ancien manoir appartenant aux seigneurs de Gué-Madeuc. C'est un manoir qui date du XVe siècle. Le propriétaire initial était François Madeuc Il est de style Moyen Age tardif & Renaissance bretonne. Dès le XIIIe siècle existait un manoir appartenant aux seigneurs de Gué-Madeuc. Le Manoir de Vaumadeuc présente une façade Renaissance bretonne du XVe siècle, un parc intimiste, un pigeonnier, une roseraie et un étang. Le Château de Vaumadeuc a été inscrit aux le 4/02/1926. Les propriétaires actuels du Manoir de Vaumadeuc sont Even et Carol O'Neill. Vous y trouverez des chambres d'hôtes. Ouvert du 9 au 30 Juin et du 1/9/2021 au 31/10/2021. Adresse Château Hôtel de Vaumadeuc à Pleven 22130 - Chambres d'Hôtes - Tel 3302 96 84 46 17 - Mail manoir Site web Manoir de Vaumadeuc Coordonnées par GPS 48° 29' 17,88" Nord, 2° 19' 51,96" Ouest * LE CHATEAU DE VAUROUAULT A FREHEL 22240 de Le Château de Vaurouault est un château bâti à Fréhel, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS ............ * LE CHATEAU DE VAUVERT A JUGON-LES-LACS - 22270 Le Château de Vauvert est un château bâti à Jugon-les-Lacs, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 24' 36" Nord, 2° 19' 15" Ouest * LE CHATEAU DES VAUX-CARHEIL A PLOUER-SUR-RANCE - 22490 de Emeltet CC BY-SA Le Château des Vaux-Carheil est un château bâti à Plouër-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 30' 45,78" Nord, 1° 59' 38,35" Ouest * L'ANCIEN HOTEL VEILLET-DUFRECHE A MONCONTOUR - 22510 privé L'Ancien Hôtel Veillet-Dufrêche est un hôtel bâti à Moncontour, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Il date du XVIIIe siècle. L'hôtel a été édifié à la demande de Jean-Baptiste Veillet-Dufrêne qui dirigeait un important comptoir de ventes de toiles. L'aspect général du bâtiment, avec ses hautes cheminées, rappelle les malouinières. Les pièces sont ornées de boiseries réalisées à l'époque de la construction par des artisans ébénistes locaux. Ces boiseries intérieures témoignent de l'opulence régionale au XVIIIe siècle. IL est inscrit aux . partiellement depuis le C'est une Propriété privée, fermée au Public. Adresse Ancien Hôtel Veillet-Dufrêche - 12 rue du Bourg-Neuf à Veillet-Dufrêche 22 48° 21' 25" nord, 2° 38' 04" ouest * LE MANOIR DU VERGER A CAULNES - 22350 Le Château Le-Verger est un château bâti à Caulnes, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Le Château Le-Verger est inscrit aux depuis 1980. Coordonnées par GPS 48° 17' 30" Nord, 2° 09' 29" Ouest - LE MANOIR DE LA VIGNE A MATIGNON - 22550 Le Manoir de la Vigne est un manoir bâti à Matignon, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Vigne date du XVIe siècle. Coordonnées par GPS 48° 35' 48" Nord, 2° 17' 26" Ouest * LE MANOIR DE LA VILDE-BOUETARD A CORSEUL - 22130 Le Manoir de La Vildé-Bouétard est une ancienne dépendance de la Commanderie de La Guerche à Yvignac, templière jusqu'en 1308. Le Manoir de La Vildé-Bouétard est ensuite passé aux mains des Hospitaliers. Coordonnées par GPS 48° 28' 57" Nord, 2° 10' 08" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-AU-BEL A PLEUDIHEN-SUR-RANCE 22690 Le Château de la Ville-Aubel est un château bâti à Pleudihen-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. C'est une maison d emaitre, qualifiée de villa-château. Elle a été construite dans un style néo-Classique de 1817 à 1844, pour Gilles Louis Bourdet, Notaire à Saint-Malo. Sa basse cour intéressante, dans un mur en hémicycle qui contient les communs et un pigeonnier en brique qui rappelle le style Rustique à l'italienne de la ville de Clisson. Il y a aussi 2 autres chateaux sur la commune à découvrir le Château de la Ville-Bodin et le Manoir de Saint-Meleuc. Coordonnées par GPS 48° 30' 42" Nord, 1° 57' 02" Ouest * LE MANOIR DE LA VILLE-BASLIN A PLELO - 22170 Le Manoir de la Ville-Balin est un manoir bâti à Plélo, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Ville-Baslin date du XVIe siècle. Il a été construit sur l'emplacement d'un site gallo-romain. En 1758, le manoir était la propriété de Pierre Louis de Boisgelin, Chevalier de Kerdu et de l'Ordre de Malte. Coordonnées par GPS 48° 33' 26" Nord, 2° 56' 44" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-BODIN A PEUDIHEN-SUR-RANCE - 22690 Le Château de la Ville-Bodin est un château bati à Pleudihen-sur-Rance, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. C'était la Maison de procureur fiscal à la fin du XVIIe siècle et au XVIIIe siècle. Le logis de la Ville-Bodin est transformé dans la première moitié du XIXe siècle puis, en 1910, dans un style Troubadour. Coordonnées par GPS 48° 30' 42" Nord, 1° 57' 02" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-BOUCHARD A PUMAUDAN - 22350 Le Château de la Ville-Bouchard est un château bâti à Plumaudan, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 21' 31" Nord, 2° 07' 24" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-CHAPERON A HENON - 22150 Le Château de la Ville-Chaperon est un château bâti à Hénon, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Le Château de la Ville Chaperon appartient au Comte Alain de Lorgeril. Coordonnées par GPS .................... * LE CHATEAU DE LA VILLE-CHEVALIER A PLELO - 22170 Privé Le Château de la Ville-Chevalier est un château bâti à Plélo, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Le Château de la Ville-Chevalier est un des monuments de Plouagat. Le château ne se visite pas. Seul, le parc du château est ouvert durant les 2 Journée du Patrimoine en sept. Coordonnées par GPS 48° 33' 26" Nord, 2° 56' 44" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-DAVY AU QUESSOY - 22120 Le Château de la Ville-Davy est un château bâti au Quessoy, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Un peu avant 1870, Eustache Guérin de La Houssaye fit construire, dans un champ proche du bourg du Quessoy, un pavillon de style italien, pourvu de terrasses et de balustres. L’édifice achevé, il ne fut plus en mesure d’assumer le coût de son caprice. Il procèdera à une vente aux enchères. Les Soeurs du Plessis de Grénédan rachetèrent le Château de la Ville Davy, en 1884. Elles y feront apporter quelques aménagements architecturaux et l’agrémenteront d’un parc. En 1955, le Château de la Ville Davy devint l'école d’agriculture. En septembre 2013, racheté à nouveau, Anne Vachon, la nouvelle propriétaire du château de la Ville Davy accueillit durant 3 semaines, les Scouts unitaires de France. Coordonnées par GPS 48° 25' 19" Nord, 2° 39' 25" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-HUCHET A PLOUËR-SUR-RANCE - 22490 Journées du Patrimoine de Delphine Ménard Le Château de la Ville Huchet est un château bâti à Plouër-sur-Rance, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne, en France. Sa construction date de la 2ème moitié du XVIIe siècle au XVIIIe siècle. Le château est reconstruit au début du XVIIIe siècle par Joseph de La Haye, récent seigneur de Plouër, à l'emplacement du vieux château de Saint-Paul, probablement détruit à l'époque des guerres de la Ligue. Le château est de style Louis XIII entouré d'un grand parc d' construction de la petite chapelle avait été financée par l'évêché de Saint-Malo, pour remercier la famille d'armateurs qui avait largement soutenu l'Église au temps de la Compagnie des Indes. » Quant au tableau, visible sur place, il n'était qu'une réplique de celui trônant dans la cathédrale malouine. Mais, l'original ayant disparu lors des bombardements de 1944, il est aujourd'hui unique. Il appartient à Christian de la Villehuchet, qui ouvre son chateau chaque année au Public, aux Journées du Patrimoine Septembre. Le Château de la Ville Huchet est protégé partiellement aux depuis le 15/06/1964, pour ses façades, ses couvertures, ses douves et son pavillon d'entrée. Le Château est privé, fermé au Public. Il ouvre ses portes chaque année, au Public pour les 2 Journées du Patrimoine en Septembre. Adresse Château de la Ville Huchet La Métairie de Brizard 22490 Plouër-sur-Rance - France Coordonnées GPS 48° 31' 43" Nord, 2° 00' 07" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-GOURHAN A PLEMET - 22210 Le Château de la Ville-Gourhan est un château bâti à Plémet, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Coordonnées par GPS 48° 10' 40" Nord, 2° 35' 37" Ouest * LE MANOIR DE LA VILLE-GUINVRAY A PLEDRAN 22960 Le Manoir de La Ville-Guinvray est un manoir bâti à Pledran, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. sa construction date du XVIIe siècle. Le Manoir de La Ville Guinvay possède de belles lucarnes à frontons et d'élégante cheminée. Il est visible de la route les Prés Bernard - Ville Guinvray. Le Manoir de la Ville Guinvray est privé,fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 26' 48" Nord, 2° 44' 41" Ouest * LE CHATEAU DE VILLEHELLEUC A HENANBIHEN - 22550 Le Château de Villehelleuc est un château bâti à Hénanbihen, dans les Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Villehelleuc date du XIXe siècle. Il est de style Monde Moderne & Contemporain. Le château de la Villehelleuc, est résidence de la Famille de Normant de La Villehelleuc. Le Château est inscrit aux Coordonnées par GPS 48° 33' 10" Nord, 2° 23' 45" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-HUCHET A PLOUËR-SUR-RANCE - 22490 Privé de Emeltet CC BY-SA Le Château de la Ville-Huchet appelé aussi le Château de Plouër est un château bâti à Plouër-sur-Rance, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du château date de la 2eme moitié du XVIIe et du XVIIIe siècle. Ce château est entouré de douves avec ses dépendances. Sur ses fondations qui datent de différentes époques, le Château de la Ville-Huchet est rectangulaire mais courbe, avec des pavillons aux extrémités et une seule aile en retour sur cour. Le Château de la Ville Huchet est inscrit aux partiellement depuis le 15/06/1964. C'est un château privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 31' 21" Nord, 2° 00' 22" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-LAMBERT A PLOREC-SUR-ARGUENON - 22130 Privé Le Château de la Ville-Lambert est un château bâti à Plorec-sur-Arguenon, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Il date à la limite du XIXe au XXe siècle. Le Château de la Ville-Lambert est de style Néo-normand. Le Domaine s’étend sur 27 hectares de parc, une terrasse paysagée, des prairies et bois, et est bordée en contrebas, par un lac aux rives paisibles sur près de 2 kilomètres. Le parc possède lui-même 6 étangs en cascades qui finissent dans le lac de l’Arguenon. Le Château de la Ville-Lambert, ses dépendances et ses terres ont été vendus récemment et rachetés. Le Château de la Vilke-lambert est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 28' 49" Nord, 2° 17' 46" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLENEUVE A LANMODEZ - 22610 Le Château de la Villeneuve est un château bâti à Lanmodez, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. La construction du Château de la Villeneuve date de XVIe-XVIIe siècle. Les premiers propriétaires du manoir, furent la famille Villeneuve-Lanmodez. Ils transmettront ensuite, en 1543, par alliance, le Château de la Villeneuve à la Famille Cillart de la Villeneuve, en 1543, qui le conserveront jusqu'à la Révolution. En 1346; Eudon, écuyer de Charles de Blois, a été fait prisonnier, avec lui, à la Bataille de la Roche-Derrien. En 1437, Geoffroy prête serment de fidélité au Duc. La Famille La Villeneuve possédait jadis un droit de haute, moyenne et basse Justice. Fidèle à l'Ancien Régime, la Famille Cillart favorisera l'émigration et participera au débarquement de Quiberon, le 21/07/1795, au cours duquel, deux de ses membres trouveront la mort. Les biens des Cillart seront saisis puis revendus au profit de la Nation, à Vincent-Auguste Le Provost de Launay. Le Château de La Villeneuve possédait autrefois, un petit oratoire, au second étage du manoir. Adresse Coordonnées par GPS 48° 50' 06" Nord, 3° 06' 12" Ouest - LE MANOIR DE LA VILLENEUVE - AU LIEU-DIT SAINT-AARON - A LAMBALLE - 22400 Maison d'Hôtes Le Manoir de la Villeneuve est un manoir bâti au lieu-dit Saint-Aaron, à Lamballe, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir de Villeneuve a été transformé en une belle maison d'hôtes. Le Manoir de la Villeneuve occupe une demeure de caractère bâtie du XVIIIe siècle, entourée d'un parc de 3,5 hectares, à 4 km de Lamballe. Vous y trouverez une terrasse meublée et une piscine extérieure où vous pourrez vous détendre. Revêtues de parquet, les chambres chauffées du Manoir de la Villeneuve offrent une vue sur le parc. La salle de bains privative est pourvue d'une baignoire et d'articles de toilette gratuits. L’établissement sert un petit-déjeuner continental. Chaque matin, des confitures faites maison et des pâtisseries sont proposées dans le salon, à côté de la cheminée. Le Manoir de la Villeneuve met gratuitement à votre disposition une connexion Wi-Fi dans les parties communes et un parking privé sur place. Enfin, vous séjournerez à 12 km des plages de Val André. Adresse Manoir de la Villeneuve - Saint-Aaron- 22400 Lamballe - Tel 33 6 20 81 16 28 Coordonnées par GPS 48° 28' 10" Nord, 2° 31' 00" Ouest - LE CHATEAU DE LA VILLE ou CHATEAU DE KERANNO A ILLIFAUT - 22230 Le Château de la Ville appelé le Château de Keranno est un château bâti à Illifaut, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Fin du XVIIème siècle, le Château de Keranno était la plus belle demeure, que l'on puisse trouver autour de Guingamp. La construction du Château de Kerranno date du XVIIe au XVIIIe siècle. En 1691, Jacques II Stuart, roi d’Angleterre en exil, après sa deuxième défaite de la Boyne, fut l’hôte du château, lors de son passage à Illifaut. Le comte d’Artagnan y fut logé lui aussi, en 1717, dans les mêmes circonstances. Jacques Le Vicomte, Seigneur de Kergroas, possédait Keranno au début du XVIIème siècle. Il ira ensuite aux mains d’Anne de Boisboissel. Leurs descendants se sont transmis la demeure jusqu’à la Révolution. Le dernier Boisboissel ayant émigré, Keranno fut vendu, en l’an II, à Ange Rinquin, comme bien national. Vers 1840, la terre fut achetée par les Villeféron et Keranno devint un établissement agricole. Puis une colonie de vacances sera installée au château. Faute de mise aux normes, et d'entretien, le Château de Kéranno se dégrade, au fil des ans. En 1974, Mr et Mme de L’Épineguen rachètent le Château de Keranno, qui est très délabré. Avec persévérance et passion, ils transformeront Keranno en une demeure agréable et accueillante, sauvant le château. Depuis, le Château de la Ville ou Château de Keranno est devenu la propriété de M. et Mme Alexandre Joude. Coordonnées par GPS 48° 08' 49" Nord, 2° 20' 50" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-LAMBERT A PLOREC-SUR-ARGUENON 22130 Privé Le Château de la Ville-Lambert à Plorec-sur-Arguenon, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Le Château de la Ville-Lambert est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 28' 49" Nord, 2° 17' 46" Ouest * LE MANOIR DE LA VILLE-ROGER A FREHEL - 22240 Privé Le Manoir de la Ville-Roger est un manoir bâti à Fréhel, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du Manoir de la Ville-Roger date de la 1ère moitié du XVIIIe siècle. Le manoir associe une demeure construite en 1735, une chapelle édifiée autour de 1600 et des dépendances remaniées ou construites au 19e siècle. Le logis s'apparente, par son style, aux malouinières édifiées à cette époque autour de Saint-Malo. Il subsiste également les vestiges de Potager et un bassin. L'ancien colombier a disparu. Le décor intérieur date presque intégralement du 19e siècle, hormis le grand salon Ouest et l' Manoir de la Ville-Roger est inscrit aux partiellement, en 2007, pour son corps de logis principal, en totalité, à l'exclusion des ailes latérales et des galeries de raccord. Il est privé, fermé au Public. Coordonnées par GPS 48° 37' 45" Nord, 2° 21' 53" Ouest * LE CHATEAU DE LA VILLE-THUAL A ILLIFAUT - 22230 Privé à chercher Le Château de la Ville-Thual est un château bâti à Illifaut, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. La construction du Château de la Ville Thual date du XIXe siècle. Le château est de style néo-Gothique. Il possède une tourelle circulaire et un perron. Au XVIII, le château de la Ville-Thual a appartenu à la Famille Desprez, originaire de Corrèze, qui racheta le château et un grand domaine foncier. Un nouveau château fut bâti en 1876. Le Château de la Ville-Thual est en forme de L, avec une tourelle circulaire située dans l'angle couverte en poivrière. Le Château de la Ville-Thual est privé, fermé au Public. Il existe un autre château à découvrir sur la commune de Illifaut Le Château de la Brière XIXe siècle, Privé. Coordonnées par GPS 48° 08' 49" Nord, 2° 20' 50" Ouest * LE MANOIR DE LA VILLE-AUX-VENEURS A TREVE 22600 Privé de CC BY-SA CC BY-SA Le Manoir de la Ville-aux-Veneurs est bâti à La Ville-aux-Veneurs, à Trévé, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Manoir fut construit, en 1761, pour Sébastien Moisan, Marchand de toile, mort en 1779. Une dépendance située à l'entrée de la cour porte la date 1763. Le Manoir se situe dans un site boisé. Il est de plan allongé simple en profondeur comportant un corps principal, ajouré de 6 travées de baies à arc en segment, et 2 corps secondaires en retour d'équerre à l'est. Le toit à croupe est garni de petites lucarnes sur le pan couronnées d'épis de faîtage en terre cuite vernissée ; la partie centrale du toit est ornée d'un lignolet en ardoises repercées figurant deux personnages à cheval. Une girouette en ferronnerie complète ce décor. Il est inscrit aux depuis 1975. Il est privé, fermé au Public. Il existe aussi sur la commune à découvrir le Manoir de la Touche. Coordonnées par GPS 48° 11' 34,57" Nord, 2° 49' 33,98" Ouest * LE CHATEAU LE WINDSOR A PLOREC-SUR-ARGUENON 22130 Hôtel 3 Etoiles/Restaurant Le Château Le Windsor est un château bâti à Plorec-sur-Arguenon - Hôtel 3 étoiles, dans le département des Côtes d'Armor, en Bretagne, en France. Situé à quelques encablures des plages de la Côte d'Emeraude, proche de la forêt de la Hunaudaye, "Le Windsor" est un château construit au XVIIIème siècle. Il est entouré de 11 hectares de parc et de jardin, vous offre le calme, la sérénité un authentique retour à la nature. Le restaurant La Bégassière répond à toutes vos attentes gastronomiques, en vous proposant des produits du potager du Domaine. Tarif 78 Euros/nuit. Adresse Château-Hôtel le Windsor - le Bois Billy - 22130 Plorec-sur-Arguenon Coordonnées par GPS 48° 28' 49" Nord, 2° 17' 46" Ouest -* LE CHATEAU D'YVIGNAC-LA-TOUR A YVIGNAC-LA-TOUR 22350 Privé Crepi22 CC BY-SA Le Château d'Yvignac est un château bâti à Yvignac-la-Tour, dans le département des Côtes d'Armor, en région Bretagne, en France. Le Château d'Yvignac-la-Tour est une propriété privée, fermée au Public. Le Château d'Yvignac-la-Tour et la courtine sont inscrits partiellement aux depuis le 09/10/1964. Coordonnées par GPS 48° 22' 54" Nord, 2° 10' 47" Ouest Mise à jour le 17/08/2022 Marie51 Retour - Tous Droits Réservés
Lenom du capitaine de vaisseau Le Mintier, comte de la Motte-Basse, ainsi que ceux de son épouse, née Henriette Aymer de la Chevalerie, et de sa sœur Alberte, épouse de Pétigny de Saint-Romain, sont gravés sur une plaque apposée au Monument aux Morts du Gouray ; il est également inscrit sur une plaque du souvenir accrochée sur un monument situé dans l’escalier
Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,841 Jul 9, 2015 Tour de France 2015 Château de Buigny-Saint-Maclou Abbeville, Somme Château de Buigny-Saint-Maclou by Sylvie Gilliard, on Flickr Château de Guerville, Seine-Maritime Chateau de Guerville by isamiga76, on Flickr Château de Dieppe, Seine-Maritime Château de Dieppe by Brian Hampson, on Flickr Château de Dieppe by Frédéric BISSON, on Flickr Château de Fécamp, Seine-Maritime Restes du château - 22 août 2012 Rue André Paul Leroux - Fécamp by Padicha, on Flickr Château de Cuverville Étretat, Seine-Maritime Le Jour ni l'Heure 1658 château de Cuverville, 1730, près d'Étretat, Seine-Maritime, domaine normand d'André Gide, 1869-1951, jeudi 9 juillet 2009, 170110 by Renaud Camus, on Flickr Joined Nov 18, 2011 21,127 Posts Joined Nov 18, 2011 21,127 Posts Joined Feb 5, 2015 1,481 Posts Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,845 Jul 11, 2015 Tour de France 2015 Château de Saint Germain-de-Livet Livarot, Calvados Château de Saint Germain-de-Livet by Spiterman, on Flickr Château de Chambois, Orne Château de Chambois by Fabien POTEL, on Flickr Château de Couterne Argentan, Orne Septième étape Argentan - Rennes, 170 km 6 by jplp, on Flickr Château de Carrouges, Orne Château de Carrouges by eric, on Flickr Château de Carrouges by eric, on Flickr Château de Fougères, Ille-et-Vllaine Fougeres-71 by Nicolas JENVRIN, on Flickr Château de Fougères, Ille-et-Vilaine - Castle of Fougères, Brittany, 2015 by Stéphane Mahot, on Flickr Le château de Fougères by Office de Tourisme Pays de Fougères, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,846 Jul 12, 2015 Tour de France 2015 Château de Moulins, Ille-et-Vilaine Moulins - Ille-et-Vilaine by Jacques BILLAUDEL, on Flickr Château de Caradeuc Bécherel, Ille-et-Vilaine Château de Caradeuc. Becherel by Roberto Poveda, on Flickr Château de Couëllan, Côtes d'Armor Château de Couëllan à CAULNES Côtes d'Armor. by Olivier CABARET, on Flickr Château XVIIe-XVIIIe s. de Couëllan, Caulnes Côtes d'Armor, France by Denis Trente-Huittessan, on Flickr Château de la Motte Basse Le Gouray, Côtes d'Armor Untitled by jean-pascal guillouet, on Flickr Château des Rohan, Côtes d'Armor Château des Rohan by Guy Fogwill, on Flickr Joined Feb 3, 2010 44,958 Posts It's nice to see some interiors too..... Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,848 Jul 13, 2015 More châteaux from the area of Tour de France 2015 tomorrow; in Pyrenees area cheers Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,849 Jul 14, 2015 Château de l'Hermine Vannes, Morbihan Vannes - Le château de l'Hermine by Stéphane Sélo, on Flickr Chateau L'Hermine and Jardin des Remparts, Vannes by Loving Wanderer 12, on Flickr Château de Garderes, Hautes-Pyrénées chateau-de-garderes by christos-greece, on Flickr garderes by christos-greece, on Flickr Château des Trois-Villes, Pyrénées-Atlantiques 12 Château des Trois-Villes HPIM5708 by marc1961be, on Flickr Château de Arette, Pyrénées-Atlantiques Maison noble de Forez, Arette, Pyrénées Atlantiques, Aquitaine, France. by Bernard Blanc, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Tour de France 2015 Château de Pau, Pyrénées-Atlantiques DSCF5262 - Chateau de Pau - Avril 2015 by Chris 64, on Flickr Château de Pau by Gönpo Dorje, on Flickr Château de Coarraze, Pyrénées-Atlantiques Chateau Coarraze CPhoto O. Gangnebien by Office de Tourisme Pays de Nay, on Flickr Château-Fort de Lourdes, Hautes-Pyrénées Le Château Fort de Lourdes by Benjamin Radley, on Flickr Château de Mauvezin, Hautes-Pyrénées Le château de Mauvezin by Artur Tomaz, on Flickr chateau de mauvezin by barth1003, on Flickr Château de Ségure Arreau, Hautes-Pyrénées Le Château de Ségure - Arreau by Audrey, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Tour de France 2015 Château de Montégut, Gers Le château et l'église de Montégut 2011-08-14 -03 by Cary Greisch, on Flickr Château de Castillon-en-Couserans, Ariège chateau a Castillon en Couserans by m-idre31, on Flickr Chateau de Castillon en Couserans by m-idre31, on Flickr Château de Foix, Ariège On the Line ! by Stéphane Meurisse, on Flickr Château de Foix by Luc, on Flickr Château de Verdun Les Cabannes, Ariège Château-Verdun Ariège/Pyrénées by PierreG_09, on Flickr Pyrénées by Patrick Talbert, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,852 Jul 18, 2015 Tour de France 2015 Château de Muret, Haute-Garonne château de Muret by francoise e., on Flickr Château de Saint-Félix-Lauragais Caraman, Haute-Garonne Le Jour ni l'Heure château XIIIe-XVIIIe s. de Saint-Félix-Lauragais, jadis Saint-Félix-de-Caraman, Haute-Garonne, Languedoc, Midi-Pyrénées, samedi 21 juin 2008, 134149 by Renaud Camus, on Flickr Château de Couffinal Lavaur, Tarn Château de Couffinal, Lavaur, Tarn, samedi 10 décembre 2011 by Sébastien Bories, on Flickr Château de Crins Graulhet, Tarn Ancien château de Crins XVIe et XVII e s., mais surtout XXe s., demeure des comtes d'Aubijoux, seigneurs de Graulhet, auj. école maternelle, Graulhet Tarn, Languedoc, lundi 14 avril 2014 by Sébastien Bories, on Flickr Vieux Château de Ambialet, Tarn 2007_04_11_Ambialet Lundi de Paques by JeanPierre, on Flickr Château de la Roquette Rodez, Aveyron Château de la Roquette by Stevie Gill, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,853 Jul 19, 2015 Tour de France 2015 Château de Viel Vayssac, Aveyron 13042013-Château-de-Viel-Vayssac-07 by Roland Brossy, on Flickr 13042013-Château-de-Viel-Vayssac-19 by Roland Brossy, on Flickr Château de la Caze Laval-du-Tarn, Lozère Château de la Caze, Laval-du-Tarn, Lozère, Languedoc-Roussillon, France © Franck Charton/ Images by Marian Jones, on Flickr La Caze by Daniel Caubère, on Flickr Château de Stevenson Florac, Lozère Chemin de Stevenson , Florac .. by têteenlair, on Flickr Château de Prades Sainte-Enimie, Lozère Le Château de Prades by Olivier Mattelart, on Flickr Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,854 Jul 19, 2015 Tour de France 2015 Château de Castrevieille, Ardèche castrevieille by christos-greece, on Flickr Château de Aubenas, Ardèche Château d'Aubenas by Vins 64, on Flickr Aubenas Ardèche by Fabien BARRY, on Flickr Château de Vogüé, Ardèche chateau de vogûè by cevenole30, on Flickr Château de Crussol, Ardèche Crussol, les ruines du château by Bernard Delefosse, on Flickr Château de Crussol by Dominique Guillot, on Flickr Joined May 6, 2009 103,822 Posts Joined May 6, 2009 103,822 Posts Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,857 Jul 20, 2015 Tour de France 2015 Château de Crest, Drôme Le Donjon du Crest by Michael, on Flickr Tour de Crest - Crépuscule 01 by La Drôme Tourisme, on Flickr Vieux Château de Pontaix, Drôme Pontaix by Ranulf 1214, on Flickr Château de la Villette Veynes, Hautes-Alpes Le Château de la Villette by Eric Allix Rogers, on Flickr Château de Charance Gap, Hautes-Alpes chateau de Charance by Nicolas K00cha, on Flickr Cosmos depuis les terrasses du domaine de Charance Gap. Château de Charance, siège du conservatoire du parc national des Ecrins by Margotte apprentie naturaliste 2, on Flickr Joined May 6, 2009 103,822 Posts Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,859 Jul 21, 2015 Many thanks for your likes; more châteaux from the "Tour de France" tomorrow, in Alpes area... cheers Joined Feb 19, 2008 314,334 Posts Discussion Starter 2,860 Jul 22, 2015 Tour de France 2015 Château de Gréoux-les-Bains, Alpes-de-Haute-Provence 04 Gréoux-les-Bains - Château XII XII XIV XVII by Hervé Rebours, on Flickr Château de Pallud-sur-Verdon, Alpes-de-Haute-Provence 04 La Pallud-sur-Verdon - Château XVII XVIII by Hervé Rebours, on Flickr Château de Colmars, Alpes-de-Haute-Provence Colmars-Château de Savoie by Willy Van Campenhout, on Flickr [email protected] by christos-greece, on Flickr Château des Magnans Barcelonnette, Alpes-de-Haute-Provence Château des Magnans by Eric Allix Rogers, on Flickr Chateau magnans 01 by Alex Dark, on FlickrlE5YTF.